Récits
Un self-bondage walking mémorable
il y a 6 mois

Un self-bondage walking qui ne se passe pas tout à fait comme prévu.

Un beau jour de printemps, je décide de m’organiser une « randonu » nocturne d’une heure façon self-bondage walking, comme je le fais de temps en temps quand ma femme est absente. Je choisis un parcours connu en forêt par une nuit claire. Je pratique assez souvent ce parcours lors de mes marches nordiques. Il m’arrive de le faire fesses à l’air lorsque je suis très tôt, les autres promeneurs n’apparaissant pas avant 8h30. Pour les promenades plus osées, je préfère les faire la nuit afin de limiter le risque. Je suis d’une nature prudente. Au programme, une heure de marche, nu en chaussures de randonnées, grandes chaussettes couvertes de jambières blanches à revers rouge, cage de chasteté, collier de soumis. Je ne me fixe pas les mains car ça peut être dangereux si je tombe. La tenue est complétée d’un plug anal annelé vibrant, long de 16cm et de 3,6cm de diamètre. Il est équipé de 2 vibreurs, un à la base pour exciter le sphincter et l’autre au bout pour exciter la prostate. Ce plug...
Mon premier Maître
il y a 6 mois

Il n’a jamais été clairement étiqueté entre nous l’idée d’éducation à proprement dit par le BDSM.

Il n’a jamais été clairement étiqueté entre nous l’idée d’éducation à proprement dit. Néanmoins, je l’ai bien compris par moi-même : je ressens ses paroles comme des conseils, et j’écoute attentivement tout ce qui peux sortir de sa bouche. C’est comme ça, au départ comme n’importe qui j’étais septique, je découvrais mon futur Maître, mais ses mots ont toujours eu du sens, beaucoup de sens et c’est grâce à cela que je l’ai pris au sérieux dès les premiers instants, c’était fondamental. ....................... Avant de rencontrer l’homme qui devint mon Maître, je n’avais aucune notion sérieuse du BDSM. L’idée du sadomasochisme était pour moi un concept très brouillon et flou de ce vers quoi j’étais attirée depuis de nombreuses année. J'ai pas eu conscience de tout avant de comprendre se que je pouvais atteindre à l’intérieur. Commençait là un long et merveilleux chemin de pensée vers des principes de soumission, de philosophie de vie bien différents de ceux du monde extérieur da...
lecture du 8mai 2024
il y a 6 mois

Histoire erotique...

Tu étais dans le noir, les yeux bandés par un doux bandeau de coton. Tu sentais ces entraves nouvelles, des lanières de cuir attachant chacun de tes poignets et de tes chevilles sur une surface froide et lisse. Une table en bois probablement. Tu étais quasiment entièrement nue, allongée sur le dos, dans l'incapacité de bouger les bras ou les jambes. Tu avais les cuisses écartées laissant ton intimité à la merci de tous, seul rempart étant ta culotte trop petite pour cacher tes poils et tes grandes lèvres. Un léger brin de frais venait faire frissoner ta peau nue et pointer tes tétons. Tu entendis des pas venant vers toi, une main effleurer ton front, caressant ta joue et arrangeant tes cheveux. L'emprise sur ta crinière se fit plus forte et tu sentis quelque chose se presser contre ta bouche. Le liquide salé se trouvant au bout trahissait le gland qui voulait te pénétrer. Tu refusais l'entrée à ce membre insistant contre tes lèvres et tentais de résister mais tu ne pouvais bouger...
Chasteté
il y a 6 mois

Un couple en route vers des plaisirs ineffables.

‒ Elle te tourne autour, ta collègue ! Et pas qu’un peu ! J’ai mollement protesté. ‒ Mais non ! C’est un genre qu’elle se donne. ‒ Tu parles ! On sortait, Emma et moi, du pot de départ à la retraite de Legrand, le comptable, auquel tous les collaborateurs de l’entreprise avaient été conviés. Avec, le cas échéant, leurs compagnes ou compagnons. C’était vrai. Elle m’avait fait allègrement du rentre-dedans toute la soirée, Karine. Elle m’en faisait d’ailleurs, au bureau, à longueur de temps. Et je n’étais pas insensible à son charme. À plusieurs reprises, j’avais été sur le point de craquer. Ce qui m’avait jusque-là retenu, c’était l’idée que, vu son caractère, une fois tombé entre ses griffes, j’aurais toutes les peine du monde à m’en dépêtrer. Alors je résistais, avec, au fil des jours, de moins en moins de conviction. Je résistais, oui, mais pour combien de temps encore ? Emma a violemment claqué la portière. ‒ Tu finiras par la sauter… ‒ Mais non ! Qu’est-ce qu...
Conte immoral ardennais
il y a 6 mois

