Récits
La descente aux enfers d’une condamnée 2
il y a 2 ans

La suite est pire encore

Chapitre 4 : Dans le bureau de la Directrice Après m'avoir fait remettre debout, mon implacable gardienne « réajusta » ma jupe et mon chemisier, c'est à dire qu'elle s'assura que ma jupe était bien enroulée autour de mon ventre, coincée par le cordage qui m'enserrai, me mettant ainsi cul et chatte à l'air, et que mon chemisier était bien ouvert mettant ma poitrine à nu! Cette vérification faite, elle me poussa vers la porte en lançant: « direction le bureau de la Directrice ma salope! ». J'avançai sans résistance, sachant que cela ne ferait qu'aggraver mon cas. Perverse jusqu'au bout, ma gardienne m'obligea à passer par les ateliers ou mes compagnes de détention empaquetaient des godes à longueur de journée afin de bien m'exhiber. Chatte rasée, je ne pouvait pas leur cacher grand chose de mon anatomie! Arrivée devant le bureau de la directrice, la gardienne me fit ouvrir la porte et me donna un coup de pied dans l'intérieur du genou droit. Cela me coupa mes forces et je...
Un jeu de bondage entre filles
il y a 2 ans

Oui mais quand le mari ne sait pas......

J'ai sonné à la porte et j'ai reculé. Je savais que Pauline était seule à la maison pour l'après-midi, et j'étais sûr qu'elle ne laisserait pas passer l'occasion de s'amuser en bondage. La porte s'est ouverte et ses yeux se sont illuminés quand elle m'a vu. 'Salut Laura! Tu ferais mieux d'entrer, sourit-elle. Elle portait un haut court, un short cycliste et des baskets - j'ai supposé qu'elle était sur le point de sortir pour faire de l'exercice. J'avais une meilleure forme d'exercice en tête, cependant, et d'après l'expression de son visage, elle en avait aussi. « Puis-je prendre votre manteau ? elle a demandé. J'ai hoché la tête et j'ai lentement défait la fermeture éclair pour révéler un manque évident de vêtements. Je lui ai tendu le manteau et elle a eu du mal à me quitter des yeux. « Je suppose que votre mari n'est pas à la maison », ai-je fait un clin d'œil. « En fait, il est dans la cuisine. 'Quoi?!?' J'ai attrapé mon manteau - la dernière chose que je vo...
Mes trois amantes
il y a 2 ans

Une petite histoire érotique de jeux saphiques

Jusqu'à il y a peu j'étais quelqu'un d'assez conformiste. J'étais sans doute un peu prude surtout quand je me comparais à certaines de mes amies. L'idée d'une partie à quatre avec des femmes me trottait dans la tête depuis longtemps mais je n'osais pas. Pourtant mes trois meilleures amies étaient ouvertement bisexuelles. Et elles étaient sacrément bien foutues par dessus le marché. Mais c'est parfois au moment où l'on s'y attend le moins que surviennent les meilleures surprises. L'imprévu dans ces situations apporte toujours du piment. Fautes de temps, je trouvais toujours un prétexte pour repousser cette expérience. Quand ce n'était pas mon fils qui était malade, c'était mon mari Stéphane qui était à la maison et qui avait invité ses collègues de travail à venir voir un match de football à la maison. Cela devenait d'un gênant. Le hasard faisant pour une fois bien les choses, mon fils était en vacance chez ma belle-mère et mon mari était en voyage d'affaires. Enfin seule, je déc...
Je suis devenue l’esclave de ma belle mère
il y a 2 ans

Un selfbondage la conduit à la soumission à une femme qu'elle déteste

Voilà j’ai 23 ans, je me suis mariée à 20 ans avec Paul âgé de 30 ans aujourd’hui. Si je suis heureuse avec lui, il est trop chou, je ne suis pas réellement comblée côté sexuel. Mon attirance pour le BDSM et le bondage a toujours été plus ou moins présente. Lorsque j’étais étudiante, mes surfs coquins m’ont donnée beaucoup d’envies, autres que l’amour à la papa maman. La fessée m’attirait aussi mais le bondage et tout ce qui tournait autour des contraintes m’excitait. Pour l’instant, je ne travaille qu’à temps partiel ce qui me laisse beaucoup de temps de libre. Ma belle mère ne peut pas me voir. Pour elle, je lui ai volé son fils et elle a toujours quelque chose à me reprocher. A ses yeux je ne suis pas bonne à rien, je suis mauvaise à tout ! Si je ne suis pas comblée sexuellement, il est hors de question que je trompe mon mari. Mon échappatoire ou jardin secret porte sur l’auto bondage avec des sextoys. Cela me permettait de rêver, d’imaginer des choses cochonnes comme dit...
Je suis devenue l’esclave de ma belle mère 2
il y a 2 ans

