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Bonjour à tous,

suite à une discussion, je pose la question ici, qui s'adresse à tous le monde :

Faut-il obligatoirement être soumis(e)/dominant(e) pour aimer et/ou pratiquer le BDSM?

Merci pour vos avis !

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Bonjour, ça aide oui.

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Ben disons que, c'est un peu l'idée.
Fais du bondage à une vanille pure, tu vas te retrouver au poste pour séquestration et "torture"...

A moins que le concept soit, je ne connais pas, montre moi je te dirais si j'aime ou pas, sinon en effet le postulat de base est indispensable.

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9 semaines et demi et 50 nuances gris, c'est du SM fait pour les vanilles, c'est pour ça qu'ils fantasment dessus

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Bonjour à toutes. Encore une bonne question. Je pense que cela dépend du sens que l’on donne au concept de soumise. Oui il faut être soumise si l’envie est de tout déléguer à son dominant, y compris dans le quotidien, ne plus avoir envie de prendre une quelconque initiative.

Non si l’idée est, durant une période, une session, une séance, une durée définie, confier à son partenaire la maîtrise des choses, du déroulé, dans la limite des choses prédéfinies en amont. On peut être dominante (au sens que l’on accepte pas qu’on marche sur les pieds, on prend des initiatives et on défend ses idées, on organise des choses) au quotidien et se soumettre par jeux par envie par plaisir pour des moments de jeux. Soumise est donc une notion au sens variable et personnelle a chacun chacune et variable en fonction des moments.

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Une très bonne question MAIS il faut savoir qu'il y a :
- Des masos qui ne sont pas soumis ou soumises. (J'en ai connu et des 2 sexes) La dernière femme maso en date aimait les fessées ULTRA sévères et le fouet mais n'avait RIEN d'une soumise. Essayer de la mettre à 4 pattes était risqué !
- Des switchs qui aiment jouer des 2 côtés mais qui ne sont pas du tout de réels soumis ou soumises.
- Des faux soumis qui dictent ce qu'ill faut leur faire --> à la limite de passer commande comme sur un catalogue.
Autre exemple histoire d'en donner un : on peut très bien aimer les sensations du shibari et refuser de se soumettre.

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Bonjour Papillon57. À mon avis non il n'est pas obligatoire d'être dans un des 2 camps soumis(e);ou dominant(e) pour pratiquer le BDSM.
Il y a tellement de nuances en sexualité que l'on peut à mon avis faire du BDSM sans même le vouloir ou savoir ce que c'est exactement.
Et puis pourquoi tout mettre absolument dans des cases ou vouloir tout catégoriser ? On peut très bien à mon avis ne pas soucier de savoir ce que l'on aime faire rentre dans la case "BDSM". On fait ce que l'on a envie, point... à mon sens.

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menottes à fourrure ou fers médiévaux, choisis ton camp

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Merci pour vos réponses et vos avis !

@Paline-H : aucun des deux pour moi! lol

Pour moi, le BDSM est quelque chose que j'aime, mais pour autant, je ne me soumets pas. C'est un échange d'égal à égal.
Un exemple idiot : j'aime le fouet, j'aime sa caresse sur mon corps et son claquement. Donc, si j'ai envie de jouer fouet et que mon partenaire aussi, c'est parfait. Mais il est un partenaire, pas un dominant.

J'ai un partenaire de jeu en fessée, où la dernière fois, nous avons eu une discussion sur un nouvel instrument qu'il avait vu sur internet, pendant une fessée. Et il n'y avait rien d'anormal à cela, que ce soit pour lui ou pour moi.
Il n'y as pas de règle, pas de relation de dominance.

D'accord, je dois être une extraterrestre à vos yeux, mais je m'en remettrai ! ;-)

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Bonjour , effectivement moi je suis switch , j aime les sensations et même si je suis un peu plus soumis que domi , j ai du mal a trouver des partenaires de jeux car on est pas prit au sérieux alors que l on a plus d expérience et de ressentit lorsque l on pratique puisque qu on a déja eut la sensation des deux cotés.
Et j aime faire partager cette sensation a mes partenaires.
j ai vécu 5 ans avec une femme ou l on était switch tous les deux , et c était le 1er rentrés a la maison qui décidait de la soirée et du coté ou il voulait être c'était le top et on ne trainait pas pour rentrer du travail, idem pour acheter des tenues ou accessoires, on avait la meme taille et corpulence a l'époque ,
Aujourd hui on nous demande de se caler forcement dans une catégorie, alors je vais dire que je suis soumis , mais je suis surtout fétich et joueur et j aime les sensations

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@papillon57 : Mais non, tu n'es pas une extraterrestre, pas sur cela en tout cas ! ^^
Personnellement, je fonctionne toujours à ta manière quand je joue avec quelqu'un d'autre que mon cher et tendre Maître.

