En manque, depuis quelques temps, de plaisirs partagés en collant, je consulte de nouveau le site coquin où j’avais l’habitude de me rendre et je vois l’annonce d’un nouveau membre. « Deux amis en collant cherchent partenaire de plaisir ». Je réponds et j’ai un retour de mon interlocuteur presque immédiatement. Deux amis, fétichistes des collants comme moi, qui cherchaient à partager du plaisir à trois. Après avoir discuté de nos envies et de ce que l’on aimait respectivement, le rendez-vous fut vite fixé. Tout ce qu’ils proposaient me convenait et la perspective de ce plan à trois en collant m’a vite excité J’arrive au rendez-vous, un homme fort sympathique m’accueille. Il est nu en collant de couleur chair au travers duquel je peux deviner une grosse queue. - Viens, me dit-il, tu vas te changer dans la chambre et appelle quand tu es prêt. Ma tenue est simple, j’enfile un collant noir sans coutures et une nuisette noire en dentelle, j’appelle, l’homme revient. Super ! me dit-il...

Céline est une copine d'e n f a n c e de Séverine. Elles se voient régulièrement et ce soir là allait être différent. Céline, une jolie fille de 23 ans aux cheveux châtains clair aux yeux verts, 1 m 73 et assez menue. Séverine 21 ans, aussi jolie que Céline, mais elle brune aux yeux marrons, de taille et de corpulence similaire. Nous étions en automne, et Céline avait invité Séverine à passer la soirée chez elle. Il était 20h, et elles commencent à discuter tranquillement, quand le téléphone portable de Séverine sonne. - Salut Sonia, ça va bien. - Ce que je fais ce soir, je suis chez Céline, pourquoi ? - Il y a une soirée sympa près de chez toi. Attend, je demande à Céline si elle veut y aller ? - Pourquoi pas, nous n'avions rien de prévu. - Ok Sonia, nous serons en bas de chez toi vers 22h. Bisous, à toute. - Bon je vais me changer, car je ne vais y aller en tailleur. J'ai une jupe mi-long fendue, et en haut je vais mettre un pull, réplique Céline. Accompagne-moi, po...

Ce ci est une tentative de représentation par une fiction des fantaisies qui m'animent, je l'écrit au gré de mes envies....c'est pour concrétiser ce genre de rencontres que j'ai sauté le pas et me suis inscrit içi ! Il est 10h, Julien est blême, il avance hagard, comme h y p n o t i s é dans une rue le long de la gare de Rouen. Une sourde angoisse mêlée à une pointe d’excitation lui malmène l’estomac et le bas ventre. Il n’a pour ainsi dire, pas dormi de la nuit. Julien a de bonnes raisons d’être dans cet état second, lui qui se dirige vers l’adresse convenue pour rencontrer Alain pour la première fois. Aujourd’hui, Julien va pouvoir devenir Juliette aux yeux de quelqu’un. Juliette ? Juliette c’est son alter-ego, son âme de jeune fille : Elle porte les couches et les habits mignons et innocents qui lui plaisent, et surtout elle aime bien s’oublier dedans et avoir de gros accidents, plus ou moins volontaires. Elle aime bien ça, Juliette, les gros accidents, ce sentiment de lâcher...

Attiré depuis une quinzaine d’année par le BDSM, ma vision de cet univers c’est toujours limité à ce que m’offrait internet. Que ce soit les récits (notamment [Abkingdom](https://abkingdom.com/) ou les vidéos, je fus rapidement confronté à un paradoxe commun à de nombreuses personnes… L’excitation due à l’idée de soumission, tout en étant au quotidien « maitre » de chacune de ses décisions. Dans les études ou dans le travail, dans chaque travail de groupe en fait, se dégage des leaders, les suiveurs… Et éventuellement : les « branleurs ». Or, il est naturel pour un « leader » de prendre ce rôle. Des fois c’est par nécessité car personne d’autres ne veut la responsabilité de prendre les décisions, parfois c’est par orgueil, l’envie d’être mis en avant... Dans mon cas, c’est le besoin de « contrôle » qui m’a conduit à ce statut régulièrement. Je donne excessivement rarement ma confiance. J’ai donc besoin de vérifier le travail de chacun, donner mon avis sur les projets… je prends même...

