Récits
Histoire vécue (5)
il y a 8 mois

Suite des quatre chapitres précédents

En arrivant au travail le lendemain, je trouvais ma subalterne assise dans mon fauteuil directorial, ses pieds nus sur mon bureau. "Bonjour Svetlana" lui dis-je "veuillez avoir l'obligeance de regagner votre place, s'il vous plaît", et je vins me planter tout près d'elle pour l'inciter à déguerpir. Mais elle se contenta de lever les yeux vers moi en faisant la moue, avant de dire "Tourne-toi et baisse ton pantalon" Serrant les dents de rage impuissante, je m'exécutai : cette garce voulait voir si le Propriété de Svetlana qu'elle m'avait la veille écrit sur les fesses au feutre indélébile était toujours là, conformément à ses ordres. Il y était. "C'est bien" me dit-elle en m'octroyant une tape sur le postérieur "tu mérites une récompense. Fais-moi face" Je pivotai sur moi-même et, me gratifiant d'un regard langoureux de ses yeux noisettes, elle commença à me branler. Puis elle se rassit et me prit en bouche. Je n'avais jamais été sucé ainsi : sa langue virevoltait tout...
Selfbondage zentaï à la piscine du gîte fétichiste
il y a 8 mois

Grosse peur d’avoir besoin d’aide pour me sortir de ce water selfbondage.

J’aime la sensation que procure le spandex sur le corps. Cette matière moulante fait comme des caresses et mouillé, c’est encore plus fort. Adepte du selfbondage, j’enfile souvent ma tenue zentaï pour décupler les plaisirs. J’ai découvert cette matière grâce aux cyclistes qui ont une sorte de short doublé de mousse à l’intérieur pour des raisons de confort sur la selle. Je m’en suis offert un puisque je fais un peu de vélo. L’idée de m’offrir une tenue zentaï n’a donc pas tardé. Cette tenue intégrale est basique, classique de couleur noire. Il en existe de toute sorte en terme de couleur et de motif pour jouer à Spider Man ou autres comme ressembler à un animal. Les responsables du gîte m’ont mis à l’aise dés le départ, je dirai même qu’ils m’ont excité lors de la visite des lieux. Quand on visite le donjon et la nurserie, les commentaires de Marc servant juste à donner des « pistes » d’idées perverses ne laissent pas de marbre. A cela, se rajoute la visite de la salle aux secre...
Histoire vécue (4)
il y a 8 mois

Suite des histoires vécues 1, 2 et 3

En arrivant au travail le lendemain, je trouvais Svetlana déjà à son ordinateur, et les clés du local étincelant sur mon bureau. Je la saluai et elle leva la tête pour me dire, de son air le plus nunuche "Bonjour chef, comment ça va?" en se payant le luxe de papillonner des cils, par-dessus le marché ! "Comme un homme vaincu et humilié par une fille" songeai-je par devers moi - mais je me contentai de lui signifier assez sèchement que les fantaisies des deux soirs précédents étaient terminées et n'auraient plus jamais lieu. Emme m'adressa son petit sourire en coin caractéristique pour toute réponse. Je remis les clés dans ma poche, accrochai ma veste et me mis au travail. Dix heures venaient de sonner lorsqu'une culotte écarlate atterrit sur mon clavier. Interloqué, je levai la tête et vis que Svetlana, vêtue d'une robe très échancrée, s'était subrepticement approchée. Elle était déchaussée - ce qui explique que je ne l'avais pas entendue venir - et son téléphone dépassa...
La folle journée de Sophia
il y a 8 mois

Mon mec venait de me quitter. effondrée, j'appelais ma belle soeur... qui décida de me remonter le moral à sa façon... Masi la journée fut entrecoupée de souvenirs plus ou moins... particuliers.

7h30. J’abusais… La sonnerie me montrant que l’appel était en cours résonnait dans mon appareil. - Allô. – me fit la petite voix de ma nièce Justine. - Bonjour ma puce – soufflais-je entre deux sanglots. – Tu peux me passer maman ou papa s’il te plaît ? - Pourquoi tu pleures Tata ? C’est Tata Sophia – dit-elle, je suppose à mon frère ou à ma belle-sœur – elle pleure… - Allô ? – me fit la voix douce de Karine. - Excuse-moi de te déranger si tôt, mais… - je m’effondrais en larmes – Raphaëlmaquittée. - Je n’ai rien compris. - Raphaël m’a quittée. – parvins-je à articuler. - Mince ! C’est arrivé quand ? - Hier soir. Il a pris toutes ses affaires. Il est parti avec une vraie fille. - Le salaud. C’est Sophia – traduisit-elle pour mon frère qui devait juste arriver.- Raphaël l’a quittée hier soir. - C’est un connard, je l’ai jamais aimé ! – me lança-t-il de loin pour que j’entende bien.- Je le trouvais pas clair. C’est arrivé quand ? - Hier soir. – lui répondit Kari...
Histoire vécue (3)
il y a 8 mois

