Amanda prit les couches qu’elle étala sur mon visage, puis recouvra ma tête avec la culotte en plastique. Je repris une nouvelle douche d’urine, froide celle-là. Elle me mit le sac plastique par-dessus. Je ne voyais plus rien. Elle scotcha le sac sur mon cou pour le rendre le plus étanche possible et tira dessus pour vérifier que l’ensemble tenait bon. Voyant que le sac était bien hermétique, mais que je commençai à manquer d’air, elle alla chercher des ciseaux et fit quelques trous sur le dessus. Quand elle jugea que j’avais assez d’air. Je fus allongé sur le dos, elle s’assit encore une fois sur mon visage ou plutôt sur le sac et commença à se masturber. Par cette action, elle m’appliquait sur le visage la couche remplie d’urine qui coulait sur ma bouche à chaque passage. Malgré le bâillon, ne pouvant la fermer la bouche, le liquide jaune passait par les commissures de mes lèvres et, je buvais l’urine de ma cousine. J’entendais geindre Amanda, son râle était de plus en plus fo...

- Nous allons t’emmener dans un endroit secret ; pour l’instant tu n’as pas le droit de savoir où il se trouve, alors reste bien docile et tous se passera bien, me dit Amanda quand elle accrocha le bandeau sous mes yeux. N’ayant aucune mesure du temps, il m’était impossible de savoir où nous nous trouvions, mais au bout d’un moment la voiture s’arrêta et j’entendis le bruit d’une grille qui s’ouvre, la voiture roula pendant encore un petit moment, puis s’arrêta complètement. Mes Maîtresses descendirent de la voiture, puis ma tante aboya ses ordres. En un instant, des bruits de pas s’agitèrent dans tous les sens. Quelqu’un me prit le bras et me sortit de la voiture, cela devait être une femme, car elle me prit doucement, me sortit les pieds, puis m’aida à me relever en accompagnant ma tête pour ne pas que je me cogne. Nous marchâmes quelques pas, puis j’entendis d’une voix très douce. - Attention Mademoiselle Fanny, il y a deux marches, levez bien vos jambes, parfait, maintena...

J'étais à mon domicile quand le téléphone sonna. Une voix à laquelle on ne peut pas résister m'ordonna de venir immédiatement chez elle. C'était Maîtresse Karine qui semblait angoissée et je me dépêchai donc. Maîtresse Karine était en réalité lesbienne et dominatrice gynarchique. J'étais donc son esclave entièrement à sa disposition. Quand j'arrivais, je me mis dès l'entrée à genoux et je m'approchais donc du salon. J'entendais pleurer et je vis son amie Sonia en larmes et j'appris que son mari l'avait quitté. Karine lui disait qu'on ne pouvait pas faire confiance aux hommes et réconforta Sonia dans ses bras tendrement, doucement. Elle me regarda et ordonna ma nudité et la mise en laisse et collier de cuir. Je m'exécutais rapidement et ainsi offert comme un chien, elle tendit la laisse à Sonia. Elle ne savait que faire mais Karine lui dit : venge-toi. Comme Sonia hésitait, elle lui glissa dans l'oreille : « fesse le, en imaginant ton mari et tu verras que cela te seras de suit...

#### Je vous en prie Maîtresse s’il vous plait laissez-moi lécher vos pieds. – Mieux que ça lèche pieds. – Je vous en supplie, laissez la m e r d e que je suis, avoir l’honneur de baiser vos magnifique pieds, Maîtresse. – C’est mieux, embrasse mes pieds petite chienne. Maîtresse Léa a carrément organisé un tournage dans son salon, je suis vêtue en esclave, masque de cuir qui cache mon visage mais laisse ma bouche libre, collier de chien, string cuir noir. Je suis à genoux Léa est debout elle porte son gode-ceinture, elle a les seins à l’air, son visage est caché par un masque et elle porte une perruque brune à la coupe carrée. J’embrasse ses pieds. – Embrasse, ne lèche pas attention ! – Oui Maîtresse, à vos ordres. C’est ma séance quotidienne, car Maîtresse Léa exige que je passe une fois par jour chez elle, je dois lui passer de la crème sur ces pieds la masser. Aujourd’hui elle veut faire un film elle veut montrer au monde comment elle m’a dressé. – Allez arrê...

