Récits
Lucie au gîte fétichiste
il y a 2 ans

Elle s’aventure dans un gîte fétichiste accordant une attention particulière aux célibataires

Lorsqu’elle a vu les annonces de l’ouverture d’un gîte fétichiste en Espagne accordant une attention particulière aux célibataires, Lucie a trouvé l’idée originale. Après avoir mené sa petite enquête, elle s’est offerte un week-end coquin pour vibrer un peu. Si effectivement les propriétaires du gîte sont ultra respectueux et attentifs à leurs clients, le mobilier et les accessoires qu’ils mettent à votre disposition sont là pour fouetter votre libido. ##### Manquant un peu d’idées pour jouer seule, en prenant conseil, Lucie s’embarque dans des aventures aussi sulfureuses que jouissives même si, parfois, c’est assez tendu. Ses vacances éroticos sensuelles deviennent BDSM, ABDL et lui feront mal aux fesses. ............... Lucie est une femme coquine, pas une salope, ne pas confondre. Elle aime les plaisirs de la vie, le BDSM, le bondage mais ne se donne pas au premier venu. Comme beaucoup de femme, elle s’est offert quelques sextoys. Elle a également joué à s’attacher un...
Sissy Factory
il y a 2 ans

Une jolie histoire de sissification et de belles rencontres

Depuis ma tendre jeunesse, j’ai un kiffe un peu particulier : j’adore me vêtir de strings et de robe et me branler devant des pornos transgenres. Je ne sais pas pourquoi j’ai ce vice, mais j’ai le souvenir d’être tombé par hasard sur un porno avec une trans à énorme bite en train d’enculer un mec et ça m’a terriblement excité. Depuis, j’étais incapable de regarder des pornos hétéros, les chattes ne m’excitaient plus du tout. Je n’aimais que les grosses bites de trans, pour moi une actrice de cul devait avoir une bite sinon j’étais incapable de bander. La prochaine étape de ma perversion fut de voler un string neuf à ma sœur, à f o r c e de voir des actrices vêtir des dessous sexy, je me disais que la dentelle au contact d’une bite devait être une sensation agréable. Et ce fut le cas, ce string noir à dentelle était devenu mon compagnon de branlette tant j’adorais cette texture le long de ma bite. Malgré ma perversion pour les trans et les strings sexy, je n’éprouvais dans la v...
Pari et défi entre filles
il y a 2 ans

Les défis coquins sont parfois très risqués et même dangereux.

Hier mon amie Sophie pourtant timide me dit tout de go que toutes mes histoires de trains sont bien faciles, puisqu’en belle garce j’en ai tellement pris que c’en est devenu dégoûtant. Selon elle je n’ai profité de la suite que grâce à mes bons débuts, car dans le train la situation se prête à ce genre de choses, pourvu que l’on soit bien disposé au départ. Je lui ai fait remarquer qu’elle ne voulait tout simplement pas admettre que je plais aux hommes, et que mon train n’y est pour rien, sauf à dire que l’imagination des mâles bat son plein, puisque la littérature érotique a fait largement référence à mes romans de gare. J’ai tout de même ajouté que l’on était loin des divagations romantiques de l’Orient Express, puisque sur mes modestes rails les hommes prennent tout de même des risques. Avec un sourire en coin j’ai insinué que dans ces situations il fallait vraiment avoir envie de monter, mais Sophie n’a pu s’empêcher de contester en affirmant qu’à fumisterie égale mes prétendant...
Rencontre autour d’une petite culotte
il y a 2 ans

Les filles de 18 ans peuvent être de sacrées cochonnes.

Il y’a 6 ans j’étais avec une femme elle avait 41 ans et moi 30 ans mais ma compagne a une jolie fille de 18 ans. Nous sommes très complices tous les deux, car sa mère travaille beaucoup et souvent la nuit, elle est infirmière dans un service d’urgences dans le plus grand hôpital de la ville. C’est pour vous dire que l’on ne se voit pas beaucoup. C’est donc moi qui m’occupe de Patricia, ma belle fille de 18 ans, elle suit des études dans un IFSI pour devenir infirmière comme sa mère. C’est une belle jeune fille qui a de jolies formes sans être ronde ni grosse. Souvent, puisque je suis seul le soir, des fois dans la salle de bains elle laisse traîner la petite culotte que ma belle-fille a porté pendant la journée Je la déplie soigneusement et la renifle pour sentir la bonne odeur de sa chatte qui doit être lisse puisque ses culottes ne comportent jamais de poils, mais aussi les odeurs ambrées de son petit trou., c’est un pur régal que de sentir les odeurs intimes de Patricia. Elle m’...
La punition d’une soumise
il y a 2 ans