On peut jouer fessée, mais pas d'autorité ou autre chose. Il y a un de mes partenaires qui a essayé à une époque, je lui ai dit en étant installée couchée sur ses genoux, que si il continuait sur cette voix là, on arrêtait. Que ce n'était pas ce que j'attendais de lui.

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Il est intangible que nous avons tous une pas de dominant et de soumis. Ce ne sont d'ailleurs pas des vases communiquants, on peut être très soumis et très dominant, j'en ai croisé. Et c'est sûrement le cas des switches.

Qu'on le veuille ou non, dans la vie de "tous le jour" nos tendances à l'un ou l'autre sont activés régulièrement.
J'entre dans un magasin, une vendeuse vient s'enquérir de mes envies, j'ai une position de dominant. Si elle cherche à me manipuler commercialement, c'est elle qui voudra dominer.
Nous sommes soumis à l'impôt.... Etc.

A l'inverse de la question de papillon57, nous sommes soumis ou dominant sans forcément entrer dans le monde BDSM. 😉


Mon point de vue est que c'est plus subtil. J'ai remarqué qu'il y a dissymétrie dans les acceptions de la domination et la soumission.

Il y a des dominants, puis les Dominateurs ou Dominatrices. On ne s'étonnera pas que ces derniers soient considérés comme évoluant dans le BDSM.
Il y a les soumis, puis les soumis.... Le même mot pour plusieurs formes de relations humaines.
Je pense que ce n'est pas un détail car cela crée de la confusion qui justement pousse peut-être papillon à interroger le rapport soumis au BDSM.

Si on faisait un sondage je suis pratiquement sûr ce sont surtout les soumis ou soumises, ou alors ceux qui ont cette position dans les jeux BDSM qui se posent la question.

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En tout cas je.me la suis déjà posée cette question.

Et s'il existe des cas où l'on peut jouer au BDSM sans être dans une dynamique de soumission ou domination - par exemple une fessée en introduction à une relation sexuelle - je crois que généralement le monde du BDSM est peuplé de soumis et Dominateurs. Et soumises et Dominatrices.

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Question intéressante je pense un peu faussée, si c'est pour vraiment aimer le BDSM (Bondage, Discipline, Sadisme, Masochisme) la réponse et dans la question.
S'il s'agit des jeux érotiques, de sensations en rapport avec les matières, les claquements et sans les relations de domination / soumission, beaucoup de joueurs pratiquent sans être soumis ou Maître.
C'est l'entrée de l'enfer, le vestibule avant les cercles. Choix alors de rester sur le seuil ou de passer Cerbère.

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Bonjour.
@. Maîtresse Aska : dans le triptique BDSM, vous avez omis Ds, domination / soumission. Par définition cela implique une relation Dominant / soumis. Donc oui à mon sens, il faut qu'il y ait un(e) Dominant(e) et un(e) soumis(e) afin d'aimer et de pratiquer le BDSM à sa juste valeur.
Évidemment cela n'est pas obligatoire mais rentre t'on vraiment dans la peau de son personnage si l'on n'est ni l'un ni l'autre ou si l'on ne joue le jeu qu'à moitié ? 🤔

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@Dame Endura, merci pour ce recadrage.
Avec kajira nous vivons une relation de couple BDSM 24/7, un cas ou nous ne jouons plus vraiment un rôle, nous vivons ainsi.
Le principe les cercles de Dante, chacun doit avoir son "supplice" personnalisé, par rapport à sa vie, ses envies, ses possibilités.

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Maitresse Aska , quand on peut le vivre en cpl c est magnifique je l ai vécu 5 ans c'était le top

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Je suis parfaitement d'accord :)

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ce que j ai loupé car trop jeune et je n assumais pas , j ai rencontré plusieurs fois un cpl de lesbiennes qui voulait que je devienne leurs jouets, pour exib ext m en enmenner en soirées etc mais a cet époque je n osais pas encore , mais je crois que ça a été aussi un de mes moments forts de mon expérience BDSM

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Ah Ah, ces lesbiennes les garces