Récits
La proprio
il y a 10 mois

Une propriétaire qui vous loue un appartement à l'œil, c'est bigrement intéressant. Oui, mais...

Rester chez les parents de Clotilde, ce n’était plus possible. - On est pas à notre main, attends ! - Et puis ces réflexions, sans arrêt, à propos de tout. On n’a plus douze ans. Et on s’est mis à chercher un appart. Pas trop loin de la fac, mais pas trop loin de son petit boulot non plus. Ni du mien. Ni des commerces. - Ça va être compliqué. Ça l’était. C’était minuscule. Ou insalubre. Ou hors de prix. Mais dans tous les cas… On était sur le point de renoncer quand… le truc de ouf. Spacieux. Clair. Hyper bien situé. Au premier étage. Avec vue sur un parc immense. Le rêve. Sauf que, forcément, ça allait pas être pour notre bourse. On a tout de même demandé le prix. Sans grand espoir. La propriétaire, qui nous faisait elle-même visiter, nous a longuement considérés. A paru réfléchir. S’est enfin décidée. - Je vous le laisse à titre gracieux. On s’est regardés, Clotilde et moi, stupéfaits. - Hein ? Mais… - Mais j’y mets des conditions. Vous tiendrez cet ap...
Première nuit au donjon
il y a 10 mois

Le soumis passe sa première nuit au donjon

Je suis mort de honte, je tente de masquer le collier et la ceinture comme je peux et nous nos mettons en route. J’ai du mal à avoir une démarche normal avec ce plug qui accompagne chaque mouvements de la ceinture. Les yeux rivés au sol, je n’ose pas regarder autour de moi de peur de croiser un regard. J’ai l’impression que tout le monde me regarde. J’ai des bouffées de chaleur, et commence à avoir les pieds mouillés, trempés de sueur. Mr X s’arrête et lève la main en direction de la pharmacie. « Je vais t’attendre ici, toi tu vas y aller et te prendre un paquet de couches. Incontinence forte , taille S. Ne perd pas de temps ils vont bientôt fermer ! » Je reste debout là, à côté de lui, je ne vais pas pouvoir c’est au dessus de mes f o r c e s. Il me fait marcher c’est juste pour me faire peur. Mr X « Je sais que c’est difficile pour toi, dit toi que personne ne te connais ici, ne soit pas gêné ! Et si tu accomplis cette mission je te récompenserai pour cet effort » La...
Tard dans la nuit
il y a 10 mois

L'amour avec ma Chérie.

Je n'arrive pas à dormir... Toi si ma Chérie pourtant. Il est 2h du matin. La chambre est noire et silencieuse, pas un bruit, même pas les voisins en train d'utiliser leur toilette ou de faire une machine – à laver -, comme parfois c'est le cas chez un voisin indélicat. J'ai envie de Toi ma Chérie, mais je ne peux rien faire. Tu dors à poings fermés à côté de moi. Je sens ton corps chaud emmitouflé sur la couette, tourné vers l'autre extrémité du lit. Il fait noir mais j'imagine tes longues jambes, tes petits seins en poire, ta peau de lait douce et soyeuse. Pire encore, ta chatte soyeuse et accueillante, ta bouche qui sait si bien s'occuper de moi, tes fesses à l'orifice si doux et confortable. Je n'en peux plus, la tension monte et tous tes trésors à côté de moi... J'essaie d'être le plus discret possible et ne pas te réveiller. Je caresse discrètement ta croupe pour me rappeler la chaleur de ta peau. Tu dors toujours. Je vais te laisser dormir ma Chérie... Tu as besoin de som...
Féminisation de Nicolas: les débuts
il y a 10 mois

Un ado est maquillé et habillé en fille par sa sœur et sa meilleure amie.

