Récits
Soumise malgré moi
il y a 3 mois

Victime d'un accident de voiture, mon voisin infirmier, me prodigue des soins et profite de moi.

Je n'avais pas vu sa voiture, éblouie par le soleil couchant. Je n’avais pu éviter la collision ! Nous étions dans un triste état : le conducteur de la partie adverse, comme stipulé dans la déclaration d'accident, n’avait quasi rien. Moi ? Les bras et une cheville cassés plus quelques contusions ! Hospitalisée et plâtrée, il m’était difficilement possible de bouger. Je patientais et attendais de pouvoir rentrer chez moi pour retrouver mon mari et mes e n f a n t s. Julie… c’est mon prénom ! Je suis une femme brune au cheveux court, de taille moyenne, plutôt menue et dans la quarantaine. J’ai de petits seins sensibles qui plaisent énormément à mon mari, et un cul qui fait se retourner les hommes dans la rue. Ce matin, mon mari vient me chercher après 5 jours d’hospitalisation. Enfin, je rentre ! Je sors donc avec mon ordonnance pour les soins à domicile. Je suis heureuse de retrouver mon chez moi et ma famille. Mon mari a préparé une petite fête pour célébrer mon retour....
Veille du jour de l'an solo-play
il y a 3 mois

Je serai seul par choix ce soir. Cette dernière année n'a pas été aussi belle que prévu. J'ai terminé sur une note de déceptions. Je vais donc prendre du temps pour moi puisque je ne me décevra pas.

J'ai l'intention de sortir tous les jouet de mon coffre et et tous les vêtements de mon placard. Je vais me planifier un selfbondage avec vêtements féminin bien réfléchi et qui sait à quel point je serai horny sans aucun contrôle?? Bonne année tout le monde🫦👠👙👗🪢⛓️🔐
Une rencontre BDSM ABDL pour une soumise en herbe
il y a 3 mois

Une soirée qui change la vie avec un homme devinant ses fantasmes

La première fois que son regard avait croisé le sien, elle patientait à l'accueil attendant le bon vouloir de la réceptionniste. Tout en songeant à appeler un taxi, la jeune fille se demandait pour la dixième fois de la soirée comment avait elle put accepter l'invitation de son amie Sylvie : « un cocktail professionnel qui pourrait lui changerait les idées »; avait elle dit ! Un repas ennuyeux à mourir dans une auberge des plus reculée semblait beaucoup plus proche de la réalité. De plus, Laure était tributaire de son amie, c'est Sylvie qui avait la voiture et les clefs tandis que celle-ci se faisait ouvertement draguer par son chef de service, des bulles de champagne au fond des yeux. Depuis quelques instants, Laure sentait un regard insistant sur sa nuque. Elle fit le tour du lobby et en découvrit la cause : un homme d'une quarantaine d'années aux cheveux courts parsemés de mèches blanches, l'observait insolemment. N'osant soutenir son regard, Laure détourna la tête. A trave...
Attachement
il y a 3 mois

Ah, ces filles!

Tout était désert. Silencieux. Un couloir. Un autre. Des bruits de voix sur la droite. Qui venaient de derrière une porte. Il y a collé son oreille… - Vous cherchez quelque chose ? Il s’est brusquement redressé. Retourné. Une fille. À qui il a fait face. - Quelqu’un, oui. Madame Morin. Elle a ouvert la porte. - Ben, entre ! Des fois qu’elle soit là, madame Morin. Un vestiaire. Des sacs de sport. Quatre ou cinq filles. Qui ont levé les yeux sur lui. - Je l’ai trouvé, notre voyeur… - Hein ? Ah, mais non ! Pas du tout. Non. Je cherche madame Morin. Elles ont éclaté de rire. - Madame Morin ! Ben, voyons ! Il y a plus de deux ans qu’elle est plus ici, madame Morin. - Je croyais que… - Dis-nous plutôt… Le trou, dans la paroi des douches, là, à côté, c’est toi qui l’as fait où il y était déjà et tu te contentes d’en profiter ? - Le trou ? Quel trou ? - Fais bien l’innocent! Il y en a une qui s’est levée. - Bon, les filles, il mérite une bonne l...
L'initiation d’une lesbienne à la soumission
il y a 3 mois

