Récits
La maison des soupirs partie 3
il y a 1 an

Mesdames est servie

Deux jours étaient passés après notre séance de torture. Et Lily et moi allons faire notre première apparition en salle dans nos tenues de soubrette. Charlotte m’avait aidé à me préparer. Elle avait commencé par me passer mon corset autour de mon corps et bien qu’elle ne l’avait pas resserré à son maximum, j’avais l’impression d’avoir ma taille comprimée dans un étau. — On resserrera ton corset de plus en plus, jusqu’à ce qu’il soit totalement resserré ! m’avait-elle indiqué. Ce à quoi je répondis par un regard inquiet. Ensuite, elle m’avait passé ma culotte, une rose avec des froufrous gris, mes bas noirs, ma robe, mon tablier, mes chaussures à talon et pour finir mon serre-tête de soubrette. Bien que je n’avais pas encore les cheveux longs, Charlotte parvint à y placer deux petites pinces avec des nœuds roses. Pour finir de m’apprêter, Charlotte appliqua un vernis rose sur mes ongles et me maquilla. En me regardant dans le miroir, j’eus un choc. J’étais véritablement devenu Mar...
La maison des soupirs partie 2
il y a 1 an

Quand les sissys cries, les femmes sont ravies.

Les punitions d’Abby s’étaient révélées bien plus sévères que celle de Kassandra. Et pourtant, Kassandra était déjà une redoutable fesseuse. Mieux valait obéir que de se retrouver attaché sur sa croix de Saint-André. Durant la semaine, j’avais eu le droit à des cours particuliers et intensifs. Coiffure, même si pour le moment mes cheveux étaient encore trop courts pour cela, maquillage, serrage de corset et habillement, maintien évidemment, mais surtout, marche en talons hauts. J’avais même eu les oreilles percées. Inutile de vous dire que Lilian, enfin Lily, puisque nous n’étions plus de jeunes garçons, mais bel et bien des sissy, avait reçu le même traitement. Le samedi arriva trop vite à mon goût. Et en cet instant, j’aurais préféré ne pas savoir ce qui m’attendait. Ce qui nous attendait à Lily et moi. Je pouvais entendre le bruit des discussions à travers le rideau. La salle devait être bondée. Bondé de femmes qui n’attendaient qu’une chose. Nous voir souffrir. J’étais à genoux, tê...
La maison des soupirs partie 1
il y a 1 an

Suite de l'initiation

Bonjour à toutes et à tous. J’espère que cette suite vous plaira autant que [l’éducatrice](https://fessestivites.com/recit/199526) et [l’initiation](https://fessestivites.com/recit/199779) qui en sont le commencement. Vous constaterez que ce récit est plus hard que les deux premiers. J’en ai même dépassé mes propres fantasmes afin de conserver une cohérence. Je vous souhaite une bonne lecture. Marc. Derrière la vitre, une jeune femme me regardait avec des yeux jubilants. Elle était heureuse de me voir en si mauvaise posture. Moi qui lui avais menti le jour de notre première rencontre. Le jour de mon premier rendez-vous chez Madame Kassandra. À sa droite, il y avait deux jeunes femmes. Si elles ne portaient pas de tenue différente, j’aurais pu penser que je voyais double. Inutile de vous dire qu’il s’agissait des jumelles. Des propriétaires de la maison des soupirs. Elles nous détaillaient de leur regard supérieur. Lilian me gifla violemment, me sortant de ma torpeur. — Aide-m...
Un demandeur d’emploi chez des lesbiennes sadiques et gynarchiques
il y a 1 an

Il accepte un emploi chez deux lesbiennes gynarchiques AIE AIE AIE

Henri s'énerve à l'ANPE où il s'est rendu en bus en leur expliquant que pour ne pas se retrouver à la rue il est prêt à prendre n'importe quel travail dans son village. Le seul poste disponible est celui de femme de maison, il l’accepte et se retrouve chez deux lesbiennes gynarchiques. ............................................. Avec sa voiture hors service, six mois de factures et loyers en retard à deux doigts d'être expulsé, Henri s'énerve à l'ANPE où il s'est rendu en bus en leur expliquant que pour ne pas se retrouver à la rue il est prêt à prendre n'importe quel travail dans son village. - La seule offre d'emploi sur votre commune est un poste de femme de maison et comme vous n'êtes pas une femme, je n'ai rien d'autre à vous proposer. Lui répond l'agent agacé. Avec force et rage il parvient à convaincre la personne de l'ANPE de le laisser prendre contact avec cet employeur. Lors du rendez-vous, ce n'est pas une femme mais deux qui le reçoivent. Elles ne sont pas ten...
Un demandeur d’emploi chez des lesbiennes sadiques et gynarchiques 2
il y a 1 an

Cela va se corser pour Henri....

