« Tim et Tom, ou Tom et Tim »… Appelons-le ainsi et dans le sens que l’on voudra tant grande et saisissante était leur ressemblance. Tous deux n’étaient pourtant point jumeaux mais si semblables que, dans notre classé de 6ème, on n’aurait pas pu savoir lequel avait déteint sur l’autre. A près de 13 ans, ils avaient la même plaisante et juvénile physionomie, le même tempérament espiègle et effronté, le même minois au sourire ensorceleur, la même coupe de cheveux d’une longueur inusitée pour l’époque et qui frangeaient coquettement leur front de blond ou de brun. A une exception toutefois ; autant l’un s’illuminait de la blondeur dorée des blés mûrs, autant l’autre semblait avoir bruni au soleil brûlant des Tropiques. Ni l’un ni l’autre ne se connaissaient jusqu’à ce qu’ils intègrent séparément notre collège privé pour garçons pour y redoubler leur 6ème en pensant y exprimer leur incorrigible penchant pour les facéties et donner en spectacle leurs pitreries. Ils auraient pu être...

Le lendemain : Madame Facile ne comprit pas pourquoi Muriel, lui fit un grand sourire en lui disant bonjour. Toutefois, lorsque le Ministre Chocon arriva avec ses airs des mauvais jours, suite à une nuit blanche et une érection douloureuse incontrôlable dans sa cage de chasteté, sans raison apparente. Elle sentit que quelque chose n’allait pas. Autant par gentillesse que par intérêt, elle s’inquiéta et prit des nouvelles. Cela lui valut une sérieuse remontée de bretelles (de soutien-gorge ??) pour indiscrétion et sa mutation aux archives. Muriel s’offrit le luxe d’arriver en retard, après la bagarre au ministère des affaires étrangères de plus en plus étranges comme vous allez le constater. Elle oublia de respecter le protocole pour aller dire bonjour à son soumis, dont elle flatta l’entrejambe. Un harcèlement sexuel qui déplut fortement au ministre Chocon, pourtant habitué à le pratiquer sur les autres. Furieux, il ne put retenir de pousser la main maléfique. - Ben alors, o...

Ceci est une histoire vrai que je vous écris à chaud ! Cela fait un moment que je rêve de sortir dehors habillé en femme, et me balader. Plusieurs fois j’ai essayé et à chaque fois je ne suis allé que au parking ou à la voiture ou autour de l’immeuble, j’avais trop peur de croiser quelqu’un, ou qu’on me voit. Un soir je me suis habillé simple, collant, bottes à talons et robe ; je suis allé à la voiture comme d’habitude, mais cette fois j’ai démarré et je suis parti plus loin. Il était 2h du matin , j’arrive dans une grande rue sombre avec les lumières allumées, je me suis garé, et je me suis payé une première petite balade dans cette rue ! Sauf que il faisait complètement noir et tout le monde dormait donc la peur est redescendue vu que je marchais seul dans le noir ! Après 10 minutes de balade , une voiture arrive et passe dans la rue en plein phare ! Elle m’a éclairé… je suis sûr que les gens dans la voiture m’ont vu là. Un homme en pleine nuit habillé en femme qui se ba...

Ça y est on y est ! Il est 7h30 ce dimanche matin , j'ai peu dormi mais bizzarement la fatigue ne se fait pas sentir. L'excitation peut être de voir mon maître aujourd'hui. Je me prépare dans le silence de la maison. Je commence par faire mon lavement puis file dans la douche ! Ensuite j'enfile mes bas et un déshabillé que maître ma demandé de porter . Il m'a donné des consignes pour ce rdv . J'aime qu'il décide de ma tenue et du reste . Je prends également un peu de gel et enfile un plug , le moyen le temps de faire la route . Une fois prête je prends la route. J'en ai pour 30 minutes pour arriver a l'hôtel. Je monte dans la chambre et commence a m'installer . Oui j'arrive toujours la première et suit les consignes de mon maître. J'installe donc tous les accessoires sont il pourrais avoir besoin. Oui maître a acheté bcp d'accessoires pour jouer avec moi . Cravache, attaches, de quoi m'attacher, cordes etc J'installe donc tout sur cette petite table de l'hôtel et il s'...

