Récits
Alyssia, ma femme (12)
il y a 2 ans

Le début de la fin entre l'amant et la maîtresse?

[Le début de cette saga est ici](/recit/192881) - On descend pas déjeuner ? - Non. Ce matin, on se fait servir dans la chambre. - Par Eugénie ? - Évidemment, par Eugénie… Ça t’a pas déplu, avoue, la petite séance d’hier soir, hein ? - Je serais difficile. - Et t’es pas au bout de tes surprises. Elle est très joueuse, cette petite. Et pleine de ressources. - C’est-à-dire ? - Tu verras bien. - Mais si, dis ! Au moins un peu. Il y a eu du bruit dans le couloir. Puis dans la chambre d’à côté. Encore dans le couloir. - Tiens, ben la v’là justement ! Elle a frappé, est entrée, vêtue de son petit tablier de serveuse blanc. - Bonjour ! Avec un grand sourire. Et elle nous a tourné le dos pour aller déposer le plateau sur la table, près de la fenêtre. Ses fesses étaient nues. Totalement nues. Superbement nues. Elle a pris tout sont temps, fait mine de rectifier la position des tasses, celle des couverts avant de majestueusement naviguer vers la porte sur le pas de laqu...
Alyssia, ma femme (11)
il y a 2 ans

Pas facile de courir plusieurs lièvres à la fois.

Séverine a attaqué, d’emblée, avant même d’avoir fini de s’asseoir. - Il a quelqu’un d’autre. - Quoi ? Qui ça ? - Benjamin. Quelqu’un d’autre que votre femme. - Vous êtes sûre ? - Pratiquement. - Et c’est qui ? - Alors ça ! Oh, mais je finirai bien par le découvrir. Ou bien vous. Vous le voyez souvent. Quelque chose va forcément, à un moment ou à un autre, vous sauter aux yeux. Ou même… vous pouvez susciter des confidences. Entre hommes, on aime se vanter. Et je le vois bien dans le rôle. - Vous allez faire quoi ? - J’aviserai. Quand je saurai. Mais pas la peine que je me berce d’illusions. Je ferai rien. Je subirai. Comme d’habitude. En espérant qu’il va pas se toquer de cette nouvelle conquête. Qu’il va pas avoir la lumineuse idée de vouloir « refaire sa vie ». Je l’ai dans la peau, qu’est-ce que vous voulez ! Alors il peut bien me faire cocue tant et plus. Du moment qu’il reste avec moi, qu’il parle pas de me quitter, qu’il dort, au moins de temps en temps, dans notre lit...
Alyssia, ma femme (10)
il y a 2 ans

Mari et amant font plus intimement connaissance.

Au petit déjeuner, c’était elle, la fille du patron, qui était de service sur la terrasse. Elle y faisait de rapides apparitions, débarrassait un plateau, passait vite fait un coup de torchon sur une table. En évitant soigneusement de trop s’approcher de nous. Et sans jamais jeter le moindre regard dans notre direction. De toute évidence, elle n’en menait pas large. Alyssia a fini par l’appeler. - S’il vous plaît… Elle s’est approchée. À contrecœur. - Vous vous appelez comment ? - Eugénie… - Et vous avez quel âge ? - Vingt-deux. - Alors comme ça, Eugénie, on espionne les clients… Une grande fille comme toi ! Tu sais que c’est pas bien du tout ? Elle est devenue écarlate. - Je vous jure… Alyssia a éclaté de rire. - Ben, voyons ! N’empêche… Qu’est-ce que ça a dû être frustrant pour toi ! Être interrompue, comme ça, en pleine action. Elle se dandinait d’un pied sur l’autre, se grattait nerveusement la joue. - Tu t’es finie dans ta chambre, j’parie ! Non ?...
Ma Bardot à moi
il y a 2 ans

Une jolie histoire d’amour et de fist sensuel

Un rayon de soleil se faufile entre les rideaux de la chambre d’hôtel, pour tomber juste sur la chute de reins de Juliette. Je ne me lasse pas de l’observer, allongée sur ces draps froissés, témoins de notre étreinte. J’ai envie de caresser son épiderme à quelques centimètres de moi, de laisser mes doigts courir de sa nuque à ses orteils. De faire parcourir à ma langue et à mes lèvres ce corps que je connais pourtant désormais par cœur. Mais je ne veux pas la réveiller. Alors, c’est à peine si j’ose respirer et je me perds dans la contemplation des reflets vénitiens de sa chevelure, dans les ondulations que j’ai eu tant de plaisir à mettre en désordre alors qu’elle était agenouillée devant moi, voici une heure. Sa main gauche est reposée sur le drap et le rayon farceur finit par tomber dessus, me renvoyant l’éclat doré de son alliance en plein visage. Je n’aime pas cet anneau. Il me rappelle le mien, que je touche machinalement du pouce. Je soupire. Juliette s’agite, puis tourne le vis...
Alyssia, ma femme (9)
il y a 2 ans

Bien curieuse, la petite serveuse...

