Samedi matin Nicolas se réveilla plus tôt que d’habitude. Il aimait faire la grasse matinée pourtant il ne pouvait plus dormir. Les rayons de soleil qui pénétraient joyeusement son appartement le mirent de bonne humeur. Après la toilette et le petit-déjeuner il avait toute la journée pour lui. Il regardait se vêtements de femme, ses maquillages, sa perruque, il voulait s’habiller en fille et continuer sa recherche sur internet mais l’idée de passer tout le weekend devant son ordi le fit changer d’avis, d’autant plus qu’il le faisait trente cinq heures par semaine. Un coup d‘œil rapide par la fenêtre et il prit la décision de faire une promenade. Juste avant de sortir il mit un collant sous son pantalon. Il se promenait sans but dans les rues de la capitale, en passant devant un salon de beauté il eut un frisson et enviait les clientes qui se faisaient maquiller. Un peu plus loin sur la vitrine d’un bazar il aperçut un écriteau ,,Tout à 1 euro’‘. Il entra dans le magasin, la jolie vende...

Ma nouvelle vie. (retour du voyage d’affaires…) MAUREEN Le trajet allait être long, et comme je n’avais pas confiance en la propreté des toilettes sur les aires d’autoroute, même côté femme, j’ai déjà vu des mecs en sortir… et je n’avais aucun doute sur leur passage… beurk ! j’avais pris l’habitude, depuis quelques mois, de mettre une couche adulte. Donc ce trajet ne faisait pas exception à cette nouvelle règle. J’avais mis une molicare super plus avec un voile en plastique, qui la rendait certes un peu bruyante mais tellement plus amusante. Quitte à avoir une couche autant que je m’en amuse. Il y en avait bien des plus bébé et plus rigolotes mais elles étaient assez chères et comme l’idée était surtout la praticité à l’esthétique, n’étant pas attirée par les couches pour jouer, je me contentais allègrement de celles ci. Sous mon jean slim on ne la voyait pas. Elle s’entendait à peine. Dans un...

Cher Jack, Je n’ai pas envie de faire l’amour avec toi, tu n’es pas mon genre du tout mais tu es un ami, un vrai de vrai. Comme tu es un ami et que l’on se fait des confidences, je sais que peux te faire confiance à 100 %, jamais tu ne me voleras, jamais tu ne me feras du mal. Je vais tout te dire et t’expliquer mais jamais au grand jamais du ne devra trahir mon secret. Voilà, j’aime faire du selfbondage, m’attacher toute seule. Cela m’amuse, m’excite, me fait jouir et je n’ai jamais de déception, hormis quand je me loupe dans mes scénarios. Mon fantasme est que quelqu’un entre, me v i o l e ou s’amuse avec moi ou les deux avant de repartir, ni vu ni connu. Je ne dois pas voir qui est cette personne et je ne veux pas savoir qui elle est ou qui ils sont. Pour ma sécurité, tu seras le seul à savoir et, pour réaliser mon fantasme, je mettrait la clé sous le paillasson. Ainsi, la personne pourra entrer sans rien casser. Je veux être sûre que la personne ne me fera pas de mal en v...

Régis se réveille en ressentant un bien être profond, enserré dans sa cage de chasteté et avec son collier de soumis. Cette première journée de week-end de soumission s’était divinement bien passée. Il a hâte de découvrir ce qu’Alicia et Clara lui ont concocté pour ce deuxième jour. Clara vient le chercher. Elle a la même tenue que la veille. Elle amène Régis au petit déjeuner, le tirant par la laisse. Il est nu avec de grandes chaussettes et des jambières jaune fluo à revers rouge vif, un plug en acier de quatre centimètres de diamètre équipé d’une queue de renard dans l’anus. Le petit déjeuner est sur la terrasse. Malgré un beau soleil, le fond de l’air est un peu frais. Régis a la chair de poule. Ses tétons se raidissent. La queue de renard lui caresse les cuisses. Son plug rempli son anus. Il se sent bien. Alicia est déjà là, vêtue elle aussi comme la veille. Elle lui a concocté un petit déjeuner très particulier. Sans attendre, elle lui ordonne d’ouvrir grand la bouche. Les de...