Le champagne a un goût amer pour Henri en totale perdition et ne sachant plus que penser. Il est congédié par les filles souriantes qui le félicitent pour son courage. Carole lui donne un petit sac noir avec une inscription « CB 3000 » et 20 euros avec pour mission d'acheter des croissants et du pain frais pour le lendemain en lui indiquant qu'il pourra garder la monnaie. - Demain tu reviens avec ça sur ta bite et tu me donneras les clés. Je te libérerai tous les jours pour ta toilette. File d'ici et ne soit pas en retard ou il t'en coûterait ! Lui dit-elle en lui donnant une petite claque sur les fesses. La nuit d'Henri est difficile et à la fois très érotique. Accepter de se soumettre ainsi à deux lesbiennes en échange d'argent le révolte et le hante mais en même temps, si excité par l'aventure avec ces filles si envoûtantes il en arrive à se masturber deux fois entre ses tests avec la cage de chasteté. Il s’imagine les deux lesbiennes l'obligeant à leur faire des choses très c...
Vivre les effets de l’inquisition fantasmé
il y a 1 an

Et si vous testiez les instruments de l'inquisition en BDSM ?

##### Nous pouvons nous accorder à dire, que les visiteurs des musées de l’inquisition n’y vont pas tous pour des raisons réellement culturelles. Si l’aspect premier est parfois identique à celui des voyeurs d’accident de la route, le second porte plus sur érotisme du BDSM. Et oui, ces instruments de barbare utilisés pour la « Question », forme d’interrogatoire visant à faire avouer l’impensable et bien souvent le contraire de la vérité, sont excitants à voir. Les visiteurs de ces musées en sortent bien souvent avec une certaines excitation, leur fantasmes sont agréablement flagellés. Personne ne fantasme à l’idée d’être brûlé vif sur le bûché ou d’avoir les membres brisés, mais plutôt de se retrouver entravé plus ou moins vêtu sur les carcans de cette époque. Pour preuve, les croix de Saint André sont légion dans les clubs BDSM et donjons. Au gîte fétichiste, j’avoue humblement me faire plaisir en fabriquant des instruments pour permettre à nos clients de se faire plaisir,...
Rencontre avec une femme dominatrice joueuse
il y a 1 an

Il y a des rencontres qui ne sont pas BDSM mais il arrive que ce soit avec des femmes très joueuses.

Elle s’appelait Lorraine. Elle approchait la quarantaine sereinement et a ri en calculant que j’étais plus jeune de quelques années. Elle était de taille moyenne, avait des seins moyens, un cul moyen. Un ensemble des plus charmants : rien dans la démesure, tout dans la confiance en soi et dans l’habitation de ce corps. Ce qui est communément appelé le charisme, je crois, et qui marque l’esprit bien plus que des mensurations hors normes. Un expresso sur la banquette du Café de la gare et j’étais sous le charme. Elle avait divorcé une petite dizaine d’années auparavant et était, selon ses propres termes, « volage ». Le mot m’avait fait sourire. Elle m’avait alors défié, lèvres étirées et sourcils en accent circonflexe, d’oser émettre le moindre jugement sur son mode de vie. Loin de moi cette idée : j’ai toujours pensé qu’une femme devait vivre sa sexualité comme elle l’entendait, de manière assumée et décomplexée. Sans doute parce que l’on cherche souvent chez l’autre les qualités do...
L'éducatrice (partie 5/5)
il y a 1 an

Le piège se referme

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) — Très bien, Marc ! Je suis fier de toi ! me félicita Kassandra en caressant mes fesses endolories. Tes fesses sont bien chaudes ! Elles ont pris une belle couleur voilette ! Je prends une photo pour l’envoyer à ta belle-mère, qu’elle puisse constater que tu as bien été puni ! J’entendis le déclenchement de l’appareil photo du potable de Kassandra à trois reprises. Kassandra alla déposer la canne loop sur son bureau et revint vers moi. Je sentis sa douce main, me caresser les fesses. Mon postérieur était si brûlant, que sa main me sembla glacée. Quand elle me détacha du banc à fesser, j’eus la plus grande peine du monde à me relever. J’étais exténué. Mes jambes étaient flageolantes. — Mets tes mains sur la tête, Marc ! me réclama Kassandra. Ça serait dommage de ne pas monter à ta belle-mère que ton vilain petit oiseau est bien enfermé dans sa belle petite cage, maintenant ! s’enjoua Kassandra. Elle prit deux photos. La premièr...
L'éducatrice (partie 4/5)
il y a 1 an

Tawse, Martinet et cravache, que ces deux vilaines fesses, en rouge soit colorié de la taille aux cuisses.