Les idées de son Maître sont très perverses quand il doit sévir

En juin, j’avais décidé d’aller à l’enterrement de la vie de jeune fille d’une de mes copines, contre l’avis de mon mari qui ne l’aimait pas. Je lui avais promis de ne pas rentrer trop tard, mais la soirée était tellement sympa, qu’a la sortie du resto je me suis rendu compte qu’il était déjà 1 heure du mat. Pire ? Je n’ai pas pu résister à la proposition d’aller tous en boite. Je suis donc rentrée au petit matin, alors que mon mari n’avait pas dormi, inquiet, et, dans une colère noire, il avait dit que je lui paierais ça. Le lendemain et les jours suivants, tout semblait être oublié, jusqu’à cette soirée du mois d’août. Nous avons une maison à la campagne, avec un grand jardin, un petit potager, et une petite rivière qui délimite le terrain. Ce soir-là, il faisait très chaud, orageux. Nous avons mangé dehors un très bon repas et un peu bu ; j’étais bien. Noël me demanda de me déshabiller et commença à me caresser. Bientôt, il me proposa de m’attacher, pour me prendre sur la p...
L’histoire d’Archeron
il y a 2 ans

L’histoire d’Archeron revisitée par Magister, un auteur aussi doué que coquin.

1. CONQUETE L'aube se levait sur les murailles de la cité de Telnagrith, inondant de lumière ses murailles et l'armée qui l'assiégeait depuis déjà quatre semaines. L'aube se levait, annonçant un nouveau jour, le dernier jour de liberté pour cette cité des Marches Occidentales qui avait osé défier l'Empire. L'aube fut le moment précis où Archeron Jander Sank acheva ses incantations et dans un rugissement d'éther, le dôme de puissance qui protégeait la cité fut brisé. Alors les machines de guerre se mirent en branle et balistes, catapultes, trébuchets entreprirent leur travail de sape, ouvrant une brèche dans les fières murailles. L'infanterie se lança à l'assaut, couverte par les archers et les assaillants entrèrent enfin en contact avec les défenseurs de la cité. Dans un déluge d'acier, de magie et de sa.ng, les troupes Impériales pénétrèrent dans la cité. Archeron Jander Sank, Mage de Guerre au service de la 7ème Légion Impériale, se joignit à la deuxième vague qui partit à l...
Au puits
il y a 2 ans

Assister à une fessée peut être très agréable. La raconter prolonge le plaisir.

- Ah, vous êtes là ! Vous auriez vu ça, mes commères ! Non, mais vous auriez vu ça ! - Et quoi donc, mon bon Célestin ? Que tu m’en as l’air tout retourné. - Non. Oui. C’est-à-dire que j’étais au lavoir… - Et qu’est-ce tu pouvais bien fabriquer au lavoir ? - Quand on a vu arriver tranquillement la Goton avec son panier de linge. - Elle a osé ! La garce ! C’est pas vrai qu’elle a osé ! - Eh, si ! Comme si de rien n’était. Elle s’est installée, agenouillée, et elle s’est mise derechef à battre furieusement ses frusques. Alors la Guillemette l’a pas loupée : « Vous voyez à quoi ça ressemble une femme de cocu ? » Et elle : C’est pas à toi que ça risque d’arriver. Ou bien alors faudrait t’enfouir la tête bien profondément sous une botte de paille. » « Oui, mais moi, au moins, tout le pays me passe pas dessus. » Et les autres de renchérir. « Il peut pas y avoir un homme à l’horizon sans qu’elle se jette à sa tête. » « Et quand on dit la tête… » « Ah, ça, pour avoir le feu au cu...
En manque de lui
il y a 2 ans

Honte de ne pas pouvoir mettre cette envie en sourdine et de se concentrer sur d’autres choses que de se caresser.

Elle ouvre un œil, puis l’autre. Sa main essaie de dégager ses cheveux, emmêlés sur son visage, puis retombe mollement. Le soleil filtre à travers les volets qu’elle ne ferme jamais totalement. Il doit bien être neuf heures. Plus que deux jours. Les moins difficiles. Ceux où elle peut traîner en pyjama et vivre devant sa télé. Se faire livrer des pizzas et recevoir son esthéticienne à domicile. En même temps, ceux qui passent le moins vite. Parce que les sept qui ont précédé l’ont déjà mise à la t o r t u r e . Elle se retourne et attr a p e le deuxième oreiller, celui qui a accueilli sa tête vendredi dernier. Elle n’a pas pu se résoudre à changer les draps. Ils ne sentent plus rien, mais, en se concentrant un peu, elle peut imaginer son parfum. L’odeur de son shampoing à la lavande, bizarrement tenace dans ses boucles brunes. Son parfum un peu féminin mais étrangement viril sur lui. Elle rejette l’oreiller et se recouvre de la couette. Quel bordel. Elle se fait honte. Pour telleme...
Le stagiaire
il y a 2 ans