L'enfer commence

A coup de grandes claques sur les fesses, j’ai du lui expliquer le fonctionnement de la serrure de glace d’ABCplaisir. Elle m’a laissée en plan pour aller se faire un café en me laissant avec mes peurs, mes doutes et ma rage. Madame s’est installée sur le canapé en me regardant « vibrer ». Si j’arrive à jouir facilement, vous imaginez bien que, cette fois, le plaisir n’était pas au rendez-vous. Je voyais bien que son visage changeait et qu’elle complotait quelque chose. Pour moi, elle pensait avoir trouvé le moyen de se débarrasser de moi et de nous faire divorcer. Et bien non, ses idées étaient bien plus perverses que ça ! - Je subodore sans trop de risque d’erreur que tu ne souhaites pas que les photos que j’ai prises circulent sur internet, qu’elles soient imprimées et adressées à ta famille. Alors pour commencer, quand ton machin te libérera, tu viendras t’allonger sur mes genoux pour prendre la fessée que tes parents auraient du te donner, pour te faire mûrir un peu !...
Deux femmes, une rencontre, une histoire...
il y a 2 ans

Une rencontre saphique originale

Mardi, nous sommes enfin mardi ! ». Ce soir j’ai un rendez vous « coquin » avec Margot et Justin, un couple d’amis. Je m’imagine déjà entre leurs mains, sous leurs assauts. Ils me voulaient pour eux et voilà que cela va se réaliser. Je suis déjà toute à eux, offerte et désireuse. Un choc v i o l ent suivi d’un bruit assez effrayant me sort de ma douce torpeur. Quelle rêveuse je fais ! « Yaëlle tu n’es pas possible, rêvasser de cette façon en conduisant. Ce n’est vraiment pas raisonnable ! » me souffle ma conscience. Je ne suis pas blessée, enfin à première vue, mais j’ai lamentablement embouti le véhicule devant moi. J’imagine d’ici la colère de son conducteur. Ce type va sans doute me dire que j’aurais pu faire attention, que la file de voitures est arrêtée depuis un bon moment et que j’aurais tout de même pu voir ses feux arrières. Hum! Je crois que je vais me la jouer charmeuse. Ça fonctionne à merveille. Je le sais très bien, j’ai souvent testé ce petit pou...
La soumission de Sophie 08
il y a 2 ans

Soumission et esclavage entre femmes

[Le début de ce roman est ici](https://fessestivites.com/recit/177158) Avant même que les coups recommencent à brutaliser mes tétons, je sens une larme couler sur ma joue. Mon corps sait, inconsciemment, que les prochaines minutes vont être un cauchemar, mais mon esprit reste concentré sur les raisons pour lesquelles je l’accepte. Les coups commencent à tomber, j’essaie de me contenir, je pense y parvenir, malgré la souffrance. J’avais déjà oublié à quel point la douleur était intense. Je suis heureuse de ne pas avoir à compter les coups, juste rester silencieuse et immobile. J’essaie de penser à Ilaria, de prendre exemple sur elle qui, hier, lorsqu’elle était punie, restait immobile, silencieuse, acceptait complètement sa punition en montrant uniquement des larmes sans aucun bruit. Mon visage, de plus en plus mouillé par les larmes, se crispe, je force de plus en plus pour garder mes yeux fermés, cela devient de plus en plus difficile de rester immobile. Je n’ai aucune idée de...
Visite Médicale Surprenante
il y a 2 ans

Dans cette histoire vous découvrirez qu’une visite médicale peut devenir très érotique.

Aujourd'hui, Lisa se prépare pour son examen gynécologique annuel, elle l'avait bien noté dans son agenda depuis deux mois. Ce rendez-vous, qui n'est que routinier pour une femme de 25 ans, lui déplaisait au plus haut point car son médecin habituel n'était pas disponible depuis plusieurs semaines. Elle devait rencontrer la doctoresse Chantal Dupré qui est la remplaçante du docteur Bernard Lussier. Elle se leva donc vers 9h00 pour prendre un petit déjeuner léger et une bonne douche où elle s'appliqua à s'épiler les parties génitales. Sortie de la douche, elle s'épongea rapidement les cheveux et appliqua une crème corporelle légèrement parfumée pour adoucir les endroits maintenant bien rasés. Après s'être préparée et terminant son verre de jus d'oranges bien pressées, elle enfila ses sous-vêtements bien assortis, sa robe fleurie préférée et un brossage de dents. Lisa appliqua une légère touche de rouge à ses lèvres rosées et prit la route vers la clinique médicale. En arrivant v...
Mes leçons de piano chez une lesbienne dominatrice
il y a 2 ans