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) Et ce fut une nouvelle surprise pour moi. Charlotte et Margaux n’étaient pas des femmes, mais de jeunes garçons habillés de robes de soubrette en satin. Charlotte portait une robe classique noire avec un tablier blanc alors que Margaux portait une robe rouge avec un tablier noir. C’était donc ça des sissys ? Des hommes travestis en femme ! Elles étaient honteuses, la tête basse. Et moi, j’espérais de ne pas devoir subir la même humiliation. — Déshabillez-vous et mettez-vous au coin les filles ! réclama Kassandra. Je m’occuperais de vous quand j’en aurais fini avec ce garnement ! — Oui, Maîtresse Kassandra ! répondirent en cœur les deux sissys. Kassandra me laissa les regarder se dévêtir. — El… Il… bafouillais-je. — Tu peux dire elle ! me coupa Kassandra. — Elles sont venues ici, habillées comme ça ? questionnais-je. — Non ! Elles sont venues en voiture ! Le chauffeur de leurs maîtresses les a accompagnés ! m’expliq...
L'éducatrice (partie 3/5)
il y a 1 an

Le vilain oiseau entre en cage, et les fesses rougissent.

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) — Je sais, Marc ! Mais je te la mettrais que tu le veuilles ou non ! balaya Kassandra. Puis, elle m’expliqua en desserrant les dix vis fixées sur la cage avec sa clé en forme de cœur et les plaçant une à une dans le creux de sa jupe. Les pointes sont faites pour prévenir toute érection ou tentative de tricherie de ta part, Marc ! Mais si tu restes sage, tu n’auras pas à les porter ! Quand elles sont en place, elles rendront tes érections très douloureuses pour te rappeler que tu ne dois plus te comporter comme un petit pervers ! Mais ne t’inquiète pas ! Les pointes sont émoussées pour qu’elles ne soient pas blessantes ! Tu les porteras pour ta première journée en cage ! Je pense qu’il est très important que tu comprennes rapidement qu’elle est ta nouvelle place ! Avec ta belle-mère, nous te surveillerons ! Et si nous constatons que malgré la cage tu tentes de te toucher, nous remettrons les pointes en place pour vingt-quatre ou quarant...
Compte à rebours
il y a 1 an

Sous couvert de lui injecter des hormones féminines pour qu'il devienne la femme qu'il rêve d'être, une femme va faire vivre à un homme la plus improbable des mésaventures. Une véritable régression.

Compte à rebours. A bientôt 38 ans, ma vie semblait couler paisiblement. J’étais marié, père de deux petites filles adorables, j’avais un boulot, qui, à défaut de m’épanouir, me permettait de nourrir ma famille. Ma femme travaillait également ; il y avait pire comme situation. Pourtant, au fond de moi, une sensation de solitude se développait. Lancinante. Abstraite et tellement réelle. Un jour mon patron m’annonça qu’il cessait le projet sur lequel je travaillais et que par conséquent, soit j’acceptais de retourner à des tâches plus ingrates, soit je prenais la porte. Depuis quelques temps déjà, je sentais que le lascar me préparait un sale coup ; mais celui-là, je ne l’avais pas vu venir ! Une vague de haine et de rancune, enfouies depuis des années à son service, remonta soudainement du fond de mes entrailles pour se concentrer dans mon poing qui, comme la foudre, vint le surprendre en pleine figure. Tel un volcan qui venait de se réveiller, je n’avais qu’une envie, déve...
Un bondage très pervers de longue durée
il y a 1 an

Travesti et fans de bondage, il fait une rencontre fort longue

J'avais laissé des adresses sur des sites de travesti en indiquant ma recherche de bondage. Un militaire était venu me voir déjà 2 fois pour me dresser. Ce soir là le téléphone sonne vers 22 h et il me demande de me préparer. J'étais au lit en sous vêtement comme d'habitude (soutien-gorge pigeonnant,string et nuisette courte transparente, le tout noir),seins silicone et longs cheveux blonds. Je lui fis ma description, cela lui convenait à l'exception que je ne devais pas avoir de nuisette mais mon corset de satin noir serré à 67 cm de tour de taille ainsi que je l'avais reçu la première fois. Il me dit de l'attendre dans cette tenue avec des bas couture noirs et hauts talons vernis pour être une vraie salope. Je lui obéis toute excitée. Un coup de sonnette une demi heure après et je lui apparue dans cette tenue à la porte de l'appartement. Il me glissa sa main dans mon string et me caressa le sexe et les seins siliconés,les tétons pointant dans les bonnets du soutien gorge. Mon...
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