La Maîtresse use d’un moyen peu commun d’un grande perversité

J’étais dans le train, proche de l’arrivée. Une fois de plus, les instructions de Béatrice avaient été claires, mais j’avais été surprise de ne pas avoir d’instructions vestimentaires pour le voyage. Il était simplement dit : " LN-27. Vous devez vous rendre ce week-end au lieu habituel pour une initiation. B. " J’avais trouvé une excuse, rassemblé quelques affaires, et j’étais partie. Soucieuse toutefois du plaisir de ma maîtresse, je portais un porte-jarretelles blanc et des bas noirs sous mon tailleur strict... Au cas où. Dominique me retrouva à la gare. Prévenant, il porta mes bagages, m’installa à l’arrière. Il me tendit l’habituel masque de cuir et les menottes : Béatrice gardait le goût du secret quant à ses résidences... Je m’aveuglais, m’entravais, et m’allongeais pour le voyage. Une petite heure plus tard, les pneus crissèrent dans une allée caillouteuse. Je fus sortie de la voiture, et guidée le long des marches. Mon masque fut ôté, mes mains libérées. Elle était...
La captive maso
il y a 3 mois

La fille ne cédant pas au fouet, le roi des supplices, le capitaine se lance dans un jeu bien différent.

L ’arrogance de la sauvageonne impressionnait le capitaine. Presque nue au milieu des marins, le tissu déchiré de sa robe ens a n g lantée soulignant ses intimités plus qu’il ne les cachait, elle se tenait fièrement contre le mât, les bras levés et tirés en arrière, solidement campée les pieds un peu écartés. Pour bien la faire se cambrer et pointer la poitrine, les hommes, trop contents d’avoir mis la main sur pareille prisonnière, lui avaient accroché les poignets de l’autre côté du mât auquel elle était adossée, assez haut, et le corps sculptural ainsi tendu ne pouvait cacher aucune de ses courbes. La drôlesse, sans paraître le moins du monde gênée par la nudité de ses charmes généreux, ni par l’exposition fort suggestive des cuisses que sa posture la f o r ç a i t à ouvrir largement, non plus que par les regards avides et les plaisanteries grasses des hommes, fixement accrochés par les yeux à ses formes rebondies, semblait trouver à son goût le capitaine, à qui elle lançait d...
Quelques heures avant
il y a 3 mois

Une Maîtresse ça domine... assurément

Sur mon PC portable en début d’après-midi, affairée aussi bien à de l’administratif qu’au boulot, cette journée va bientôt procéder à quelque chose de plus excitant. Je reçois un de mes soumis. Je l’ai mis à l’épreuve celui-là jusqu’aux étrangetés de la relation D/s, mais çà date... Médard, ou Tino, ou Gary, régulier et constant dans sa soumission sauf dans le choix de ses pseudos ! L’on pratiquait régulièrement, ici ou chez lui malgré qu’il vive avec une petite amie. Après des mois de tergiversations et annulations, la capacité de phaser nos agenda va me donner l’occasion d’interroger sa dévotion dés 17h00. J’ai donc le loisir d’y songer. Que vais-je lui faire ? D’abord laisser attendre Gary face à moi, déjà ses vêtements ôtés, c’est un de mes plaisirs. Il est vite balourd dans l’immobilité imposée une de ses faiblesses. Tout en y songeant j’aperçois deux martinets en cuir sur le comptoir que je dois astiquer au baume. L’un d’eux aux lanières fines et raides, juste au nombre de sep...
Les punitions du lundi (1)
il y a 3 mois

On ne plaisante pas avec la discipline dans cet établissement...

Ma mère était anglaise et, lorsqu’elle a divorcé de mon père, au tout début des années soixante, elle s’est tout naturellement rapatriée avec moi dans les Highlands. Elle m’y a inscriet dans un établissement privé mixte aujourd’hui disparu. Il y régnait, comme c’était pratiquement partout le cas à l’époque, une discipline de fer. Les châtiments corporels y étaient monnaie courante et rares étaient ceux qui, une fois leurs études terminées, pouvaient se vanter d’avoir réussi à s’y soustraire tout à fait. C'était systématiquement le lundi matin, à la toute première heure, dans le bureau du directeur, que les corrections étaient administrées. Les élèves qui avaient été avertis, au cours de la semaine précédente, qu’ils recevraient la pagaie attendaient dans le couloir devant sa porte. Ils n’étaient parfois que deux ou trois, d’autres fois près d’une quinzaine. Avec tous les cas de figure intermédiaires possibles et imaginables. Les garçons, qui étaient, dans l’immense majorité des...
Les punitions du lundi (2)
il y a 3 mois

Chacun(e) son tour...

