Ecole de fessées

Je ne pense que le lieu soit le principal soucis vous allez sur airbnb y en a plein et qui sont isolé pour pas cher.
Par contre il faut choisir une ville qui soit à mi chemin du nord et du sud pour que cela soit équitable.
Le problème est de trouver des personnes fiable qui sont vraiment intéressés et respectueux des lieux ainsi que des autres membres.
il y a 3 ans

Se réunir entre membres-intéressées est en effet une solution. Car les hébergeurs organisateurs -tel TSM le Grand 😄 - ont fait, refait, encore fait.
Perso j'en serai volontiers, toutefois cela impliquera une grosse partie de négo avec ma moitié.
Je suis l'affaire sur le forum.

Et merci à tous pour les idées partagées.
il y a 3 ans

😄

Oui et j'ai affirmé cela avec d'autant plus d'aplomb plus que je connais le Sieur si peu. 😏
il y a 3 ans

Il n'y as plus de nouvelles de cette école? L'idée est tombée à l'eau?
il y a 2 ans

@naughtyschoolgirl: Je pense qu'effectivement c'est tombé à l'eau sinon il y aurait eu des réponses.
il y a 2 ans

Je confirme
il y a 2 ans

Une école de fessée à Cambrai où l'on fait des bêtise, c'est assez logique !
il y a 2 ans

Bonjour,
Je comprends bien la difficulté, avec certaines personnes, à organiser une rencontre fessée si les règles du jeu n'étaient pas claires et si une stricte sélection n'avait pas été faite en amont. Il me semble que, lors d'un court séjour, dans un cadre scolaire strict, la donne est un peu différente si l'organisation est bien pensée avant le séjour et si chacun sait à quoi il s'engage. Permettez-moi quelques suggestions :
Il faudra organiser des équilibres aussi bien dans les rôles que dans les genres. Une dizaine d'élèves (5 femmes et 5 hommes pour assurer la mixité) pour 4 encadrants (2 hommes et 2 femmes afin que chacun trouve la personne du genre qui lui convient comme figure représentant l'autorité) : enseignant(e)s, et autres membres du staff chargés de superviser les aspects techniques (repas, entretien) et les temps d'hygiène corporelle (douches, toilettes, passage aux WC...) et de surveiller l'internat.
Dans les premiers séjours il conviendra de faire court (du vendredi en soirée au dimanche en fin d'après-midi ?). Cela permettra de roder l'organisation. Dans un second temps, il sera possible d'en augmenter la durée (une semaine ?) avec des protagonistes (élèves et encadrants) qui ont déjà expérimenté les courts séjours. L'internat semble un paramètre incontournable.
Il faudra que dans le choix des protagonistes, élèves et encadrants, les règles du jeu soient claires : l'obéissance, tout le séjour durant, des élèves envers tous les encadrants doit être une règle de base ; tous les encadrants (quel que soit leur genre) ont le droit et le devoir de donner la fessée, et pour ce faire de baisser la culotte, à n'importe quel élèves (quel que soit leur genre) à n'importe quel moment et en n'importe quel lieu, en particulier en présence des autres élèves et des autres encadrants, dès qu'ils estiment que celui-ci en a besoin (travail ou résultats scolaires insuffisants, bavardage en classe, comportements, désobéissance, négligence, insolence ou impolitesse, propreté... les raisons en sont très nombreuses), c'est leur statut d'encadrant qui leur donne ce droit et ce devoir ; d'autres punitions, traditionnellement utilisées pour punir les élèves (mise au coin, lignes à copier...) sont recommandées ; des instruments punitifs (martinet, règle plate en bois, baguette souple...) devront être utilisés quand la punition le nécessite (récidive, grave désobéissance, travail bâclé...) ; que ce soit avec la main nue ou avec un instrument punitif, la fessée "à la française" sera privilégiée (à plat ventre en travers des genoux ou courbé sous le bras), les modalités de déculottage (quand et comment) seront laissés à l'appréciation de l'encadrant ; tous les élèves doivent se soumettre, sans résister à toutes les punitions que les encadrants jugent nécessaires, aussi sévères soient elles ; tous les élèves doivent contribuer aux tâches ménagères sous la supervision des encadrants qui mettent en place une organisation pour ce faire (quel groupe d'élève est chargé de faire la cuisine, la vaisselle, le ménage des sanitaires des chambres, des circulations, de la classe...) afin que chaque élève tourne durant le séjour sur toutes les tâches ; ce sont les encadrants qui déterminent le programme et l'organisation de la journée afin de ne laisser jamais aucun élève oisif (temps de classe, tâches ménagères, devoirs...), tous les élèves sont tenus par ce programme ; les encadrants sont tenus de prévoir le programme de travail en s'appuyant sur les exercices scolaires de base (dictées, analyse grammaticale, calcul mental et exercice de mathématique, langue étrangères, apprentissage de poésie...) en privilégiant l'apprentissage par cœur, les leçons devront être sues et les devoirs faits le soir ; sans imposer un uniforme, une certaine uniformité des tenues serait la bienvenue : selon la saison pantalon ou bermuda sombre (noir ou bleu marine) pour les garçons et jupe plissée pour les filles, le haut, pour les deux sexes, devra être blanc de même que les sous-vêtements, bien évidemment, aucune fioriture ne sera tolérée.
Bien évidemment, les frais engendrés par le séjour seront divisés à parts égales, entre les participants (élèves et encadrants). Pour les courts séjours, chacun apportera une partie des repas selon une répartition prévue à l'avance (nature du plat et nombre de parts).
L'organisateur devra avoir un ou des échanges au préalable avec chaque candidat, que ce soit à un poste d'encadrant ou d'élève afin de vérifier l'accord sur les règles communes. Les candidats qui seront hésitants sur la nécessité de l'une d'elle, devront être écartés.
Voilà, je pense qu'à ces conditions, un séjour pourrait être organisé, mais sans doute y a-t-il des points à discuter, à rajouter ou à enlever. Je livre tout cela à votre sagacité.
JLG
il y a 2 ans

