Le voyage d’un soumis
Être initié à la pénétration par sa Maîtresse est une expérience singulièrement délicate, car c’est à travers cet acte qu’elle fait l’amour à son soumis. Je n’y vois que beauté et extraordinairement sublime. C’est un don, une récompense que la Maîtresse offre à son soumis, lui octroyant le privilège de jouir tandis que le soumis se livre avec abandon, offrant son intimité à sa Maîtresse. De la même manière qu’un tendre baiser échangé au cours de l’acte est apprécié par le soumis.
Je garde en mémoire un instant gravé : lors d’un séjour au bord de la mer, ma Maîtresse m’avait fait l’amour sur le balcon, les mains posées sur la rambarde, entièrement livré à ses désirs. Nous avions ri de bon cœur après coup, car l’arrivée inopinée des voisins avait failli nous surprendre. Pourtant, ce moment demeurait inoubliable, avec la mer pour seule complice.
Le soumis ressent toujours un honneur particulier à porter en lui un plug ou à s’empaler délicatement sur un god à ventouse lorsqu’il s’assoit. J’avoue que cette sensation de plénitude est troublante, préparant à un échange charnel profond entre deux êtres unis par l’amour. Par ailleurs, la cage de chasteté, en limitant certains plaisirs, ouvre la porte à d’autres formes d’intimité, plus subtiles.
Ma Maîtresse aimait me faire goûter son god ceinture, et me disait souvent que je finirais par le faire aussi avec des hommes. Je doutais, connaissant sa jalousie farouche, mais elle aimait me préparer ainsi, m’imposant parfois, après mes plaisirs solitaires, d’avaler ma semence. Il arrivait qu’elle m’attache sur une chaise, alors que je restais impuissant, empalé sur mon god.
Un samedi après-midi, nous avions rendez-vous dans un café avec un homme. Au départ, je crus qu’il s’agissait de me présenter son amant, mais ce ne fut pas le cas. Progressivement, je compris que ma Maîtresse avait organisé cette rencontre pour me présenter à cet homme, avec qui elle avait déjà échangé. Visiblement, sa proposition avait trouvé grâce à ses yeux.
Sur le chemin du retour, ma Maîtresse me confia : « Il n’y a pas de raison que je sois la seule à m’amuser. Je t’ai trouvé un amant, et je veux être fière de toi. » Ce même soir, nous avions rendez-vous chez lui. Devant sa porte, ma Maîtresse m’ordonna de me dénuder, me passa un collier et me laissa là, vêtu seulement de ma cage de chasteté et d’un rose bud. Elle me demanda si j’étais prêt à franchir le pas, m’avertissant qu’il n’y aurait plus de retour possible. Je vis alors ses yeux briller, et je fis le choix d’entrer.
Pendant l’apéritif, ma Maîtresse prit rapidement les commandes. Il était clair que nous étions là pour un seul but. Me voilà donc à genoux, à prodiguer une fellation à cet homme, tenu en laisse par ma Maîtresse qui orchestrerait chaque geste. Hésitant au début, je ne voulais pas la décevoir et me conformai à ses attentes. L’homme me guidait dans mes mouvements, jusqu’à jouir dans ma bouche, ce que ma Maîtresse exigea que j’avale. Pour s’assurer de ma sécurité, elle avait effectué un test HIV.
De retour chez nous, ma Maîtresse s’effondra sur le canapé. Je me mis à ses pieds pour la déchausser, et elle murmura qu’elle était fière de moi, souhaitant que je découvre d’autres saveurs que la mienne après mes plaisirs solitaires. Après une douche apaisante, ce soir-là, j’eus l’honneur de partager son lit. Elle me fit l’amour avec son god ceinture d’une manière inédite, témoignant de l’excitation intense qu’elle avait ressentie en me voyant ainsi. J’étais fier d’avoir su lui procurer un tel plaisir.
Par la suite, j’ai souvent eu l’occasion de partager des moments avec cet homme, et ma maîtrise dans l’art de le satisfaire s’est peu à peu affinée.