Suite des "Histoires vécues" 1 & 2

De l'autre côté des deux bureaux, disposés face à face, qui nous séparaient, Svetlana levait parfois la tête de son clavier pour m'adresser ce petit sourire légèrement asymétrique qui était un des nombreux éléments constitutifs de son charme. Elle pouvait se montrer narquoise, après ce qu'elle m'avait infligé la veille ! Je bouillais intérieurement d'une honte furieuse. Comment avais-je pu être défait par cette fille de 20 ans, 20 kg et 20 centimètres de moins que moi ? Je finis par me persuader que c'est parce qu'elle m'avait traîtreusement pris par surprise - parce que je ne croyais pas vraiment qu'il y aurait lutte, que c'était juste un prétexte pour s'envoyer son chef de service. Mais quand-bien même : quel besoin avait-elle eu, sa perfide victoire remportée, d'ainsi m'humilier ? Hier soir j'avais jeté au vide-ordure le slip qu'elle m'avait forcé à gorger de mon sperme, tant sa vue me rappelait la honte endurée. Et petit à petit, il m'apparut non seulement légitime, mais sus...
L'importance des mots entre une soumise et sa maîtresse
il y a 8 mois

Dans une journée qui se voulait banale une soumise s’abandonne totalement à sa maîtresse.

Baignée dans un mélange de lumière bleuté et vermillon, j’ouvre lentement mes paupières alors que les premiers rayons de soleil traversent la baie vitrée qui donne sur le jardin luxuriant. Mon corps s’étire lentement, et à chaque battement de paupière, je reprends peu à peu conscience. La nuit a été courte, les sévices pour mon insolence lourdes. Alors que je redresse mon corps sur le sofa, mes yeux se posent sur la lettre sous le magnolia. La fleur est posée sur cette table basse, mais la lavande me menace. La lavande, ce brin, je sais ce qu’il signifie et elle le sait aussi. Symbole de la défiance, ma bouche pâteuse déglutie tandis que mes orteils se tortillent. D’un geste lent, mais élégant - Elle y tient - j’avance sans prudence ma main vers la lettre. Le sceau fait de cire serti d’un majestueux « M » est un indice qui m’échappe sur le moment. Je l’ouvre et y découvre un mot, ou plutôt une liste. Les yeux parcourent les lignes finement écrites, je me vois même jalouser cette callig...
Histoire vécue (2)
il y a 8 mois

Suite de mon "Histoire vécue"

Il y avait, au sous-sol de cet immeuble de la rue de Miromesnil, une salle de gymnastique abondamment pourvue de machines et accessoires concernant tous les muscles du corps. J'y allai quelquefois entre 13h et 14h, et ma subordonnée aussi. Il advint qu'un jour, j'étais si occupé sur le banc de musculation que je ne pris pas garde que l'endroit s'était vidé... à l'exception de Svetlana qui entretenait sa musculature, dont elle avait grand besoin pour me vaincre, en faisant des tractions à la barre fixe. C'est donc ruisselante de sueur qu'elle s'approcha de moi - qui étais toujours allongé sur mon appareil - avec son sourire oblique et son abondante chevelure châtain ramenée sur le vertex. Avant que j'ai pu dire un mot, elle s'agenouilla à ma portée et plaça son aisselle sur mon visage. "Sens" ordonna-t-elle "inspire bien, je veux entendre" Tremblant d'épuisement et de rage impuissante, je n'eus guère d'autre choix que d'obtempérer en inhalant son âcre mélange de transpiration...
Histoire vécue
il y a 8 mois

𝐔𝐧𝐞 𝐜𝐡𝐨𝐬𝐞 𝐞𝐟𝐟𝐫𝐨𝐲𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐚𝐝𝐯𝐢𝐧𝐭 𝐮𝐧 𝐣𝐨𝐮𝐫 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐦𝐚 𝐯𝐢𝐞 !

Je connus Svetlana lorsqu'elle fut affectée, dans la cadre d'un CDD, à l'immeuble de la rue de Miromesnil où se situaient les compagnies d'assurances pour lesquelles j'officiais. Mon service, dont j'étais le dirigeant, occupait tout le dernier étage. Y étaient entreposées des archives papier que je devais informatiser progressivement. Elle et moi étions seuls à cette tâche. C'était déjà une jeune femme accorte et d'esprit vif. Nous devisions beaucoup de sujets divers et variés. Un après-midi la conversation vint à rouler sur la lutte mixte, c'est-à-dire opposant un homme et une femme. Elle me mit au défi, après 17h quand tout le monde aurait quitté les locaux des étages inférieurs, de l'affronter en sous-vêtements. J'acquiesçai en riant, persuadé qu'elle n'usait de ce prétexte que pour satisfaire un appétit sexuel dont elle m'avait elle-même affirmé qu'il était important. Notre pièce était vaste et moquettée, il n'y eut qu'à pousser un peu nos bureaux. Sourire en coin, je me mis...
La suite 4
il y a 8 mois