La Sexonie est un petit pays discret où, une démocratie relative, permet à la population de vivre sans trop de souci pour certains et de survivre pour d’autres. Son gouvernement comprend un président et des ministres, rien de plus classique dans ce bas monde. Muriel est une jeune femme âgé de 26 ans, elle a eu la chance d’être embauchée sans piston comme secrétaire au ministère des affaires étrangères. Il est vrai que d’être trilingue et surtout très jolie a bien contribué à son recrutement... Avoir un corps parfaitement dessiné, un visage d’ange, de longs cheveux blonds et les yeux bleues aide parfois dans la vie même si ce n’est pas toujours un cadeau du ciel. En effet, si il est agréable de se sentir désirée, cela a parfois d’ennuyeux revers. Âgé de 45 ans, toujours précédé de son gros ventre, le ministre Chocon règne plus qu’il ne dirige les affaires étrangères, les affaires étranges comme se plaisent à murmurer en secret les employés. Souvent vulgaire, il est aussi irre...

Une année, une année entière d'enfer pour une seule signature. Le contrat ouvert pour le « Projet Horizon » s'étendait devant moi. Ce n'était pas qu'un simple projet. C'était ma réputation, mon avenir. La création la plus complexe, la plus importante de ma carrière. Je sentais leurs regards braqués sur moi. Mon patron, M. Sterling, m’adressa un sourire encourageant, mais je savais que son cabinet tout entier était en jeu. En face de moi, était assis mon client, Julian Cliff, un homme puissant, et charismatique, vêtu d'un costume parfait. Il me fixait droit dans les yeux, son regard exprimait bien plus qu'un simple intérêt professionnel. Il était évaluatif, prédateur. Un frisson me parcourut. Je pris une brève inspiration, signa d'une main assurée. D'un trait de plume, je scellais l'affaire. La salle explosa d'applaudissements, de félicitations. Poignées de mains, tintements de coupes de champagne surgissant de nulle part. Tandis que M. Sterling trinquait avec l'équipe de Cliff...

Chapitre 1 : La soubrette au mille fessées Au royaume de Claque-Fesses, vivait Amiria, une femme de 32 ans dont la beauté semblait tout droit sortie d’un rêve. Ses yeux, aussi sombres que la nuit, contrastaient avec sa peau satinée, dorée par le soleil, tandis que ses cheveux brun foncé tombaient en cascade sur ses épaules. Amiria travaillait comme soubrette pour un avocat, M. Edward Gray, dont la demeure se trouvait à la périphérie de la ville de Punition. Pour s’y rendre, elle était obligée de prendre l’une des rares charrettes collectives qui sillonnaient les rues poussiéreuses. Lorsqu’elle arrivait enfin, elle se rendait dans la petite pièce qui servait de vestiaire pour retirer ses vêtements, dévoilant ses dessous, constitués d’un soutien-gorge et d’une culotte, toujours de couleur blanche. Ensuite, elle enfilait sa courte robe de soubrette lui arrivant à peine au-dessus des cuisses, attachait son tablier blanc comme la neige, et pour terminer, enfilait ses escarpins vernis....

Il y a quelques mois je suis tombée sur cette fiche sur ce site . Message très clair je cherche une soumise. J'étais très attiré par ce genre de relation alors j'ai écrit. A ma grande surprise il a répondu et nous avons commencé à échanger sur une éventuelle rencontre. Plus il me disait ce qu'il voulait et plus j'étais excité à l'idée de le rencontrer. Mais j'avais quelques interrogations auxquelles il répondait toujours . Nous échangeons longuement et il me pose des questions pour mieux cerner mes envies, mes désirs et mes peurs aussi . Il se montre rassurant, respectueux et bienveillant. Pour la suite nous l'appellerons Maître S. Pas totalement à l'aise avec mon corps je décide tout de même d'envoyer quelques photos. A ma grande surprise il aime . Le lendemain je reçois une photo et je m'aperçois que Maître S est très bel homme avec un regard qui en dit long ! Mon côté coquine ressort alors et je me surprends à lui envoyer des photos très osées et même des vidéos. Cho...

