Récits
Il n’y a pas d’amour sans fessée
il y a 2 ans

L’amour entre femmes est parfois un piquant plaisir

Age : vingt ans. Taille : un mètre soixante-quatre, sans les talons. Cheveux : châtains bruns. Visage ovale. Teint blanc. Yeux bleus. Nez droit. Bouche petite. Dents idéales. Menton court et rond. Ceci dit, et en garantissant l’exactitude absolue de son signalement, nous donnons, sans plus tarder, la parole à Mademoiselle Francine. - Je ne blague pas : quand j’étais môme, tout le monde me trouvait laide. Et l’on n’avait pas tort. Ça, c’est drôle. Ce qu’on peut changer, tout de même ! J’étais blonde. Comme les blés, c’est le cas de le dire, à dix ans, à douze encore. Oui, d’un jaune paille, mes tifs. Mais, à seize à dix-sept, le ton devenait merveilleux, doré. Et, tout d’un coup, alors, je me suis mise à foncer, à brunir et, maintenant, il n’y a pas à dire, je suis brune. Ce qui aurait dû m’avertir de ce changement, c’est que vers douze, treize ans, ma puberté, foncée ne s’assortissait guère au blond de mes cheveux. Ça, c’est un signe. Si je voulais, je me les passerais, les...
Des Défis
il y a 2 ans

Une connaissance me lance des défis pour commencer une relation D/s

De la bonne entente avec Sabine j'y avais posé de nombreuses obligations, avec mon tempérament exigeant qui cadrerait notre relation. L’obligation qui imposait de ne s'envoyer que peu de messages fut autant satisfaite que mon envie de la voir fréquemment en réel se révéla contrariée. Mais la lecture de son mail, ses félicitations pour mon périple dans les Alpes et l'annonce qu'Elle viendrait chez moi célébrer le succès m'apporta alors une salve de frissons. Il est que depuis trois ans la Dame a progressivement pris l'ascendant malgré mes tentatives de rebuffade. Je m'étonne encore de constater qu'Elle commande, j'obéis. Elle n'a pas saisi ce que j'ai éprouvé lors de mon séjour en Suisse, c'est une évidence. Ce séjour sera raconté dans autre récit. Je reste toutefois heureux de recevoir Sabine surtout si cela lui fait plaisir. Le jour de son choix venu, par SMS je suis convié à venir à sa voiture. Elle me fit un baiser sur le front, chose rare. Ma mission consista à récupérer da...
Racine
il y a 2 ans

Après chaque passage dans sa famille où l’on parle de la guerre, elle court se réfugier affectivement chez son amant

Rien qu’à sa façon de frapper à ma porte, je sus. Trois petits coups secs, signe, chez elle, d’une grande agitation. Je m’effaçai pour la laisser passer. Elle se faufila entre le battant en bois et le mur, posa son sac à terre et se hissa sur la pointe des pieds pour m’embrasser. Sa bouche avait le goût de l’anisette et des épices. Second indice, me sauta rapidement aux yeux : sa façon de laisser traîner ses petites mains potelées sur mon avant-bras, avant de les faire courir sur mon dos, alors que je refermai la porte. Son refus de rompre le contact physique, même pour me permettre de mettre la chaîne. Je passai mon bras autour d’elle, l’attirai à moi, lui transmettais ma f o r c e . Plutôt grand et carré, j’entretenais ma musculature grâce à mon boulot dans le bâtiment et à quelques heures hebdomadaires de sport. Quand je serrais contre moi cette petite poupée, ce modèle réduit de femme pulpeuse toute en courbes, je me sentais, à chaque fois, l’homme le plus puissant au monde. Je...
La clef USB (6)
il y a 2 ans

À quoi bon nier plus longtemps l'évidence?

La mère de Kevin avait fait les choses en grand. Loué une immense salle dans un parc magnifique. Fait venir un orchestre. Un traiteur. Et invité une cinquantaine de personnes. À table, on l’avait placée à côté de Benoît. Qui avait attaqué d’emblée. - Ça va avec Kevin ? - Ça va, oui ! Pourquoi ça irait pas ? - Oh, ben, avec le caractère qu’il a, mon frère ! Faut le supporter… Et il s’est tout aussitôt lancé dans un flot de récriminations à n’en plus finir. - Si tu savais l’enfance que j’ai eue ! Par sa faute. Il était odieux. Et ça a été l’histoire de la balançoire. Celle de son doigt coincé entre le pédalier et la chaîne du vélo. La fois où il l’avait délibérément perdu dans les bois. Et puis aussi… Elle n’écoutait pas. Antoine, là-bas, à l’autre bout de la table, était en grande conversation avec sa sœur. Avec Chloé. Qu’elle plaignait de tout son cœur d’être mariée avec un boulet comme Benoît. Quand ça s’est mis à danser, Antoine ne l’a pas invitée tout de suite. Il...
Sous cage de chasteté, il s’auto cocufie
il y a 2 ans

