Elle n’avait plus envie. Plus du tout. Depuis qu’elle était enceinte, pas question. - J’en suis pas. Et même… ça me répugne. Mais… et toi ? Je haussais les épaules. - Moi ? Ben, je fais avec. Il faut bien. - Tu vas aller voir ailleurs, alors, hein ? - Mais jamais de la vie, enfin ! - Ben, si ! Si ! Tu vas aller voir ailleurs. C’est obligé. Les hommes, ça peut pas s’en passer. Je jurais mes grands dieux que non, mais elle n’en croyait pas un mot. Et revenait constamment à la charge. - Tu vas me tromper. Même que, si ça tombe, c’est déjà fait. - N’importe quoi ! - Tu parles ! Avec toutes les nanas qui te gravitent autour, là-bas, au boulot. J’avais beau protester, elle n’en démordait pas. - Te fatigue pas, va ! C’est très vite devenu une obsession. - J’arrête pas d’y penser. De t’imaginer avec une autre. Ça me rend folle ! Elle soupirait. - Et dire que le toubib a été formel : dans l’intérêt du bébé, pas de stress. Pas de soucis. Pas d’anxi...

J’observais la pluie tomber derrière mon voile qui me séparait de la réalité. Chaque goutte m’apparaissait comme artificielle, tandis que mon cerveau s’évertuait à tester la nouvelle mécanique que j’avais mise en place pour mon Monopoly BDSM. J’avais simulé une dizaine de parties pour tester mon propre système afin d’y trouver des failles et de l’équilibrer. Il ne fallait pas que les dés du diable soient trop forts, mais il ne fallait pas non plus qu’ils soient trop faibles. Il me fallait un juste-milieu suffisamment pervers pour bloquer des joueurs, sans casser complètement l’asymétrie que j’avais réussi a instauré. Mon téléphone sonna et me sortit de mes pensées. Alors que je l’avais récupéré, j’ouvrais le mail qui faisait office de devis pour l’impression 3D… « Hum… » Avais-je soufflé en voyant les prix. La création d’une version physique du projet que j’avais en tête commençait à devenir chère. Très chère même. Je recalculais les coûts et finalement, j’optais pour le ponçage...

- Tu me fais chier ! Et j’ai monté bruyamment l’escalier. Claqué la porte de ma chambre. Je l’ai aussitôt rouverte. Le plus doucement possible. Pour écouter ce qu’elles disaient en bas, tante Jeanne et ma mère. Parce qu’il fallait bien reconnaître que j’avais exagéré quand même ! - Et tu laisses ta fille te parler comme ça… - Tu sais comment elle est. Tu connais son caractère. - Raison de plus ! Moi, je peux te dire que, quand elle était à la maison, Mélanie m’aurait parlé sur ce ton – là, ç’aurait été la fessée assurée. - Aurore va avoir vingt ans, je te rappelle… - Et alors ! La belle affaire ! Non, par moments, j’ai le sentiment que tu ne connais pas ta fille. Elle est complètement immature, ma pauvre Gisèle, ta fille. Dans sa tête, elle a à peine dix ans. Il faut la traiter comme une enfant de dix ans. Un frisson m’a parcourue. Elle m’avait totalement percée à jour, tante Jeanne. Je jouais à la grande, oui, mais, en réalité, je ne l’étais pas. Trop compliqué....

Enfin, LES VACANCES ! Léo se tenait dans la file des douanes à l'aéroport, sa main fermement serrée dans celle de sa petite amie. Cela faisait bien trop longtemps qu'ils n'avaient pas pris de vacances, merci le COVID, mais leurs jours de congé et les prix des billets avaient enfin coïncidé. Pour la première fois en 18 mois, lui et Julie allaient passer une semaine entière ensemble, rien que tous les deux. Pas d'attentes familiales, pas d'itinéraires fous, juste du temps de qualité et leur petit secret... Le secret étant, bien sûr, que Léo portait une couche sous son pantalon de jogging. Il avait enfin trouvé le courage de parler à sa copine de son petit penchant juste avant le confinement, et bien sûr, cela leur avait donné un temps infini pour s'y adonner. À sa grande surprise, certains jours, Julie semblait même plus intéressée que lui. Le fait qu'ils travaillaient tous les deux en télétravail, dans le même appartement, rendait certainement les choses plus intéressantes. Ent...

