Récits
Une petite amie très déterminée
il y a 1 mois

Daphné est bien décidée à prendre les choses en mains.

On s’était connus, Daphné et moi, à la fac de droit, en première année. On s’était tourné un bon moment autour et puis, finalement, ça « l’avait fait ». Dans la journée, entre deux cours, on se retrouvait chez elle, un petit studio que lui louaient ses parents, à quelques centaines de mètres de la fac. J’avais aussi fini par y passer la nuit. Au lit, elle était très ardente et, au fil du temps, se laissait de plus en plus aller. Au point de se mettre à m’expédier sur les fesses, au cours de nos ébats, un certain mardi de novembre, une salve de claques extrêmement énergiques. Une fois la ferveur retombée, elle a voulu s’en excuser. - Désolée, je suis désolée, mais prise dans le feu de l’action… - Oh, mais ça fait rien. Ça fait rien. Je n’allais pas me plaindre : elle avait joui de façon beaucoup plus expansive encore que les fois précédentes, ce que j’avais, pour ma part, énormément apprécié. Forte de cette première expérience, que je n’avais pas réprouvée, elle a recommenc...
CAUSES ET CONSEQUENCES (extrait d'Olympe d'Emeraude)
il y a 1 mois

Ce petit texte, est un extrait d'un récit bien plus long en court d'écriture. Attention, ce texte contient de la fantaisy

Cela faisait trois mois que, je vivais avec Bruce. J’étais officiellement devenue Olympe Kenneth. Sa nièce orpheline. Nous vivions chez lui, au milieu des montagnes du Colorado. Même si mon contrôle sur ma Louve était presque parfait, il ne voulait pas que j’ai des contacts avec l’extérieur pour le moment. La raison principale était qu’il y avait des loups solitaires sur « son » territoire. Et que, la petite louve que j’étais, serait incapable de les détecter, mais qu’eux, feraient tous pour m’avoir. J’étais donc cloisonnée à l’intérieur en son absence. Je ne manquais de rien. De rien, sauf de liberté. Je suis sortie une fois. Je me suis faîte vertement engueulé. Avec la menace de prendre une bonne correction si, je recommençais. Les loups-garous, guérissent très vite. Mais cela ne leurs empêchent pas de ressentir la douleur. Ce jour-là, je n’en pouvais plus. Ma louve faisait du harcèlement moral depuis deux bonnes heures, pour que l’on parte se dégourdir les pattes. J’ai fini par...
Le Pervathlon (2023) de Zetafan
il y a 1 mois

Zétafan J'aime être utilisé ! Surtout des republications

J'étais réparateur quand j'ai rencontré ma maîtresse pour la première fois quand je suis allé chez elle pour réparer un appareil cassé. C'est une actrice célèbre qui a aussi fait du mannequinat, née dans une famille où sa mère était aussi une actrice très célèbre dans les années 80. Elle était de la royauté. Et j'étais un grand fan d'elle pendant des années. En fait, j'étais amoureux d'elle comme n'importe quel autre perdant pourrait l'être. J'ai fait la sourde oreille quand elle a ouvert la porte, m'invitant à entrer, mais en fait, j'ai été complètement impressionné par sa politesse et sa simplicité. Elle a remarqué que j'évitais de la regarder dans les yeux et elle pouvait facilement deviner pourquoi. Elle m'a apporté un rafraîchissement, m'a touché doucement l'épaule et m'a suggéré de faire une pause. Alors que nous parlions, j'ai avoué que je l'adorais et que je voulais travailler pour elle gratuitement. "En tant qu'esclave ?" a-t-elle demandé. "Oui !" ai-je répondu. "Eh bien, je s...
Elle a été une bonne chienne dans l'ensemble
il y a 1 mois

Deuxième rencontre BDSM avec une femme mariée en l’absence de son mari

J'avais donné rendez-vous à ma soumise au Mans, charmante ville de province, peu éloignée de Paris, et proche de Laval. Dans l'après midi, lors d'un de mes déplacements sur Paris, j'avais profité d'un instant de calme pour stationner et appeler ma salope sur son portable, je la savais au boulot. Après quelques essais infructueux, je comprenais fort bien que son travail est prioritaire sur nos appels, mais tout de même, je commençais à bouillir de ne pouvoir la joindre. Donc, la liaison avait fini par s'établir : - Claudette ? - Oui, je suis désolée, je ne suis pas seule à mon poste... - Tu n'as pas de toilettes dans ton entreprise? - Si, mais... - Eh bien, tu t'y rends, une fois assise sur le chiotte, tu me rappelles, c'est compris? - Oui Maître, répondit elle d'une voix très faible. Je n'avais pas eu beaucoup à attendre pour entendre mon portable sonner. J'entendis la voix de Claudette, toujours très faible, dire : - Voilà Maître, je suis aux toilettes. - Tu as la culot...
Divin cul
il y a 1 mois