Bonsoir, josip a proposé un panorama complet, très précis de ce type d'institution encore hypothétique.

Reste un point qui pourrait se révéler «marquant» :chez l'élève le désir de déroger aux règles, de désobéir. Cela par provocation ou pour se faire remarquer.

Car fatalement avec un groupe d'élèves de cette dimension cela risque de se produire.
il y a 2 ans

Effectivement, dans un groupe d'une dizaine d'élève, il peut y avoir l'un d'entre eux qui déroge aux règles pour se faire remarquer. Les encadrants disposeront alors de tous les moyens pour remettre ce récalcitrant dans le droit chemin. Il leur suffira d'augmenter la sévérité des fessées et la durée des mises au coin jusqu'à ce que celui qui a tenté de se distinguer cède. L'usage des instruments punitifs sera alors largement recommandé et il pourra être nécessaire qu'ils laissent des marques durables sur les fesses. Une longue frottée aux orties pourra alors être salutaire. Il doit être clair avec chacun des élèves que cela fera partie des prérogatives de chacun des encadrants, ils devront en avoir accepté la possibilité.
Si cela ne suffit pas (refus obstiné de s'amender ou de rester au coin, provocations incessantes...) ou en cas de refus d'une fessée, le conseil des encadrants pourra décider d'exclure l'élève en question. Cette exclusion doit être réelle. Chacun doit savoir, au début du séjour, que cette possibilité existe. Elle doit être réservée à des circonstances spéciales rendant la poursuite du séjour impossible pour tous les autres participants : refus physiques répétés de l'autorité des encadrants, de voir sa culotte baissée, de recevoir une fessée ou de faire une punition... je ne vois guère que cela.
Les entretiens préalables à l'acceptation des candidatures d'élèves devrait permettre de minimiser ce risque. Je ne vois pas pourquoi une personne qui souhaiterait être élève dans cette école et qui a accepté toutes les règles par avance, compromettrait le bon déroulement du séjour par la suite.
JLG.
il y a 2 ans

Bonsoir, l'exclusion ou la menace d'en arriver à cette option radicale est à mon sens la solution, je suis d'accord.

Mais de toute façon moi je vais resté sage.... enfin c'est une promesse que je n'ai pas toujours tenue 😁
il y a 2 ans

Bonjour,
Il reste effectivement à monter ce type de projet. Je veux bien aider dans l'organisation et, évidemment participer à la sélection des participants et en tant qu'élève. Qui connaitrait un lieu où pourraient être hébergés une quinzaine de personne, assez discrètement pour que la situation "école avec un recours à la discipline" puisse se tenir sans difficulté ?
JLG.
il y a 2 ans

Bonsoir Josip,

Votre idée est intéressante, mais elle est à mes yeux très réducteurs. Par exemple, personnellement, je ne m'inscrirais pas à ce type de rencontre.
Pourquoi?
Parce que vous n'avez qu'à la bouche, discipline et punition. Ou sont les plaisirs dans tous cela? Je parle également du plaisir de pouvoir provoquer, jouer, tout en sachant que je risque de recevoir une fessée. Vous imposez un style de discipline que beaucoup de personnes vont refuser. En effet, je n'autoriserai personne à me faire des marques durables en dehors de mon Maître. Pourquoi? Parce que je ne veux pas de marques durables et parce que on ne sait pas comment "les encadrants" jouent et qu'elles sont leurs niveaux. De plus, je ne vais pas dans un événements de ce type, pour savoir que si je veux m'amuser et délirer, on va chercher à me "briser" voir à m'exclure. Et en parlant d'exclusions, si vous faîtes payer les gens, cela sera impossible, ou vous risquez des ennuis.

