Récits
Recadrage par la féminisation sissification et l’humiliation
il y a 1 an

Apprendre à être la proie inoffensive de la perversité des hommes

#### Bonjour. J’ai un passe-temps très particulier. Je transforme les hommes en femmes. Non, vos yeux ne vous jouent pas de tour. Vous avez bien compris. Je transforme les hommes en femmes. Je veux dire par là les transformer entièrement, pas seulement le temps d’une nuit à l’occasion d’une fête déguisée mais définitivement. Je fais de lui une véritable femme, une jolie poupée conditionnée à la féminité de la pointe des cheveux jusqu’au bout des ongles. De sorte que, il ne pourra jamais retourner en arrière, pas même s’il le voulait de toutes ses f o r c e s. Il devra donc passer sa vie entière en tant que femme et dans l’impossibilité d’y changer quoi que ce soit. Je suis sûre que vous avez déjà croisé une de mes créations sans vous en rendre compte. Mais si, souvenez-vous, cette femme magnifique aux longs cheveux bouclés, portant minijupe et talons hauts marchant tranquillement dans la rue, à la vue de tous. Cette femme qui, avant sa transformation n’était qu’un de ces mach...
La maison des soupirs partie 4
il y a 2 ans

Tiens toi droite

En fin de ma première semaine de service, deux nouvelles sissys arrivèrent à la maison des soupirs. Rose, une petite blonde aux yeux bleus et Jasmine, une jeune maghrébine. Pour ce qui était de Jasmine, elle luttait contre son sort de toute sa hargne. Lily qui avait commencé à se soumettre retrouva toute sa combativité. Combativité qu’Abby s’efforça de briser avec la plus extrême sévérité. En revanche, Rose semblait être déjà à sa place. Avec ses longs cheveux bouclés, elle me faisait penser à une héroïne de dessin animé de mon enfance. Candy pour ceux qui sont nés comme moi dans les années quatre-vingt. Rose avait été élevée par une vieille femme comme une petite fille. Si bien que pour elle, les robes, les culottes et les chaussures à talons n’avaient rien d’inconnu. Même sa voix semblait féminine. À présent, Lily et moi parvenons à marcher convenablement avec nos talons. Mais d’après les jumelles, notre démarche n’était pas encore suffisamment féline. Il nous fallait aussi parfaire...
La maison des soupirs partie 3
il y a 2 ans

Mesdames est servie

Deux jours étaient passés après notre séance de torture. Et Lily et moi allons faire notre première apparition en salle dans nos tenues de soubrette. Charlotte m’avait aidé à me préparer. Elle avait commencé par me passer mon corset autour de mon corps et bien qu’elle ne l’avait pas resserré à son maximum, j’avais l’impression d’avoir ma taille comprimée dans un étau. — On resserrera ton corset de plus en plus, jusqu’à ce qu’il soit totalement resserré ! m’avait-elle indiqué. Ce à quoi je répondis par un regard inquiet. Ensuite, elle m’avait passé ma culotte, une rose avec des froufrous gris, mes bas noirs, ma robe, mon tablier, mes chaussures à talon et pour finir mon serre-tête de soubrette. Bien que je n’avais pas encore les cheveux longs, Charlotte parvint à y placer deux petites pinces avec des nœuds roses. Pour finir de m’apprêter, Charlotte appliqua un vernis rose sur mes ongles et me maquilla. En me regardant dans le miroir, j’eus un choc. J’étais véritablement devenu Mar...
La maison des soupirs partie 2
il y a 2 ans

Quand les sissys cries, les femmes sont ravies.

Les punitions d’Abby s’étaient révélées bien plus sévères que celle de Kassandra. Et pourtant, Kassandra était déjà une redoutable fesseuse. Mieux valait obéir que de se retrouver attaché sur sa croix de Saint-André. Durant la semaine, j’avais eu le droit à des cours particuliers et intensifs. Coiffure, même si pour le moment mes cheveux étaient encore trop courts pour cela, maquillage, serrage de corset et habillement, maintien évidemment, mais surtout, marche en talons hauts. J’avais même eu les oreilles percées. Inutile de vous dire que Lilian, enfin Lily, puisque nous n’étions plus de jeunes garçons, mais bel et bien des sissy, avait reçu le même traitement. Le samedi arriva trop vite à mon goût. Et en cet instant, j’aurais préféré ne pas savoir ce qui m’attendait. Ce qui nous attendait à Lily et moi. Je pouvais entendre le bruit des discussions à travers le rideau. La salle devait être bondée. Bondé de femmes qui n’attendaient qu’une chose. Nous voir souffrir. J’étais à genoux, tê...
La maison des soupirs partie 1
il y a 2 ans