Après son retour à Paris Nicolas éprouvait du chagrin. Rien ne lui faisait plaisir. De plus ses main et ses pieds étaient constamment froids. Il prit un rendez-vous chez son médecin qui était une dame de cinquante-cinq ans environ. - Vous avez un problème de circulation, constata-t-elle. - C’est grave docteur? s’inquiéta le travesti. - Il suffit de faire un peu de sport. - Et vous pouvez pas me prescrire des cachets? - Des cachets! Mais ils abîment le foie, l’estomac, les reins. Si vous n’aimez pas le sport il existe un moyen médiéval. - Lequel? s’intéressa le fétichiste. - La flagellation, dit la femme lentement en regardant son patient dans les yeux en espérant qu‘il préférera faire du sport. - La flagellation?! s’étonna-t-il. - Oh, ne vous faites pas d‘espoir, je la pratique plus, ajouta-t-elle. - Vous ... vous... étiez une..., Nicolas la prit au sérieux mais ne trouva pas le mot exact. - Faites du sport, jeune homme, au moins une demi-heure par jour, c’est un conseil d’...

Le week-end de soumis de Régis commence fort. Alicia et Clara, équipé de leur magnifique gode ceinture, sont prêtes à passer à l’action. Clara s'approche de Régis et lui demande de la sucer. Régis se met accroupi, au niveau du gode. Après un petit bisou sur le gland, il le met dans sa bouche et commence à le pomper. Le réalisme du gode l’excite. Son sexe se durcit mais se retrouve très vite coincé dans la cage de chasteté. Cela calme très vite les ardeurs de Régis. Il s'applique contentieusement. Il avait déjà joué à ce jeu et reproduit les bons gestes qu'il avait vu dans les films X. Il montre à Clara tout son talent de suceur. Elle lui dit de continuer en lui prenant la tête entre les deux mains. Elle aussi s'applique à se comporter tel un mâle. La fellation dure cinq bonnes minutes. Régis commence à fatiguer. Alicia lui demande alors de s’occuper de sa queue. Régis s'y emploie, s'appliquant tout autant qu'avec Clara. Il sait qu'il ne doit pas décevoir sa Maîtresse. Il s'aperçoit...

Il fait un beau soleil de printemps. Régis roule vers son week-end de découverte de la soumission organisé par Alicia. Les trois piliers de son week-end de soumission, fétichisme autour des grandes chaussettes, abstinence et pratiques sexuelles buccales et anales passent en boucle dans sa tête. Plus il approche de sa destination, plus le stress grandit. Régis est envahi de questions. A-t-il bien fait ? Qu'est-ce qui l'attend ? Ne va-t-il pas le regretter ? Mais il se considère trop engagé. Il n'est pas question pour lui de faire demi-tour. Il est persuadé que s'il n'essaie pas, il aura des regrets pour l'éternité. La pensée du corps des deux filles qui l'attendent et le fait de se sentir bien dans la tenue qu'il porte suffisent à lui remonter le moral et le convaincre qu'il a pris la bonne décision. De toute façon, il doit en avoir le cœur net, à savoir s'il a un penchant de soumis. Régis arrive devant la propriété indiquée par Alicia. Il est devant un portail haut et plein, ne lais...

La soumission est la régression imposée titille de plus en plus Manu dans ses fantasmes. Il a déjà une chance inouïe d’avoir rencontre Lydia, une femme adorable, douce, câline et comme l’on dit, qui a le coeur sur la main. Sa générosité d’âme et sa gentillesse font qu’elle a accepté sans trop de peine que son mari s’amuse avec des couches. Après tout, « ce ne sont que de grosses culottes » comme elle se plait à dire. La problématique de ce couple, est que Manu devient très égoïste, il ne pense qu’à ses petits jeux et délaisse sa femme âgée de dix ans de moins que lui. A trente cinq ans, elle a des envies de sexe et de câlins fusionnels, de ces rapports sexuels où les corps ne font plus qu’un. Hélas, Manu trop centré sur ses couches ne l’honore plus, il a « des pannes », d’après lui liées à des soucis professionnels qui le minent. Elle découvre un jour sur leur ordinateur que Manu surfent sur un site nommé Fessestivites et qu’il a même pris un abonnement. Curieuse et en même tem...