Salut à vous tous Eh bien, jusqu'à présent, l’année avait été un peu légère du côté de l'auto-bondage pour moi - c'était la première session sérieuse de l’année. Mais je partage ce que j'ai réussi avec vous tous dans l'espoir que cela inspirera les autres à contribuer. J'ai appelé cette session `` Auto-bondage au bureau '' pour des raisons qui, je l'espère, deviendront évidentes. Sourire Matériel : - bas de corps en nylon beige 3 paires de collants bronzés (1 paire utilisée `` doublée '' comme cagoule) - 3 collants mi-bas beige - Lycra noir corps - Harnais de tête gag - Chaise pivotante de bureau - Masseur à percussion alimenté par secteur Minuterie numérique - Bottines à talons hauts noirs - Corde - Poignets en cuir (avec de petits cadenas à verrouiller) - Cadenas à longue manille (avec clés sur une longue ficelle solide) Auto-bondage au bureau : Il s'agissait d'une séance `` sur l'impulsion du moment '', donc certains éléments (comme le communiqué) n’éta...

"fait moi chauffer de l'eau pour mon thé" me dit-Elle, alors qu'Elle est assise dans le salon et que je suis dans la cuisine. Je me tourne donc vers la bouilloire que je mets en marche. j'entends qu'Elle se lève, Elle arrive dans mon dos, me pousse vers le plan de travail sur lequel je pose mes mains pour me rattraper... je me cambre lui offrant ainsi mon cul "Ecarte les jambes" m'ordonne-t-Elle en me filant une claque sur une fesse... Alors que je me retrouve dans cette position indécente, Elle passe sa main dans mon entre cuisses et commence à me branler comme si j'avais une chatte... sous mon jean je porte une culotte en dentelle noires et ma queue est attachée... mon excitation monte en même temps que l'eau commence à frémir... ma queue bande, enserrée dans ses anneaux de cuir, comme si c'était sa main qui la serrait. Je lui dis que je ne suis qu'une salope, Sa salope... Mais je n'ose pas lui avouer que j'ai envie qu'Elle m'encule, là comme ça... pourtant, à un moment...

Comme certains d’entre nous, j’ai hésité à exposer sur ce blog mon vécu de fessées au sein de notre couple. En effet, il n’est pas toujours aisé de confier une part de sa vie privée, en l’occurrence le souvenir encore « chaud » et honteux d’une correction conjugale, même si je reconnais qu’elle fut amplement justifiée et méritée. Pour tout vous dire, ce fut une fameuse fessée dont mon cul fit la douloureuse expérience et qui marqua la célébration de notre troisième anniversaire de mariage pour mon épouse et moi. Mais au bout du compte, ce qui m’a encouragé à écrire, c’est que je partage cette expérience avec des gens qui considèrent cette méthode de punition comme juste et souhaitable, voire indispensable à l’équilibre d’une vie de couple et ce, malgré l’humiliation et la honte qu’un adulte peut ressentir à la recevoir. On trouvera peut-être mon récit trop sensuel, osé, déplacé, mais il est avant tout véridique, soit ma vérité qu’aucun discours, aucune opinion hostiles ne sauraient...

Il y a quelques années j'ai rencontré une dame par intermédiaire, le but n'était pas une relation olé olé mais devait devenir une colocation chez elle, je ne suis pas là pour raconter le pourquoi du comment, c'est juste pour le détail.. Donc dans un cas comme celui ci, il faut bien faire connaissance avant d'engager quoi que ce soit.. Se passe les 3 premiers rendez-vous pendant des heures à chaque fois, tout se passe très bien.. Puis arrive le 4ème, je ne suis pas au féminin en permanence malgré mes envies mais quasi tout le temps en privé et parfois pour sortir.. je décide de m'habiller pour l'occasion, de toute façon elle l'aurait appris à un moment ou à un autre.. donc j'enfile un body en lycra noir à col roulé et manches longues avec un soutien-gorge sans poitrine mais que son dessin ressorte bien sous le body, un collant noir fin 20 deniers, un jean étroit presque skinny à taille très haute élastique et boutonnée sur lequel je fais un bel ourlet pour largement laisser entre...

