Récits
Devenir sissy
il y a 2 ans

La féminisation imposée par une Maîtresse a toujours été quelque chose qui m’excite.

##### Je ne suis pas gay, tout au plus bisexuel, mais la féminisation imposée par une Maîtresse a toujours été quelque chose qui m’excite. Je me suis évidement commandé quelques vêtements féminins sur le net et ABCplaisir, pour réaliser partiellement mes fantasmes en solitaire avec le « manche » à la main. Au plus je regardais des vidéos et photos de Petticoat et de sissy ou travestis sur Fessestivites, au plus mes envies de féminisation grandissaient. Le profil de Dame Camélia sur le site attira mon attention, j’ai osé la contacter. Au fil des échanges, elle a su m’emmener à dévoiler mes fantasmes, comme ils étaient toujours présentés avec respect et sans rien imposer, quelque chose en moi a du l’interpeller. Si bien qu’un soir, elle m’a invité à une soirée privée chez elle. Le jour J, j’ai bien failli ne pas y aller, tant j’avais peur de rencontrer une Maîtresse. Prenant mon courage à deux mains, j’ai osé et ce soir là, ma vie a changé en tous points. La soirée privée a été an...
Devenir sissy 2
il y a 2 ans

Sissy va vivre comme une femme en tout point

A neuf heure tapante, je toque donc à sa porte pour lui apporter son petit déjeuner. Tartine grillées, beurrées et café avec un verre de jus de fruits. Elle me semblait de très mauvaise humeur, j’ai donc préféré ne pas demander mon reste et m’échapper discrètement quand elle m’arrêta. - Tu vas au donjon, tu te mets nu et tu t’accroches à la croix de Saint André, nous devons avoir une petite discussion ! Médite le temps que j’arrive. « Bien Madame » a été ma seule réponse, car je me doutais bien que j’allais être puni pour l’avoir réveillée avec l’aspirateur. J’ai donc sans tarder fait comme demandé, mais finalement, j’aurai pu prendre mon temps...... S’attacher seul pour être puni est original est très déplaisant. Dame Camélia est arrivée au moins une heure plus tard avec un sourire pervers en coin. - Alors comme ça, dès le premier jour tu oses me réveiller avec un bruit abominable ? Tu es maso ou quoi ? - Je suis désolé Madame, je voulais vous faire plaisir et faire...
Fétichisme et rencontre à hauts risques
il y a 2 ans

Une histoire Hard de fétichisme, de sous-vêtements féminins et de féminisation dangereuse

Il ne dérangeait personne, personne ne connaissait son fétichisme. Ses envies de féminisation n’étaient pas réellement poussées par un doute sur son identité. Sa passion portait sur les sous-vêtements féminins, ces matières si douces sur la peau, si jolies. Pour vibrer, se faire plaisir, il attend la nuit pour mettre des bas, un porte jarretelle et une jolie culotte de femme sous son pantalon de survêtement. Pour le haut, il enfile un soutien-gorge bonnet A, donc très plat et très discret. Par dessus, un petit chemisier vient compléter la tenue qu’il cache soigneusement avec le haut de son jogging bien fermé. Ainsi vêtu, avec ses basquets, il ressemble à tous les joggeurs du soir, personne ne peut deviner son secret. Il est 22 heures quand Lucas arrive près de la gare. Des gens crient et courent vers lui. Ce comprenant pas ce qu’il se passe, il se plaque contre un mur pour les laisser passer. Soudain, une odeur forte agresse ses narines, ses yeux se mettent à piquer. Poussé pa...
L’insatisfaite
il y a 2 ans

Bien plus qu’une histoire de robe

J'ai toujours aimé la maison que j'habite encore aujourd'hui... Bien sûr, je n'ai pas toujours su pourquoi... Plus que d'une maison ordinaire, il s'agit en fait d'un véritable hôtel particulier édifié fin XVIII°, une assez grande bâtisse qui figure parmi les vestiges architecturaux de valeur, dans la capitale française, ayant survécu par miracle non seulement aux dommages du temps mais aussi à la rage de démolitions et d'édification de constructions modernes des XIX° et XX° siècles Le petit garçon que je fus naquit d'ailleurs à deux rues de là, et, dès mon e n f a n c e , cette maison m'occupa l'esprit au point que je savais que je l'occuperais un jour. Je l'avais découverte toute petite, sur le trajet que mon grand-père me faisait emprunter pour me mener passer l'après-midi au Jardin des Plantes. A l'époque, fortement délabrée, elle avait un aspect sinistre qui faisait dire aux gens du quartier qu'elle était hantée et qu'elle devrait être rasée au plus vite. Je frissonnais en enten...
Mon fétichiste du corset découvert
il y a 2 ans