Un conte très immoral

Il y a dans le petit village de Porcheresse, commune de Daverdisse, province du Luxembourg, en Belgique, un château construit en 1704, qui a récemment été transformé en résidence de loisir que l’on peut louer pour un week-end, une semaine ou plus. 20 personnes peuvent y séjourner dans 12 chambres, c’est dire la taille de la demeure, nichée dans un domaine arboré de 4 ha. Ce sont Maxime et Juliette, maintenant âgés tous deux de 30 ans, e n f a n t s du baronet Jehan-Guy Moquest de Saillies qui en sont les propriétaires. Curieusement, Maxime et Juliette sont à la fois demi-frère et cousins. Jehan, en effet, n’a jamais pu se résoudre à se marier et il a vécu toute sa vie d’homme adulte dans cette magnifique demeure et dans la bigamie – c’était de notoriété publique – avec deux sœurs, Constance et Marianne, elles aussi issues d’une lignée de hobereaux originaire de Bande (Nassogne). A 28 ans, Constance mettait au monde Maxime, et quelques mois plus tard, dans la même année 1986, Marian...
A cocue cocu et demi
il y a 6 mois

Il ne faut jamais sous-estimer une femme qui se sent bafouée

Elle l’a posée sans rien dire à côté de mon bol du petit déjeuner. Une carte. Et elle est partie. La porte a claqué. Je l’ai fixée, hébété, cette carte. Et je l’ai enfin reconnue. C’était celle, ornée de tout un tas de petits cœurs, que Manuela avait glissée, quand on avait quitté l’hôtel, dans la poche arrière de mon jean. Je l'y avais oubliée. Je l’ai relue. « Merci pour cette nuit. C’était divin. Merci. Merci. Merci. Je t’aime. Manuela. » Quel imbécile, mais quel imbécile je faisais! Ah, j’étais dans de beaux draps! Parce que jamais Aurore ne passerait sur une chose pareille. Jamais. S’agissant de fidélité, elle s'était toujours montrée intransigeante. Rattraper le coup n’allait pas être facile, voire même impossible. Non, mais dans quel pétrin je m’étais fourré ! Le soir, elle n’est pas rentrée. Sept heures. Huit heures. Neuf heures. Personne. Je l’ai appelée. Dix fois. Vingt fois. Je tombais systématiquement sur son répondeur. Je n’ai pas fermé l’œil de la nuit. J’ai fait un...
BD / SM (suite 2) le PN....
il y a 6 mois

Le pervers Narcissique B) Comment détecter ce type de manipulateur :

B) Comment détecter ce type de manipulateur : 1) Durant La mise en confiance. Ses propos sont trop évasifs et pourtant pleins de certitudes par rapport à son expérience. Il paraît très courtois et doux mais manque d’humour. 2) Durant le ferrage. La situation sociale n’est pas un gage de qualité. Un loubard, un prof, un artiste peuvent être de bons dominants. Mais il ne sera pas de ceux là. Sa réussite sociale (qui peut être inventée) est la seule possibilité pour montrer ses capacités. Dès ce moment, il a une vraie incapacité : son manque de modestie. Il ne peut pas dire qu’il ne sait pas quelque chose. De plus, malgré sa gentillesse apparente, il ne vous laisse pas assez parler. Il ne prendra pas le temps de s’intéresser à votre vision, vos questions ou même vos doutes. Même s’il vous pose des questions, ses conclusions ne sont pas enthousiastes et il recentre le sujet sur son avis personnel. 3) Durant l’enfermement. Alors qu’une relation normale devrait commencer en douceur,...
BD/ SM (suite) Maître ou PN
il y a 6 mois

**. Je vis mes premières expériences BDSM et comme j’ai eu deux relations personnelles avec des PN, je suis un peu sur mes gardes. Certaines choses me posent question et je me dis que ça fait partie de son rôle de Dominant… Comment savoir, quand on a aucune expérience, comment se comporte un Maître sain et quand ça devient pas normal, abusif ? Un autre point qui me pose question c’est l’attirance pour le BDSM alors qu’on a souffert comme victime de PN déjà par le passé !

Il ne peut y avoir de blanc ou de noir. Il n’y a que des cas particuliers. Et un seul texte ne peut expliquer toute la manipulation mentale et ses dérives. J’ai dormi là-dessus et me suis réveillé en me disant qu’il y avait peut-être des moyens pour m'aider à décider.... Tous les pervers narcissiques utilisent peu ou prou les mêmes techniques. Les techniques de manipulations mentales sont utilisées quotidiennement que ce soit au travail, dans la publicité et le marketing et dans la sphère privée. On peut les retrouver dans la psychologie et dans le lavage de cerveau pour l’embrigadement. Vous pouvez trouver nombres d’articles à ce sujet. Je me permets d’en écrire un ici, avec mes mots, en l’appliquant à l’univers du BDSM. La personne souhaitant être soumise étant, par essence, une cible de choix puisque son désir est de vivre la soumission. Mais, il faut le rappeler, la soumission à un rôle : celui de l’épanouissement personnel. De plus, le dominateur a plus de responsabilité...
BD / SM - ne pas confondre avec.....petit texte
il y a 6 mois

Le çon de vie....Dans tous les cas on garde à l’esprit que : se soumettre est une force, dominer est une responsabilité.....