Les confessions érotiques d’un soumis

##### Deux semaines ! Deux semaines qu’elle avait fermé la clef du cadenas de ma ceinture de chasteté. Sans doute les deux semaines les plus longues de ma vie. Certes, je l’avais bien cherché. J’avais choisi et acheté une cage de chasteté. Je l’avais essayé, porté chaque jour un peu plus longtemps pour m’habituer. Elle regardait tout cela d’un air amusé, un peu indifférent à cette lubie toute masculine, à ce fantasme qu’elle ne comprenait pas. Puis un jour, je me suis senti prêt. J’avais acheté un collier, un joli collier en or, au bout duquel j’avais mis la clef en pendentif. Dans la boite, il y avait également le cadenas, celui qui fermerait la cage et qui allait avec la clef. Je lui avais offert le tout un soir, à la fin d’un dîner aux chandelles dans un de ces restaurants sur la rive gauche. Une heure plus tard, nous faisions l’amour, un peu comme d’habitude finalement. Un petit peu comme si c’était une soirée normale. Excepté à l’instant ou finalement, elle m’annonça : «...
La plage pour un soumis fétichiste des pieds
il y a 2 ans

Il y a des fois où perdre n’est pas désagréable si il vous conduit aux pieds de filles en délire

Enfin l’été ! Les vacances, le soleil et les guêpes qui squattent les salades de pâtes accompagnant le barbecue. Cet été, je suis parti en camping avec ma famille au bord de la Méditerranée. J’aimais beaucoup la plage pour me baigner et admirer les jolies filles en bikini qui bronzent ou qui se baignent. Nous étions à un camping avec beaucoup d’animations, une grande piscine avec toboggan, un bar, une salle de spectacle, le tout à 2 pas de la plage. Le premier jour, alors que je faisais des longueurs dans la piscine, une annonce au haut-parleur m’a interpellé puisqu’il était question d’un club pour les jeunes de mon âge auquel j’ai immédiatement décidé de m’inscrire afin de me faire des amis. Le rendez-vous nous était donné une heure plus tard devant l’accueil de l’hôtel. Comme le camping n’offrait que des séjours du samedi au samedi, je me suis dit que tout le monde venait d’arriver donc que personne ne se connaissait et que, en tant qu’éternel timide, ce serait plus facile pour me...
Au bord de la route.
il y a 2 ans

Un rendez-vous qui tourne mal.

- Vous avez l’air surprise de me trouver ici, chère amie… - Pas du tout, non. - Oh, si ! Si ! Surprise et dépitée. Serait-ce que vous attendiez quelqu’un d’autre ? Mon mari, par exemple ? - Votre mari ? - Mon mari, oui. Avec qui vous aviez rendez-vous. Et qui ne viendra pas. - Je vais tout vous expliquer. - M’expliquer quoi ? Que c’est ici que vous vous donnez du bon temps tous les deux ? Dans cette voiture ? Ce qui ne doit pas être très confortable, avouez ! Mais enfin, quand ça vous tient d’écarter les cuisses, ça vous tient ! Et tout est bon. Vous y trouvez votre compte au moins ? Oh, sûrement, oui. Parce qu’il sait y faire, Rodolphe, quand il veut. Je suis bien placée pour le savoir. Ce qui ne doit pas être le cas de votre Gontran puisque vous éprouvez l’impérieux besoin d’aller voir ailleurs. Bon, mais si vous me racontiez ? Il s’y prend comment, mon mari, avec vous ? Ça m’intéresse. Allez, je vous écoute. Ou plutôt, non ! Laissez-moi deviner. Il vous gicle entre les seins,...
Le jet d’eau du clystère
il y a 2 ans

Les fessées et lavements des vacances

- Ce sont vos estampes, qui me font rire… Cela me rappelle quelque chose. Il y a des femmes aussi qu’intéresse et ravit l’emploi de l’instrument cher aux apothicaires de jadis. Votre amie Paulette est du nombre : je le sais. Je le sais même pertinemment. Mais, j’en ai connu une autre. Mon dieu, oui, je peux vous conter cela ; vous en ferez ce que vous voudrez. J’avais treize ans et demi, j’allais à l’école. J’y devais rester encore un an, et, après, entrer comme apprentie brodeuse chez la mère d’une camarade de classe. Madame Fleury avait son atelier et son domicile dans notre maison, rue de Cléry, à l’étage au-dessous. Ma camarade qui s’appelait Marguerite, c’est-à-dire Maggie dans l’intimité, commencerait elle aussi et en même temps, son apprentissage. C’était une petite maison de broderie, mais qui gagnait de l’argent. Cinq, six ouvrières au plus ; mais, du beau, tout à fait, rien que pour les plus grands couturiers. Avec Maggie, on était inséparables, on s’adorait. Du rest...
Mademoiselle Delcroix une championne pour le déculottage
il y a 2 ans

Les déculottées et fessées pour les élèves étaient d’une rapidité extrême.

