Récits
25 décembre
il y a 3 mois

Une histoire de noël... à ma sauce

25 décembre Punaise, ça y’est, c’était reparti ! Encore ! Les décos dans les rues, les sapins qui pointent leurs aiguilles un peu partout, les supermarchés et les commerçants qui peignent leurs vitrines, et accrochent toutes sortes de niaiseries partout pour attirer le chaland. Ben moi, ça avait plutôt tendance à me faire fuir. Problème c’est que pas un commerce n’échappait à cette coutume ridicule de décorer, non pardon, de se déguiser, de boules, guirlandes, sucres d’orges et autres absurdités pour faire péter leur chiffre d’affaire. Parce que concrètement, le vieux barbu sur un traîneau volant tiré par des rennes, il faut être complètement con pour penser que ça puisse exister. D’ailleurs personne n’est dupe, mais tout le monde joue le jeu. « C’est pour les enfants, tu comprends ? » Ben non justement, je ne comprends pas. Comment on peut faire croire à des enfants que la magie existe et les confronter 6 ou 7 ans plus tard à la violente réalité ?! « Ah ben non en...
Fessées déculottée
il y a 3 mois

A 9 ans j'ai été fessée par une jeune fille de 19 ans

Lorsque j'avais 9 ans ma famille adoptive avait des amis de Lyon qui venaient régulièrement en Alsace avec leurs 3 gamins 2 garçons et une fille Monique. C'était les années 1970 tout se passait à merveille jusqu'à ce que Monique doivent me garder. Je me sentais fatigué donc je suis resté à la maison sous sa surveillance pendant que les autres étaient partis en vadrouille. Du haut de mes 9 ans je faisais le grand et Monique m'a plusieurs fois demandé de ne pas faire le pitre. Bien évidemment moi je me disais qu'elle avait juste le double de mon âge donc pas de danger et au bout d'un moment elle me demanda encore de me calmer. Je l'ai regardé méchamment elle est venue subitement devant moi et m'a tout simplement menacé d'une fessée si je continuais à faire le malin. Il faut savoir que ma mère lui avait dit de pas hésiter à me punir s'il le fallait et moi bien sûr je l'ai pas cru quand soudain elle m'a attrapé par le bras m'a claqué les fesses plusieurs fois sur le pantalon en me d...
Une Sereine Convivence
il y a 3 mois

8 et 9 et bonnes fêtes!

Monica : Je t'ai promis un prix et je tiens mes promesses. Claudio et moi en avons parlé et nous pensons que le moment est enfin venu où il serait important que tu puisses te confronter à un vrai homme et, en attendant, te rendre utile, même si c'est d'une manière très douce. Restez à genoux. Monica a enlevé ses chaussettes en montrant ses magnifiques petits pieds et les a posés sur un repose-pieds juste à côté de moi. Monica : Dis-moi, est-ce que tu aimes mes pieds ? Moi : Monica, ils sont merveilleux, magnifiques. Monica : Dis-moi la vérité, tu t'excites ? Moi : Beaucoup Monica, la cage me fait tellement mal en ce moment. Mon zizi voudrait se lever, mais il est serré et ça fait mal. Monica : C'est ce que je pensais. Presque toujours, les petits pois comme toi aiment les pieds et plus d'une fois je t'ai surpris en train de les regarder. J'en avais aussi parlé à Claudio, mais il m'avait dit que je m'impressionnais moi-même. Claudio : Et bien sûr, je ne suis pas jal...
Adam et Ève (partie 1: le piège)
il y a 3 mois

A 22ans je suis toujours puceau et peu avantagé par la nature. Mes 2 demi- frères vont profiter de mon arrivée dans cette nouvelle famille pyme faire vivre un enfer

Je m’appelle Adam j’ai 22 ans, 1,63 mètres et 48 kg et toujours puceau. Je suis blond légèrement frisé, yeux bleus et imberbe. Tout le monde me prend souvent pour un enfant et même dans les magasins je m’habille parfois encore dans le rayon enfant ce qui est très humiliant. Je suis timide et j’ai beaucoup de mal à draguer les femmes. Je rougis comme une pivoine dès que je commence à m’approcher de l’une d’entre elle. Et pour finir la nature ne m’a pas très bien gâté avec ma petite bite de 8 cm en érection et des petites noisettes. Ma mère a refait sa vie avec un homme, Roger, qui a 2 jumeaux de 16 ans, Paul et Samuel. 2 forces de la nature qui travaillent déjà sur la ferme de leur père. Les jumeaux mesuraient plus d’1,80 mètres et était charpentés comme des bucherons. Ma mère et mon beau-père ont eu une petite fille Marie qui est âgée aujourd’hui de 9 ans. Elle a hérité de son père car elle est déjà presque aussi grande que moi. Et pour finir le grand-père des jumeaux vit...
Femme jalouse devient domina
il y a 3 mois

Sous ceinture de chasteté sa vie finira féminisé et corseté.