Histoire érotique de champagne doré Tout a commencé par cette annonce coquine sur un site coquin: « Pour assoiffé »: Femme 37 ans, recherche soumis, lécheur infatigable, il sera récompensé en buvant le pipi que sa maîtresse lui fournira abondamment. PS: il doit impérativement pouvoir recevoir. La gorge de Louis se noua. Il n’y croyait pas. Il n’y croyait plus, exactement le genre d’annonce coquine qu’il désespérait voir un jour. C’était trop beau, il devait y avoir un truc. Non, il n’y répondrait pas, sûrement une blague d’un collégien boutonneux, pas question de se faire avoir. Il se f o r ç a à continuer de surfer sur les sites pornos. Sur les pages de son navigateur, les bimbos nues, imperturbables, s’affichaient dans les positions les plus obscènes mais Louis, obnubilé par l’annonce coquine, les voyait sans les voir, son esprit était ailleurs. Plus tard, dans la nuit, lorsqu’il décida d’aller se coucher, il constata une érection de bon aloi. Finalement, il n’avait pas été i...

Cathy est une très belle créature élancée, aux longs cheveux sauvages, de 35 ans qui n'a jamais voulu entendre parler d'e n f a n t . Très prise par ses responsabilités professionnelles, elle est aussi belle qu'arrogante et salope cruelle. Sportive par souci de ses lignes corporelles, mais toujours vêtu d'un tailleur très chic et parée de bijoux précieux, elle porte bien, dans ses démarches félines élégantes, ses talons qui la grandissent encore à mes yeux. Ma femme est une dame de caractère dont je suis très épris. Gynarchique et très indépendante, elle a su, dès les premiers jours de notre vie commune, imposer ses exigences et me mettre les points sur les i. A la ville comme à demeure, c'est elle qui commande et j'obéis. Je n'ai pas mon mot à dire et dois céder sur tout ou je suis impitoyablement chassé de chez elle. N'ayant jamais osé prendre un tel risque, j'ai donc dû, très rapidement, accepter de perdre mon emploi pour tenir et entretenir sa grande baraque bourgeoise, lustrer,...

Chapitre 1 - Réveil Où je suis? J'ai perdu la notions du temps depuis un moment. Je suis nu, je ne vois rien ;le noir absolu ; j'essaye de bouger en vain je suis solidement attaché au sol les mains dans le dos, combien de temps j'ai été dans les vapes ? Je vois une légére lueur à travers la cagoule et j'entends des pas qui se rapprochent. On m'arrache la cagoule de ma tête, une vive lueure m'aveugle je n'ai pas le temps de crier qu'une poigne de fer me saissit à la gorge et me place un baillon dans la bouche. Puis mon geolier se place devant moi, à contre jour d'un projeceur lentement je distingue sa sillhouette. J'aperçois en premiers une paire de basket de sport usée, un joggings noir addidas et un débardeur rouge contenant une poitrine abondante. Mon assallaint est une femme d'une petite trentaine d'année; athlétique ;brune méditéranéeene les cheveux attachés les yeux noisettes avec des lèvres pulpeuses ; Elle me fixe avec mépris puis retourne derrière moi préparer quelques...

Louis est un pseudo soumis pervers. Sa passion est simplement de lécher des sexes féminins. Son fantasme, c’est d’être attaché et obligé de lécher. Il baratine sa Maîtresse en lui disant de le punir ainsi afin de satisfaire ses propres envies. Il va même jusqu’à faire quelques bêtises pour qu’elle le punisse de cette façon. En clair, il est ce que l’on appelle un « souminateur » dans le monde du BDSM. Les envies et besoins de sa Maîtresse, il s’en moque un peu du moment qu’il peut lécher et se masturber en même temps. Dame Lys en a bien conscience, elle lui accorde ce qu’il désire uniquement en guise de récompense. Ne parvenant pas à l’empêcher de se masturber en cachette, elle parvient à lui imposer de porter une cage de chasteté après maintes négociations. Sa promesse est qu’elle lui accordera la soirée de ses rêves et qu’il pourra « bouffer de la chatte » pendant des heures. Autant dire que pour réaliser son rêve, Louis fait quelques efforts. L’effet de la cage de chasteté ne...