Apres une brève histoire négative avec un membre de fessestivites ...je crois que mes pensées en la matière doivent êtres revues et expliquées.... surtout pour que certains passent leur chemin...Je pense qu'en BDSM, l’hésitation n’existe que dans des moments précis et furtifs. L’hésitation c’est avant le basculement de femme à soumise. L’hésitation c’est quand on commence une nouvelle pratique. L’hésitation c’est quand on atteint un seuil de douleur. Et toutes ces hésitations ont pour origine la peur. Dans les passages du statut de femme à soumise, il y a souvent cette décharge qui traverse la colonne vertébrale. Pour certaines, c'est une chaleur soudaine au bas du ventre. Pour d’autres c’est presque un vertige. Les plus expérimentées se glissent avec délectation dans la peau de soumise comme elles rentrent dans un bain moussant. Les sensations sont tranchées. L’hésitation doit faire partie de l’excitation et ne dure théoriquement pas longtemps. On ne parle pas de l’hésita...
L'enquête. (ma nouvelle vie...)
il y a 6 mois

Charlie un journaliste qui n'a pas dépassé la case potin d'un grand Journal reçoit un mail qui pourrait lui offrir le scoop de sa vie, voire le Pulitzer : enquêter sur des disparitions étranges et des exosquelettes militaires... Le mail lui disait pourtant d'être prudent...

L’enquête. (ma nouvelle vie...) D’après une idée originale de Little Sarah. CHARLIE « anne.onyme@gmail.com ». Objet : Soyez très prudent ! C’était l’intitulé du mail que je reçus ce matin là. De quoi exciter ma curiosité de journaliste. D’un autre côté, des mails farfelus on en recevait à la pelle à la rédaction du journal national « Osez comprendre !». Mais… je devais avouer que celui ci me piquait un peu quand même. Je l’ouvris et ce que j’y découvris me figea de stupeur. Je le relus pour être certain d’avoir bien compris… exosquelettes… brevets militaires… confidentiel… étaient les quatre mots qui avaient fait tilt. A priori l’armée aurait développé une espèce d’exosquelette donnant à ses soldats la force d’une machine et une taille de cinq à six mètres !? Certains modèles seraient même reliés au cerveau pour ne faire qu’un avec la machine !? Mais que les brevets n’étaient peut être pas déposés au...
En BTS "Métiers de l'esthétique"
il y a 6 mois

Ces demoiselles sont en nombre. Pauvres garçons!

En deuxième année de BTS « Métiers de l’esthétique », on était 25 filles pour 4 garçons. Et moi, ce que je n’arrêtais pas de me demander, à longueur de journée, c’était s’il y en avait, parmi ces quatre-là, qui la recevaient encore, la fessée. Ça se pouvait, hein ! Parce qu’il s’en parlait sur les forums. Des types qui, sous couvert d’anonymat, avouaient qu’ils s’en ramassaient encore à vingt ans. Et même plus vieux. Ils racontaient. Ou bien c’étaient leurs sœurs qui racontaient. Avec plein de détails. Quelquefois même, mais beaucoup plus rarement, leurs mères. Et donc, je me demandais. Je les regardais et je les imaginais recevant de magistrales fessées. Leurs postérieurs se paraient d’un rouge du plus bel effet et ils se mettaient, sous les claquées, à crier et à pleurnicher comme des gamins. Ce qui me mettait, il faut bien l’avouer, dans tous mes états. Je me demandais. Et je ne faisais pas que me demander. J’avais toujours eu un excellent coup de crayon. Alors, je les dessina...
Piégée en selfbondage sur un parcours santé
il y a 6 mois

Les aventures d’une femme adepte du BDSM et de l’auto bondage au gîte fétichistes

#### Pour une femme, la peur du dérapage sexuel voir plus, freine les rencontres et les aventures. Je me suis donc tournée vers le selfbondage, cela me permet de vivre des moments de BDSM. Personne ne sait que je pratique l’auto bondage, la self servitude car, comme beaucoup, j’aurai trop honte que cela se sache et de passer pour une folle. Vivant dans un appartement en plein centre de Paris, je ne dispose pas de jardin et aller cacher des clés quelques part, puis aller les chercher de nuit est trop risqué. Malgré tout, j’ai un petit côté aventurière. Depuis plus d’un an, je suis de près le développement du gîte des fétichistes, les récits publiés sur ceux qui y vont en vacances et y font du [selfbondage sécurisé](http://gitefetichistes.com/celibataire.html) me font rêver. J’ai donc fini par les contacter. #### Imaginez un instant mes craintes : Une femme qui se rend seule à l’étranger pour faire du selfbondage, chez des inconnus qui lui serviront de personne de confia...
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