Au commencement Tout a commencé avec le contrat Ferguson. Laissez-moi vous expliquer. Je suis Roger Blake, directeur financier et comptable d’une entreprise de fabrication de taille moyenne. Je suis marié avec ma femme depuis sept ans, la très charmante Jenifer Blake. L’entreprise venait de conclure un contrat avec une grande entreprise pour que nous lui fournissions des sous-ensembles. Notre PDG voulait les ventes et leur PDG voulait nous acheter les pièces. Le diable est dans les détails, comme on dit. Alors que les hauts gradés pensaient que l’affaire était conclue, il restait des contrats à rédiger et des détails à régler. Qui paierait le fret ? Comment les assemblages seraient-ils expédiés ? Quand les paiements seraient-ils effectués ? Etc., etc. Mon patron voulait que Theresa (Terry) McFarland, directrice de notre service juridique, et moi-même nous rendions à Dallas pour régler les détails du contrat, y compris la rédaction d’une formulation acceptable pour les deux partie...
Passionnée de bondage avec du métal
il y a 3 mois

Pigée dans un selfbondage, elle se retrouve très exposée

En rentrant chez moi, je prends le carton dans le placard. Alors que j'entends le bruit familier du métal contenu à l'intérieur, je sens déjà quelque chose bouger en moi. Cela fait longtemps que je n'ai pas vécu d'aventure, et tout ce temps, une longue série de boulots et d'engagements m'a éloigné de mon passe-temps favori : l'auto-bondage. En plus de cela, je suis une adepte des attaches métalliques, j'aime vraiment être enfermée dans du métal. Cela semble si rigide et si impitoyable que j'atteins immédiatement une atmosphère orgasmique tout en étant maintenu sur le fil, et maintient mon envie de jouir très longtemps. Alors, l'esprit s'emballant pour l'aventure qui m'attend, je jette mes vêtements de travail et saute sous la douche, pour laver toute la semaine de travail et de frustrations. Sous le jet d'eau, je dois me taire, me retenir, ne pas commencer à me doigter jusqu'à l'orgasme en savourant simplement le week-end à venir. Je prends mon temps, rien ne presse. Le pl...
Je le mérite
il y a 3 mois

Je pense meriter ce traitement pour son plaisir

En effet, pour supporter c'est bien difficile, Marine ne m'a pas menti. La position est compliquée et l'équilibre aléatoire... je suis dans l'obscurité totale et n'ai aucune notion du temps passé. C'est très long, une éternité... aucun repère... mes poignets, mes chevilles et mon collier tirent énormément... Mes genoux me font souffrir, tout le poids de mon corps reposent dessus. je sais que je bave en abondance, ma blouse est trempée ,j'ai tres chaud et je transpire énormément... je suis régulièrement abreuvée avec un entonnoir que l'on m'insére en lieu et place du baillon qui m'est immédiatement replacé après. Le nylon de ma blouse qui bruissait tout a l'heure quand je remuais les doigts derrière le dos est devenu moite et imbibé de sueur.... mes genoux glissent au contact de ma bave qui inonde le sol...je suis obligée de me forcer et me concentrer pour garder l'équipe et ne m' effondrer sur le flan en restant courtement pendue....régulièrement Marine et son assistante me red...
Suite
il y a 3 mois

Suite

Après être passée au salon de décrassage, de la même manière que ce matin. ( menottes tirées en l'air, blouse remontée au-dessus de la tête et maintenue le long des bras par une ceinture enroulée sur la chaîne, je suis restée baillonnée et harnachée) mes chevilles sont désolidarisées l'une de l'autre, ma culotte plastique est descendue et la couche jetée au sol. Je ne peux savoir si j'ai pu me retenir ou pas etant aveuglée par ma blouse. Marine me caresse tendrement les fesses avec l'instrument qui va m'être appliquée vigoureusement 60 fois. Je trouve tellement normal d'être dressée que j'apprécie d'y être contrainte et le considère comme mon quotidien normal. Bien sûr, mes plaintes restent étouffées sous mon bâillon et les larmes doivent couler, je sursaute dune plante de pied a l'autre , ma position ne me permettant d'y échapper et poser les talons au sol. Les 60 coups sont tombés et Marine me frictionne abondamment le postérieur avec une huile réparatrice. Sitôt...
La matinée
il y a 3 mois