Ma Maîtresse, quant à elle, tirait fierté et satisfaction de cette ouverture qu’elle m’avait offerte, de cette audace que j’avais su incarner. Elle voyait en moi non plus seulement un soumis, mais un être capable d’offrir et de recevoir, d’aimer et d’être aimé, dans la vérité la plus nue et la plus authentique.
Ce soir-là, mon amant était invité à dîner. Tandis que je m’affairais en cuisine, je les entendais échanger dans le salon. La voix de ma Maîtresse traversa la pièce, basse mais claire : « …maintenant, il est prêt. »
Je servis le repas, le cœur battant, conscient que ce soir ne serait pas comme les autres. Au moment de débarrasser avant le dessert, Elle me rejoignit, accrocha la laisse à mon collier, puis, dans un murmure presque tendre, déclara : « Ce soir, vous allez vous unir. »
Elle me guida jusqu’au salon. À genoux sous la table, je défaisais la fermeture du pantalon de Roger avec des gestes appliqués. Son sexe, déjà gonflé d’excitation, m’attendait. Je l’accueillis dans ma bouche, lentement, attentivement, sentant sa chaleur et sa tension croître sous ma langue. J’aimais sentir son désir grandir sous l'œil de ma Maîtresse.
Quand Elle estima que le moment était venu, Elle tira doucement sur la laisse et m’ordonna de me relever. Mes mains prirent appui sur la table, et je me cambrai, les jambes écartées, offrant sans retenue l’intimité de mon corps.
Elle dit à Roger : « Maintenant, tu peux le prendre. »
Je sentis sa main sur mes hanches, son corps contre le mien, puis la pression, ferme, irrésistible, qui s’imposait en moi. La pénétration, lente d’abord, me fit haleter. Mon corps s’ouvrait à lui, mû par l’envie et la soumission.
Ma Maîtresse, assise juste en face, gardait sa main dans la mienne. Son regard plongeait dans le mien, intense, fier. Je serrais ses doigts fort à mesure que le plaisir montait, entre douleur douce et exaltation brûlante. Je crus même deviner, au discret mouvement de ses cuisses, qu’elle se caressait, témoin excitée de cette offrande.
Roger accéléra, ses va-et-vient devinrent plus pressants, plus profonds. Je gémissais à chaque coup de rein, emporté par l’onde de sensations. J’étais à Elle, mais c’est lui qui me prenait – et cette contradiction me comblait.
Quand il jouit en moi, je frissonnai tout entier. Mon propre sexe, enfermé dans sa cage, laissa échapper quelques gouttes, preuve silencieuse de mon plaisir.
Il resta un instant contre moi, haletant. Puis il se retira. J’étais trempé de sueur, vidé, submergé.
Ma Maîtresse s’approcha et m’embrassa doucement sur la joue. « Je suis fière de toi », murmura-t-Elle. C’était la première fois que je vivais une telle expérience.
Je baissai les yeux, ému et bouleversé, et la remerciai. Elle me répondit d’un sourire : « Tu verras, le vrai plaisir ne fait que commencer. »
Un autre soir, comme souvent, nous sommes allés chez lui. Selon notre rituel, je me suis entièrement déshabillé à l’entrée. Ma Maîtresse m’a passé mon collier, a accroché la laisse… et nous sommes entrés. Dans le salon, il y avait mon amant — et un inconnu. Je suis resté figé, rouge de honte, intimidé par ce regard étranger posé sur mon corps nu et soumis.
Ma Maîtresse s’est approchée de moi, a glissé ses lèvres à mon oreille et m’a soufflé doucement :
« Ce soir, tu vas franchir un cap. Tu vas t’offrir à deux hommes. »
Elle m’a embrassé tendrement, calmement, et m’a dit avec un sourire doux mais ferme :
« C’est ta soirée. Amuse-toi. »
Sous sa direction, j’ai donc obéi. Je me suis offert à eux, me laissant manipuler, explorer, pénétrer — guidé par les gestes et les ordres de ma Maîtresse, même si, cette fois, elle restait en retrait, observant avec un plaisir évident. Je la voyais sourire, satisfaite. Et moi… j’étais troublé, submergé, mais profondément excité. Je découvrais ce que c’était que d’être pris, entièrement, par deux hommes. Je me suis abandonné.
