Mariage
Mon cœur, sans doute un peu fleur bleue, en imagine le plus pur symbole : non pas l’échange de bagues, mais le don solennel d’un collier — lien d’appartenance, sceau d’éternité.
Laissez-moi vous conter ce rêve. Ce n’est que fiction, un doux tableau peint avec les couleurs du désir et du respect.
Imaginez une chapelle discrète, presque secrète, baignée de lumière tamisée.
La Maîtresse y entre, majestueuse, par la grande porte. Elle tient en laisse son esclave, qui la suit, humble et fier, au rythme lent d’une mélodie céleste.
À sa droite, une Dame — témoin de l’instant. À sa gauche, son Amant — gardien silencieux de ce pacte sacré.
La Maîtresse resplendit dans une robe blanche comme la lumière du matin. Ses jambes gainées de bas délicats, ses pieds glissés dans de fins escarpins, Elle avance avec une grâce souveraine.
L’esclave, lui, est nu, à l’exception d’une cage de chasteté, clé précieusement suspendue au cou de sa Maîtresse, comme un talisman. Il arbore un bijou discret, un rosebud serti d’un diamant, éclat secret de son offrande.
Elle le mène avec douceur, mais fermeté. D’une main, la laisse ; de l’autre, la cravache — sceptre de son autorité bienveillante.
Ils avancent vers l’autel. Là, sur un simple tapis, l’esclave s’agenouille, sur ordre de Celle qu’il vénère.
Le silence s’épaissit. La Dame de cérémonie prend la parole : chaque mot pèse, chaque phrase enlace.
L’esclave promet. Il s’offre. Il jure fidélité, obéissance, amour. Puis il signe, d’une main qui tremble un peu mais dont le cœur est certain.
Il se penche et dépose un baiser aux pieds de sa Maîtresse, geste pur, humble et sacré.
Alors, dans un silence presque sacré, Elle prend un collier d’acier poli, nouveau, étincelant — et le passe autour du cou de son esclave. Ce n’est pas un bijou, non. C’est un serment. C’est l’ancre d’un lien que rien ne saurait rompre.
Ils sont beaux, si beaux à voir. Non pas parce qu’ils se possèdent, mais parce qu’ils s’appartiennent.
L’Amour les unit, tissé d’autorité, de tendresse, d’un respect infini.
Alors la Maîtresse, le regard plein d’émotion, murmure simplement :
— Je t’aime.
Et l’esclave, les yeux brillants, lui prend la main avec douceur et répond :
— Je vous aime aussi… plus que tout, Maîtresse adorée.
Puis, avec une infinie tendresse, il dépose un baiser sur sa main — comme on scelle un vœu d’éternité.
Quand l’engagement fut scellé sous les voiles d’un crépuscule solennel, l’esclave fut conduit, lentement, vers la croix aux bras ouverts — celle que l’on nomme de Saint André. Là, sous le regard clair de la Maîtresse et des témoins complices, il offrit son dos au souffle du rituel. Chaque trace du fouet, pareille à une calligraphie brûlante, chantait l’allégeance et l’amour en langue muette.
Puis, l’encre vint écrire sur sa peau l’éternité d’un lien : les initiales sacrées de sa Maîtresse, gravées avec soin, sous les vivats feutrés d’un public ému.
Le jour déclinait, mais l’heure du festin approchait.
Alors, l’esclave, devenu soubrette pour l’occasion, se para de soie et de fard. Bas fins comme des fils d’aurore, escarpins miroitant comme des étoiles. Une perruque aux boucles parfaites encadrait son visage, que la Maîtresse, douce magicienne, sublima de couleurs et de brillance. Elle posa elle-même le vernis, tel un sceau final sur une œuvre fragile et offerte.
Tous trois prirent le chemin de la salle, lentement, solennellement : la Maîtresse au bras de son amant, et derrière, la soubrette, guidée par la laisse, humble et resplendissante.
Sous les lustres et les murmures, elle servit les convives, comme une vestale au banquet sacré. Et quand la Maîtresse le souhaita, elle appela la soubrette à genoux, lui offrant, de sa main altière, un morceau de pain ou de fruit — don simple mais chargé d’une infinie douceur. L’esclave le reçut comme on reçoit une hostie.
