Récits
La clef USB (10)
il y a 2 ans

De jeu en jeu

[Le début de cette saga est ICI](/recit/194768) C’est elle qui a eu l’idée. Qui le lui a proposé. - Tu sais, pour la vidéo de l’autre jour avec Damien. - Oui. Eh bien ? - Ce qu’on pourrait, c’est la regarder chacun de notre côté. Toi ici, dans le séjour. Et moi, dans la chambre, à côté. Et ça, tout en se parlant au téléphone. - Et pourquoi pas ? Ça aurait aussi son charme. Beaucoup de charme. Aussitôt dit, aussitôt fait. On s’est séparés. - T’es prêt ? - Oui. Toi aussi ? Et elle a été à l’écran. - Comment tu te défrusques ! T’y mets une conviction ! Ça pressait, hein ! C’était pas de coucher avec Damien qui pressait, non. C’était qu’Antoine la regarde coucher avec Damien. Et qu’il la filme en train de le faire. Nuance. Mais elle n’a rien dit. - Et comment tu te jettes sur sa queue ! Une vraie meurt-de-faim. Cette voix qu’il avait ! Chaude. Envoûtante. - Ah, tu la savoures, hein ! Faut reconnaître aussi qu’elle est pas mal du tout. Normal que t’appréc...
Soumis gratuit
il y a 2 ans

J’avais décidé de me lancer et de réaliser mon fantasme de soumission

Prenant mon courage, j’ai rédigé cette annonce et l’ai posée sur plusieurs pare-brise de voiture du foyer des travailleurs immigrés, boulevard du fier à Annecy. Moi homme, 49 ans, 1.80 m 95 kg, Passif. Mon fantasme : être ta chienne, ta pute, sucer à la chaîne des bites et plus si tu sais être dirigiste et faire de moi ta pute. Alors si tu veux que je sois à toi, mon mail : passif73200@..... Le matin même, fébrilement, j’allais consulter ma boîte et hélas toujours rien. Ce n’est qu’au bout de trois jours que quelqu’un me répondit. Après quelques échanges de mails, de photos et d’une conversation téléphonique afin de nous assurer de la véracité de nos dires, il me donna rendez-vous un vendredi soir sur le parking devant le stade. Il me disait s’appeler Ahmed, il avait 35 ans et recherchait un passif assez soumis pour le baiser et après, le faire baiser par deux ou trois autres. J’étais très excité et m'étais bien branlé en pensant à cette aventure malgré l'appréhension de...
Des défis entamés
il y a 2 ans

La suite Des Défis. L'éducation commence.

Debout je dû patienter, depuis un moment ; alors je croisai les bras. La posture de celui qui ne se sent pas à sa place, à l’opposé de Sabine toute détendue virvoltante, prises dans ses occupations. Elle avait étalé de multiples cartes et plans sur la grande table, sortis des tiroirs de son bureau. Ce désordre jurait avec son bel intérieur, l’ameublement du séjour que j’avais aperçu avant d’être cantonné ici dans un couloir est finement raffiné. Sabine me disait qu’il y avait là une activité typique à confier à un homme, un de ceux qui voulaient bien admettre son autorité. L’activité, qualifiée d’annexe, consistait à trier les documents déployés sur la table et leur présences ostensibles étaient le message que l’homme secondant la Femme donc assigné aux tâches annexes pourrait être moi. J’attendais l’ordre d’entrer dans la salle de bain de mon Hôtesse, tout encore habillé sauf les pieds nus. Enfin l’autorisation tomba, Sabine m’expliqua d’ôter tous mes vêtements afin de sauter dans...
Féministes et fesseuses de mère en fille
il y a 2 ans

Déculotter et fesser, une tradition familiale

- J’ai de qui tenir ! maman adorait fesser. Mais, les garçons surtout. Par chance, elle en avait un, mon aîné de trois ans. Il faut vous dire d’abord et ceci explique tout, peut-être, que maman était une féministe convaincue. Restée veuve après quatre ans de mariage, elle n’avait pas voulu se remarier, bien qu’elle eût été demandée plus d’une fois. C’est qu’elle n’avait pas été heureuse et sa première expérience ne l’incitait pas à recommencer. Mon père était, paraît-il, un coureur et s’il n’avait pas trouvé la m o r t dans l’accident du métro, en 1908, cela aurait tourné mal. Dans les affaires, ayant une belle situation, il lui laissait de quoi vivre et nous élever. Maman avait de l’instruction et s’occupait activement de politique et surtout de revendications féminines. Elle fréquentait certains groupements et assistait aux réunions, aux meetings prenant parfois la parole avec une énergie passionnée. C’était une grande femme châtain foncé. Je tiens mon blond de papa. Devanç...
Au bain
il y a 2 ans

Les caresses de sa servante manquent tellement à Madame.

