Récits
Un "confort"
il y a 7 mois

Lorsqu'on ne choisit pas, la Maîtresse le fait à notre place !

Inconfort J'aime l'inconfort, à 47 ans comme depuis de nombreuses années je veux subir des périodes d'inconfort. Pour cela le bondage est adapté à mon goût, j'éprouve actuellement ces instants sous la coupe de Lady Délia. J'ai rencontré d'autres Dominatrices auparavant,  Délia ayant à peu près mon age et s'occupant juste d'une poignée d'hommes, toujours les mêmes, tous bien décidés à propos de leur pratiques, tout cela faisait qu'une complicité s'est installée entre Elle et moi. J'aime aussi le confort. Le rafinement. Les chambres vastes, excessif au vu des courts séjours où j'y reste, professionnels ou villégiature. Ou alors allongé dans un pré gazonnant au printemps, juste protégé par une serviette de bain des plus moelleuses.  Finalement je suis un conforto-bipolaire ! Lady Délia a fini par découvrir mon deuxième plaisir. Et le jugeant contraire à l'existence de ses soumis, en plus de m'attacher "classiquement", Elle organise des sessions de pénitence spécialement pour...
Pourquoi j'ai quitté la Terre...
il y a 7 mois

On ne devrait jamais être obligé de faire semblant d'être qui on n'est pas.

Je m’appelle Kal-El. C’est ainsi que m’ont baptisé mes parents sur ma Planète de naissance, Krypton. Mes parents adoptifs sur Terre m’ont appelé Clark. Clark Kent. C’est ainsi que me connaissent mes proches, mes amis et mes collègues. Mais vous, vous me connaissez sûrement sous le nom de… Superman. Oui, je suis différent. Je suis ce que vous appelez un alien, un extraterrestre. Pourtant, j’ai grandi parmi vous, en plein milieu des terres du Kansas aux Etats Unis d’Amérique. Pourquoi ici ? Parce que Jor-El, mon père biologique, mon père Kryptonien, a décidé de m’envoyer sur Terre pour me sauver la vie alors que Krypton allait être détruite, par la folie de ses habitants et leur incapacité à anticiper l’implosion de notre Etoile, l’équivalent pour vous du Soleil. Il avait prédit que votre Soleil, une jeune Etoile allait me donner une force inconnue, une vitesse prodigieuse et une quasi invulnérabilité. Pourquoi le Kansas, le trou du cul du Monde au lieu d’une ville riche de...
La vilaine petite camarade
il y a 7 mois

C'est pas beau de rapporter

Quelle idiote j’avais été de les dénoncer, ces trois filles, pour avoir fait le mur et être allées retrouver des garçons en pleine nuit ! Non, mais qu’est-ce qui m’avait pris ? C’était pas mes oignons. Et, de toute façon, elles étaient majeures. Elles faisaient bien ce qu’elles voulaient. Sauf que, majeures ou pas, elles étaient internes, il y avait le sacro-saint règlement qui valait pour tout le monde et, au final, elles avaient écopé de huit jours de renvoi. Elles m’en avaient évidemment voulu à mort et la “moucharde”, la “cafarde”, comme on s’était mis à m’appeler, avait été mise en quarantaine. On ne m’adressait plus la parole. Personne. Ni internes ni externes. Ni en classe. Ni au dortoir. Ni au réfectoire. Ni dans la cour. Nulle part. J’étais une pestiférée. Et c’était l’enfer. Vous imaginez ce que c’est, vous, de devoir passer toutes ses journées sans jamais pouvoir échanger le moindre mot avec qui que ce soit ? De se sentir en permanence en but à l’hostilité générale ? J’av...
Soumise aux pires formes d'esclavage sexuel
il y a 7 mois

Entre fantasmes et réalité, il y a tout un monde. C’est ce que va découvrir Lydia en vivant un véritable enfer.

Un fouet accroché au-dessus d'un lit, de la lingerie au sol, des portes en fer et des fenêtres grillagées aux vitres peintes en noir. C'est dans ce décor sinistre d'un bordel au nord de Beyrouth qu’une Syrienne de 26 ans, a été durant des années coupée du monde, soumise avec des dizaines d'autres filles aux pires formes d'esclavage sexuel". "On devait coucher avec 15 à 20 hommes par jour, parfois avec 40 quand il y avait beaucoup de « travail »", affirme t’elle dans une rare interview accordée à l'AFP dans une ville au sud du Liban où elle a trouvé refuge. Début avril, le scandale éclate avec le démantèlement du plus grand réseau de trafic sexuel découvert, depuis le début de la guerre en Syrie qui a poussé plus d'un million de personnes à se réfugier au Liban. Rendus vulnérables par la guerre, de plus en plus de Syriens sont victimes d'exploitation sexuelle entre autres au Liban ou en Jordanie, selon la police et des organisations internationales. "On n'avait pas le droit d...
Régression et prendre un bain
il y a 8 mois

