Récits
Un adultère va la soumettre à vie 2
il y a 2 ans

Consommée à toutes les sauces de la dépravation

Arrivée sur les lieux, en pénétrant dans un appartement somptueux, elle reçut un premier choc. Aucun homme ne l’attendait. C’était une femme qui la recevait. Une matrone noire : « Bonjour » La voix était chaude, la silhouette haute et imposante. Les cheveux épais cascadaient sur les épaules : « Tu dois être Clémentine. Heureuse de te connaître. Je suis Victoria, la maîtresse des lieux » « Ravie de faire votre connaissance, Victoria » a minaudé Clémentine, les yeux observant tour à tour la tenancière et son environnement : « Désolée, je m'attendais à rencontrer des ...» « Des étalons ? Oui, j’ai eu connaissance de tes talents ! Tu as eu une journée chargée » Elle montra l’écran de son téléphone, en faisant défiler des photos de Clémentine en situation : « J'en ai regardé quelques-unes, tu es très sexy. Et merveilleuse en pleine action ! » « Merci, mais je pensais… Bon, je ne sais pas ce qui se passe aujourd'hui. J'ai passé des moments incroyables, je ne vais pas vous mentir,...
La vengeance extrême d’une femme cocue
il y a 2 ans

Chasteté, féminisation, bisexualité imposée et couche.

Mon couple a ressemblé longtemps à beaucoup d’autres, c'est-à-dire que sans faire partie de la catégorie des machos déclarés, je suis ou plutôt j’étais assez directif avec les femmes en général et la mienne en particulier, du moins jusqu’à ces derniers mois. Depuis plus de 13 ans, ma femme est moi menions la vie sage et standard d’un jeune couple aisé, Petite villa dans une grosse agglomération, Nantes, deux voitures, vie professionnelle calme, avec des réussites et des désirs non assouvis. Arielle est une très jolie femme, 1,68 pour 50 Kg, brune aux yeux Bleus. Fort bien faite, des hanches en amphore surmontant de jolies jambes bien galbées, des seins en pomme et un visage souriant et agréable. Cadre dans une banque, possédant un caractère bien affirmé même si avec moi, elle se comporte généralement en épouse aimante, elle a souvent des avances de clients ou de ses collègues et bien que je sois sûr de sa fidélité, je m’en étonne souvent ainsi que du fait qu’elle m’ait choisi....
La vengeance extrême d’une femme cocue 2
il y a 2 ans

Chasteté, féminisation, bisexualité imposée et couche. Nouvelle humiliation

Vers 15H00, Yves arrive et félicite Sophie pour son travail : - Parfait, avec ça, il ne pourra plus rien refuser à sa femme. Non ne le détaches pas, Arielle m’a permis de l’essayer en paiement de la course et comme punition pour son attitude d’hier soir! Paniqué, je crie - non pas question, je ne veux pas ! sans autre résultat qu’Yves me bâillonne à nouveau, puis il se redresse et retire son short, en dessous duquel il n’a rien, se positionner entre mes cuisses ouvertes et je sens le bout de son sexe se poser à au bord de mon petit trou et s’arrêter : Atterré, ne comprenant pas ce que j’avais pu faire à ma femme pour qu’elle me fasse subir cela, je sens le sexe d’ Yves peser sur mon anus, m’écarteler et s’enfoncer légèrement dans mon cul, me causant une forte douleur et une envie d’aller aux toilettes, puis après un moment, peser à nouveau plus fort. Enfoncé à moitié, Yves s’arrête pour me laisser sans doute m’habituer. Je me sens ouvert et rougis en gémissant devant le regard...
Couche et chasteté ce n’est pas que chrétien
il y a 2 ans

L’église et la religion ne sont pour rien dans cette histoire

Initialement DL, Paul a commencé à goûter au plaisir de la couche très jeune suite à un accident de cyclomoteur. Si c’était gênant au début, porter des protections c’est rapidement associé au plaisir solitaire du jeune homme. Si la médecine et la nature ont gommé les soucis d’incontinence, dans la tête du jeune homme, une certaine affection était né avec la douceur de la matière et la sensation de sécurité offertes par les protections. Il est donc devenu ABDL pour employer le mot le plus connu. Malgré tout gêné d’en porter, n’osant pas dévoiler son fétichisme, Paul n’en portait jamais lors des soirées étudiantes ni lors de ses rendez-vous galants. Un soir, il rencontre au club de sport, une étudiante en huitième année de médecine. En discutant avec elle, il apprend qu’elle désire devenir psychiatre, un domaine qui la passionne. Cette nana est ce que l’on appelle dans le jargon étudiant une bombe. Mignonne, brune aux yeux bleus avec un corps de rêve, elle ne fait pas tourner la...
Fessée à cause de ma cousine
il y a 2 ans