La Suite 4 :)

Jeudi , la journée est calme mais je suis excité depuis notre amusement d’hier soir. Ce matin au réveil ma maîtresse m’annonce par message que ce soir j’aurais droit à ma surprise , que je rougirais mais que mon plaisir sera doublé. A ma pose déjeuner je rentre tranquillement chez moi , je reçois un sms sur la route de ma maîtresse me disant d’enfiler une paire de bas sous mon pantalon de costume ainsi que la cage de chasteté. Petite parenthèse , j’adore la sensation des bas dans les chaussures et le frottement contre mon pantalon ! Bref je suis fétichiste du nylon. Mon après midi ce passe dans le plus grand calme , mais je réfléchis sans cesse à ce qui pourrais m’arriver ce soir. 18h45 , je fonce chez mon petit caviste pour la soirée. Une bonne bouteille de champagne et c’est partie. Devant la porte de ma maîtresse mon coeur bat très très fort je suis assez excité. Elle m’ouvre , je rentre , m’embrasse , baisse mon pantalon pour contrôler bas et cage. Une fois la douane pas...
Cage pénitentiaire (2)
il y a 9 mois

Notre héroïne obtient enfin ce dont elle a toujours rêvé.

J’ai ouvert les yeux. Vendredi. On était vendredi. Le grand jour. Ce soir… Ce soir… Et ça a été, aussitôt, trempé entre mes cuisses. J’ai tâté l’absence à mes côtés : Lionel était déjà parti. S’occuper de tout, sûrement. Tout préparer. Pourvu que… Que ce soit humiliant. Très. Qu’on me fasse honte. Du monde. Des gens. Plein. Qu’on me traite comme une moins que rien. Que j’étais. Que tu es, Jessica, oui. Rends-toi à l’évidence ! Je suis descendue à la piscine. Il y faisait un froid glacial. Ce serait bien. Ce serait mieux. J’ai frissonné. Quelle dévergondée j’étais ! Je me faisais tirer par un gamin. Qui avait la moitié de mon âge. Et pas seulement ! Il y avait le reste. Tout le reste. Une envie de mâle. Qui me creusait en permanence désormais. N’importe quel mâle. Ceux que je croisais dans la rue. Sur les entrejambes desquels je laissais traîner effrontément les yeux. Ceux du boulot que je faisais maintenant intervenir, à tour de rôle, dans mes masturbations. T’es une salope, Jessica...
auto sm auto bondage suite
il y a 9 mois

Après avoir porté des petites punaises bien excitante sur les tétons j'étais pret...

Pour rappel j’avais prévu de filmer la séance mais la caméra a buggé et on voit rien ! J’ai porté une partie de l’après-midi des punaises sur les tétons pour bien m’échauffer, puis le soir venue je me suis fait un séance comme si j’arrivais chez une domina.. Arrivé avec un collier avec laisse, les couilles prises dans un nœud coulant. Quelques bonnes séries de fessées au martinet puis à la pagaie, Replacement des punaises par des pinces japonaises. Et bien sûr en étirant les boules. Quelques photos et courtes vidéos sont disponibles Une fois bien chaud je décide de passer à l’étape finale. Je mets les bracelets aux poignets et aux chevilles. Je mets un plus gonflant que je dilate au maximum… j’attache les chevilles sur une planche, jambes écartées… Sur la planche il y a un anneau au centre… de cet anneau part une cordelette avec un tendeur qui vient rejoindre le nœud des couilles. Ensuite je passe un dispositif tendeur accroché au plafond sur mes pinces japonaises…...
Cage pénitentiaire
il y a 9 mois

Quand les instruments de torture du Moyen-Âge donnent des idées...

J’avais quinze ans et j’étais en troisième, excellente élève au demeurant, quand notre professeur d’Histoire nous a emmenés visiter, mes camarades et moi, le musée Henri-Martin de Cahors. S’y trouvait exposée, entre autres, une cage pénitentiaire, en bois et en métal, sur l’utilisation de laquelle ni notre professeur d’Histoire ni le guide ne se sont vraiment étendus. Et pour cause : mes recherches, entreprises le soir même, m’ont appris qu’elle était destinée à châtier les femmes adultères. À « refroidir leurs ardeurs ». On y enfermait la coupable, entièrement nue, et on la plongeait dans la rivière. Le Lot en l’occurrence. On l’y laissait un certain temps avant de l’en extirper, hoquetante, suffocante et dégoulinante, et de l’y immerger à nouveau quelques instants plus tard. L’opération pouvait être renouvelée, selon les cas et selon le nombre d’amants qu’on lui prêtait, jusqu’à six ou sept fois. J’ étais horrifiée. J’ai rangé cette cage dans un coin de ma mémoire et je n’y...
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