Les plaisirs saphiques en musique

Issue d’une famille aisée, toute la famille a appris à jouer d’un instrument de musique. Dès mon plus jeune âge mes parents m’ont fait apprendre la musique. Comme dans beaucoup de familles, c’est le piano qui a été choisi. Après plus de dix années de pratique intensive, j’ai acquis un bon niveau mais je n’en ferai jamais qu’un loisir très agréable autant pour moi que pour mon cercle d’amis. Cela ne m’empêche pas de continuer à prendre des leçons afin de bien maîtriser les nouveaux morceaux classiques ou récents que j’inscris à mon répertoire tout en faisant mes études d’infirmière. Depuis que j’ai dix huit ans, j’ai un nouveau professeur car mes horaires étaient devenus incompatibles avec mon ancien maître. Pour une fois, c’est une femme. Elle est particulièrement sévère. Elle ne laisse rien passer en ce qui concerne la pratique instrumentale mais c’est sur l’attitude devant l’instrument qu’elle est encore plus intraitable. Elle dit en effet que la posture dénote un état d’esprit...
La bourgeoise recadrée et dominée par la bonne
il y a 2 ans

La nouvelle bonne de Madame aime les femmes

Marie Ange ressentait toujours une honte extrême après s’être masturbée. Aussitôt après avoir joui, au lieu de s’en trouver apaisée, un sentiment de culpabilité la rongeait. Elle se sentait sale, avilie. Le gode glissa hors de son vagin, libérant un flot de mouille très liquide qui souilla le drap entre ses cuisses. Elle essuya honteusement avec sa culotte les doigts qu’elle s’était enfilés dans l’anus et dont les ongles étaient tachés de marques brunes. Tout à coup, elle éprouvait un dégoût insurmontable, elle se détestait. Est-ce que les autres femmes se laissaient aller ainsi, quand elles étaient seules ? Bien sûr, aucune d’elles ne l’avouerait jamais… Les trois personnages masqués de son fantasme avaient disparu, la laissant seule avec ses remords et cette insatisfaction au fond du ventre. Elle se leva, encore tout engourdie. En rentrant dans la salle de bains, elle évita de se regarder dans le miroir. Cependant la douche lui fit du bien ; elle se frotta longuement au gant de cr...
Captives
il y a 2 ans

La passion du bondage entre filles

Isabelle et Ludivine marchaient sur un petit chemin lorsqu'elles aperçurent une maison un peu isolée. Elles s'en approchèrent et constatèrent que la porte était ouverte. Elles avaient toujours été curieuses par nature, aussi elles n'hésitèrent pas à entrer. La maison semblait vide. Elle était décorée avec goût mais sans luxe excessif. Tout à coup, une superbe jeune femme apparut. Elle avait la trentaine, elle était vêtue d'un chemisier blanc et d'une jupe noire en velours. Elle avait de longs cheveux blonds qui lui tombaient jusqu'aux reins, les yeux bleus et les lèvres légèrement sensuelles. Sa poitrine tendait le tissu de son chemisier à peine ouvert. Isabelle et Ludivine étaient tout aussi ravissantes. La première, vingt ans bien sonnés, portait un jean et un pull rose en mohair qui mettait en valeur ses formes généreuses. Brune aux yeux verts, cheveux légèrement ondulés, elle faisait tourner bien des têtes. La seconde venait d'avoir 18 ans. Elle aussi ne laissait personne...
Au dortoir entre filles
il y a 2 ans

Entre filles sous le même drap

Au dortoir, Christelle et Sophie avait l’habitude de se retrouver sous le même drap, la nuit. Quand, elles avaient l’impression que toutes les autres filles dormaient à poings fermés, elles partageaient la même couche, pour se chuchoter des secrets, des impressions sur les cours de leur journée passée, ou des ressentis sur telle ou une telle, voire des appréciations positives ou négatives sur les différents professeurs. C’était leur moyen d’affronter les dures lois de l’internat. Elles s’unissaient et mettaient tout en commun. Depuis le début, Christelle et Sophie étaient amies. En plus, il leur était facile de se rejoindre la nuit, puisque leurs lits étaient voisins. Elles les rejoignaient, chacune dans le sien, avant le réveil du dortoir. Mai, jusque là, rien ne s’était passé entre elles. Elles ne faisaient que se raconter leur journée à voix basse, et c’est vrai, s’endormir corps à corps, surtout pour se réchauffer et sans doute, sans le savoir, attirée l’une vers l’autre,...
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