Suite de l'initiation

Bonjour à toutes et à tous. J’espère que cette suite vous plaira autant que [l’éducatrice](https://fessestivites.com/recit/199526) et [l’initiation](https://fessestivites.com/recit/199779) qui en sont le commencement. Vous constaterez que ce récit est plus hard que les deux premiers. J’en ai même dépassé mes propres fantasmes afin de conserver une cohérence. Je vous souhaite une bonne lecture. Marc. Derrière la vitre, une jeune femme me regardait avec des yeux jubilants. Elle était heureuse de me voir en si mauvaise posture. Moi qui lui avais menti le jour de notre première rencontre. Le jour de mon premier rendez-vous chez Madame Kassandra. À sa droite, il y avait deux jeunes femmes. Si elles ne portaient pas de tenue différente, j’aurais pu penser que je voyais double. Inutile de vous dire qu’il s’agissait des jumelles. Des propriétaires de la maison des soupirs. Elles nous détaillaient de leur regard supérieur. Lilian me gifla violemment, me sortant de ma torpeur. — Aide-m...
Un demandeur d’emploi chez des lesbiennes sadiques et gynarchiques
il y a 2 ans

Il accepte un emploi chez deux lesbiennes gynarchiques AIE AIE AIE

Henri s'énerve à l'ANPE où il s'est rendu en bus en leur expliquant que pour ne pas se retrouver à la rue il est prêt à prendre n'importe quel travail dans son village. Le seul poste disponible est celui de femme de maison, il l’accepte et se retrouve chez deux lesbiennes gynarchiques. ............................................. Avec sa voiture hors service, six mois de factures et loyers en retard à deux doigts d'être expulsé, Henri s'énerve à l'ANPE où il s'est rendu en bus en leur expliquant que pour ne pas se retrouver à la rue il est prêt à prendre n'importe quel travail dans son village. - La seule offre d'emploi sur votre commune est un poste de femme de maison et comme vous n'êtes pas une femme, je n'ai rien d'autre à vous proposer. Lui répond l'agent agacé. Avec force et rage il parvient à convaincre la personne de l'ANPE de le laisser prendre contact avec cet employeur. Lors du rendez-vous, ce n'est pas une femme mais deux qui le reçoivent. Elles ne sont pas ten...
Un demandeur d’emploi chez des lesbiennes sadiques et gynarchiques 2
il y a 2 ans

Cela va se corser pour Henri....

Le champagne a un goût amer pour Henri en totale perdition et ne sachant plus que penser. Il est congédié par les filles souriantes qui le félicitent pour son courage. Carole lui donne un petit sac noir avec une inscription « CB 3000 » et 20 euros avec pour mission d'acheter des croissants et du pain frais pour le lendemain en lui indiquant qu'il pourra garder la monnaie. - Demain tu reviens avec ça sur ta bite et tu me donneras les clés. Je te libérerai tous les jours pour ta toilette. File d'ici et ne soit pas en retard ou il t'en coûterait ! Lui dit-elle en lui donnant une petite claque sur les fesses. La nuit d'Henri est difficile et à la fois très érotique. Accepter de se soumettre ainsi à deux lesbiennes en échange d'argent le révolte et le hante mais en même temps, si excité par l'aventure avec ces filles si envoûtantes il en arrive à se masturber deux fois entre ses tests avec la cage de chasteté. Il s’imagine les deux lesbiennes l'obligeant à leur faire des choses très c...
Vivre les effets de l’inquisition fantasmé
il y a 2 ans

Et si vous testiez les instruments de l'inquisition en BDSM ?

##### Nous pouvons nous accorder à dire, que les visiteurs des musées de l’inquisition n’y vont pas tous pour des raisons réellement culturelles. Si l’aspect premier est parfois identique à celui des voyeurs d’accident de la route, le second porte plus sur érotisme du BDSM. Et oui, ces instruments de barbare utilisés pour la « Question », forme d’interrogatoire visant à faire avouer l’impensable et bien souvent le contraire de la vérité, sont excitants à voir. Les visiteurs de ces musées en sortent bien souvent avec une certaines excitation, leur fantasmes sont agréablement flagellés. Personne ne fantasme à l’idée d’être brûlé vif sur le bûché ou d’avoir les membres brisés, mais plutôt de se retrouver entravé plus ou moins vêtu sur les carcans de cette époque. Pour preuve, les croix de Saint André sont légion dans les clubs BDSM et donjons. Au gîte fétichiste, j’avoue humblement me faire plaisir en fabriquant des instruments pour permettre à nos clients de se faire plaisir,...
Rencontre avec une femme dominatrice joueuse
il y a 2 ans

Il y a des rencontres qui ne sont pas BDSM mais il arrive que ce soit avec des femmes très joueuses.