Si le prénom est fantaisiste, les quelques détails signalétiques que voici sont d’une exactitude garantie. Brune, grande, bâtie à chaux et à sable malgré une certaine élégance. Épaules et bras admirables, seins petits, bien formés et vraiment louables. Jambes et croupe aussi remarquables de forme que de tonicité. Peau blanche : un satin. - Je suis des Ardennes, des environs de S. J’étais la seule e n f a n t . Oui ! ah ! oui, j’en ai reçu. De maman, surtout. De papa aussi, mais pas plus tard qu’à quatorze ans. C’est déjà pas mal, car j’étais grande, à quatorze ans, et développée. Des nénés à peine, mais des mollets, des cuisses, des fesses. Des fesses surtout. Maman, une gaillarde, plus grande que je le suis et bien plus forte à proportion. Papa, costaud aussi : dans le pays, les gens sont d’attaque, de même que les chevaux et le bétail, tout comme dans le Nord. Si, quand j’ai eu quatorze ans, papa s’est arrêté de me fesser, maman, elle, a continué. Et même de plus belle ! À s...
Une séance au club des flagellantes
il y a 2 ans

Il ose aller assister aux flagellations jouissives entre femmes du monde dans un club privé

Ce récit est la traduction littérale d’une lettre de sir John Seller, qui a assisté, déguisé en femme à une séance de ce club initialement réservé aux femmes. ............................ Vous savez, my dear, que j’ai vécu pendant six mois auprès de l’adorable lady Loverod ; vous savez aussi comment prit fin cette curieuse aventure. La noble dame, alors âgée de vingt-quatre ans, très passionnée pour la verge, aimait à la donner comme à la recevoir, et beaucoup plus à la voir donner. Elle faisait partie du club des Flagellantes de la Cité. Les ladies qui le composaient, au nombre de vingt-cinq, toutes mariées à des lords, appartenaient à la meilleure société de Londres. Toutes les clubwomen étaient en outre de ferventes Lesbiennes, comme vous les nommez, et bien que dans le privé, témoin ma maîtresse, elles sacrifiassent volontiers à Priape, les hommes étaient rigoureusement consignés à la porte de leur club, car elles ne voulaient pas initier des portes-verges à leurs pratiques...
La clef USB (5)
il y a 2 ans

Christina prend de plus en plus goût à ces exhibitions "forcées" devant Antoine.

Elle ne perdait rien pour attendre. Il avait voulu dire quoi par là ? Il entendait quoi ? Parce qu’avec lui elle pouvait s’attendre à tout justement. Absolument tout. En douce qu’elle l’avait échappé belle ! Heureusement qu’il n’avait pas insisté pour qu’elle se caresse, là, tout de suite, après avoir vu la vidéo. Parce que ça l’avait mise dans un état, mais dans un état ! Pourquoi ? Parce qu’Antoine était à côté de toi ? Qu’il te regardait t’occuper de Damien ? Bien sûr que non ! Ça n’avait rien à voir. Rien du tout. Ah, oui ? Comment t’expliques ça alors ? Parce qu’une bonne dizaine de fois tu te l’étais passée et repassée avant, cette vidéo. Ça t’avait troublée, oui, mais jamais à ce point-là. Pourquoi ? Oh, mais parce que ça s’était trouvé comme ça et puis voilà ! N’importe comment elle était pas là, la question. Elle était de savoir si, quand il lui faudrait se caresser sous la douche devant lui ‒ et ça, il le faudrait, il ne la lâcherait pas ‒ elle arriverait à se maîtriser et à...
Elle découvre et adopte le facesitting
il y a 2 ans

Lorsqu’une femme décide de prendre le dessus

Je m'appelle Julie et j'ai 27 ans. Je ne suis pas féministe, mais je suis obligée d'avouer que ce mouvement a tout de même réussi à changer ma vision de la femme. Quand j'étais plus jeune, avec mon petit ami de l'époque, nos relations sexuelles étaient souvent à sens unique. Les préliminaires ne duraient pas longtemps, puis il me pénétrait jusqu'à jouir et ensuite oubliait mon existence. Evidemment, certaines nuits étaient plus ardentes que d'autres, mais les orgasmes que j'ai eu avec lui se comptent sur les doigts d'une main. Aujourd'hui les choses ont bien changé et étant donné tous les messages qui circulent au sujet de l'égalité femme-homme, je me suis dit qu'il serait temps pour moi d'arrêter d'avoir des relations sexuelles qui ne plaisent qu'à l'homme. J'ai donc décidé de me rendre sur un site pornographique afin de me faire une idée de ce qui se faisait en matière de sexe. Les vidéos de la page d'accueil se ressemblaient toutes, un mec musclé qui se déchaînait sur une femme....
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