Mon apprentissage

Attachée comme tous les débuts de matinée, dans le couloir de service des cuisines, à genoux, au coin, chevilles et poignets courtement reliés a la taille dans le dos, collier cadenassé au piton Scellé au mur, harnais et bâillon étirés, je bave abondamment sur le nylon de ma blouse parfaitement boutonnée jusqu'au col Claudine depuis 6h00. Je ne serai jamais libérée avant le réveil de ma maîtresse, entre 9.00et 9h30. Je reste systématiquement, exposée et ignorée a la vue des autres femmes de service qui s'affairent a la préparation matinale d'une maison de maîtres sous la gouvernance de Marine, Rappelons que, je leur suis inférieure et qu'elles ont l'ordre de m'ignorer complètement. Cependant, même si je commence à en avoir l'habitude, la position et mes entraves se prolongeant dans la durée de plus en plus, de jours en jours, facilitent à me rendre de plus en plus docile et compréhensive a l'utilité de mon dressage....je me sens beaucoup plus à ma place . Bien sûr, je sais qu...
Confessions
il y a 3 mois

Voici un très long texte que j'ai écrit il y a un peu moins de 20 ans afin de me présenter le mieux possible aux Femmes Dominantes que je croisais dans ma vie ou qui entraient en contact avec moi... ces "confessions" décrivent pourquoi je suis "soumis(e)

Aujourd’hui j’ai 58 ans (à l’époque où j’ai écrit ce texte j’en avais 39) … Je me considère comme étant un homme qui aime être « sexuellement » (et même au-delà) soumis aux Femmes. Vous allez trouver ci-dessous les « faits » principaux qui m’ont « guidé » à travers les années et qui m’accompagnent toujours quelque part dans ma tête… il s’agit d’une confession « à brut » qui ne laisse pas beaucoup de place aux « sentiments » (et pourtant il y en a eu et il y en a encore) et qui, du coup, peut paraître parfois « trop direct ». En tout cas sachez que c’est un « sujet » sur lequel je peux parler pendant des heures… Gamin, la première fille qui m’a montré son sexe s’appelait Isabelle, on jouait « au papa et à la maman », du coup c’est aussi la première fille devant laquelle que j’ai « exhibé » mon « zizi », cela m’excitait beaucoup. Ensuite, assez jeune, j'ai commencé à me masturber régulièrement. J'ai très vite pris plaisir à goûter mon sperme et à jouer avec, à l’étaler sur mon ventre....
Eric
il y a 3 mois

Mon premier travail, pas si mal

Il venait juste d’être embauché dans cette entreprise de bâtiment comme homme à tout faire. Éric était bien bâti, épaules larges et bonne poigne et le matin du premier jour il a trimballé des tonnes de sac de ciment du chariot élévateur aux quatre coins du chantier. Quand le klaxon a retenti annonçant la pause j’étais vanné. Les ouvriers se sont rassemblés et ont sorti leur boîte repas. Moi je n’avais rien prévu mais au moment du café un black m’a tendu sa thermos. Vas-y c’est du bon mon mec me le prépare tous les matins -Ton mec ? -Ben oui je suis gay comme pas mal ici et on s’entend bien. Tu n’y as pas gouté toi avec ta petite tronche d’amour ? Euh non j’ai une petite amie mais elle se coince quand je veux aller plus loin. Il a eu un éclat de rire. Eh les mecs on a un puceau ! Pas vrai ! -Et si, il vient de me le dire. Tu n’as mais joué avec un pote ? Non, enfin juste se la montrer c’est tout. -Et à nous, tu nous la montre, on est entre nous et le patron n’est pas chien...
Entre belles-mères
il y a 3 mois

Carine s'est vraiment mise en très mauvaise posture en couchant avec son gendre...

- Vous vouliez me voir ? Elle m’a fait la bise, tout sourire. - Oui. Qu’on parle un peu de nos enfants. Entre belles-mères, ça s’impose. Nos enfants. Sa fille. Mon fils. Qui formaient un si charmant petit couple. Que c’en était un vrai plaisir de les voir si amoureux. Si heureux. - Ah, ils se sont bien trouvés, ces deux-là, on peut pas dire ! - Oui. Et puis jamais un mot plus haut que l’autre. Jamais une dispute. Rien. On s’est félicitées. On s’est attendries. On s’est rengorgées. Et puis, d’un seul coup, sans que rien le lui laisse présager, j’ai lâché ma bombe. - Mon fils ne me cache rien. Absolument rien. Jamais. Dans ses yeux, la panique. Une fraction de seconde. Elle s’est immédiatement reprise. S’est voulue impassible. A même souri. - C’est une chance. Pour lui comme pour vous. - Mais sans doute pas pour vous… Cette fois, elle a blêmi. - Comment ça ? - Vous savez très bien ce que je veux dire. - Pas du tout, non. - Allons, Carine, a...
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