Une petite histoire ABDL avec un jeune couple coquin qui se forme

Julias était dans une couche propre mais n'avait pas fini d'expulser toute la matière. Nous avons fait la sieste ensemble sur le canapé, je la tiens dans mes bras. Nous passons une bonne heure à nous détendre. Elle salit un peu sa couche, la mouillant beaucoup aussi. Je la guide vers la salle de bain, étale une serviette sur le sol et l'invite à s'allonger sur le dos. J'ai enlevé sa couche et je l'ai essuyée. Je prépare deux litres d'eau chaude et de savon ivoire dans le sac à lavement rouge. Elle n'était pas si contente quand elle dit - Andrew, est-ce vraiment nécessaire ? - Oui ma chérie, je veux que tu sois gentille et propre, tu as été très sage tout au long de la thérapie, c'est important que tu sois propre à l'intérieur aussi. Elle sourit, étant rassurée par mes paroles, elle me fait confiance car je ne voulais pas la décevoir, je veux juste le meilleur pour ma babygirl. - Oui papa, je comprends. Je lui fais prendre les deux pintes entières en deux temps et à sa...
Le Manoir 2/2
il y a 8 mois

Un manoir plein de Maitresses qui permet d’assumer ses fantasmes

Je ne sais pas combien de temps j’ai dormi, mais je fus réveillé par Maitresse Aurora qui caressait ma queue. Jolie blonde platine vêtue d’une robe courte en vinyle rouge vif comme son rouge à lèvres et hauts talons rouges également. Quel beau réveil. Elle me détacha, me fit relever et dit : « Va te laver bien à fonds. » en me claquant les fesses « Je dois te préparer pour la soirée ». Puis elle ajouta : « Alors comme ça il parait que tu es une vraie bonne petite chienne, une belle salope ? » « Oui » Maitresse dit-je avec un léger sourire en mettant un doigt dans ma bouche. « Je vois ça » dit-elle « Et bien je vais te préparer pour que tu sois une bonne petite pute ce soir ». « Bien Maitresse, merci Maitresse » répondis-je. Lorsque je revins de la douche tout nu, elle avait préparé tout un tas de matériel et de vêtement sur le canapé. Je restais debout. Elle me donna un corset noir avec des bonnets demi-seins blanc tétons apparent terminé en bas par une très courte ba...
Le Manoir 1/2
il y a 8 mois

Un manoir plein de Maitresses qui permet d’assumer ses fantasmes

Lorsque j’ai découvert le site du manoir avec toutes ces maitresses, je me suis dit qu’il était fait pour moi. Mais lorsque j’ai vu qu’on pouvait se faire filmer avec elles, et que j’ai lu leurs spécialités respectives, je me suis mis à bander comme un âne. En voyant toutes ces belles femmes dominatrices, je n’ai pu m’empêcher d’éjaculer. J’ai pris mon temps à étudier tout le site, puis j’ai fini par écrire afin de connaitre les modalités. J’ai donc commencé par choisir les maitresses que je voulais suivant leurs spécialités et mes fantasmes. J’allais pouvoir les réaliser. Puis, j’envoyais ma liste avec quelques questions subsidiaires. La réponse fut assez rapide. Aussi, après quelques échanges supplémentaires, je réservais pour 24 h. Je pris soin de faire une épilation totale avant d’y aller. J’arrivais tard après diner. Une belle hôtesse, très sexy, m’emmena directement dans ma chambre. Elle était très bien équipée avec un certain nombre de sex-toys et décoré de ph...
Retrouvailles BSM
il y a 8 mois

Après une période d’abstinence, le désir complice est si fort que la moralité n’a plus sa raison d’être

Il y avait bien longtemps qu'il ne l'avait plus regardée avec ses yeux-là. Depuis quelques semaines elle n'était plus que la maîtresse de maison. Maîtresse est, à n'en point douter un euphémisme car elle n'en avait ni l'allure ni l'envergure. Petite, menue et ronde, elle semblait avoir été créée pour la soumission et l'avilissement. Insensiblement, ils s'étaient éloignés de ces pratiques SM qui leur avaient pourtant procuré tant de plaisir et pour lesquelles ils s'étaient, jusqu'il y a peu, voués corps et âme en dépit de toute moralité. Moralité à laquelle, d'ailleurs, ils n'attachaient aucune importance, bien au contraire, ils la considéraient comme une entrave aux plaisirs sexuels. Donner la raison de cet éloignement imprévu serait pour le moins fastidieux et inutile, mais, une chose était certaine dans la tête du Maître, il n'en pouvait plus de contenir ainsi ses fantasmes les plus lubriques et il était bien décidé à renouer avec ces usages totalement hors normes. Il voulait...
Émoi dans la vaste cabine d'essayage
il y a 8 mois

