Strasbourg à la belle époque. La belle journée de mois de septembre laissait peu à peu la place au soir. La lumière des réverbères réfléchissait sur le monocle du colonel von Schminkendorff impatient de rejoindre la femme qui réalisait ses fantasmes. Arrivé à la destination, il toqua à la porte. - Bonjour, mon colonel, une belle brune ouvrit la porte. Entrez, je vous prie. - Bonchour Mathilde, che vous ai déchà dit de m’appeler Wilhelm. - Veuillez m’en excuser Wilhelm. - Ze n’est pas grave. - Je vous sers un verre ? - Non merci, passons tout de zuite à l’essentiel. - Faites comme chez vous Wilhelm. Le colonel entra dans une pièce où une belle robe rose ainsi que la lingerie féminine à sa taille l’attendait. Comme d’habitude il enleva son uniforme et avec l’aide de Mathilde enfila les vêtements qu'elle avait préparés. - Pourriez-vous fermer les rideaux ? - Mais je vous ai déjà dit Wilhelm que j’ai besoin de lumière pour vous maquiller. - Ah ja, che l’avais oublié, il ferma...

Enfin le weekend arriva. Ma copine partit avec ses amies et ne revenait que le dimanche soir. J'avais deux jours rien que pour moi et allais en profiter pleinement. Je ne sais pas ce que font les autres en circonstances pareilles mais moi j'ouvris une bière, allumai mon ordi et commençai à écrire un récit que j’allai publier sur Fessestivités. Vous savez une de ces histoires où un jeune homme porte de la lingerie féminine, une robe ou une jupe et se fait maquiller par une femme. Après une courte introduction je passai à l’essentiel. Plus j’avançais dans le texte et plus j'étais excité, je voulais déjà me mettre en robe et me maquiller la bouche car je ne savais toujours pas maquiller les yeux quand soudainement j’entendis une voix. - Quelle imagination ! Mon cœur faillit s arrêter, j’aurais pourtant juré que j’étais tout seul. Avec une peur bleue je me retournai et juste derrière ma chaise j’aperçus une belle brune, la quarantaine environ. - Mais qui est-vous ?! Et qu'est-ce que vou...

La salle était pleine à craquer. L’audience aurait dû se faire à huis clos, mais sous la pression des médias (ou $ou$ £a pr€$$ion d€$ m€dia$ ?), le procureur de la République a cédé. J’entrais menottes aux poignets. Pour la moitié de l’assistance j’étais un monstre. Pour l’autre moitié une héroïne. Maintenant tout dépendait de quelle moitié faisait partie le juge. Le mec sur le banc de la partie civile me regardait avec un petit sourire en coin. Espèce d’enfoiré, c’est toi qui devrait être à ma place… UN AN PLUS TÔT... Ça faisait dix minutes que j’entendais un type gueuler et un chien aboyer… mais pas aboyer pour jouer, aboyer de douleur. On sentait toute la détresse et sa souffrance dans sa voix. Je cherchais le long des immeubles d’où venaient les cris, malheureusement ça résonnait beaucoup et ça pouvait venir de n’importe où. Une fenêtre entrouverte au rez de chaussée et un jappement… Je décidais de tenter ma chance. Je me hissais sur le rebord de fenêtre pour essayer d...

De retour chez lui, après avoir passé une nuit de rêve, Clément savait qu’il ne lui restait plus qu’une chose à faire. Par contre c’était la plus importante et peut-être la plus difficile. Il fallait convaincre Mylène de la rejoindre dans son projet, car sans elle tous ses efforts n’auraient aucun sens. La camionnette était déjà prête grâce à des longues heures de travail, les quatre dernières semaines épuisaient Clément. Il avait besoin de repos et de se changer les idées. ''Pour commencer je mangerais bien quelque chose’’ se dit notre amateur de féminisation. Il se rappela que sa mère acheta hier une pastèque alors il descendit dans la cuisine prit le fruit ainsi qu’un grand couteau et revint dans sa chambre. Il n'eut le temps de manger qu'un morceau lorsque son téléphone sonna. C’était Mylène. - Salut, comment vas-tu ? Ça fait longtemps. - J’suis fatigué. - Toi, t’es fatigué? Mais qu'est-ce que t'as fait? - Viens chez moi alors je te le montre. - Ok, j’arrive. Elle ne s...