La date fatidique du week-end organisé par Alicia et destiné à faire découvrir à Régis sa vraie nature approche. Ce week-end de soumission qui s’appuie les trois piliers, fétichisme autour des grandes chaussettes, abstinence et pratiques sexuelles buccales et anales, excite beaucoup Régis mais lui fait peur. Un mois avant, Alicia demande à Régis de s'engager à respecter quelques pré-requis. Pour commencer, il doit assurer un bronzage intégral du corps, hormis les mollets qui seront cachés par des grands chaussettes et/ou jambières. Alicia explique que l’absence de bronzage des mollets est destiné à affirmer son fétichisme pour les grandes chaussettes. Les séances de bronzage devront débuter dès avril afin d'être prêt pour le dernier week-end de mai, date retenue par Alicia. Il doit aussi acheter une cage de chasteté et s’habituer à la porter. Alicia le guide dans l’achat et l’appropriation de la cage. Deux semaines avant le grand jour, il doit entamer une abstinence afin de faire mo...

Régis roule sur la quatre voie, pensif, un samedi ensoleillé de fin mai. Il se demande quelle folie lui a pris de s'embarquer dans une telle aventure. Il prend conscience qu'il prend un gros risque. Il ne mesure pas encore à quel point cela va changer ça vie. Il se dit qu'il est complètement fou à commencer par son accoutrement. Il porte un débardeur rouge, un mini short bleu vif et des jambières à bandes rouge et blanc. Sous ses jambières il porte des chaussettes de foot blanches et sous son short un string noir. Il a des chaussures de running blanches et rouges. Il a des poignées éponge blanches et un pendentif piment rouge accroché à une fine chaîne dorée. Il aime porter cela mais ce dit que ce n'est vraiment pas discret. Il se dit - Pourvu que je ne sois pas obligé de m'arrêter et descendre de la voiture ! Il se remémore alors comment il en est arrivé là. Tout commence 6 mois plus tôt. Régis est un fétichiste des chaussettes hautes et autres jambières. Il aime les porte...

Connaissez-vous ces e n f a n t s qui ne disent qu’au dernier moment à leurs parents qu’il y a une sortie de classe et qu’il faut préparer un casse-croûte, un imperméable ou peu d’argent de poche? Et ben, Vincent en faisait partie. Il lui arrivait souvent d’oublier quelque chose d’important à l’inverse de Mélanie, sa sœur aînée qui avait une mémoire d’éléphant. Cette fois-ci il ne se rappela qu‘à dix heures du soir que demain les élèves doivent être déguisés. - Et c’est maintenant que tu m‘ le dis, cria sa mère. - Tu m’écris un mot d’excuse et je reste à la maison, Vincent haussa les épaules. - Mais ça va pas, non? gronda-t-elle. Tu t‘comportes comme un gamin de quatre ans, et bientôt t‘en auras treize. - Et alors? demanda le garçon comme si de rien était. - Vas t’coucher et n’oublies pas que tu t’lèves tôt demain. - Et pour le déguisement? - T’en fais, je te trouverai quelque chose, elle sourit mystérieusement. Vincent alla se coucher dans sa chambre. - C’est aujourd’hui le g...

Les sanglots longs des violons de l’automne blessent mon cœur d’un langueur monotonne, Nicolas se souvint de ce poème, or on n’était pas en automne. Le mois de janvier touchait à sa fin et pourtant la grisaille et la pluie n’avaient aucune envie de quitter les Parisiens. Nicolas devenait dépressif et voulait changer d’air. Il se maquillait avec des couleurs vives et intenses pour égayer l’ambiance qui régnait dans la capitale, mais quelques heures par soir, ne faisaient qu’augmenter sa frustration. Un jour en rentrant du travail il s’arrêta devant une agence de voyage, une affiche attira son attention. Le paysage blanc de Québec lui rappella son rêve d‘enfance de visiter le Canada. Il entra pour se renseigner, le circuit proposé était intéressant et le prix abordable. Il ne lui restait plus qu‘à demander deux semaines de congé. Son supérieur hiérarchique était une femme attirante de quarante ans qui, sans que Nicolas le sache, avait le béguin pour lui. - Vous partez au ski? demanda...