Quand une lesbienne s’émeut avec un corset

Dans la vaste cabine d'essayage, voici face à moi ce vêtement qui s'est déjà emparé de mon esprit, intimidée à l'idée de lui confier mon corps, comme s'il était un amant prêt à me prendre. En douceur, les reflets du satin l'annoncent, mais sans faiblesse, vingt et un oeillets de chaque côté du dos, un long réseau de lacet noir me le démontrent. Je caresse l'étoffe d'une main hésitante, je sens la ferme élasticité des baleines, l'extérieur lisse et moiré. Comment vais-je tenir là dedans ? L'amicale vendeuse m'a laissée seule, s'offrant à venir m'aider à tout moment, tout sourire et complicité. Je crois que j'aimerais mieux qu'elle me dirige fermement et sévèrement, mon angoisse céderait au désir de lui plaire. Mais non, ce sera pour plus tard, pour Hélène qui attend. Allons-y. Je déboutonne ma blouse, je défais mon soutien-gorge. Ces gestes familiers, je les accomplis un peu solennellement, face au grand miroir doucement éclairé. Malgré la température idéale, l'ambiance de tranqu...
La salle des accessoires en fera une soumise comblée Suite et fin
il y a 8 mois

De pire en pire mais pour le meilleur

« Je veux que vous vous teniez ici, au milieu de la pièce. Écartez vos pieds et placez vos mains derrière votre cou. Intriguée par ce qu'il avait en tête, elle fit ce qu'il lui avait ordonné, tenant ses bras écartés avec ses mains derrière sa tête. « Bien, mais éloignez vos pieds plus loin. » Elle a élargi sa position. "C'est exact. Maintenant, je veux que tu restes là et que tu ne bouges pas ou ne parles pas. D'accord?" Elle acquiesça. Il ouvrit le placard et sortit une grande boîte en carton d'aspect ordinaire de l'étagère du haut. Elle le regarda s'asseoir sur le lit et la dévisagea, la boîte posée sur ses genoux. « Ce que je vais te demander sera difficile, mais je veux que tu saches que c'est très important pour moi. J'y ai beaucoup réfléchi. C'était une décision difficile, mais je pense que c'est la bonne pour nous deux. Il lui sourit. « Cela n'a aucun sens pour vous, alors voilà. « Le fait de parcourir cet hôpital et de lire son histoire m'a donné un aperçu de qui je suis,...
Les fessées du jeudi
il y a 8 mois

Il y a des choses qui ne se font pas... Et qui valent une bonne fessée...

Je venais d’avoir mon bac. Et j’étais fermement décidé à faire Sciences Po. Ce qui impliquait que je « monte » à Paris. Et ce qui terrorisait mes parents. Pour eux, « là-haut », c’était la jungle : on risquait mille morts à chaque coin de rue. Aussi se sont-ils efforcés, usant de tous les arguments possibles et imaginables, de me détourner de mon projet. - Tu pourrais faire avocat plutôt. Ça rapporte. Ou ingénieur. C’est un métier d’avenir, ça, ingénieur. Mais j’étais déterminé. Et ils ont fini par se faire une raison. Ils se sont même employés à me chercher un logement. - Que tu sois dans un quartier tranquille au moins… En trois jours, ils m’avaient déniché une chambre chez l’habitant. Une veuve d’une soixantaine d’années chez qui je suis allé emménager début septembre. J’étais là comme un coq pâte. J’y disposais d’une chambre spacieuse et confortable, orientée au soleil levant, équipée d’un lit douillet, de grands placards et d’un immense bureau en chêne. Elle tenait...
La salle des accessoires en fera une soumise comblée 4
il y a 8 mois

Visite de l’enfer d’un hôpital psychiatrique

Au sous-sol Le lendemain matin, ils sont allés travailler. Darlene et Joe ont parcouru le bâtiment principal pièce par pièce, prenant des notes sur tout ce qui attirait leur attention. C'était un travail ennuyeux et sale et leur prenait toute la journée. Joe a finalement appelé une halte à l'heure du dîner. Ils retournèrent à l'appartement du directeur. Pendant que Darlene prenait une douche, Joe réchauffait des aliments surgelés. Darlene sortit de la salle de bain juste au moment où le micro-ondes bipait. « Bon timing », lui dit-il. « Nous avons fait pas mal de choses aujourd'hui, plus que je ne l'avais prévu. Je suis presque sûr que nous allons au moins atteindre le seuil de rentabilité sur l'affaire. Le seul problème que je vois est l'espace d'entrepôt. Darlene hocha la tête en s'asseyant à la petite table à manger. « Je serai occupé à cataloguer pendant des mois. Où vas-tu stocker tout ça ? Joe s'assit à côté d'elle. « J'en vendrai une partie aux collectionneurs immédia...
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