Après, je ne suis pas fermée à ce type de rencontre, j'en ai déjà fait une , avec un réglement plus léger, où le jeu était possible.
il y a 2 ans

Bonjour Malicia,
Vous avez raison en ce qui concerne les paiements. Il faudra éviter les échanges d'argent entre les participants. Une contribution directe pour régler l'hébergement si nécessaire, et une contribution en nature pour les repas, devraient régler cette question. Ce n'est évidemment valable que pour les courts séjours, mais c'est par là qu'il faut commencer.
Croyez-vous quand, il y a encore quelques années, un ou une enseignante baissait la culotte et fessait un ou une élève devant toute la classe, il y avait quelque part une recherche de plaisir ou le choix, pour l'enseignant(e) de punir l'élève de façon suffisamment magistrale pour qu'il comprenne l'importance de l'écart qu'il avait commis et lui éviter de retomber dans les mêmes travers ? Quand à l'élève, je pense qu'il n'avait pas son mot à dire mais je ne crois pas qu'il y trouvait du plaisir.
Si, un jour, cette d'école voit le jour, c'est bien le respect envers les enseignant(e)s, la discipline à laquelle seront soumis les élèves et le travail scolaire fourni qui seront le socle sur lequel elle reposera. Il va donc de soi que les enseignants auront une obligation de résultat dans ces trois domaines et il leur reviendra de l'obtenir de leurs élèves. Quelle meilleure façon de faire que de donner la fessée déculottée quand elle sera méritée ?
Les fessées pourront être sévères. Elles pourront laisser des marques sur les fesses, en sachant qu'il s'agit bien de punitions scolaires. Il ne s'agit pas de "briser" les élèves, mais de leur faire comprendre quand ils ont dépassé les limites. Dans le fond et dans la forme, elles devront rester dans ce cadre, tout en les adaptant à l'âge des punis. Une dizaine de claques à main nue sur le fond du pantalon pouvait suffire dans un cadre scolaire enfantin, il va de soi que ce ne serait pas suffisant pour apprendre à des adultes qu'ils viennent de se comporter de façon inappropriée. Quand, dans mon précédents post, j'évoquais une très grande sévérité et une possible exclusion, c'était dans la situation extrême où l'attitude d'un élève compromettrait le déroulement de la fin du séjour.
En ce qui concerne la sévérité des punitions, je crois que la situation obligera à faire confiance aux encadrants... ce qui oblige à les recruter avec précaution. Il doit être bien clair avec eux qu'ils agissent dans un cadre scolaire, ce qui signifie que les punitions, bien réelles, devront être adaptées à la faute que l'élève à commise et à son âge. Je pense que l'on peut également compter sur la régulation que pourra effectuer le collectif des encadrants. C'est également pour cela qu'il faut commencer par de courts séjours, ce qui permettra à tout le monde de s'adapter au contexte.
En ce qui concerne le plaisir de l'élève, je ne crois pas qu'il puisse être immédiat. Ceux qui ont déjà reçu une réelle fessée déculottée le savent. Une fessée est une punition qui doit faire mal aux fesses si on veut qu'elle ait une quelconque efficacité. La satisfaction réside dans la situation d'ensemble et le plaisir est souvent différé en repensant à ce qui a été vécu durant le séjour.
Je suis bien conscient, qu'avec de telles règles, ce séjour scolaire ne conviendra pas à tout le monde, pas plus que des événements soft où le jeu de rôle est la règle ou ceux qui sont évoqués dans la réponse ci-dessus, ne satisfont pas toutes les personnes. Pour ma part, je ne m'y inscrirai pas, mais je comprends que d'autres le fasse. J'entends bien que vous refuserez, Malicia, de vous inscrire à ce type de rencontre, mais j'espère qu'il y aura suffisamment de monde intéressé pour constituer un groupe d'élèves et les quelques enseignant(e)s nécessaires. Vous n'en serez pas... du moins pas des premières.
Cordialement et avec mes regrets.
JLG.
il y a 2 ans

Cela dit, cette école n'est pas encore prête à fonctionner. Il y a encore du chemin à faire.
JLG
il y a 2 ans