Oser aller chez une corsetière permet parfois de vivre son fétichisme

J’ai à l’époque de cette histoire , 35 ans, et je suis plus qu’attiré, littéralement fasciné par la vue et le contact de la lingerie féminine , et plus particulièrement de certaines pièces, du style guêpières, corsets, ou gaines ultra féminines et contraignantes... J’ai à quelques reprises franchi le pas, et suis passé à l’acte pour me procurer le plus doux et le plus sensuel des supports de mes fantasmes, soit en achetant de la lingerie en grande surface, soit en me rendant directement en personne dans un magasin de lingerie, en mettant assuré au préalable, par téléphone, de l’état d’esprit bienveillant de la vendeuse pour de tels achats. Mais aujourd’hui , au détour dune ballade en pleine ville, dans une ruelle un peu excentrée, jai découvert une boutique , à l’aspect assez ancien, mais coquet et bien entretenu, et dont l’enseigne m’a procuré tout de suite des frissons d’envie, et de découverte ; il était affiché : Corsets, gaines, et autres articles, standard ou sur mesure ....
La discipline du jupon associée à la régression
il y a 2 ans

L’éducation par l’humiliation et la féminisation

C'est avec un sourire amusé que Madame MacNab mit fin à longue conversation téléphonique. Elle ne pouvait attendre plus longtemps pour annoncer la nouvelle à son beau-fils. Elle jeta un regard vers lui, assis face à elle, les genoux serrés, le dos bien droit, les pieds l'un contre l'autre dans sa mignonne robe de fillette en organdi jaune qu'il avait obligation d'enfiler chaque après-midi à son retour de l'école. Avec ses cheveux longs presque aux épaules et coiffé façon "petite fille", son jupon garni de dentelle qui dépassait l'ourlet de la petite robe, Mme. MacNab s'étonna elle même de son apparence féminine alors qu'elle savait qu'il était un garçon solide et sportif. Personne n'aurait pu croire que ce lycéen de dix-huitans puisse aussi bien apparaître et agir comme une fillette de dix ans. Elle se rappelait, il y a quelques années, quand son mari est décédé et que son beau-fils avait pensé que sans homme à la maison pour le contrôler, il pourrait faire ce qu'il voulait....
La vengeance extrême d’une femme cocue
il y a 2 ans

Chasteté, féminisation, bisexualité imposée et couche.

Mon couple a ressemblé longtemps à beaucoup d’autres, c'est-à-dire que sans faire partie de la catégorie des machos déclarés, je suis ou plutôt j’étais assez directif avec les femmes en général et la mienne en particulier, du moins jusqu’à ces derniers mois. Depuis plus de 13 ans, ma femme est moi menions la vie sage et standard d’un jeune couple aisé, Petite villa dans une grosse agglomération, Nantes, deux voitures, vie professionnelle calme, avec des réussites et des désirs non assouvis. Arielle est une très jolie femme, 1,68 pour 50 Kg, brune aux yeux Bleus. Fort bien faite, des hanches en amphore surmontant de jolies jambes bien galbées, des seins en pomme et un visage souriant et agréable. Cadre dans une banque, possédant un caractère bien affirmé même si avec moi, elle se comporte généralement en épouse aimante, elle a souvent des avances de clients ou de ses collègues et bien que je sois sûr de sa fidélité, je m’en étonne souvent ainsi que du fait qu’elle m’ait choisi....
La vengeance extrême d’une femme cocue 2
il y a 2 ans

Chasteté, féminisation, bisexualité imposée et couche. Nouvelle humiliation

Vers 15H00, Yves arrive et félicite Sophie pour son travail : - Parfait, avec ça, il ne pourra plus rien refuser à sa femme. Non ne le détaches pas, Arielle m’a permis de l’essayer en paiement de la course et comme punition pour son attitude d’hier soir! Paniqué, je crie - non pas question, je ne veux pas ! sans autre résultat qu’Yves me bâillonne à nouveau, puis il se redresse et retire son short, en dessous duquel il n’a rien, se positionner entre mes cuisses ouvertes et je sens le bout de son sexe se poser à au bord de mon petit trou et s’arrêter : Atterré, ne comprenant pas ce que j’avais pu faire à ma femme pour qu’elle me fasse subir cela, je sens le sexe d’ Yves peser sur mon anus, m’écarteler et s’enfoncer légèrement dans mon cul, me causant une forte douleur et une envie d’aller aux toilettes, puis après un moment, peser à nouveau plus fort. Enfoncé à moitié, Yves s’arrête pour me laisser sans doute m’habituer. Je me sens ouvert et rougis en gémissant devant le regard...
Utilisé comme une femme
il y a 2 ans