Matériel: - menottes qui ferment avec des clés - vos clés de voiture - un ensemble de vêtements féminins sexy (sans chaussures) - ice timer - une petite chaîne et deux petits mousquetons Accessoires non obligatoires mais c'est bien mieux avec: - bâillon (pas de bâillon boule pour éviter le danger) - plug (vibrant ou non) - cage de chasteté - pinces à seins Le Scénario: Commencez par enfermer dans votre voiture les clés de vos menottes et l'intégralité des vos vêtements classiques et pensez à ne pas garer votre voiture ni trop proche ni trop loin du lieu de votre scénario (bien sûr, ce scénario est plus risqué en ville, en campagne, le risque d'être vu est minime), l'idéal est 100 150 mètres. Une fois les clés et vos vêtements (à l’exception des vêtements féminins bien sûr) enfermés dans la voiture, vous pouvez revenir sur les lieu de votre scénario. Vous pouvez préparer un ice timer plus ou moins gros selon vos envies mais ça serait dommage que ça se finisse trop vite...

##### « Une dominatrice est une femme avant tout. Son statut de Maîtresse n’est pas incompatible avec des besoins ou envies d’un ou plusieurs sexes mâles. A cela se rajoute, que parmi les hommes, être soumis et ramper aux pieds des femmes, lécher leurs sexes ou fesses comme des larbins sont des fantasmes récurrents. Je suis convaincu qu’ouvrir un club libertin avec cette orientation nous permettrait de faire fortune tout en comblant des hommes et des femmes ». C’est avec cette idée que Marc racheta un club libertin à Saragosse après la vague destructrice du Covid. A cette époque, les clubs en berne suite à la crise économique se vendaient pour une bouchée de pain. Son choix géographique était basé sur une stratégie économique et pratique. Madrid et Barcelone étant déjà des lieux orientés gays puis des villes pourvues de clubs divers, son choix portait à la fois sur le côté pratique puisque son gîte fétichiste n’est qu’à 40 minutes de Saragosse et surtout, un secteur ou les club...

Clément n’arrivait pas à dormir, deux questions le tracassait. À la première il essayait de répondre depuis un certain temps déjà. Comment ça se fait qu’ils avaient du mal à trouver un travail. La seconde apparut ce soir. Pourquoi était-il tellement excité de porter des vêtements de femme, de se faire maquiller etc? Il était pourtant hétéro. Avait-il des penchants? Il passait toute la nuit sur son téléphone pour trouver des réponses et il découvrit le monde fascinant du travestissement. La lecture de témoignages, récits, conseils et surtout le visionnage de vidéos l'excita autant que sa transformation en femme. Il constata également que la demande était supérieure à l’offre, c’est-à-dire il y avait beaucoup plus d'hommes qui rêvaient de se transformer en filles que de femmes qui auraient voulu le faire. Et bien cela lui donna une idée. La nuit-même il publia une annonce qu’il débarrasserait de vieux vêtements qui encombrent les caves, greniers et autres placard. Mamie sera contente qua...

La douche est bonne, pensa Clément. Âgé de 25 ans, il était toujours petit et frêle ce qui lui valaient des nombreuses moqueries. Pour y remédier, il décida de se faire un peu de muscles dans la toute nouvelle salle de sport qui venait d'ouvrir dans la ville la plus proche de son village. Comme des nombreux habitants il profita de l’occasion car la première semaine l’entrée était à moitié prix. En sortant de la cabine il s'aperçut que ses vêtements avaient disparu. Je sais que c’est pauvre par ici mais voler des fringues, pensa Clément et là il se souvint d’avoir vu Seb et ses potes, les mêmes qui lui faisaient des blagues de mauvais goût depuis l’école primaire. Malheureusement il s'attarda sous la douche et à sa sortie il n’y avait plus personne. Au moins il m’ont laissé mes godasses, soupira-t-il. Il mit sa serviette de bain autour de sa taille, enfila ses baskets blanches et s’assit abattu. Des pensées noires envahirent son esprit et lorsqu’il vit entrer la femme de ménage son cœur...