Je suis entièrement d'accord avec Malicia pour son raisonnement.
On parle que de discipline mais où est le plaisir de jouer.
Pour une personne comme moi qui aime bien les provocations comment fait on.
Pour ma part je n'acceptent pas les marques de n'importe qui effectivement ont sait jamais un rdv médical inopportun ça peut arriver.
Puis beaucoup de personnes n'aime pas être fessée en public où si y a pas un minimum de confiance avec les accompagnant.
On est plus à l'école mais adultes voilà un problème déjà.
Et la complicité le plaisir de jouer y en a pas que de la discipline pur et dur cela est bien dommage.
Une école de ce genre demande beaucoup de précautions à prévoir si on veut pas avoir toutes sortes d'ennuis.
Autant pour les accompagnants où fessées et bien sûr l'organisateur.
Après il faut voir cela est possible mais sur 1 week-end pour le début à mon avis.
Je donne juste mon avis personnel
il y a 2 ans

@Josip : Je comprends votre raisonnement, sur le fait que à l'époque, les professeurs et les élèves ne pouvaient pas prendre de plaisir et pour cause.
Mais, nous parlons de jeu entre adultes consentants et non pas d'obligations imposées à des enfants. Et c'est là que viens le problème, la plupart des pratiquants de la fessée ne cherchent pas à perdre totalement le contrôle à avoir une autorité absolue, cela se rapproche plus du BDSM que de la fessée.
Ensuite, si un des élèves est ingénieur par exemple et si les cours sont de niveau seconde, vous croyez vraiment qu'il va avoir du mal à avoir le niveau?? Votre vision de cette école va se restreindre à un petit nombre de personne qui a exactement cette vision. Mais, je souhaite réussite à cette entreprise et je confirme que vous ne me verrez jamais à ce type de week-end.

PS : vous dîtes "pas plus que des événements soft où le jeu de rôle est la règle ou ceux qui sont évoqués dans la réponse ci-dessus," : Les événements ne restent jamais totalement dans le soft, c'est peut-être le cas au début mais cela ne dure pas. A la différence c'est qu'il n'y a qu'une trame de départ et qu'ensuite tout se fait au feeling et à l'authentique ^^
il y a 2 ans

Bonjour Bellefesse45 et Malicia,
J'ai vraiment l'impression que confier la responsabilité de la discipline, même durant un week-end, à un staff d'encadrant d'une école disposant du droit et du devoir d'administrer la fessée, y compris devant toute la classe, quand les élèves l'auront mérité, ne vous convient pas. Rien ne vous oblige à venir. A moins que ce ne soit une façon d'y venir quand même pour voir... tout en disant qu'on ne veut pas y venir. L'avenir le dira peut-être.
J'espère simplement qu'il y aurait assez de monde pour faire une classe et le nombre d'encadrants. Cela reste, en effet, à démontrer et l'école reste à organiser. Nous n'y sommes pas encore.
Cordialement,
JLG.
il y a 2 ans

Bonjour Josip,

Ni moi, ni Bellefesse45, n'avons de problème à recevoir une fessée devant du monde, , c'est du déjà fait. Et pour le staff encadrant, c'est du déjà vécu également me concernant.
Non, le problème est que cela ne laisse aucune marche de manoeuvre au plaisir de ce monde.

vous dîtes : "A moins que ce ne soit une façon d'y venir quand même pour voir... tout en disant qu'on ne veut pas y venir. L'avenir le dira peut-être." : Absolument pas, pour deux raisons. Ce type de fessée, cela ne m'intéresse pas, je déteste les punitions donc je fais tout pour les éviter. Et ensuite, parce que mon Maître ne m'y autoriserais pas et pour cause, on ne connaîtraient pas les gens et que nous ne jouons pas sans connaître par avance les personnes. Maintenant, faire ce type de délire sur une soirée avec un groupe de personne que l'on connaît oui, mais une soirée pas plus. Cela ne m'intéresse pas. Donc non, aucune chance que je vienne un jour sur ce type de rencontre qui ne correspond pas à MON type de jeu.

Mais comme je l'ai dit, je vous souhaite de trouver les personnes pour réaliser ce projet
il y a 2 ans

bonsoir Josip
pour moi le monde de la fessée est un univers ou l'envie du jeux est primordiale; il n'y a rien d'amusant et pas de plaisir dans l'univers de la punition; je prend l'exemple d'un soumis ou d'une soumise joueuse, votre école sera pour lui ou elle infréquentable car il n'y à pas l'esprit du jeux de la fessée
de plus nous sommes tous des adultes libre et consentants à la recherche du bien être et du plaisir partagé donc peut être trouverez vous les soumis et encadrant qui correspondrons à votre école et sa discipline
bon courage à vous
il y a 2 ans

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