Travesti et utilisé comme femme

C’était en 1850 et notre convoi traversait les plaines de l’ouest américain. J’avais dix-huit ans et avec mes parents, nous allions nous installer dans une ferme allouée par le gouvernement américain. Enfin nous devions nous installer car le sort en a décidé autrement… Nous fûmes pris dans une v i o l ente tempête de neige, et je perdis de vue mes compagnons de voyage. Je me retrouvais seul, frigorifié, et je pensais mourir, dévoré par les loups. Je sombrais dans l’inconscience, attendant la m o r t … Lorsque je revins à moi, j’étais nu, allongé sur un lit, dans ce qui ressemblait à une cabane de bois extrêmement rustique. Je ne me sentais pas si mal, exception faite d’une douleur au niveau des fesses. Et j’avais froid, je n’avais sur moi qu’une espèce de couverture — puante… Je me levais et cherchais mes vêtements mais je ne les vis pas, tout ce que je trouvais c'était une robe et un jupon ! Et même cet espèce de pantalon de dentelle que j’avais vu porté par ma mère… et qu’elle por...
La revanche des filles fin
il y a 2 ans

ABDL féminisation régression

Chapitre 6 Muriel ne disait rien de sa décision à personne et ne changeait en rien la façon dont elle traitait Alexia, qui était de plus en plus heureuse et à l’aise dans son rôle de petite fille modèle. Quand Georges faisait savoir qu’il n’aurait pas le temps pour visiter son fils à Noël il était fort déçu mais en même temps soulagé. Il redoutait la rencontre avec ce père adoré mais dont il savait qu’il serait horrifié par les changements de son fils, et peut-être le f o r c e rait même de quitter la maison ou elle se sentait bien pour la première fois de sa vie. Les mois passaient et le début de l’été s’annonçait. Un jour de chaleur précoce les filles demandaient si elles pouvaient aller dans la piscine. Bien que Muriel estimait que la saison n’avait pas encore commencé elle cédait sous l’insistance des filles. Avec un grand hourra les 4 petites – Juliette se tenant à l’écart comme d’habitude – se ruaient vers leurs chambres pour se changer. Muriel accompagnait les deux pet...
L'ange bleu
il y a 2 ans

Rencontre troublante avec un jupon

Je suis arrivé chez Mélanie un peu plus tard que l'heure convenue. Trempé par la pluie, j'ai réalisé que ce n'était vraiment pas pratique d'aller n'importe où. Mais nous avions arrangé cela plusieurs semaines à l'avance, il semblait donc qu'il fallait au moins essayer comme prévu. La tempête a pris la région par surprise, mais ces petites tempêtes printanières peuvent se déplacer rapidement, alors peut-être qu'elles se calmeraient un peu ou même se briseraient complètement assez longtemps pour aller et revenir. Je n'y ai pas beaucoup réfléchi lorsqu'une voiture s'est éloignée et est partie alors que j'approchais de la porte. Lorsque j'ai frappé à la porte, j'ai réalisé qu'elle n'était pas verrouillée et qu'elle s'est ouverte toute seule. Mélanie était assise sur le canapé dans une belle robe en mousseline bleu clair jusqu'aux genoux, regardant par la fenêtre. Elle s'est tournée vers moi et m'a invité à entrer et m'a expliqué que sa colocataire venait de partir. Elle a semblé un...
La revanche des filles 5 / 6
il y a 2 ans

ABDL féminisation régression

Chapitre 5 Après le départ de Magali Alex était confus. Il aimait la fille et le fait qu’elle avait demandé si elle pouvait revenir l’avait rempli de bonheur. Mais puis elle l’avait appelé « mon petit bébé » et tout le monde c’était mis à rire. Les jours suivant il repassait souvent ce départ dans sa tête craignant qu’elle ait dit « mon petit bébé » dans le sens littéral du mot. Mais comme promis elle revenait régulièrement et elle était aussi amoureuse que jamais, le couvrant de baisers et le tenant par la main partout où ils allaient. Mais son amour avait changé, ce n’était plus celui d’une pré-a d o l e s c e n t e envers un autre jeune, mais plutôt celui d’une mère protectrice. Elle le traitait comme s’il était sa petite sœur, l’aidant avec tout ce qu’il faisait. Les jours qu’elle restait loger le moment suprême était le soir, avant le diner, quand elle l’aidait à se déshabiller, le lavait et puis lui mettait sa couche. Chaque fois elle débordait de sentiments tendres enve...
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