Je m'appelle Éric, depuis peu, j'ai appris que j'étais fétichiste et soumis, je partage ces nouveaux plaisirs avec ma femme Karine qui est aussi ma Maîtresse. Sara une secrétaire nouvellement arrivée à l'entreprise ou je travaille, que j'avais connu dans mon premier récit, s'est révélé être une dominatrice plutôt sévère, elle m'a fait découvrir les plaisirs de l'humiliation et a initié ma douce Karine aux plaisirs saphiques. Voilà qui résume bien une bonne partie de mon histoire, mais depuis notre dernière expérience avec Sara, une idée avait lentement germée dans l'esprit de ma Maîtresse… Trois jours ont passé, les jeux de domination avaient cessé, je me remettais un peu de ma dernière séance, riche en émotion, vécu avec Dame Sara. Karine avait l'air pour sa part radieuse, plus belle que jamais, satisfaite, elle me rendait heureux. Ce que je ne savais pas par contre, c'est qu'elle mijotait quelque chose, par l'entremise de Sara elle avait prit contact avec un autre soumis, parce que...

Confession d’un adepte de la taille serrée Le corset, j y suis tombé dedans, à la naissance. Elevé par une mère, et deux grands-mères, portant le corset. a d o l e s c e n t , suite au deux accidents, sportif, et automobile, j ai été plâtré trois mois. Ensuite dans un corset orthopédique, avec minerve cinq mois C’était partit. Pendant le service militaire, ceinture de cuir obligatoire, pour ma fonction de pilote de chars. Ensuite motocycliste professionnel, sur la route (pas de piste), port obligatoire, d une ceinture fournie, par l’employeur, que j’ai eu vite fait, de faire transformer en Corset. Ensuite nous avons créé, un groupe d’amis, 3 femmes, et 2 hommes (tous mariés, mais pas ensemble). Et là, pendant les congés annuels, ou hebdomadaires, tous ensemble, ou quelques uns, dans un petit chalet de montagne, nous avons vécu, une formidable période, qui à duré 13 ans. Deux membres du groupe, étaient adeptes de la taille de guêpe. Une autre membre, elle c’était le corset lon...

#### Les femmes peuvent être plus coquines que les hommes C’était un soir, au début du printemps, un de ces soirs où le soleil couchant fait déjà penser à l’été qui approche. A volant de ma voiture, je revenais chez moi après avoir passé l’après-midi chez des amis. A mi parcours, mon attention fut captée par une fille qui faisait du stop au bord de la route. Je fus immédiatement hypnotisé par sa tenue. Un chemisier blanc, une mini-jupe écossaise, des collants noirs opaques et des ballerines noires. Je ne pus résister à l’envie de m’arrêter en espérant pouvoir la conduire quelque part. Arrivé à sa hauteur, elle me décocha un magnifique sourire... - Bonjour, je vais à Bruxelles… Est-ce que tu peux m’avancer un peu ? Je ne sais pas si c’est le fait qu’elle m’ait directement tutoyé ou simplement la beauté pure de son visage d’ange, mais je dus lutter pour garder ma contenance en lui marmonnant un « Bien sûr, monte ! » Lorsqu’elle ouvrit la portière pour s’asseoir à côté de m...

Je m’appelle Fanny, je suis la poupée docile de ma cousine Amanda. Avant que je ne la rencontre, j’étais un garçon et je m’appelai Franck. Je venais d’avoir tout juste dix-huit ans, et d'obtenir enfin mon bac (au bout de la deuxième fois, quand même !). Ma grande tante (la sœur de ma grand-mère) que je n’avais pas vue depuis trois ans avait demandé à mes parents que je passe quinze jours chez elle, Tante Amélia voulait me voir avant mon entrée à l’université. J’aimais beaucoup ma grande tante, elle était très gentille. Elle habitait un ancien corps de ferme dans les Alpes maritimes, un peu à l’écart. Ma grande tante avait toujours aimé le calme, médecin dans un hôpital suisse, elle avait acheté cette maison et profitait maintenant de sa retraite. Je savais qu’Amanda devait venir passer quelques jours. Georges, le fils de ma grande tante s’était marié avec Lizbeth, il y a quinze ans. Cette dernière avait une fille de six ans d’un précédent mariage, Amanda. J’étais impatient de...