Au moment du dessert, Maîtresse ordonne à la soubrette de se glisser discrètement sous la table pour satisfaire l’amant de Maîtresse. La soubrette s’applique avec expertise, déployant son talent bien connu pour offrir un plaisir intense. Sa gorge profonde et sa bouche gourmande sont un véritable délice pour les hommes qu’elle régale. Bientôt, l’amant atteint l’extase. Maîtresse, fière de sa soubrette, observe avec satisfaction. Quelques gouttes de sperme restent sur le visage de la soubrette, que Maîtresse effleure du bout du doigt avant de glisser ce dernier dans la bouche de soubrette.
La soubrette se recoiffa, posa un nouveau voile de poudre, et reprit sa place — fière, disciplinée, presque lumineuse.
La danse s’ouvrit sur le couple rayonnant. Tandis qu’ils tournaient, elle les observait en silence, le cœur gonflé d’appartenance.
La nuit finit, comme finissent toutes les choses précieuses : dans un soupir, une étoile filante, un dernier regard vers ce qui fut. Il était temps de rentrer. Mais en chacun, la mémoire brûlait encore doucement, comme une braise secrète.
Les trois se dirigèrent vers la voiture. Maîtresse ouvrit le coffre, et la soubrette s’y glissa délicatement pour y prendre place. Pendant tout le trajet qui les menait à la maison, Maîtresse et son amant échangeaient des paroles légères, ponctuées de rires complices.
Pour cette nuit de noces, l’esclave était naturellement à la disposition de sa Maîtresse adorée. Une fois leur intimité retrouvée, Maîtresse ordonna à son esclave de se mettre à genoux et de fermer les yeux. Il eut alors le privilège d’une douche dorée — un présent précieux, une offrande intime par laquelle Maîtresse, dans un élan d’amour, marquait son territoire. Ce fut une part délicate et singulière de son essence, qu’elle offrait elle-même.
Puis, Maîtresse retira le plug rose, et décida de faire l’amour à son esclave avec son gode-ceinture. Fidèle à son dévouement, l’esclave l’avait au préalable lubrifié de sa bouche, en une tendre préparation. Hummm... Maîtresse rayonnait de bonheur, éprise et comblée. L’esclave savourait avec dévotion ce baiser d’intimité, ce moment suspendu où Maîtresse lui offrait tout son amour. Sa fierté était immense : offrir tant de plaisir à sa Maîtresse, en cette nuit mémorable.
Ils formaient un couple d’une beauté rare, unis par un amour profond et sincère.
Lorsque le moment vint, l’esclave revêtit une petite nuisette et se plaça humblement aux pieds du lit, cédant la place à l’amant de Maîtresse.
Il n’y avait là que la pureté d’un lien extraordinaire, un secret que les âmes ordinaires ne pourraient jamais comprendre. La vie gynarchique révélait ainsi sa plus belle facette, celle d’un couple magnifiquement formé.
Au fil de cette nuit, l’esclave ressentait avec fierté la caresse de la main de sa Maîtresse sur ses cheveux. Il était honoré qu’Elle lui tienne la main, même au cœur de ses ébats avec son amant.
À l’aube, l’esclave reçut l’ordre d’ouvrir les volets. Le soleil levant dévoila alors le sourire radieux de Maîtresse, nue et rayonnante sur le lit, pleine de joie. Pendant que son amant prenait une douche, celui-ci vint se placer à genoux au bord du lit. Maîtresse embrassa tendrement son esclave, murmurant « Je t’aime ». Il répondit avec tout son cœur : « Je vous aime plus que tout, Maîtresse ».
Puis, sur son ordre, il lécha délicatement Maîtresse pour effacer les traces laissées par son amant. Lorsque ce dernier revint de sa douche, l’esclave s’éclipsa, revêtit sa tenue de soubrette, et s’attela à préparer le petit déjeuner et à entretenir la maison, humble gardien de cet équilibre précieux.
Vient enfin le moment tant attendu du voyage de noces.
Maîtresse et son esclave s’envolent vers un pays empreint de magie, un royaume où les femmes règnent en souveraines incontestées, et où les hommes ne sont que de dévoués serviteurs à leur chevet. Un lieu semblable à cet univers singulier : https://fr.wikipedia.org/wiki/Other_World_Kingdom.
