Récits
ABDL chasteté et BDSM pour le cocu
il y a 1 an

Attention, cette histoire est très cochonne, poussé au delà de ses fantasmes, le pauvre DL est réellement martyrisé par son épouse.

Ma femme est une petite domina salope d’amour, le mot salope signifie pour moi, une gourmande de sexe et n’a rien de péjoratif. C’est vraiment une perle sauf que cette fois, elle m’a poussé dans mes retranchements et à l’extrême dans mon cocufiage. Je vous raconte après quelques mots de présentation. Lorsque nous nous sommes rencontrés et mariés elle avait vingt ans et moi presque 40. Nous avons exploré tout le kamasoutra, aussi bien à la maison qu’en extérieur puis un peu le BDSM avec des jeux de rôles que nous nous amusions à inverser. J’ai remarqué qu’elle aimait bien prendre la main et diriger, moments de délire entre nous pendant lesquels Marie, est capable d’être une sacrée garce. Sans être vraiment cruelle, on peut dire qu’elle ne m’épargne pas, quand elle revêt sa tenue de domina, tenue pouvant parfois se limiter à un string. Avec elle, j’ai eu la confirmation que la tenue ne fait pas le moine ! Les soucis ont commencés suite à deux choses. Le premier est qu’avec l’âge...
La maison des soupirs partie 3
il y a 1 an

Mesdames est servie

Deux jours étaient passés après notre séance de torture. Et Lily et moi allons faire notre première apparition en salle dans nos tenues de soubrette. Charlotte m’avait aidé à me préparer. Elle avait commencé par me passer mon corset autour de mon corps et bien qu’elle ne l’avait pas resserré à son maximum, j’avais l’impression d’avoir ma taille comprimée dans un étau. — On resserrera ton corset de plus en plus, jusqu’à ce qu’il soit totalement resserré ! m’avait-elle indiqué. Ce à quoi je répondis par un regard inquiet. Ensuite, elle m’avait passé ma culotte, une rose avec des froufrous gris, mes bas noirs, ma robe, mon tablier, mes chaussures à talon et pour finir mon serre-tête de soubrette. Bien que je n’avais pas encore les cheveux longs, Charlotte parvint à y placer deux petites pinces avec des nœuds roses. Pour finir de m’apprêter, Charlotte appliqua un vernis rose sur mes ongles et me maquilla. En me regardant dans le miroir, j’eus un choc. J’étais véritablement devenu Mar...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 106 : Un gros biberon
il y a 2 ans

Tout est question de convenance, comme le liquide et l’engrenage. Si l’eau est son ennemi, l’huile lui sied.

Chapitre 106 : Un gros biberon Ladyscar me sourit. Cette phrase n’était pas de moi. C’était une de celles qu’elle ressortait souvent en classe lorsqu’un de ses étudiants tombait dans le piège de ses exercices. Ce ne m’était jamais arrivé, je devais bien l’admettre, qu’importe ma modestie. J’avais d’autant plus apprécié sa philosophie que je n’y avais pas été personnellement affecté. Je ne m’étendrais pas sur mon nettoyage, même si certains détails appréciables seraient par d’autres appréciés. J’essayai même d’en occulter la vision comme l’odeur, me concentrant sur la conversation, trop heureux d’avoir retrouvé une bouche et une gorge dégagée, même si je l’eusse préférée entièrement rincée. Je ne trouvai au début rien d’érotique à cette activité, même si les huit mains recouvertes de leurs gants de caoutchouc, se promenant sur mon corps, mes fesses et mon sexe libéré. Ce n’est que lorsque la propreté revint, que je retrouvais certaines envies dont mon sexe s’en arbora fièrement...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 104 : Départ imprévu
il y a 2 ans

Une fois que l’engrenage s’arc-boute, forcer n’amène qu’à le briser.

Chapitre 104 : Départ imprévu Cette suite, elle ne se fit pas tarder. Tata Marguerite et Maîtresse Diane me firent sortir manu militari du parc, m’infligeant à tour de rôle de grosses fessées sans crainte que ma couche n’explose également. Chacune d’elle libéraient cependant du liquide de mon cul en actionnant le coulisseau du plug à chaque impact, mais je n’en étais plus à ce problème. Elles m’obligèrent à m’asseoir dans une chaise géante de bébé qui enclencha l’ouverture, libérant vers ma couche, cette fois sans discontinuité, le fluide que retenait mon corps. Aucun effort de mes muscles fessiers ne pouvait l’en arrêter puisqu’il s’écoulait dans le conduit interne de l’objet importé. Pourtant, malgré mon impotence, le fluide s’arrêta brutalement, coincé par un bouchon solide de déjection. Libéré par les produits laxatifs de la tétine et du lavement, et voulant emprunter le même chemin de liberté, il s’était coincé dans l’ingénieux mais fragile système du coulisseau. Les m...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 102 : La présentation du nouveau
il y a 2 ans

La présentation d’un nouvel engrenage est importante car comme dit le dicton, la première impression est souvent la bonne.