Amanda prit les couches qu’elle étala sur mon visage, puis recouvra ma tête avec la culotte en plastique. Je repris une nouvelle douche d’urine, froide celle-là. Elle me mit le sac plastique par-dessus. Je ne voyais plus rien. Elle scotcha le sac sur mon cou pour le rendre le plus étanche possible et tira dessus pour vérifier que l’ensemble tenait bon. Voyant que le sac était bien hermétique, mais que je commençai à manquer d’air, elle alla chercher des ciseaux et fit quelques trous sur le dessus. Quand elle jugea que j’avais assez d’air. Je fus allongé sur le dos, elle s’assit encore une fois sur mon visage ou plutôt sur le sac et commença à se masturber. Par cette action, elle m’appliquait sur le visage la couche remplie d’urine qui coulait sur ma bouche à chaque passage. Malgré le bâillon, ne pouvant la fermer la bouche, le liquide jaune passait par les commissures de mes lèvres et, je buvais l’urine de ma cousine. J’entendais geindre Amanda, son râle était de plus en plus fo...

À moitié sonné, j’entendis une voix qui me semblait familière. - Amanda, je peux savoir ce que cette espèce de carpette fait ici ? - Euh, oui Maîtresse, je cherchais les bracelets pour l’attacher quand il s’est sauvé. - J’ai bien compris, je croyais que je pouvais te confier une mission qui était d’une simplicité enfantine, dégrossir le travail avec cette salope qui traîne par terre. Je suis déçue, très déçue. Cela mérite une punition. - Oui, Maîtresse, je suis indigne d’être votre esclave, punissais moi Maîtresse. - Attache la cette salope, mais qu’elle puisse marcher. - Oui, Maîtresse, tous de suite. Amanda me posa les bracelets sur les mains et les pieds qu’elle attacha avec des chaînes qui me donnèrent, bien que mes mouvements fussent restreints, assez de liberté pour marcher. Commençant à sortir de mon brouillard, je cherchais à mettre un visage sur la voix que j’entendais. Tante Émilie ! - Tiens ? La salope refait surface. Amanda, prends ta muselière pour...

- Nous allons t’emmener dans un endroit secret ; pour l’instant tu n’as pas le droit de savoir où il se trouve, alors reste bien docile et tous se passera bien, me dit Amanda quand elle accrocha le bandeau sous mes yeux. N’ayant aucune mesure du temps, il m’était impossible de savoir où nous nous trouvions, mais au bout d’un moment la voiture s’arrêta et j’entendis le bruit d’une grille qui s’ouvre, la voiture roula pendant encore un petit moment, puis s’arrêta complètement. Mes Maîtresses descendirent de la voiture, puis ma tante aboya ses ordres. En un instant, des bruits de pas s’agitèrent dans tous les sens. Quelqu’un me prit le bras et me sortit de la voiture, cela devait être une femme, car elle me prit doucement, me sortit les pieds, puis m’aida à me relever en accompagnant ma tête pour ne pas que je me cogne. Nous marchâmes quelques pas, puis j’entendis d’une voix très douce. - Attention Mademoiselle Fanny, il y a deux marches, levez bien vos jambes, parfait, maintena...

- Nous allons t’emmener dans un endroit secret ; pour l’instant tu n’as pas le droit de savoir où il se trouve, alors reste bien docile et tous se passera bien, me dit Amanda quand elle accrocha le bandeau sous mes yeux. N’ayant aucune mesure du temps, il m’était impossible de savoir où nous nous trouvions, mais au bout d’un moment la voiture s’arrêta et j’entendis le bruit d’une grille qui s’ouvre, la voiture roula pendant encore un petit moment, puis s’arrêta complètement. Mes Maîtresses descendirent de la voiture, puis ma tante aboya ses ordres. En un instant, des bruits de pas s’agitèrent dans tous les sens. Quelqu’un me prit le bras et me sortit de la voiture, cela devait être une femme, car elle me prit doucement, me sortit les pieds, puis m’aida à me relever en accompagnant ma tête pour ne pas que je me cogne. Nous marchâmes quelques pas, puis j’entendis d’une voix très douce. - Attention Mademoiselle Fanny, il y a deux marches, levez bien vos jambes, parfait, maintena...