Mon problème c’est d’être timide. Je n’ose pas franchir le pas du réel. Alors je joue tout seul à la maison autour de mes fétichismes. Pour me punir de cette timidité, j’ai décidé de m’imposer d’être obligé de sortir de la maison avec des sous-vêtements féminins et en couche. Voilà donc le plan que je me suis fait en prenant des idées sur les [forums de fessestivites](https://fessestivites.com/forum). Je cherchais un body short homme pour cacher ma couche quand j’ai trouvé une combinaison de mise en forme du corps d'été pour hommes. Avec son col rond et sa matière très élastique presque gainant, cela allait très bien cacher mes petits travers, mais aussi m’exciter de par la contrainte que j’allais m’imposer. Ce sous-vêtement a été le déclencheur. Je suis donc allé cacher des clés d’un cadenas dans le petit bois se trouvant à la sortie du village. Rien que de cacher les clés en deux endroits différents me faisait transpirer de peur alors que j’étais vêtu normalement. C’est dir...

Salut. Je m’appelle Marie, et je suis mariée depuis onze ans à Jean. Il aimerais que nous explorions davantage nos envie, parfois même en évoquant la présence d’un autre homme. Il m’avoue que cette pensée l’excite, et je dois reconnaître que ça éveille en moi un frisson particulier. Nous n’avons jamais franchi ce pas, mais nous restons très complice et animés par un désir toujours aussi fort. Malgré mes quarante ans, je suis fière de mon corps, un mètre soixante dix, un quatre vingt C, des courbes à tomber. Jean, lui, un mètre quatre vingt, allure sportive. Nous sommes un couple avec deux enfants. Luc et Léa, nos amis, ont également deux enfants. Luc travaille de nuit dans la même entreprise que mon mari, Ce sont des amis d’enfance. Voici comment l’été dernier, j’ai trompé mon mari pour la première fois. Un lundi soir, par une très belle journée d’été, après avoir mis les enfants au lit, j’ai pris une bonne douche rafraîchissante. Devant ma garde robe, je ne savais ce que j’a...

Il était une fois une bergère qui s’endormit d’ennui tout en gardant le troupeau de M. Leloup le propriétaire de la bergerie. Qui décida de lui donner une fessée. — Arrêtez M. Leloup ! hurle-t-elle. Arrêtez, le troupeau sera surveillé, elle cria si fort que tout le village l’entendait. La semaine suivante tout recommençait. La bergère s’endormit d’ennui tout en gardant le troupeau de M. Leloup qui décida de lui donner une fessée. — Arrêtez M. Leloup ! hurle-t-elle. Arrêtez, le troupeau sera surveillé, elle cria si fort que tout le village l’entendait. Les semaines ne tardent pas à s’enchainer et avec elles les fessées. Mais un jour la bergère qui ne fut pas réveillée par une nouvelle fessé et ne percevait plus le troupeau à ses pieds. M. Leloup n’était plus là pour la corriger.

Il était une fois un homme, Adam, et sa femme, Eve, qui vivaient seuls au beau milieu de la nature, entièrement nus. Accompagné des animaux sauvages, entourés par la forêt et une rivière dont on pouvait entendre le doux bruit de la cascade. Ils vécurent heureux ainsi jusqu’au jour où une vipère rouge vint à la rencontre d’Ève et lui dit : - Sais-tu que l’arbre doré, au centre de la forêt, recèle de nombreux bienfaits ? Ève répondit : - Il m’est interdit de m’en approcher. La vipère lui rétorqua, en la fixant de son regard hypnotique : - Personne ne le saura, puisque Adam n’est pas là. Ève, désemparée, perdit pied. Ne sachant que répondre, elle repartit sans vraiment comprendre ce qui venait de lui arriver. Les jours passèrent, et l’ennui commença à gagner Ève, qui reçut à nouveau la visite de l’étrange serpent. - Alors, tu ne t’es toujours pas décidée ? - Préfères-tu l’ennui à l’excitation de l’interdit ? Demanda la vipère en fixant à nouveau Ève du regard. Ce...