Ode au dieu cul

Gloire à toi, divin cul, origine du monde, Tout autant que la chatte, avec toi bien souvent Cachée, et c’est dommage, sous un ardent buisson Que je ne veux plus voir, ni chez homme ni chez femme. Lorsqu’enfin tous les poils, par devant, par derrière, Par cire et par rasoir vous auront exposés, La chatte et toi le cul, à nos violents désirs, Tu seras, divin cul, vénéré comme un Dieu. D’entre deux chastes globes, largement écartés, Tu t’offres à nos regards dès l’abord envoûtés. Abîme existentiel qu’aussitôt nous allons Bien vite dilater sans cesser d’admirer. Rose cul de pucelle, sombre cul de l’aïeule, Large cul en volcan, cul serré en relief, Culs très provoquants ou bien culs consentants, Vous appelez nos langues, et bien sûr nos bites. Josette, quand j’eus sept ans, me l’offrit à lécher Et plus tard Valérie y orienta ma bite Car elle voulait bien jouir, me recevoir en elle, Mais rester chaste vierge, ne jamais être mère. Si pendant des années, pendant d...
Humiliation
il y a 1 mois

Moi je jouis là où d'autres se sentent humiliés

Selon Wikipédia : « L'humiliation peut être une pratique sexuelle consentante. Ce type d'humiliation engage des activités souvent sadomasochistes. C'est un type d'humiliation psychologique dans un contexte sexuel durant lequel un individu gagne du plaisir et une excitation érotique à l'aide d'un partenaire lorsqu'il se sent rabaissé et humilié ; souvent en conjonction avec la stimulation sexuelle d'un ou des deux partenaires durant l'activité. L'humiliation en elle-même a besoin d'être sexuelle. Elle peut être verbale ou physique et peut relativement être publique ou privée. Souvent elle peut devenir banale, et contrairement à certaines variantes sexuelles, elle peut se tenir à distance par le biais du téléphone ou d'internet. » Depuis que je bande, j’ai toujours eu envie de m’exhiber. M’exhiber nu, d’abord, ce qui serait dégradant alors que j’en suis fier. M’exhiber nu et me branlant, ce qui serait encore davantage dégradant mais dont je suis fier aussi. M’exhiber avec un plug au cul...
Souvenirs cuisants (2)
il y a 1 mois

On ne s'arrête pas en si bon chemin.

Comme elle me l’avait demandé, je me suis rendu dans sa chambre pour me dessiner. Nu. De dos: mes fesses, mes cuisses, le bas de mon dos, striés de longues zébrures rougeâtres qui commençaient déjà, pour certaines d’entre elles, à boursoufler. Et de face: en pied, le visage baigné de larmes. Je faisais d’incessants va-et-vient entre la glace, dans laquelle je me regardais pour être au plus près de la « vérité » et son secrétaire sur lequel j’avais posé crayons et papier à dessin. Je travaillais à genoux. J’avais bien essayé de m’asseoir, mais j’avais le derrière littéralement en feu. Et la douleur était bien trop insupportable.  De temps en temps, elle venait me voir à l’œuvre. Elle s’attardait quelques instants. - Oui, c’est ressemblant. Et elle repartait sans un mot. Devoir me fixer sur le papier dans l’état pitoyable où elle m’avait mis, avait quelque chose de profondément mortifiant, mais en même temps, paradoxalement, j'éprouvais une sorte de volupté trouble à le faire. Je...
Souvenirs cuisants
il y a 1 mois

Elle a attendu longtemps, mais elle est parvenue à ses fins.

En 1939, mon père s’était fiancé à Blanche. Des fiançailles qui, à cause de la guerre, s’étaient éternisées. Il avait été fait prisonnier, transféré en Pologne où il avait rencontré ma mère, Anna, dans des conditions sur lesquelles il n’a jamais, par la suite, voulu vraiment s’étendre. Toujours est-il qu’à la Libération, c’est avec elle qu’il est rentré en France. Où il s’est empressé de rompre ses fiançailles. Au grand dam de Blanche qui, ce qu’on peut comprendre, lui en a infiniment voulu. Avec Anna, ma mère, il a vécu des mois de pur bonheur. Je ne l’ai malheureusement pas connue : elle est morte en 1946, en me mettant au monde. C’est ma grand-mère paternelle qui m’a alors élevé. Jusqu’en 1954, date à laquelle elle est à son tour décédée et où Blanche a surgi dans ma vie. Mon père et elle s’étaient revus, expliqués. Ils avaient décidé de reprendre leur relation et, le 9 juin de cette année-là, elle est venue s’installer définitivement à la maison avec nous. 2- Il m’est tout de...
Sept nuits
il y a 1 mois