Et je suis devenu complètement addict. Je ne vivais plus qu’à travers ces lundis qui voyaient s’abattre les pagaies sur les derrières des garçons. Je n’en profitais d’ailleurs pas autant que je l’aurais souhaité. Faire en effet en sorte de me retrouver « là-haut » tous les lundis alors que j’avais été jusque-là irréprochable n’aurait pas manqué d’éveiller les soupçons. En outre, la directrice-adjointe, qui avait tout d’abord fait preuve de mansuétude à mon égard, risquait, à me voir revenir trop souvent, de se montrer beaucoup plus sévère. Il me fallait donc sauter des épisodes et c’était un véritable crève-cœur. J’avais toujours le sentiment que ce serait justement quand je ne serais pas là, ou parce que je ne serais pas là, que se présenteraient les opportunités les plus intéressantes. J’avais désormais ma lecture à moi de l’école et de la cour de récréation. Il y avait d’un côté ceux à proximité desquels je m’étais trouvée quand ils avaient été punis, que j’avais, pour bon nombre...
Raviver la flamme de l’amour par le bondage
il y a 3 mois

La logique de ce selfbondage est l’amour

Julie était une de ces filles qui fait tourner les têtes, où qu'elle soit, quoi qu'elle porte. En premier lieu, une blonde naturelle. Oui, c'était le mot, "naturelle." Aucune aide chimique, même si quelques heures au soleil la faisait passer de " blonde " à " or brillant ". Plus ce super sourire. Ce sourire toujours présent. Et, comme un ami le lui avait dit une fois, un corps " à mourir ". Encore une fois, entièrement naturel, quoique les heures sur l'appareil de musculation, quand elle ne courait pas dans le parc, aidait toujours. Vous ne pouviez pas dire qu'elle avait maintenant 30 ans et avait déjà mis au jour son premier bébé un peu moins d'un an avant. Aucune marque de cette période sur cette fille. Pas de signes de vieillissements, du moins pas encore dans ce qui, elle le savait, deviendrait tôt ou tard une bataille perdue avec la nature et le temps. Et leste, agile, capable de se plier dans presque toutes les positions. Son époux aimait cela, l'aptitude à mettre son c...
Ma première fois en fille.
il y a 3 mois

Comment j'ai connu le travestissement grâce à un jeu innocent.

Nous nous connaissions depuis toujours, Nathalie et moi, nous habitions le même village, pas loin l’un de l’autre. Devant elle je me sentais fort et courageux comme un chevalier. Le mâle alpha, bien que je ne connusse pas cette expression à l’époque. J’essayais de l’impressionner depuis le plus jeune âge, au début à vélo ensuite en mobylette. Chaque occasion était bonne pour lui prouver ma virilité. C’était la plus belle période de ma vie qui me laisse plein de bons souvenirs auxquels je reviens souvent, surtout quand la réalité me rappelle dans quel monde on vit actuellement. Nathalie était une belle et souriante brune aux yeux marrons qui ne me laissaient pas indifférent, sa puberté commença tôt, ses formes devenaient féminines rapidement. Sa transformation en femme me rendait perplexe, heureusement notre amitié n’en souffrait pas. Nous avions 14 ans quand tout ceci se passa. Comme tous les jours après les cours je lui rendis visite. En général je venais avec un objet pour me va...
Rapt exotique
il y a 3 mois

Un récit érotique de sexe sous la contrainte écrit pour plaire à une dame.

Vous êtes en vacances en Thaïlande avec votre mari. J'y suis souvent pour raison professionnelles et par mes relations, je vous ai trouvé un bon hôtel, à un prix très réduit. En retour j'ai exigé que vous soyez disponible une soirée durant ce voyage pour une surprise. La fin du séjour approche et vous n'avez toujours pas entendu parler de la surprise. Vous vous demandez d'ailleurs comment je pourrais l'organiser puisque je suis en Europe. Cette fin d'après midi quand vous arrivez à l'hôtel, vous trouvez un fax. Vous reconnaissez mon écriture. Il n'y a que quelques mots: "Ce soir 18h30, on viendra vous chercher pour dîner. Minijupe, chemisier, string, soutien gorge, chaussures à talons hauts. Maquillage léger. Pas de sac à main, pas de bijoux". Il vous reste moins d'une heure pour vous préparer. Votre mari est surpris (mais pas trop, il n'exige pas l'exclusivité de vos fesses, il connaît mon existence et il est en fait excité de savoir que vous êtes occasionnellement mon jouet...
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