Je me suis empressé, aussitôt rentré, de donner rendez-vous à Séverine, la femme de Benjamin. - Vous allez avoir la surprise, un de ces quatre matins, de me voir arriver en compagnie de votre mari. - Ah, parce que c’est vous ! Il m’a effectivement parlé d’un pote avec qui il faisait plein d’activités. Qu’il tenait absolument à me présenter. Et c’est vous ! Il manque vraiment pas d’air. - C’est moi, oui ! - Eh ben, si je m’attendais à ça ! Quoique… plus ça va et plus je me dis que rien ne l’arrête, qu’il n’a aucun respect de quoi que ce soit. La preuve ! Non, mais faut quand même être particulièrement retors, avouez, pour aller copiner comme ça avec le mari de sa maîtresse. - Il doit avoir une petite idée derrière la tête. - Le connaissant, ça fait pas l’ombre d’un doute. Toute la question est de savoir laquelle. Une chose est sûre, en tout cas, c’est qu’il doit allègrement se délecter, quand il est avec vous, de l’idée qu’il se tape votre femme derrière votre dos. C’est comme,...
Alyssia, ma femme (8)
il y a 2 ans

Une fois reparti, l'amant est toujours là, bien présent.

Elle nous a expédiés. - Descendez déjeuner, les garçons ! M’attendez pas ! Je fais un brin de toilette et je vous rejoins. Il s’est jeté sur les croissants. - J’ai une de ces dalles ! - Et pour cause ! En a avalé trois d’affilée. - Ah, ça va mieux. Son portable a sonné. - Merde ! Ma femme ! Allô, oui ? Quoi ? Mais je te l’ai dit ! Je suis avec un vieux copain. Que j’ai pas vu depuis dix ans. Que j’ai retrouvé par hasard sur Internet. Et ben, si, justement ! Si ! Il est là en face de moi. On déjeune tranquillement tous les deux. Tu veux lui parler ? Oui, oh, si ça peut te rassurer… Non ? Comme tu voudras. Hein ? Oh, je vais pas tarder. Dans l’après-midi, sûrement. Dans la soirée au plus tard. Oui, moi aussi. À tout à l’heure. Il a raccroché. Soupiré. - Ça sent le roussi. Mais c’est là-haut, surtout, que ça va être compliqué. Quand on va être rentrés. Parce que mes soi-disant copains, avec qui j’arrête pas d’être fourré, elle y croit manifestement de moins en...
Alyssia, ma femme (7)
il y a 2 ans

Enfin! Enfin l'amant est là...

Elle a fait sa réapparition sur le coup de midi. - T’es toujours là ? T’as pas bougé de la chambre, j’parie ! Si ? Bon, mais allez, on descend déjeuner. Je crève la dalle, moi ! Notre petite table, près de la baie vitrée. - Je crois que je vais laisser tomber avec le barman, finalement. - Il te plaît plus ? - C’est pas qu’il me plaît plus, non, mais j’ai l’impression que ça risque d’être d’une complication ! - Il a quelqu’un ? - Il y a toutes les chances, oui ! Parce que, pour se voir, faudrait que ce soit chez un copain. Et encore ! Faudrait passer par une petite porte, derrière. Que les voisins se rendent pas compte ! - Oh, là ! - Comme tu dis, oui ! Et quand on sait pas trop où on met les pieds, vaut mieux sagement s’abstenir. - C’est bien mon avis. - J’ai vraiment pas de pot, moi ! Je tombe toujours sur des types qui sont déjà en mains. Celui-là… Benjamin… Faut dire aussi que, passé un certain âge, à moins de donner dans la classe biberon. Comme avec le Gauvin de l...
Alyssia, ma femme (6)
il y a 2 ans

Vacances entre mari, amant absent et nouvelles conquêtes.

Elle a voulu qu’on s’arrête boire un coup. Au même café que d’habitude. - Ça devient une tradition, dis donc! - Je l’aime bien, moi, ce café. Je lui trouve beaucoup de charme. - Au café ou au serveur ? - Faut reconnaître qu’il est pas désagréable à regarder non plus. - Et qu’il te plaît bien. Ce qui est réciproque d’ailleurs. - Tu crois ? - Je crois pas. Je suis sûr. Bon, mais on s’installe à l’intérieur, je suppose. Que tu puisses le regarder tout à loisir s’affairer derrière son bar. On avait à peine pris place que son portable a sonné. - Qu’est-ce que c’est que ça ? Zut ! Benjamin ! C’est bien le moment. Elle n’a pas décroché. - Il rappellera. Je me suis levé. - Tu vas où ? - Chercher le journal. Et faire un loto. Passe la commande ! J’ai pris tout mon temps. Qu’elle ait le sien. Qu’ils aient le leur. 2 - Je crois bien que t’as raison. On attendait qu’il soit l’heure de passer à table, sur la petite terrasse, derrière l’hôtel. - À quel prop...
Alyssia, ma femme (5)
il y a 2 ans

Un mois de vacances. Ce sera long sans l'amant.