– J’ai fait couler le bain de Madame. – Merci, Jeanne. J’arrive. Je m’y plonge voluptueusement. Je ferme les yeux. Et il y a les mains de Jeanne. Presque aussitôt. Douces. Caressantes. Expertes. Sur mon visage. Sur mon dos. Qui savonnent. Qui s’emparent. Qui s’éloignent. Qui reviennent. Qui s’attardent sur mes seins. Qui en font savamment dresser les pointes. – Jeanne… – Si Madame veut que je remplisse correctement mon office, il faudrait que Madame se redresse. Que je me… Oui… Voilà… Voilà… Les fesses. Qu’elle me masse délicatement. Longuement. Entre lesquelles elle se faufile. Elle remonte de l’autre côté. Elle presse. Elle sollicite. – Oh, Jeanne… Elle capture mon bourgeon. Elle se l’approprie. – Si Madame veut bien écarter… J’écarte. Je m’abandonne. Je m’offre. Elle se fait intrusive. De plus en plus. – Jeanne… Oh, Jeanne… Je chavire. Et je clame mon plaisir. Sans aucune retenue. Mais il y a ces autres matins. Ces matins où Jeanne a sa tête des mau...
La clef USB (9)
il y a 2 ans

Damien avec Christina devant Antoine qui filme.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/194768) Au téléphone, il n’a pas hésité une seule seconde. Bien sûr qu’il pouvait se libérer ! Bien sûr. - Demain, ce serait possible ? Ça l’était, oui. - Mais si tu m’expliquais… - C’est pour la vidéo. Celle où c’est moi qui suis dessus, tu sais bien. Celle que tu disais qu’il fallait qu’on la refasse. - J’ai jamais dit une chose pareille ! - Non, mais t’as prétendu que c’était du gâchis. Que c’était trop immobile. Qu’on voyait pas bien. Ce qui revient au même. Et ce qu’est vrai. Ça saute aux yeux. Alors j’ai pensé que le mieux, c’était encore qu’on la refasse. - Voilà une idée comment elle est bonne ! - Oui, hein ! Du coup, je suis allé tâter le terrain chez Damien. À qui j’ai laissé croire que tu m’avais mis le couteau sous la gorge. C’était ça ou tu balançais tout à Kevin. - Quel monstre je fais ! Et il a pas vraiment élevé d’objection, j’imagine… - Oh, pour ça, non ! Il est ravi en fait. Parce qu’il le dit pas, il en par...
BDSM AU BOULOT
il y a 2 ans

C'EST SUR SON LIEU DE TRAVAIL QU'UNE FEMME TRENTENAIRE, LISA, A DECOUVERT SA VRAIE NATURE.

Bonjour ! Je m’appelle Lisa, j’ai 38 ans, mariée, une fille de 7 ans. Depuis 6 ans, je travaille au sein de PROG-XL, un éditeur de logiciels spécialisés dans les télécommunications par satellite. PROG-XL compte 110 personnes. Je suis intégrée au service Administration Des Ventes, en tant qu’assistante commerciale. Depuis maintenant 3 ans, j’assure le secrétariat de 5 attachés commerciaux : suivi des fichiers clients, plannings et agendas, soutien téléphonique, organisations des déplacements, notes de frais... Tout un programme qui ne me laisse pas le temps de souffler, à tel point que je dépasse allègrement 45 heures par semaine. Dur dur quand on a une vie de famille. Mais j’aime mon travail et je m’épanouis pleinement dans cette entreprise, où règne une ambiance plutôt sympa et bon enfant entre collègues. Il y a moins d’un an maintenant, un nouveau boss est arrivé. Il s’agit de Hervé, le neveu de Noël, notre PDG. Il a surtout été recruté pour seconder Noël, celui-ci ayant dé...
Où tout a commencé pour moi
il y a 2 ans

Les confidences d’un homme fessé dans sa jeunesse et qui.....

À l’âge de douze ans, je quittai ma région natale pour aller habiter à E…, non loin de Paris. Je cherchai naturellement à me faire des copains, et, sur les indications de collègues de mon père, je liai connaissance avec le garçon de la maison du garde-barrière. Il n’y avait plus de garde-barrière, mais on avait alloué la maison à sa veuve. C’était à deux pas de chez moi. Le petit garçon s’appelait William, il avait dix ans. C’était un e n f a n t plutôt gras, gavé de sucreries, et de bandes dessinées de mauvaise qualité. Il avait une grande sœur, fille plutôt forte, qui était en ménage, et passait de temps en temps voir sa mère et embrasser le petit. William avait une habitude qui m’agaçait, c’est de dire, comme les personnages de ses lectures, « GLUPS » à chaque phrase. Dans un souci pédagogique (j’étais un insupportable petit cuistre), je le menaçai de lui donner un coup de poing dans l’épaule à chaque fois qu’il prononcerait cette interjection. Et je tins parole, lâche c...
Selfbondage hard et ABDL avec laxatif
il y a 2 ans

Un kamikaze voulait voir ce que cela fait de tout faire dans sa couche.