les sept premières nuits

LES SEPT NUITS DE NOCE D’UNE MARIÉE Quand j’avais treize ans, j’allais souvent me mettre à poil dans le grenier de la maison, et me branler avec une bougie dans le cul en me roulant dans la poussière. Parmi les vieilles revues et les anciens journaux entassés dans un coin, j’ai un jour trouvé le cahier sur lequel, pendant son service militaire, mon père avait recopié diverses histoires gauloises dont une, Les sept nuits de noce d’une mariée, m’a fait découvrir des pratiques insoupçonnées et m’a furieusement excité. J’ai montré le cahier à Jacqueline, ma cousine. Sages jusqu’à ce jour nous l’avons ensuite été moins, passionnés de travaux pratiques. Voici l’histoire des sept nuits de noces de Marie qui, cloîtrée à treize ans pour lui éviter d’être engrossée comme sa sœur fut, pendant cinq ans, soumise au régime sévère imposé par la Mère supérieure du couvent dont elle sortit le jour de ses 18 ans, bien sûr vierge, mais ayant tout de même découvert, en glissant entre ses cuisses un...
Voyage de noces au Sénégal
il y a 1 mois

Quand Madame oublie la clef...

- T’as rien oublié ? - Je crois pas, non. - Eh bien en route alors ! Pour l’aéroport. Deux ans qu’on vivait ensemble, Estelle et moi. Et on avait fini par sauter le pas. On s’était mariés. Dans la plus stricte intimité. Après avoir décidé que notre voyage de noces durerait un mois et qu’on le ferait au Sénégal, un pays qu’elle rêvait depuis toujours de visiter. On avait également envisagé de pimenter notre séjour là-bas de tout un tas de pratiques sexuelles nouvelles. Et elle avait fait l’acquisition d’une belle cage de chasteté en acier. - Je sens qu’on va bien s’amuser avec ce truc-là ! Elle m’en a harnaché juste avant le départ. - J’aime trop ça l’idée de te faire voyager avec. Et que personne ne s’en doute parmi les gens autour. Dans l’avion, elle a laissé tomber sa tête sur mon épaule, glissé sa main sous ma chemise, m’a agacé les tétons. Les a pinçotés. Plus fort. Plus fort encore. Elle savait que c’était quelque chose qui ne me laissait jamais indifférent....
Fessée par ma tante
il y a 1 mois

A force de vouloir baisser le pantalon de mon cousin, ma tante décida de me faire subir le même sort.

Je devais avoir 11 ans, ou peut-être 12 je ne sais plus trop, toujours est il que j'étais un garnement à cette époque et que mon passe temps favoris était de déculotter les amis ou cousins devant les filles. Un jour que j'étais chez ma tante avec mes 2 cousines Émilie et Christine, et mon cousin David, il pleuvait, on était à l'intérieur à jouer dans le salon avec tout pleins de jeux différents. Un moment ou je m'ennuyais j'ai décidé de baisser le pantalon de David qui avait mon âge, devait sa sœur Émilie qui en avait 10 et notre cousine Christine qui en avait 13. Il est parti le pantalon baissé se plaindre à sa mère qui était dans la cuisine. MA tante le rhabilla et vient me sermonner en disant que c'était pas bien. Ho ça je le savais que c'était pas bien, mais ça avait beaucoup plu aux filles, alors quitte à me refaire engueuler, j'ai recommencé un peu plus tard. Sauf que cette fois j'ai tiré très fort et baissé le slip en même temps, en disant "regardez les filles le zizi...
Un date qui tourne mal
il y a 1 mois

un rendez vous que je ne suis pas prêt d'oublier

Cela fait longtemps que je n'ai eu de rendez vous avec quelqu'un, je suis donc un peu stressé. Nous avions rendez vous à 19h au restaurent, c'est plus facile pour faire connaissance. Je suis le premier à arriver, et quand elle fit son entrée, je fut subjuguer par sa beauté, une robe noir très collante faisais apparaitre sa magnifique silhouette, et on pouvait deviné une magnifique poitrine en dessous du peut de tissu qu'elle avait, et des talons noir brillant magnifique également. J'essayai de ne pas être trop focus sur sa poitrine, mais la soirée ce passe bien, nous commandons l'apéritif, puis le plat. Plus la soirée avançais, plus je me sentais bizarre, je ne sais comment l'expliqué, mais je n'arrivai plus à rester éveiller. J'étais très déçus de moi, car j'étais au restaurent avec une créature de rêve, mais je me sentais vraiment trop mal, j'ai donc du écourter cette sortie. Très sympathiquement, elle proposa de me raccompagner chez moi, je ne refus pas sa proposition car vrai...
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