Elle s’était occupée de tout. -  C’est pas plus mal que t’aies la surprise… Avait choisi le point de chute. - Tu verras… Au calme. En pleine campagne. Mais à proximité d’une grande ville quand même. Qu’on puisse sortir si on a envie. Aller visiter des trucs. Et préparé les valises. - On est opérationnels. Il y a plus qu’à embarquer. Demain matin. Aux aurores. Mais avant… je peux te demander quelque chose ? Seulement te sens pas obligé. Faut que tu me dises carrément. Ça t’embêterait s’il venait Benjamin ? - Avec nous ? En vacances ? - Ça, c’est pas possible, non. Il y a sa femme. Et ses enfants. Non. Ici, ce soir. Parce que faut pas trop que j’y compte qu’il réussisse à se libérer quand on sera là-bas, à ce qu’il m’a dit. Et je vais pas le voir d’un moment, du coup. - Évidemment qu’il peut venir ! Elle m’a sauté au cou. - T’es un amour ! A tapé un SMS en toute hâte. Et s’est engouffrée dans la salle de bains. On a attendu tous les deux, lui et moi, de concer...
Alyssia, ma femme (4)
il y a 2 ans

Le mari et l'amant font connaissance.

- Tu seras là ce soir, je suppose. Dans la chambre d’à côté. - Peut-être. Sûrement. - T’aimes ça m’entendre, hein ? - De plus en plus. Ça t’ennuie ? - De moins en moins. Et même… - Oui ? - Je crois que maintenant ça me manquerait que tu sois pas là. Je l’ai prise dans mes bras. - J’aime ton plaisir. Même si c’est pas moi qui te le donne. Nos lèvres se sont brièvement effleurées. - Et moi, j’aime que tu l’aimes. Elle s’est doucement dégagée. - Faut que j’aille me préparer. Si je veux pas le faire attendre. 2- C’est moi qui ai attendu. Jusqu’à huit heures. Ils ont monté les bagages dans la chambre et ils ont décidé de descendre aussitôt dîner. - Mais avant… - Qu’est-ce tu fais ? - Ça se voit pas ? Je te déculotte. Tu sais ce qu’on avait dit. - Mais pas déjà ! Pas aujourd’hui ! - Ben, pourquoi ? - Mais parce que… - Si je t’écoute, on le fera jamais. T’auras toujours une excellente raison. Allez, route ! - Laisse-moi changer de jupe au moins. Mettre...
Alyssia, ma femme (3)
il y a 2 ans

Entre cocue et cocu on peut facilement s'entendre.

Le mercredi, elle m’a appelé. Sur le coup de midi. - Alex ? Je voulais te dire… Ne m’attends pas ce soir. Benjamin a une opportunité. Alors on la saisit. - Tu rentres plus tard ou tu rentres pas du tout ? - Pas du tout. On va rester dormir là-bas. - Au petit castel ? - Au petit castel, oui. Pourquoi ? - Non. Pour rien. Vous auriez pu avoir envie de changer. - Ben, non, tu vois ! Dis-moi… - Oui ? - Toi, tu… ? - Si je vais venir ? Dans la chambre d’à côté ? Peut-être. Je sais pas encore. Elle est arrivée toute seule. La première. En chantonnant. S’est aussitôt précipitée dans la salle de bains. Quand elle en est sortie, trois quarts d’heure plus tard, elle chantait toujours. Il a presque aussitôt surgi. Un long silence. Et puis… - Qu’est-ce t’avais de si important à me dire ? - J’avais envie de te voir. Tellement. - De me voir ou de te prendre un bon petit coup de queue ? - Oh, Benjie… - C’est pas ça, peut-être ? - Aussi, oui, mais pas seulement. - C’est loin v...
J’ai léché le sperme dans sa culotte
il y a 2 ans

Les confessions érotiques d’un candauliste

Ce matin, sur le lit défait, gisait sa culotte, jetée, ébouriffée. Une confection rose en dentelle et en satin, elle est faite de presque rien. Une poignée de merveilles froissées, une couverture intime et minuscule pour son sexe. Je les ai touchées, les yeux fermés, et j’ai senti le glaçage gluant de son sperme. J’ai senti, les yeux fermés, ce qui avait été laissé là, un marqueur de ce qu’il avait pompé en elle. Je ne peux pas dire pourquoi je les ai approchés ainsi, par le toucher. Peut-être était-ce parce que voir ses résidus aurait été trop fort ? Peut-être que de le voir scintiller sur sa dentelle de confiserie aurait été trop terrible. Et si c’était épais, et copieux, et gluant, je pourrais… avoir besoin de le lécher. Je pourrais avoir besoin de faire plus que ce que j’ai fait soudainement, en pliant les yeux fermés pour sentir sa visite. J’aurais pu balayer la culotte et lécher et lécher jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien de sa semence infecte. Carol couchait avec Richard, m...
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