Elle s’appelait Lorraine. Elle approchait la quarantaine sereinement et a ri en calculant que j’étais plus jeune de quelques années. Elle était de taille moyenne, avait des seins moyens, un cul moyen. Un ensemble des plus charmants : rien dans la démesure, tout dans la confiance en soi et dans l’habitation de ce corps. Ce qui est communément appelé le charisme, je crois, et qui marque l’esprit bien plus que des mensurations hors normes. Un expresso sur la banquette du Café de la gare et j’étais sous le charme. Elle avait divorcé une petite dizaine d’années auparavant et était, selon ses propres termes, « volage ». Le mot m’avait fait sourire. Elle m’avait alors défié, lèvres étirées et sourcils en accent circonflexe, d’oser émettre le moindre jugement sur son mode de vie. Loin de moi cette idée : j’ai toujours pensé qu’une femme devait vivre sa sexualité comme elle l’entendait, de manière assumée et décomplexée. Sans doute parce que l’on cherche souvent chez l’autre les qualités do...
L'éducatrice (partie 5/5)
il y a 2 ans

Le piège se referme

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) — Très bien, Marc ! Je suis fier de toi ! me félicita Kassandra en caressant mes fesses endolories. Tes fesses sont bien chaudes ! Elles ont pris une belle couleur voilette ! Je prends une photo pour l’envoyer à ta belle-mère, qu’elle puisse constater que tu as bien été puni ! J’entendis le déclenchement de l’appareil photo du potable de Kassandra à trois reprises. Kassandra alla déposer la canne loop sur son bureau et revint vers moi. Je sentis sa douce main, me caresser les fesses. Mon postérieur était si brûlant, que sa main me sembla glacée. Quand elle me détacha du banc à fesser, j’eus la plus grande peine du monde à me relever. J’étais exténué. Mes jambes étaient flageolantes. — Mets tes mains sur la tête, Marc ! me réclama Kassandra. Ça serait dommage de ne pas monter à ta belle-mère que ton vilain petit oiseau est bien enfermé dans sa belle petite cage, maintenant ! s’enjoua Kassandra. Elle prit deux photos. La premièr...
L'éducatrice (partie 4/5)
il y a 2 ans

Tawse, Martinet et cravache, que ces deux vilaines fesses, en rouge soit colorié de la taille aux cuisses.

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) Et ce fut une nouvelle surprise pour moi. Charlotte et Margaux n’étaient pas des femmes, mais de jeunes garçons habillés de robes de soubrette en satin. Charlotte portait une robe classique noire avec un tablier blanc alors que Margaux portait une robe rouge avec un tablier noir. C’était donc ça des sissys ? Des hommes travestis en femme ! Elles étaient honteuses, la tête basse. Et moi, j’espérais de ne pas devoir subir la même humiliation. — Déshabillez-vous et mettez-vous au coin les filles ! réclama Kassandra. Je m’occuperais de vous quand j’en aurais fini avec ce garnement ! — Oui, Maîtresse Kassandra ! répondirent en cœur les deux sissys. Kassandra me laissa les regarder se dévêtir. — El… Il… bafouillais-je. — Tu peux dire elle ! me coupa Kassandra. — Elles sont venues ici, habillées comme ça ? questionnais-je. — Non ! Elles sont venues en voiture ! Le chauffeur de leurs maîtresses les a accompagnés ! m’expliq...
L'éducatrice (partie 3/5)
il y a 2 ans

Le vilain oiseau entre en cage, et les fesses rougissent.

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) — Je sais, Marc ! Mais je te la mettrais que tu le veuilles ou non ! balaya Kassandra. Puis, elle m’expliqua en desserrant les dix vis fixées sur la cage avec sa clé en forme de cœur et les plaçant une à une dans le creux de sa jupe. Les pointes sont faites pour prévenir toute érection ou tentative de tricherie de ta part, Marc ! Mais si tu restes sage, tu n’auras pas à les porter ! Quand elles sont en place, elles rendront tes érections très douloureuses pour te rappeler que tu ne dois plus te comporter comme un petit pervers ! Mais ne t’inquiète pas ! Les pointes sont émoussées pour qu’elles ne soient pas blessantes ! Tu les porteras pour ta première journée en cage ! Je pense qu’il est très important que tu comprennes rapidement qu’elle est ta nouvelle place ! Avec ta belle-mère, nous te surveillerons ! Et si nous constatons que malgré la cage tu tentes de te toucher, nous remettrons les pointes en place pour vingt-quatre ou quarant...
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