Voler fait mal aux fesses

Un défi de jeunes loupiots. Ma cousine me persuada de chiper des bonbons en échange de quoi je pourrais voir son jardin secret puisqu’elle avait vu le mien l’année précédente. Ma tante devant faire des coures et ne voulant surtout pas nous laisser seuls, nous emmena avec elle. Nous chahutions dans le magasin comme à l’accoutumée, tout en courant dans les rayons. Excédée par notre comportement, ma tante, nous tança sévèrement : « Si vous cessez pas tous les deux, vous allez recevoir une fessée à derrière nu ici même dans ce magasin ! Compris ? » Ce qui nous calma de si tôt. Au rayon des biscuits et friandises Maryann me désigna les proies de sa convoitise, un paquet de bonbons que je chipais, le cœur battant, pour les cacher aussitôt sous mon gilet. Je n’avais pas l’esprit tranquille, sachant à quelle mauvaise action je me livrais, mais je réussi toutefois à passer en caisse sans éveiller les soupçons de ma tante ni de la caissière. (Dans les années ‘70’, les systèmes antivol n’ex...
Selfbondage au crotchrope évolutif
il y a 2 ans

Un autobondage avec l’aide de la météo

Après avoir vu sur Fessestivites l’article sur le [crotchrope](/article/186251) cela m’a donné des idées de [selfbondage](https://selfbondage.fr/) évolutif pouvant être aléatoire et imprévisible. Cela ne m’a pas pris beaucoup de temps pour le préparer car il ne me fallait qu’un seau, une corde et un anneau à fixer à une poutre sous les tuiles. J’ai donc pris mon escabeau pour fixer l’anneau dans une poutre devant la porte de mon garage juste dessous l’extrémité des tuiles. Dans cet anneau, j’ai fait passer la corde fixée à mon seau pour voir si l’eau tomberait dans le seau au lieu du sol. Sans lâcher la corde, je suis redescendu, j’ai poussé l’escabeau et j’ai fait passer la corde entre mes jambes pour la fixer, provisoirement à ma ceinture. En reculant j’arrivais sans problème à faire remonter le seau sans l’usage de mes mains. Donc, si il se mettait à pleuvoir, l’eau tombant des tuiles remplirait le seau et tirerait sur la corde passant entre mes jambes et ..... Il me re...
Les humiliations autour de la fessée déculottée
il y a 2 ans

La fessée en public fait plus mal

Ma mère m’a élevé seule, mon père l’ayant quitté en apprenant sa grossesse. Elle clamait haut et fort que je n’étais pas un e n f a n t de l’amour ! De plus, je crois que d’appartenir au sexe masculin accentuait sa rancœur à mon égard et elle ne manquait pas de rappeler sans cesse que ma naissance avait gâché sa jeunesse et sa vie entière. Lorsqu’elle me fessait, plus que la douleur des claques, je garde le souvenir de la honte qu’elle m’infligeait. Cela avait commencé dès mon plus jeune âge lors de nos sorties au square du quartier. C’était des menaces variées lancées à haute voix que tout le monde pouvait entendre, par exemple : « Tu veux que je te déculotte devant tout le monde ? » ou « Fais attention, si je me lève je te baisse la culotte ! » Dans son esprit, le fait de déculotter et de montrer mes fesses nues pour la fessée semblait plus important que les claques elles-mêmes. Et en pratique, elle me fessait toujours à derrière nu où que l’on se trouve, particulièrement e...
Dans le trou de lapin
il y a 2 ans

Confidences érotiques sur le selfbondage à deux

Il se réveille dans le noir total ; sa bouche sèche et douloureuse; ses bras et ses jambes raides et palpitants ; son corps a été assailli par des pincements, des coups de couteau et des aiguilles. Il bondit et heurte quelque chose de dur. Son corps ne fonctionne pas correctement. Rien ne bouge et tout palpite. Il entend des raclements, des cliquetis et des halètements. Puis il se souvient. Ils sont dans son donjon. Ils sont descendus dans le terrier du lapin, enchaînés à un pilier en acier dans une cellule en béton. Il tire contre les chaînes, combattant leur emprise. La panique inonde son cerveau. La peur monte dans sa gorge. Il doit s'échapper ; il doit sortir des chaînes. Au fond de son esprit, le gémissement commence. Il transpire, babille et se débat en sentant leur approche. Les Furies arrivent. Son voyage dans le terrier du lapin a commencé assez innocemment. Il a rencontré une fille sur un site de bondage et a commencé à correspondre. Les deux préféraient l'auto-bondage ave...
Le gîte fétichiste.com devient le gîte de la discipline domestique
il y a 2 ans