Olivier et moi avions une relation sérieuse depuis quelques mois maintenant. Dès le début je ne lui avais pas caché mon caractère dirigiste et mes attentes vis à vis d’un homme. Olivier semblait accepter mes conditions sans protester, j’espérais simplement qu’il fasse cela par plaisir et non pour me conquérir ? Aussi décidais-je de le tester rapidement afin de sonder sa motivation. En cette fin de journée du moi de Juin j’avais invité Olivier chez moi, un petit appartement au troisième étage dans le centre de Lyon. Vers dix neuf heures mon téléphone sonna, c’était Olivier qui me signalait son arrivée imminente . Je profitais de son appel pour lui donner mes premiers ordres : » Ecoute moi bien mon Bébé je veux que tu te présente entièrement nu devant ma porte ! J’exige tu entends bien que tu enlèves tous tes habits dans ta voiture que tu laisseras sur le siège arrière ! Ceci est un ordre et ne me fais surtout pas attendre car j’ai horreur de cela ! Allez dépêches toi je t’attends !...

Je m’appelle Daniel, 42 ans, je vis seul dans la banlieue de Grenoble. J’ai une vie sexuelle disparate avec des plans cul occasionnels comme tout bon célibataire. Mais ça, c’était jusqu’à ce que je sois sous la coupe d’une femme qui s’est avérée être sévère, vicieuse et cradingue ! Je vous raconte ça. Un jour, je reçois un mot dans ma boite aux lettres à l’appart me disant à peu près ceci : « Je sais ce que tu fais de ton temps libre et j’ai des preuves. Si tu ne veux pas que je balance ta life sur les réseaux sociaux et les mails de ton entreprise, tu devras faire tout ce que je te dis. » J’ai pensé à une mauvaise blague et je n’ai pas prêté plus attention à ça. Sauf que le lendemain, j’ai reçu une photo de mon profil de recherche sur des sites un peu… hardcore undergroud. Et là j’ai compris que c’était la fin des haricots. Je savais que si ma vie privée sortait au grand jour, je serais foutu. J’ai composé le numéro de téléphone se trouvant au dos de la photo et j’attendu 2 sonner...

##### Je m’appelle Bob. J’ai 52 ans et mon épouse a une libido forte, à contrario de la mienne qui se contente de peu. Par contre, j’adore mettre des langes et culottes en plastique et me masturber dedans. Ma femme est au courant de mon fantasme mais ne le partage pas du tout. Alors, je m’arrange pour me langer au travail et pisser en public puis je m’adonne à des séances de masturbation très fréquentes. C’est à cause de cela que mes prestations conjugales sont aussi rares que médiocres. Ma femme a toujours fait semblant de s’en contenter mais dernièrement, elle a décidé de me mettre au pas et de m’ôter toute envie masturbatoire. Un soir, je rentrais du boulot et, comme à l’accoutumée, je m’étais octroyé une bonne séance masturbatoire dans la journée. Elle m’a accueilli avec chaleur et a commencé à me déshabiller. - Que fais-tu ? - Tu vas prendre une douche, ça va te détendre… Je me suis laissé faire car je trouvais cela agréable de se laisser conduire comme un ga...

Je venais d'avoir dix huit ans quand une jaunisse me cloua au lit pendant près d'un mois. Nous étions en Avril. Après ma guérison les docteurs décidèrent que je devais suivre une convalescence de trois mois au moins et qu'il n'était donc pas possible que je retourne au lycée. Le fait d'échapper au troisième trimestre n'était pas pour me déplaire; j'avais eu de bonne notes et les cours par correspondance suffisaient pour mon passage l'an prochain. Mais là où j'eus du mal à jouer les malades et à cacher ma joie c'est quand mes parents, au lieu de me garder à la maison ou de m'envoyer dans un établissement spécialisé, demandèrent à ma tante Rose si elle pouvait me garder jusqu'à la fin des vacances. Rose était la sœur aînée de mon père, elle avait une fille, ma cousine Martine qui devait avoir dans les vingt cinq ans. Je l'avais toujours connue seule sans savoir si elle était veuve ou divorcée. Elle habitait une grande maison dans une petite ville à 150 kilomètres de chez nous et so...