Cette fois c’était décidé, j’allais tester malgré moi et voir ce que cela fait de tout faire dans sa couche. J’avais déjà testé mais sans vraiment tout faire disons que je m’étais arrêté à quelques grosses traces de freinage… Toutes mes propres tentatives précédentes de jeux me poussant dans mes limites avaient échoué. Au dernier moment, le passage à l'acte me semblant inenvisageable et impossible psychologiquement, je suis toujours parvenu à me retenir en serrant les fesses comme un fou. L’excitation étant à ce moment là de jouer sur les interdits avec mon corps vibrant de partout tant la résistance contre la fuite était farouche. Sans en parler à mon épouse non pas pour cause de pudeur mal placé mais par envie de tester seul puisque cela ne la branchait pas, il m’est alors venu l’idée de me monter un plan fou pour m’obliger à aller jusqu’au bout en utilisant de la glycérine et un laxatif. En surfant sur le net pour trouver le dit laxatif j’ai trouvé « éductyl » que je suis allé a...
Centre de réalisation des fantasmes
il y a 2 ans

Les clients et clientes vont vivre des choses horribles !

Le centre a mis au point une technologie innovante permettant à chacun de vivre ses fantasmes les plus fous sans intervention extérieure. La discrétion est totale, ce n’est en aucun cas de la prostitution. Eclatez-vous, envolez-vous dans une totale discrétion. Cette publicité lancée sur le net il y a quelques temps a généré un gigantesque raz-de-marée sur le site internet du centre. Les curieux bien sur, les fétichistes de tous bords ainsi que la police suspectant une activité illégale. Les explications données par le CRF (Centre de réalisation des fantasmes) sont d’une clarté totale bien que surprenante. A partir de 200 euros (moyen de paiement à votre convenance) nous mettons à votre disposition une cabine privée avec un ordinateur vous permettant grâce à nos logiciels de programmer vos envies et désirs les plus fou. A la suite de quoi, vous êtes invités à vous mettre intégralement nu et à entrer dans une sorte de scaphandre qui se refermera sur vous et grâce à not...
La catastrophe informatique du Centre de réalisation des fantasmes
il y a 2 ans

Tout se mélange pour rire ou pour pleurer mais attention, c’est chaud ! ! !

Tout allait bien sauf que....... mais écoutons encore quelques témoignages avant la catastrophe Témoignage d’une femme de 31 ans mère de famille Le fantasme du v i o l me suit depuis mon a d o l e s c e n c e . A cette époque, l’inconsciente que j’étais lisait le journal à la recherche de ces faits divers horribles, ma libido exacerbée faisait le reste la nuit sous ma couette. Comme mon mari est coincé du cul, j’ai abandonné l’idée de lui demander de m’attacher pour me prendre sauvagement, le jour où j’ai essayé de lui parler de mes fantasmes, il m’a traitée de folle. Pour moi, le Centre de réalisation des fantasmes pouvait me permettre de vivre secrètement et sans danger ce fantasme qui me suit depuis plus de 16 ans. Le Centre de réalisation des fantasmes devenu une obsession, je me suis souvent garée à côté pour observer les allers et venues. Les gens sortant de là affichant tous un visage radieux, j’ai fini par me décider mais j’ai payé en espèce grâce à de petites écon...
L'étudiante naïve et les deux pervers
il y a 2 ans

Quand le ciel vous tombe sur la tête.

Avertissement : Il s’agit bien évidemment d’une fiction et d’un comportement que je ne cautionne absolument pas. Récit : Une envie pressante. Elle était déjà loin, la fac. Des toilettes ? Il y en avait, là, tout près, dans le jardin de la mairie. Elle aimait pas trop. Parce que c’était pas toujours très propre. Et parce que c’était à l’écart. À l’abri d’une haie de thuyas en plus. Qu’il fallait descendre des marches. Et qu’on savait jamais : il y avait tellement de tordus. Mais bon ! Nécessité faisant loi, elle s’y est résolue. Parce que ça pressait ! Non, mais comment ça pressait ! Quand elle est remontée, soulagée, deux types ont brusquement surgi en haut des marches, sortis de nulle part et lui ont brandi sous le nez des cartes barrées de tricolore. - Police ! Tu bouges pas. Et tu fais pas d’histoires. Elle leur a jeté un regard effaré. - Hein ? Mais qu’est-ce que… ? - Tu bouges pas, on te dit ! Et tu la fermes. Tu vas vérifier, Phil ? Le type est descendu. Est p...
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