À la descente de l’avion, dans l’air chargé d’excitation et de promesses, Maîtresse passe doucement le collier autour du cou de son époux soumis. Sans hésiter, il ôte ses vêtements, s’abandonnant à la coutume de ce pays où l’esclave se doit d’être nu, dépouillé de toute fierté pour mieux appartenir. Quel exquis bonheur de se sentir ainsi, entièrement, à sa Maîtresse.
Le bus les conduit à la résidence estivale, et l’esclave, humble et fier, s’installe aux pieds de Maîtresse, déposant sa tête sur ses genoux avec une dévotion silencieuse. Elle caresse tendrement ses cheveux, comme on caresserait un petit chien fidèle, tandis qu’il porte, à l’arrière, les bagages – uniquement les siens, car les possessions d’un esclave se réduisent à une simple trousse de toilette.
Sur leur chemin, ils croisent d’étranges figures : des Dames parées de cuir, guidant leurs soumis en laisse, ou animées de fouets légers qui claquent sur la peau des esclaves récalcitrants. Ici, les interdits n’existent pas. L’esclave se délecte du bruit cristallin des escarpins de Maîtresse frappant le pavé, et reçoit en retour quelques caresses de cravache, signes joyeux de son emprise.
Arrivés à la chambre, il s’emploie avec soin à ranger les affaires, tandis que Maîtresse, impatiente, rêve déjà de la plage et du soleil. Il l’aide à se dévêtir, puis à enfiler son maillot de bain avec la délicatesse d’un serviteur comblé. Ensemble, ils gagnent les bains de soleil. Une fois allongée, Maîtresse fait tinter une petite clochette, commandant une boisson fraîche que l’esclave lui apporte sur un plateau, orné d’une rose, tendre offrande d’amour silencieux.
Il couvre de crème solaire la peau douce de sa Maîtresse, puis, en digne serviteur, lui prodigue un massage délicat des pieds. À son ordre, il retourne à la chambre pour achever le rangement. Avant de partir, il jette un regard admiratif vers cette femme radieuse, étendue en maillot, lunettes de soleil sur le nez, chapeau élégamment posé, incarnant la grâce d’une étoile hollywoodienne absorbée dans un roman captivant.
Alors qu’il s’affaire, un SMS lui parvient : Maîtresse lui ordonne de préparer un bain, car elle est sur le chemin du retour.
Lorsque Maîtresse revient, il passe sur sa peau le gant humide. Elle lui confie qu’elle aura besoin de la chambre un moment, pour s’abandonner aux plaisirs du maître-nageur. Car, après tout, c’est aussi cela les vacances : que Maîtresse puisse goûter aux délices de la vie.
L’esclave prépare la robe d’été que Maîtresse va revêtir. À genoux, il l’aide à chausser ses sandales, déposant un baiser tendre sur ses pieds délicats. Ravissante dans sa robe légère, elle ne porte pas de culotte. Sur son ordre, l’esclave la titille de sa langue, avant de la préparer à la visite qui vient de sonner.
Le maître-nageur apparaît, un bouquet de fleurs à la main. L’esclave les place dans un vase puis s’éclipse, les laissant à leur complicité. Oui, Maîtresse doit pleinement s’amuser, sa passion brûlante exigeant toute sa liberté.
Seul dans le couloir, l’esclave fait les cent pas, jusqu’au moment où un nouveau SMS le convoque à la chambre. Il ouvre la porte : Maîtresse est là, nue, étendue sur le lit, son visage rayonnant d’une lumière nouvelle, éclatante de bonheur. Elle lui sourit, lui ordonne de faire couler un bain.
Tandis qu’elle se détend dans l’eau chaude, il remet de l’ordre dans la chambre, refait le lit, jette les vestiges des plaisirs partagés.
Lorsque Maîtresse sort du bain, nue et resplendissante, elle s’allonge sur le lit et demande un massage, que l’esclave lui offre avec tout l’amour et la passion qu’il lui voue, honorant ainsi la femme qui illumine sa vie.
