Je commence à entendre de l'activité autour de moi. J'essaie d'écouter. Cela fait il ,4 ou 5 heures que je suis enfermé là, je n'en ai aucune idée. Cependant, je suis convaincue maintenant que cela s'agite . Ils sont probablement en train de charger le véhicule pour le futur départ. La porte arrière du véhicule et Maria me lance : Alors, la gourdasse, tu dors ???? Peu habituée à pouvoir répondre, je me tais et me fais rappeler rapidement à l'ordre par un coup donné sur la caisse qui résonne énormément. Pardon Maria, je n'ai pas fait attention à vôtre question. Ce quoi je répondrai : Non, je ne dors pas , je pense m'être assoupie un peu, je ne sais pas combler de temps...Maria ajoute : Très bien ,tu vas pouvoir dormir, T'es la pour un bon moment .... T'as pissé, Bonne à rien ???? Je répondrai : j'espère que non , Maria. Mais je ne sens rien. Peut être ??? Maria , ajoute : de toutes façons, nous allons contrôler, puisque tu as oublié ton petit sac d'accessoires, la haut, nous allons r...

Le matériel d'éducation conseillé par MaîtresseM Madame, prenez le pouvoir en vous équipant sans attendre ! A la base c’est une volonté et un moral de fer de parvenir à vos fins et c’est « le fouet » qui va devenir votre bras droit dans votre maison et qui sera craint d’autant qu’il servira souvent et systématiquement à la moindre faute jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de travers à corriger. Il faut donc du bon matériel pour faire du beau travail qui de plus se voit ! Il serait idéal de vous équiper ainsi : Un martinet de correction : à mille lieux des articles de bazar vendus dans les grandes surfaces, il faut le choisir avec attention ou le fabriquer soi-même. C’est l’outil de base toujours à portée de main et bien visible au foyer, qui va vite faire comprendre à votre soumis que les choses ont changé. Quelques exemples de matériels certainement efficaces, caractérisés par des lanières de corde ou cuir souples, lourdes et résistantes. Mais tout cela n’est rien : Je vou...

Comme je vous l'avais déjà expliqué, j'aspire de vivre comme souillon bonniche chez une Matrone mûre autoritaire qui me condamnerait aux tâches ménagères et domestiques sans considération. Perpétuellement enveloppée et emblousée dans de vieilles blouses de nylon, complètement boutonnées jusqu'au col Claudine . Entravée et ligotée en permanence pour me rendre la tâche plus pénible, je serai corveable et disciplinée pour mes erreurs. Hébergée et nourrie le plus modestement et étroitement possible , je serai à son service 24/7. Privée de tous vêtements autres que la blouse, la sorte extérieure me restera impossible. J'ai osé imaginer un scénario ou cette Matrone m’emmènerait pour profiter de sa résidence secondaire sous le soleil espagnol. Quand je parle de profiter ; c'est d'elle, dont je parle... Mon rôle, serait de trimmer sérieusement au décrassage et nettoyage de cette demeure... Mon imagination, me porte à croire que je serai la bonniche la plus corvéable sous les ordres de Ma...

Après avoir été obligé de sucer les boules de mon collègue jusqu'à sa jouissance sur mon visage. Je me sentais humilié, dégoulinant de sperme et toujours en tenue de pute. Je marchais maintenant comme un automate dans le couloir de l’hôtel en direction de la prochaine chambre où se trouvait Greg un collègue qui travaillait avec moi depuis le début et qui avait longtemps brigué ma place de Directeur. J’avoue que je n’avais pas été tendre avec lui et qu’à l’époque j’étais prêt à tuer père et mère pour obtenir cette place qu’il méritait pourtant certainement plus que moi. Mais tout cela était du passé et j’espère qu’il ne profitera pas de la situation pour se venger. Arrivé devant sa porte je frappe timidement. La porte s’ouvre rapidement laissant apparaitre un beau jeune homme brun, barbu en costume chic. Greg : bonjour Mademoiselle. Que me vaut cette visite ? Moi : fais pas le con Greg c’est moi, Simon. Tu as la clé vers toi s’il te plait. Greg : ah oui c’est vrai la clé...

