Aujourd'hui, c est mon anniversaire, ma femme m'a promis un beau cadeau... Des que je rentre,chez nous,je dois comme d'habitude me mettre nu, gardant seulement ma cage de chasteté autour de ma "nouille"(c'est comme cela qu' elle appelle mon sexe). Je devais lui faire le ménage ainsi toute l'après midi. -Alors Lopette tu as passé une bonne semaine, tu as été sage j'espère? -Oui maîtresse .Cela va faire maintenant presque 2 semaines que je n ais pas jouis Maitresse. -Bien ma lopette, comme tu as été sage, pour ton anniversaire, je vais te faire un cadeau,tu auras le droit de baiser ce soir. -Hoooo!!!merci merci maitresse!!! Je vous avoue que j en étais déjà tout excité, que ma femme ait pu trouver une fille qui veuille bien baiser avec moi (elle me refuse l'accès à son sexe vu son statut)...je me remis au ménage avec plus d'ardeur... Le soir venu, elle avais invité son amant avec qui elle sortait depuis peu et un amis...lors de l apéritif j'étais bien sûr à genou au...

##### La houle brassait son écume et ses algues. Un fort noroît soulevait l'eau; le fracas la crevait sur cent récifs épars, le temps était mauvais. Tous les rochers de l'île, ce soir, mâchent la mer. Du phare, le seul abri, Johanne observe la tourmente. La tour bien ancrée sur son roc ne sert plus aujourd'hui. Mise à l'encan, voici deux ans, Johanne l'avait saisie, aménagée, emménagée. Ce phare était son phare, son pays, une part d'elle-même. Nous, nous pensions mourir ce soir là., étonnés de n'avoir pas encore chaviré de l'esquif que nous ne pouvions diriger. Frigendhum, recroquevillée, gémissait à chaque embardée. Frège, le plus expérimenté, maniait toujours le gouvernail endommagé. Trinka sanglotait d'épouvante dans mes bras. Ses seins durcis de froid s'écrasaient sur mon tricot trempé. « Gaffe, Foucault!, à tribord, droite!Godille »!Le cri de Frège vint juste à temps : je repousse d'un coup de rame le redan d'un granite. Un sursis. Nous sommes trop près de cet îlot. Le c...

J'étais installée à Libreville, au Gabon depuis quelques mois. Mon mari cadre de direction dans une grosse entreprise de commerce de la place, passait beaucoup de temps à son travail, moi à la maison à m'occuper de deux enfants en bas âges, aidée par une ménagère africaine qui ne venait que le matin. Nous avions un logement agréable, loin du bruit et de l'agitation de la ville, notre vie intime était réglée, rien d'exceptionnel à 30 ans, après 7 ans de mariage. Je voyais la routine s'installer, mon mari aussi car un jour il me demanda de coucher avec d'autres types. Sur le coup je dis non ! J'étais contre ce genre de choses. Nous en étions restés là. Un jour que mon mari faisait des courses avec moi chez le petit épicier libanais que nous avions en dessous de la maison, il me fit remarquer que je devais être au goût de ce dernier, vu les regards qu'il me jetait. En effet Issam, c'était son nom, était toujours déférent à mon égard. Je n'y avais pas porté plus d'attention que çà...