Un jour (il y a quelques années maintenant) je suis allé me balader dans les bois, en semaine... J'avais un pantalon de treillis large, sans slip ni culotte, des pinces avec les poids sur les tétons et mon collier de chien autour du cou, caché sous une écharpe... à la base je voulais juste aller pisser à 4 pattes dans la nature... mais je me suis mis à bander en croisant une Femme qui promenait son chien... en plus Elle avait des bottes et une queue de cheval... j'ai pensé à Emily qui aimait me mettre à la place de son chien... Du coup j'ai continué à me promener et j'ai croisé d'autres personnes qui étaient aussi accompagnées de leur chien... A un moment je me suis donc enfoncé plus profond dans les bois, j'ai fini par me mettre à quatre pattes (les pinces et les poids tiraient encore plus sur mes tétons)et j'ai avancé en tirant la langue et en aboyant un peu... je me suis excité sur un tronc d'arbre... j'ai retiré mon pantalon car je voulais pisser à 4 pattes ou en levant l...

Es-tu prêt, mon garçon ? Oui Monsieur. Ne parlons plus. Nous en parlerons plus tard. Bien plus tard. Ouvre-toi. Le gros bâillon, habilement inséré et cadenassé derrière, rendait la commande précédente inutile. Il faisait également tendre ma bite déjà dure - ma réaction typique lorsqu'on lui met un bâillon. Il le savait bien. J'avais une vague idée de ce que cette journée allait nous apporter, nous avions discuté de nos fantasmes, de nos goûts, de nos dégoûts, de nos objectifs, etc. Et, au cours des derniers jours, j'avais été attachée dans de multiples scénarios, d'intensité variable, pendant des durées croissantes. Chaque scène jusqu'à présent avait exploré nos intérêts mutuels et lui avait donné plus d'idées à poursuivre. Il savait qu'au fond de moi en tant que soumise - plus c'est mieux. Plus de retenue, plus de sangles, plus de contrôle pris. Pourquoi utiliser une sangle quand on peut en utiliser trois - ou cinq ? En tant que dom, il aimait ma volonté d'aller plus en...

« À genoux » Mon regard de feu se perdait dans ses iris de glace. Sa voix aussi posée que directive m’ôtait tout désir de rébellion ou de jeu insolent. Ainsi, je laissais mon corps descendre petit à petit le long de ses jambes, une fois à genoux, la flamme vacillante de mon regard était meurtrie par le vent glacial de son expression. « En seiza… Paume vers le haut. » Je laissais mes fesses s’appuyer contre mes talons avant d’exécuter son dernier ordre aussi mordant qu’un courant d’air. Mon regard suivait ses déplacements avec attention vers le buffet où toutes ses armes étaient posées. « Regarde devant toi, le mur. » La clarté de son déplacement fut assombrie. Mes yeux captaient le mouvement, mes oreilles accrochaient le son de ses pas, de sa façon méticuleuse de récupérer une chaîne claquante. Pour autant, tout cela restait flou. Flou de ne pouvoir suivre avec attention ce qu’elle préparait. Pour la première fois, je n’avais absolument aucune idée de ce qu’elle avait...

En fin d'année, en décembre, j'aurai 58 ans et je rêve de celle qui m'infligera 58 coups de cravache pour l'occasion... lentement... bien appliqués en me laissant le temps de compter et d'apprécier chacun d'eux... Bien entendu il y aura un joli gâteau avec 58 bougies que je soufflerai pas car Elle prendra chacune d'elles pour les faire couler l'une après l'autre sur mon corps... Ensuite Elle découpera une part de ce gâteau pour me la faire manger à 4 pattes à ses pieds... enfin Elle m'offrira une coupe de son Champagne chaud et doré... Puis, si Elle le souhaite, je pourrais passer ma langue à 58 reprises sur sa chatte, au rythme qu'Elle m'ordonnera de suivre... je serai ainsi le plus heureux des hommes soumis...