Après ce Striptease, j'enfilais bien malgré moi mes affaires de fille et sortis de la chambre en espérant ne croiser personne. Je frappais à la première chambre qui suivait pour réduire le risque. C’était la chambre de Mathieu, un collègue et ami d’enfance. Nous étions souvent ensemble pour draguer les filles même si je me tapais souvent les plus belles et lui laissais ce que j’appelais « les seconds choix ». Mathieu (ouvrant la porte en rigolant) : mais qui voilà ? Moi : te fous pas de moi ! j’ai assez joué ! Mathieu : mais en toute honnêteté je suis sans voix ! tu es à tomber ! Mathieu était en peignoir et en regardant son entre jambe, je découvris une bosse déjà bien grosse. Moi : écoute Mathieu est-ce que tu as la clé ? Mathieu : Tu connais la règle ? Moi : putain, mais tu veux quoi ? Un striptease aussi ? Mathieu : même si l’idée est bonne j’ai autre chose pour toi. Aller vient t’allonger sur le dos dans mon lit. Bizarrement je me dirigeais vers le...

Je m’appelle Simon, 27 ans, 1,83 pour 70 kg, cheveux châtains frisés yeux verts. Un corps plutôt athlétique et très viril aux dires de la gente féminine. Je suis en couple avec Lisa, une femme merveilleuse avec laquelle je dois enfin me marier. J’ai réussi à conquérir son cœur et surtout à la piquer à mon meilleur ami Steeve qui heureusement ne m’en tient pas rigueur. Après des années de célibat à passer d’une fille à l’autre en narguant mes collègues et amis sur le nombre de mes conquêtes je vais enfin me caser. J’ai un poste important de Directeur dans une société informatique dans laquelle je manage mes collègues et amis avec fermeté et parfois avec un peu d’humiliation consciente ou inconsciente. Je vis dans l’opulence et je ne manque de rien. Cette histoire commença lors de l’enterrement de ma vie de garçon. Pour ce faire Steeve mon bras droit mais également mon meilleur ami avait planifié une semaine de folie sur une île paradisiaque des caraïbes. Pendant cette...

Depuis cinq ans, les robots humanoïdes sont sur le marché. Ils sont principalement utilisés pour les tâches ménagères comme la cuisine, le ménage et l’entretien de la pelouse. Leurs prix sont enfin suffisamment bas pour que je puisse en acheter un. J’ai décidé d’aller dans un showroom de Robo USA pour voir ce qui était réellement disponible. À mon arrivée, j’ai découvert que très peu de personnes, trois ou quatre par semaine selon les vendeurs, se rendaient réellement dans le showroom et n’en achetaient pas un en ligne. Après avoir regardé autour de moi, j’ai opté pour un modèle de base car les mises à niveau étaient plus chères et je voulais économiser de l’argent pour les applications robotiques. Lorsque j’ai expliqué cela à la vendeuse, elle m’a proposé une offre. Comme j’étais physiquement sur place, j’ai obtenu une remise de 30 %, une coque extérieure améliorée et le double du crédit d’application que j’ai acheté. J’ai décidé d’opter pour une coque féminine. Après avoir pris d...

Emilie attend depuis une demi-heure sur un petit parking en terre battue situé à l’orée d’une forêt. L’angoisse bloque sa respiration, et excitation augmente son rythme cardiaque. Tout a été très vite. Quelques jours auparavant, Emilie rencontrait Madame D. sur un forum Internet de domination et soumission pour lesbiennes. Les deux femmes choisirent une sortie en montagne le samedi suivant pour se rencontrer. Lors de leurs échanges virtuels, Emilie n’avait vu de Madame D. qu’une silhouette élancée aux courbes féminines. Si la rencontre se passait bien, Madame D. avait proposé de finir la soirée chez elle. Une tempête émotionnelle ravage Emilie à cet instant. Madame D. est-elle vraiment ce qu’elle prétend être ? Dans le cas contraire, elle pourra toujours repartir. D’un autre côté, elle sent une irrésistible envie de faire sa connaissance et son corollaire, la peur de se faire rejeter. Emilie n’en a pas dormit de la nuit. La température est encore fraîche en ce matin de juin dans...