- Moi, c’est tout son contraire. Elle, Camille, c’est une petite rosse, vous savez. Oh ! ce qu’elle est teigne ! Il faut l’aimer comme je l’aime pour la laisser me faire toutes ses choses… Oui toutes, ses choses qu’elle a apprises, je ne sais où et qu’elle a vues aussi dans les livres qu’elle lit pour s’exciter encore. Comme si elle avait besoin de cela !… Enfin, puisque cela me plaît, je n’ai rien à dire. Vrai, on va bien ensemble. N’importe, je ne me laisserai pas attacher les mains et les pieds aux barreaux du lit… Non, j’ai trop peur. Je ne sais pas ce qu’elle ne serait pas capable d’inventer, les jours où rient ses yeux cruels de chat qui étripe une souris. Moi, je n’ai pas été élevée comme elle et je ne possède pas son instruction. Je n’ai pas donné de leçon de français à des demoiselles du monde, je ne lis pas de livres philosophiques. Non, moi, je suis née dans la maison de Dèche-Purée-Mouise et Compagnie. Et j’y ai été élevée. Ce n’est qu’à dix-huit ans que j’ai connu de...

J’habite seule (divorcée depuis 7 ans) Ma vie, 53 ans, divorcée, Je travaille dans un bureau d'assurance, je suis chef de mon service. J'imagine que l'un de mes stagiaires que j'ai au bureau et que j'ai humilié plusieurs fois devant les collègues, (je le fais parfois !!) Veut se venger ! Ce jeune homme a un passe-temps, il fréquente le dark web la nuit, il est en contact avec un groupe de trafiquants de prostituées d'Europe de l'Est .. Il parle de son moi et trouve un arrangement financier pour que je sois punie, cruellement et pendant longtemps... J’habite dans un village à 30 kms de mon travail aux portes d.une grande ville du sud ouest. Je pars tôt , il fait souvent encore nuit, et un matin je suis arrêtée , bloquée aux bords de la route par 2 véhicules, Je suis mise sans ménagement et emmenée dans une camionnette. Entravée avec des fils en cuivre sur les poignets et chevilles, bâillonnée , les yeux bandés par du ruban adhésif, la tête dans un sac de jute. Une heure plus...

J’ai jeté un coup d’œil à mon radio-réveil. Midi. Midi? Le temps de réaliser qu’on était dimanche. Que je n’avais pas besoin de me lever. Que j’avais un épouvantable mal de tête. Que j’étais nauséeux. Le temps aussi que tout se remette en place. La soirée. J’avais bu. Plus que de raison. Beaucoup plus que de raison. Et perdu la notion de bien des choses. De tout, en fait. J’avais suivi les copains. On avait cassé des trucs. On en avait arraché d’autres. Quoi? Je ne me rappelais pas au juste. Il y avait eu un bruit de verre brisé. À plusieurs reprises. Et puis des rires. Et les gendarmes. Qui m’avaient ramené à la maison. Que j’avais vaguement entendus, tandis que je m’effondrais sur mon lit, discuter avec ma mère. Lui parler de dédommagement. De plainte. Elle avait enfin fini par venir éteindre la lumière. - On réglera nos comptes demain. 2- Oui, valait mieux que je me lève. Que je prenne le taureau par les cornes. Un mauvais moment à passer. Il fallait reconnaître aussi que...

Vous vous êtes déjà demandé s’il y avait un sens à tout ça ? Certains diront que oui, d’autres, non. Moi, je préfère laisser la question en suspens, pour me concentrer sur ce qui est vraiment important : le plaisir. Le plaisir se liant à l’écriture comme l’écume peut se lier au sable, j’ose alors franchir ce cap de partager mon voyage impensable. Comme un témoignage du temps qui passe, qui efface les traces. Pourquoi ne pas laisser la mienne ? J’aime autant jouer avec les mots qu’avec les doms, faire fuser ma boite crânienne jusqu’à en avoir des maux que je pourrais sauvegarder dans un album. Alors, comme la plume qui griffonne, je m’abandonne aux mouvements de mes doigts qui frappent. Frappent sur un clavier de façon effrénée comme s’ils pouvaient faire écouler l'encre de mon exaltation, exaltation d’un jeu qui coule comme une ancre qui sombre. J’ai commencé à jouer dans l’ombre, avec ce dom que je nommerais E. E était sympathique, nous avions pris le temps de discuter et de tout p...