Le soir s’avance, et l’heure est venue de rejoindre le restaurant pour le souper. L’esclave, dans un geste empreint de dévotion, repasse avec soin la somptueuse robe que Maîtresse choisira de porter. Il assiste sa délicieuse Maîtresse dans l’art de se vêtir, agenouillé à ses pieds pour lui passer sa délicate petite culotte. Hummm… ce soir, Maîtresse revêt des dessous d’une finesse exquise. Avec une attention délicate, il agrafe la robe de soirée, et, en récompense, reçoit l’honneur d’effleurer de ses lèvres le cou de Maîtresse. À genoux, il aide à chausser ses escarpins et s’attarde à déposer un baiser tendre sur le cuir brillant de ses souliers.
Maîtresse lui ordonne alors de se mettre à quatre pattes. Elle glisse avec une infinie douceur un rose bud dans sa bouche, avant de le placer avec soin dans le secret de son corps, afin que ce joyau scintille, mystérieux, sous le voile de la nuit.
Ils prennent la route du restaurant, Maîtresse marchant devant, l’esclave suivant, tenu en laisse. Que Maîtresse est belle ainsi, portée par ses talons aiguilles Louboutin, dont le clac-clac régulier rythme la marche comme une mélodie envoûtante. Il savoure ce spectacle et prend place à ses pieds pendant le repas, se nourrissant avec dévotion des mets qu’elle lui offre, savourant ce partage intime du repas commun.
La conversation s’engage avec d’autres Dames, des confidences et des sourires légers flottent dans l’air. Après le dîner, Maîtresse et sa nouvelle amie choisissent de se retirer dans une alcôve au fond du restaurant. Doucement, Maîtresse ôte la cage de chasteté de son esclave, caressant sa joue d’un geste tendre, un sourire éclatant sur les lèvres. Elle lui ordonne alors d’un ton doux mais ferme de s’abandonner à un 69 avec le soumis de son amie. Sous les regards complices, il obéit, offrant ce plaisir, guidé par la voix douce de sa Chérie. Les rires joyeux témoignent de leur satisfaction mutuelle. Seules elles décident du moment où les deux soumis peuvent jouir, imposant à ceux-ci de tout avaler, sans rien perdre. Le jeu terminé, la cage retrouve sa place, symbole précieux d’appartenance ; Maîtresse porte fièrement la clé suspendue à son cou, comme un talisman.
Ils quittent le restaurant, main dans la main, formant un couple élégant, empreint d’une tendresse évidente. Au détour d’une ruelle, Maîtresse ordonne à son esclave de s’agenouiller, les yeux clos. Il reçoit alors une douche dorée, don précieux de son amour, qu’il recueille avec ferveur, ne laissant échapper aucune goutte, achevant avec sa langue de parfaire l’intimité de Maîtresse.
De retour à l’hôtel, Maîtresse s’abandonne sur le canapé. L’esclave, attentionné, déchausse ses pieds délicats, puis lui prodigue un massage qui dissipe les fatigues du jour. Maîtresse choisit alors d’aller prendre l’air sur le balcon, tenant son esclave en laisse. Elle lui ordonne de s’appuyer sur la balustrade, de cambrer le dos. Elle retire le rose bud, et, munie de son gode-ceinture, décide de s’unir à lui sous la voûte étoilée, la mer nocturne étendant son manteau d’encre au loin.
Hummm, Maîtresse est heureuse, son amour rayonnant. Elle pose ses mains sur les hanches de son esclave, le pénètre avec douceur, puis, peu à peu, ses mouvements s’accélèrent, emportée par un désir ardent. Ses cris de plaisir, échos de leur union, emplissent la nuit ; l’esclave sait qu’il a comblé sa Maîtresse d’une jouissance profonde, et en est fier.
Il savoure ce baiser tendre que Maîtresse lui offre au creux de ce moment suspendu. Elle lui fait l’amour avec une délicatesse infinie, si bien qu’un filet de plaisir s’échappe même de la cage de chasteté. Lorsque le plaisir de Maîtresse s’éteint, il est temps de se délasser sous la douche, avant le sommeil réparateur.
L’esclave se place sur le matelas posé aux pieds du lit, dépose un baiser tendre sur les pieds de sa Maîtresse. Elle lui murmure, avec douceur : « Je t’aime ». Et lui, avec tout son cœur, répond : « Je vous aime plus que tout au monde, Maîtresse ».
Demain est un autre jour, et Maîtresse s’apprête à vivre de magnifiques vacances, emportée par la promesse de beaux instants à venir.
il y a 2 jours
Mais après, rien n'empêche de faire sa propre cérémonie.
il y a 23 heures
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