Pendant des années, j'ai joué à des jeux dans mon chalet de campagne sans être vu, puis un vendredi après-midi très pluvieux, c'est arrivé. Lors de mes jours de congé, j'aime m'habiller avec mes vêtements de fille, avec des vêtements de chasteté et des articles de bondage avec les clés enfermées dans une boîte à libération prolongée. La route qui longe mon chalet est connue pour être inondée après de fortes pluies et cette nuit-là, nous avons eu des averses constantes, donc le coin à quelques mètres de la route était bien sous l'eau. Quand c'est comme ça, la plupart des habitants savent qu'il ne faut pas l'utiliser, seuls les agriculteurs en tracteur ou les personnes avec des SUV à garde au sol élevée peuvent le faire. J'étais là, debout à la fenêtre de la cuisine, en train de faire la vaisselle quand une femme trempée et boueuse est arrivée en courant dans mon allée en direction de la porte arrière. Je n'ai pas eu le temps de me cacher, alors tout ce que j'ai pu faire, c'est...

La régression peut être un moyen de se découvrir Jean commençait à s’impatienter. Sophie aurait du rentrer depuis deux heure et elle n’était toujours pas là. Pas un SMS, rien. Enfin la porte s’ouvrit et Sophie entra toute pimpante. C’était une jolie femme de 30 ans, bien faites, élégante, et charmeuse. Elle était vêtue d’un corsage blanc dont les boutons relâchés laissaient apparaître le sillon naissant de sa poitrine. Une petite jupe plissée bleu marine, des bas noirs et ses escarpin à talons. Elle posa son sac et ses clés, allât ranger son manteau dans la penderie et revint vers Jean. A son air renfrogné elle vit que l’humeur n’était pas rose - Tout va bien mon chéri ? - Tu rentres avec 2 heurs de retard et tu me demandes s tout va bien. Qu’as tu fait de tout ce temps - Rien de spécial - 2 heures et rien, tu te moques de moi - Enfin pas grand-chose - 2 heures à faire pas grand-chose au lieu de rentrer, c’est un peu bizarre. Sophie commençait à se sentir mal à l’a...

Je m’appelle Julien, 28 ans, 1,85m, 75kg cheveux blonds légèrement bouclés et un corps parfaitement dessiné et musclé. Je travaille comme journaliste pour un grand magazine. Au bureau je suis comme un roi. Les filles sont toutes à mes pieds et j’ai les dents longues ce qui m’a permis de prendre rapidement des responsabilités et surtout de saisir les opportunités. J’avoue utiliser souvent mes charmes pour arriver à mes fins au détriment de certains collègues notamment Fred. Ce pauvre homme d’une 40ène d’années est insipide, timide, sans charisme et très seul au monde. Il n’a rien pour plaire avec son ventre bedonnant, son début de calvitie et pour parfaire le tout il est gay et très certainement puceau. Tous les jours je prends un malin plaisir pour le taquiner et l’humilier auprès de ses collègues. Un jour j’ai renversé sur lui du café sans le faire exprès, bien sûr ! Il a dû aller prendre une douche dans les vestiaires du boulot. J’en ai alors profité pour lui confisqué ses frin...

Aussi loin que je remonte dans mes souvenirs, j’y trouve une extraordinaire fascination pour la fessée. Une fascination d’autant plus incompréhensible que je n’en recevais pas. Qu’on ne m’en donnait pas. Ni à moi, ni à Clotilde, la fille de Marta, la seconde épouse de mon père. À nous, on ne nous en donnait pas, non. Jamais. Mais sur les autres, à l’extérieur, ça tombait comme giboulée en mars. Sur mes camarades de classe. Sur leurs frères. Sur leurs sœurs. Je le savais. Il s’en parlait. Je le voyais aussi : tous les garçons portaient alors des culottes courtes et j’apercevais souvent, sur les cuisses ou les mollets des uns ou des autres, des marques qui ne laissaient pas planer le moindre doute sur la nature de la punition qui leur avait été infligée. Et, dans les vestiaires du gymnase, quand on se changeait avant le cours d’éducation physique ou après, quand on en revenait, c’est souvent qu’il m’était donné d’entrevoir de grandes plaques rouges sur les pourtours des slips. 2-...