Chapitre 102 : La présentation du nouveau - La mauvaise nouvelle est, bien entendu, le contenu que tu devras absorber si tu décides de l’avaler, poursuivit Ladyscar. - Tu as deviné ce que c’est ? me demanda Tata Marguerite. Non, répondis-je à nouveau de la tête, sans trop forcer le mouvement, de peur que cela n’active involontairement son fonctionnement. - Nous l’avons remplie hier en boîte avec les filles, poursuivit Maîtresse Diane. Elles ont toutes mis un peu de leur jus, avec le plaisir de savoir que ce serait pour pourrir la bouche d’un gros bébé de dix-huit ans. Et comme c’était loin d’être plein, nous avons rajouté d’autres sécrétions. Quelles secrétions ? voulus-je demander. Non. Il était mieux que je ne le sache pas. Mais si, me souffla Lassie. Elle était encore bien là cette fois, surveillant et modifiant mes réactions naturelles, trouvant que j’avais été un peu trop cocooné depuis mon réveil. Elle en voulait plus. Elle voulait ressentir la marque du cuir et la...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 80 : Première domination
il y a 2 ans

Agir au niveau du tableau de contrôle d’un engrenage est un acte de pouvoir et, à part Dieu, qui ne se laisserait pas entrainer

Chapitre 80 : Première domination Des spasmes la secouèrent et quelques secondes plus tard, du liquide fut projeté de son sexe. - Répète ! insistai-je, en me rendant compte de la marge qu’il me restait sur le plaisir ou la douleur que je pouvais lui infliger. - Libérez-moi, Maîtresse, demanda-t-elle cette fois en pleurant. - C’est mieux dis-je en rediminuant d’un cran cette même mollette. - Merci, bafouilla-t-elle. Oserai-je ? - Merci, Maître, la récriminai-je, la remontant de deux supplémentaires. - Merci, Maître, hurla-t-elle cette fois. Je la redescendis d’un, la laissant ainsi à quatre. - Plus bas maître, encore plus bas, s’il vous plait. - Que me donneras-tu en échange ? - Que voulez-vous ? Maître ? ajouta-t-elle à temps. Je ne m’étais pas posé la question. Elle avait apprécié, quand bloqué aux fenêtres, les valets profitaient de moi. Les impulsions électriques qu’elle subissait me rappelaient celle que m’infligeaient mes maîtresses. Tous ces...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 51 : Champagne
il y a 2 ans

Soyez certain de savoir quelle roue entraine l’autre, l’évidence n’est pas toujours de mise.

Chapitre 51 : Champagne J’étais encore sur un nuage. Depuis qu’elle m’avait embrassé, tout me paraissait plus léger, moins conséquent. Nous redescendîmes dans le salon où les deux autres couples nous attendaient. Ben portait un plateau d’argent sur lequel ne se trouvait que trois entonnoirs se terminant par une forme phallique recourbée, évidée plutôt courte, le tout possédant un élastique de fixation. La conception des pièces aveint été fignolée et il ne manquait aucun détail. Elles semblaient plus artistiques que fonctionnelles. Voulaient-elles nous gaver comme des oies ? L’élastique se portait indubitablement derrière la tête et le phallus dans la bouche. - C’est la dernière épreuve de la journée. Ce n’est pas ton domaine de prédilection et je sais que tu n’aimeras pas, mais ne me fais pas honte, me demanda Ladyscar, méchamment. Comment pourrais-je après le baiser qu’elle m’avait donné ? Le fait que c’était la première fois de la soirée qu’elle s’inquiétait de ma réactio...
Enlevé au Royaume de Dahomey par une gynarchiste de l’extrême
il y a 2 ans

Je me suis un peu laissé aller dans le hard.... Cela va bien au-delà de la soumission vous êtes prévenus.

Le Royaume de Dahomey est un ancien royaume africain situé dans le sud-ouest de l'actuel Bénin. Les voyageurs sont invités à être prudents lorsqu’ils s’aventurent en ces régions car certains disparaîtraient dans le ventre des lions. La réalité est tout autre, même s’il arrive parfois qu’un touriste serve de déjeuner aux gros chats locaux. Mais il y a pire qu’un lion, c’est Maîtresse Dana une gynarchiste de l’extrême. A peine arrivé à l'aéroport international de Cotonou, Patrick, un petit blanc haut comme trois pommes venu s’offrir de grands frisons. Après avoir déposé ses valises dans un hôtel de luxe, il va louer un beaux 4x4 moderne et climatisé cela va de soit puis acheter un beau fusil et un chapeau de paille pour touriste. Avec l’héritage qu’il vient de faire, le richissime petit français va pouvoir ici s’offrir des vacances de rêve. De par son attitude de nouveau riche qui se la pète, il reste avare au niveau des pourboires. Si bien que lorsqu’il demande où se rendre pour al...
Les culottes sales de sa logeuse
il y a 2 ans

On dirait que tu aimes voir les petites culottes sales. Espèce de petit pervers fétichiste, il va falloir que je t’éduque.