Au cours de la soirée, alors que j’étais encore nu et offert, Ma Maîtresse s’est approchée et m’a retiré la cage de chasteté. Puis, d’un ton ferme, elle m’a ordonné de me mettre en 69 avec l’un des hommes. Je n’ai pas hésité. À genoux, je l’ai sucé pendant qu’il me léchait, sous le regard brûlant de ma Maîtresse. Elle ne disait rien, mais je savais qu’elle contrôlait tout.
Une fois ce moment passé, elle m’a re-verrouillé, comme pour me rappeler que mon plaisir ne m’appartenait pas. Je l’ai accepté, reconnaissant.
Sur le chemin du retour, je conduisais, le corps marqué et la tête pleine d’images. J’ai simplement dit :
« Merci, Maîtresse… Je vous aime. »
Elle m’a ordonné de m’arrêter, calmement. J’ai obéi. Elle m’a dit de venir de son côté, et de me mettre à genoux sur le bas-côté. Là, dans la nuit, elle m’a regardé dans les yeux :
« Alors, c’était ta première fois… Tu as aimé cette fellation ? »
J’ai hoché la tête. Elle m’a souri et m’a dit simplement :
« Il y en aura d’autres. Mais ce ne sera qu’avec des hommes. »
Puis elle m’a demandé de me déshabiller à nouveau. Elle a remis le collier, accroché la laisse. Je l’ai suivie à genoux. Elle s’est assise sur le siège, les jambes écartées. C’est là, dehors, que je lui ai donné du plaisir avec la bouche, longuement, avec dévotion. Et en guise de récompense, elle m’a offert une douche dorée, chaude et soumise, que j’ai reçue en silence, les yeux fermés.
Ce soir-là, j’ai eu l’honneur rare de partager son lit. Ma cage a été retirée pour que je puisse enfin jouir, vidé, abandonné… et comblé.
Ce soir-là n’était que le début d’un voyage nouveau, d’un chemin où je me suis abandonné encore et encore, toujours guidé par la main ferme et tendre de ma Maîtresse.
Il y eut bien d’autres aventures, toujours plus intenses, toujours plus exigeantes. Sous ses directives précises, j’ai exploré des plaisirs que je n’aurais jamais imaginés, me livrant corps et âme à ses désirs et à ceux qu’elle choisissait pour moi.
Une fois, alors que nous faisions des courses au supermarché, le hasard a voulu que nous croisions mon amant dans une allée. Ce simple hasard a immédiatement fait « tilt » dans l’esprit de ma Maîtresse. D’un geste ferme, elle m’a ordonné de le suivre jusqu’à sa voiture, garée non loin.
Sur le parking, sous le regard vigilant de Ma Maîtresse, j’ai sucé mon amant avec empressement. Il fallait faire vite : le caddie débordait déjà de surgelés qui menaçaient de fondre, mais l’urgence de l’instant, l’excitation d’être ainsi surpris et dominé en public, rendaient ce moment encore plus brûlant.
Chaque rencontre, chaque épreuve était une occasion de lui prouver ma dévotion, de repousser mes limites dans la confiance absolue qu’elle m’accordait. Que ce soit à deux, à plusieurs, ou dans la solitude imposée de mes jeux, je restais son jouet, son esclave, son objet de plaisir et d’obéissance.
Ma Maîtresse orchestrant tout, toujours présente dans mon esprit, dans chaque geste, chaque souffle, chaque ordre murmuré. Sa satisfaction était ma récompense suprême, et son regard mon guide indéfectible.
Ainsi, les nuits se sont succédé, mêlant douleur et délices, soumission et épanouissement, dans un ballet où j’étais à la fois captif et libre, prisonnier volontaire de cet amour intense et passionné.
Mais hélas, comme souvent dans ces relations intenses, notre histoire a fini par prendre fin. Malgré tout ce que nous avons partagé, nos chemins se sont séparés.
Je garde au fond de moi ces souvenirs, ces sensations, cette part de moi que Ma Maîtresse a su éveiller, et la gratitude pour ce qu’elle m’a fait découvrir de moi-même.
il y a 2 jours
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