Au gîte fétichiste on y fait aussi de la fessée et du BDSM

Virginie voyait ces vacances au gîte fétichiste d’un mauvais oeil même si son mari lui avait promis qu’il ne lui ferait pas faire du BDSM. Il avait même été obligé de lui faire voir le site du gîte qui était clair sur ce que les personnes pouvaient simplement rêver ou fantasmer sans rien pratiquer. Vous connaissez les femmes, elles ont la qualité d’être parfois tenaces et même têtues jusqu’à vous mettre en colère. - Chérie, je crois que nous étions d’accord, je choisis le lieu de nos vacances en Espagne la première semaine, tu choisis le deuxième. Pourquoi revenir encore une fois sur le sujet hormis pour m’énerver et me donner envie de te fesser ? Au ton de la voix de son mari dans cette réponse, Virginie comprit de suite qu’il fallait faire profil bas. Cela ne dura pas très longtemps, et, en ce dimanche matin pluvieux les privant de sortie, elle laissa s’exprimer sa mauvaise humeur en râlant pour tout et rien, puis en claquant les portes. Essayant de travailler sur un dossie...
La fessée punitive d'une autre époque
il y a 2 ans

Prenez garde à mon garde champêtre !

Le récit « Leçon de respect » m’a rappelé une mésaventure du même genre qui m’est arrivée lorsque j’avais une quinzaine d’années. Dans la vie de nos petites communes de nos provinces, le garde champêtre était toujours le personnage incontournable. Dans la mienne, cet emploi était occupé par un homme robuste d’une cinquantaine d’années que l’on pouvait apercevoir patrouillant sur son vélo Solex. Il avait acquis auprès des jeunes du village la solide réputation de régler les bêtises commises, on dirait aujourd’hui des « incivilités », selon sa propre méthode d’éducation , c’est-à-dire une bonne fessée. C’était une pratique que ne désavouaient nullement la plupart des parents quand ils ne faisaient pas parfois appel à lui pour corriger leur progéniture. « Tu veux faire un petit tour chez le garde, par hasard ? » était une menace qui faisait son effet. De notoriété publique, les fessées retentissantes qu’il administrait à ses deux fils auraient dû dissuader les plus fous d’en...
Utilisé comme une femme
il y a 2 ans

Travesti et utilisé comme femme

C’était en 1850 et notre convoi traversait les plaines de l’ouest américain. J’avais dix-huit ans et avec mes parents, nous allions nous installer dans une ferme allouée par le gouvernement américain. Enfin nous devions nous installer car le sort en a décidé autrement… Nous fûmes pris dans une v i o l ente tempête de neige, et je perdis de vue mes compagnons de voyage. Je me retrouvais seul, frigorifié, et je pensais mourir, dévoré par les loups. Je sombrais dans l’inconscience, attendant la m o r t … Lorsque je revins à moi, j’étais nu, allongé sur un lit, dans ce qui ressemblait à une cabane de bois extrêmement rustique. Je ne me sentais pas si mal, exception faite d’une douleur au niveau des fesses. Et j’avais froid, je n’avais sur moi qu’une espèce de couverture — puante… Je me levais et cherchais mes vêtements mais je ne les vis pas, tout ce que je trouvais c'était une robe et un jupon ! Et même cet espèce de pantalon de dentelle que j’avais vu porté par ma mère… et qu’elle por...
Une femme jalouse punit son mari
il y a 2 ans

Impuissant et bâillonné, le mari assiste à la scène.

Une femme jalouse punit son mari Impuissant et bâillonné, le mari assiste à la scène. TXT cocu prêt Je ne le savais pas encore, mais ce mardi était différent des autres jours. Il était 18h, je rentrais du bureau. J'en avais encore pour 20 minutes d'autobus. Ce n'est pas que je languissais d'arriver à la maison, ma vie était routinière, mais c'était long. Le même cycle se répétait lentement tous les jours : j'arriverai à la maison, ma femme Sonia sera dans la cuisine, télé allumée, en train de me préparer une spécialité portugaise (ça fait cinq ans que je suis marié avec une Portugaise). Je lui ferai un câlin, en prenant de ses nouvelles. Je mettrai mes pantoufles et je regarderai les informations régionales jusqu'à l'heure du repas. Nous mangerons en regardant plus un feuilleton à la télé. Plus tard, je m'endormirai sur le canapé. Je ne le savais pas encore, mais il y avait un grain de sable dans l'engrenage. En poussant la porte de la maison, je fus étonné de ne pas...
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