Etudiant à Angers ma mère proposa à Danielle, une amie d’e n f a n c e de m’héberger contre un loyer. Si ma mère savait combien je sombrais dans le vice avec Danielle, elle s’en mordrait les doigts Danielle est une belle femme épanouie, 45 ans, de belles rondeurs, des cheveux bruns mi-long, des yeux coquins et une bouche pulpeuse et toujours souriante. Pendant le premier mois je me suis souvent branlé en pensant à son décolleté généreux (100 D), et son cul bien rond. Et puis, un jour, en allant mettre mon linge sale dans la salle de bain, j’ai découvert une de ses culottes dans la panière à linge. J’ai attrapé le slip et. Oh surprise, il était tout taché ! Je bandais comme un fou, des auréoles jaunâtres ornaient la culotte blanche. Comme h y p n o t is é je rapprochais le slip de Danielle de mon visage et respirais son odeur forte : sa culotte sentait la pisse et la mouille. L’odeur était forte et entêtante, je respirais fort cette odeur d’urine de chatte et de transpiration...
Initié aux jeux humides par une femme
il y a 2 ans

Après le marathon au lit, elle lui fait découvrir d’autres plaisirs

J’étais complètement lessivé. Nu, couché sur le dos, je n’avais plus une once de f o r c e , mon entrejambe semblait ne plus exister, ma verge ressemblant à une nouille molle et poisseuse, vidée de toute sa substance. Une corrida épique avec Martine avait eu raison de toute mes f o r c e s et de toute mon énergie. Elle n’était d’ailleurs pas beaucoup plus fraîche, tout autant épuisée par ses orgasmes que par mes jouissances. Nous étions avachis, trempés de sueur, après une folle cavalcade et bien des essais du Kâmasûtra. Ivres d’un sexe B e s t i a l , effréné et débridé. Nous nous connaissions à peine, juste la rencontre d’un soir, vite conclue dans sa chambre avec pour seule envie de s’accoupler sans penser à rien d’autre. A peine si nous avions échangé nos prénoms dans ce bar trop bruyant; un regard avait suffi, nous ne cherchions pas le grand amour ni la rencontre de notre vie. Juste du sexe à l’état brut. L’accouplement égoïste tant pour l’une que pour l’autre. Notre façon...
Ce week-end tu joueras le rôle de la femme
il y a 2 ans

Une femme découvre que son mari la fait passer pour une Maîtresse tyrannique dans ses histoires érotiques. Elle découvre ensuite qu’il se travestit et joue seul.

André et Laure sont, aux yeux de tous, un couple conventionnel. Comme beaucoup, après 15 ans de mariage, leur vie sexuelle s’est étiolée. André, ayant des envies de BDSM et de soumission, a souhaité que sa femme gère les clés de sa cage de chasteté achetée sur ABCplaisir et qu’elle joue le rôle de dominatrice. Cela n’a pas amusé Laure qui, pour lui faire plaisir, a accepté de garder « des clés ». En clair, dominer son mari et faire la maîtresse ne l’amusait pas, mais alors pas du tout. Elle était même un peu inquiète et se posait des questions sur la masculinité de son mari. Keyholder, elle ne l’est pas, les clés sont restées sur leur table de nuit. Certes, lorsqu’elle le libérait de sa cage de chasteté, après de longs préliminaires comme elle aime, sous réserve qu’il soit « bon » il redevenait l’amant qu’elle a toujours connu au lit. Laure a fini par s’accommoder des frasques sexuelles de son mari. Elle le trouvait même « attendrissant » quand il lui quémandait un câlin. Cette rel...
Une nuit coquine avec une cochonne à fister
il y a 2 ans

Un récit érotique croustillant et très « humide »... mené de main de maître

Les directeurs de notre bureau de Beauvais m’ont envoyé à notre usine de Mâcon pour travailler avec les gens sur un problème de production. Ce n’est qu’une semaine, m’ont dit les gérants, peut-être deux au plus, mais un mois plus tard, je suis là, et je suis en train de mettre les choses au point et de me préparer à rentrer à la maison. L’usine de Mâcon n’était pas vraiment à Mâcon…, mais dans une petite ville au nord de la ville elle-même. J’y ai pris un petit appartement de location temporaire, et quelques nuits par semaine, j’ai pris l’habitude de m’arrêter dans un petit salon qui se trouve entre l’usine et mon appartement. Je prends une bonne Guinness bien fraîche, ou parfois un whisky, je bavarde avec le barman, puis je me rends chez moi. J’ai vite remarqué qu’il y a un ou deux habitués de cet endroit, et qu’à une table, il y a habituellement trois filles, peut-être dans la vingtaine, qui font la même chose que moi, c’est-à-dire prendre un verre sur le chemin du retour. Ell...
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