La rencontre fortuite d’un stagiaire oisif avec une directrice générale aux goûts plutôt particuliers va prendre un tour intéressant quand cette dernière décide d’en faire son jouet. L’humiliation sera au rendez-vous…

Ce texte ABDL n’est pas de votre webmaster. Le traducteur m’a autorisé à le publier sur Fessestivites. Voir plus bas. Chapitre 1: Introduction « Cher Julien, Nous sommes heureux de vous accueillir au sein de notre équipe de stagiaires. Cette expérience vous permettra de découvrir le monde du travail au sein du leader européen des traitements entero-gastriques. Nous espérons que vous êtes prêt pour un challenge aussi éducatif que passionnant. Bienvenue à bord ! L’équipe des ressources humaines ». -------------------- Dès le second jour de mon stage de deux mois, j’avais compris que mes grands espoirs de rendre mon école et ma famille fiers de moi allaient être déçus. Pas de maître de stage ni de quelconque mission et pour tout bureau, un grand placard sans fenêtre et qui sentait encore vaguement le détergent qu’on y avait sans doute longtemps entreposé. À part deux chaises, deux bureaux et deux ordinateurs, il n’y avait que moi et Sarah, une autre stagiaire e...
Le stagiaire 2
il y a 2 ans

Cela devint plus hard, vous êtes prévenus et pas uniquement ABDL....

Ce texte ABDL n’est pas de votre webmaster. Le traducteur m’a autorisé à le publier sur Fessestivites. Voir plus bas. Chapitre 7: Corporate baby Ce n'était pas mon premier retour au placard avec une nouvelle couche, mais je ne m'étais jamais senti aussi exposé. Le bruit de froissement doux et omniprésent qui accompagnait chaque pas était une chose. Mais je pouvais aussi sentir l’odeur de la poudre pour bébé émanant de mes fesses. Elle m'entourait comme un nuage, et je savais juste qu'elle me suivrait partout où j'irais. J'ai été tenté de fuir complètement le bureau. À part Sarah et Mme Renoir, est-ce que quelqu'un aurait même remarqué que j'étais parti ? Il serait peut-être préférable de faire l'école buissonnière plutôt que de travailler la couche au cul dans cette petite pièce avec Sarah. Non, je ne pouvais pas faire ça. Mme Renoir s'attendait à ce que je revienne pour un changement de couche et je n'étais pas sur le point de la laisser tomber. Le destin me fit une fleur...
Le stagiaire 3
il y a 2 ans

Il n’y aura pas de retour en arrière possible.

Ce texte ABDL n’est pas de votre webmaster. Le traducteur m’a autorisé à le publier sur Fessestivites. Voir plus bas. Chapitre 11 : Confidences entre assistants De l'ascenseur, Eva m’a conduit dans les couloirs d'une partie de l’entreprise que je n'avais jamais vue auparavant. Compte tenu de la taille massive du bâtiment et du peu de choses que je n'avais jamais eu besoin de voir auparavant, cela n'aurait pas dû me surprendre. Pourtant, cela m'a toujours impressionné à quel point il était facile de se promener dans une zone dans laquelle je serais perdu si j’avais été laissé à moi-même. Nous avons atteint la porte du bureau de Mme Beaufort, qu'Ava a déverrouillée avec une clé. « Elle te confie la clé de son bureau ? » J'ai demandé à Eva. "Bien sûr," répondit-elle en haussant les épaules. "Je suis son assistante." Je me demandais si cela signifiait qu'un jour Mme Renoir me donnerait la clé de son bureau. Il m'est venu à l'esprit que je passais tellement de temps à penser...
La clef USB (4)
il y a 2 ans

Et si maintenant elle montrait à Antoine comment elle taille les pipes à Damien?

Elle s’y attendait. Elle s’y attendait tout le temps. Tous les jours. À toute heure. À tout moment. Elle n’était plus qu’attente. Un bloc d’attente et d’appréhension. Elle s’y attendait, mais le coup de sonnette l’a malgré tout fait sursauter. Elle est allée lui ouvrir, rongée d’inquiétude. Ça allait être quoi aujourd’hui ? Il allait vouloir quoi ? Inventer quoi ? Il était tout sourire. - Tu m’offres un café ? Qu’il a bu, à toutes petites gorgées, sur le canapé du séjour. En parlant cinéma. Fellini, oui, bien sûr. C’était leur référence à tous les deux. - Mais il ne faut pas non plus se cantonner à lui. Il y en a d’autres. Tellement d’autres. Ça, elle était bien d’accord. Et ce fut Bergman. Et Antonioni. Et Almodovar. Et Rohmer. Ah, Rohmer ! Tout en finesse. Tout en subtilité. Il ne s’en lassait pas de Rohmer. Elle non plus. - Ah, non alors ! Le temps passait. Et c’était comme avant. Comme le jour de Noël. Comme ça aurait dû toujours être si elle n’avait pas si...
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