Nicolas se rongeait les ongles depuis le plus jeune âge. Pour l’en empêcher sa mère lui appliquait un vernis invisible au goût amer qu’elle achetait en pharmacie. Chaque matin avant d’aller à l‘école il avait droit à sa manucure ce qui faisait rire Valérie, sa sœur aînée de 3 ans. Un dimanche soir, juste avant les vacances d’hiver, lorsque Valérie était déjà au lycée et Nicolas au collège, ils regardaient la télé à trois, le père étant en déplacement. - Vous allez faire la grasse matinée demain?, demanda la mère. - Oui, maman, répondirent-ils en même temps. - Bien, dans ce cas-là, je n‘vous réveillerai pas, par contre tu devras lui mettre du vernis, elle s’adressa à sa fille. - Oh non, Nicolas sursauta. -T’as entendu?, Valérie sourit. - Mais maman!, protesta Nicolas. - Tu sais bien qu’il faut le faire tous les jours, alors c’est Valérie qui t’fait les ongles ou tu t’lèves avant six heures. - Ou bien on fait venir une esthéticienne, rigola la fille. Nicolas la regarda de tr...
Féminisé pour vivre totalement sa soumission
il y a 10 mois

Soumis d’un couple dominant et transformé un pute soumise

J'attends dans cette chambre de motel, depuis qu'au téléphone mon Maître, m'a prévenu de son arrivée et de celle de Maîtresse. C'était il y a 20 minutes. Auparavant j'ai mis un temps interminable à trouver l'hôtel, perdu au bout d'une rue, derrière une zone commerciale. J'ai pris possession de ma chambre rapidement et me suis mis en demeure de devenir Carole. Cela fait deux mois que je n'ai plus eu de contact avec mes Maîtres, et j'ai laissé ma masculinité reprendre à nouveau le dessus. Je dois donc me raser les fesses le sexe le ventre et surtout mes tétons. Je sais que mes Maîtres ont une attirance particulière pour eux. J'aimerais qu'ils soient encore plus gros, plus longs, plus sensibles. Je me maquille, je sens la transformation s'opérer : mon corps, ma posture se féminisent. Je m'aime ainsi, je me sens tellement MOI. Une fois préparée, j'attends leur venue, assise sur le bord du lit, regardant distraitement la télé. Une ou deux fois j'ai cru les entendre, et je s...
La Princesse
il y a 10 mois

L’esclave de la princesse était soumis à sa dictature fessiale.

Le Roi Goodheart était un roi apprécié de ses sujets. Ses lois étaient empreintes de justice. Le peuple appréciait d’avoir un monarque si populaire et compréhensif. Malheureusement, sa fille ne possédait aucun des traits de caractères positifs et humains de son père. Cette superbe jeune fille blonde était méchante et capricieuse. Elle adorait terroriser ses serviteurs et ne manquait aucune occasion de tourmenter les domestiques. Le jour de ses 19 ans, le Roi lui fit cadeau de son souhait le plus fort : un esclave personnel rien que pour elle. Le Roi était bien conscient des traits de caractère particuliers de sa fille et avait longtemps hésité avant d’exaucer son désir. Il était convaincu que cet esclave passerait de durs moments sous les services de sa fille. C’est grâce à la Reine (une superbe femme très autoritaire) qui donnait au vœu de sa fille une grande importance, que le Roi céda. De plus, il aimait beaucoup sa fille et il n’aurait pus résister longtemps à ses désirs....
Sauvés des folies du gang des fesseurs
il y a 10 mois

Enquêter conduit un homme et une femme chez des fous adapte de la fessée et bien plus encore.

Dans le cadre d’un job d’été, Marion et moi arpentons les rues de Roubaix pour enquêter sur les loisirs des habitants. Le quartier qui nous a été attribué est tellement défavorisé que les réponses se limitent souvent au bistrot du coin et au PMU. Et encore quand on ne nous claque pas la porte au nez. A presque 17 ans, je peux dire en toute modestie que je suis plutôt beau mec : un mètre quatre-vingt pour soixante cinq kilos et quelques années de natation derrière moi qui ont sculpté sans excès mes abdominaux. Marion est une camarade de lycée, petite blonde d’à peine un mètre soixante, un joli minois et quelques rondeurs bien placées, notamment un petit fessier bien rebondi. Bien qu’extrêmement timide, elle est d’agréable compagnie. Après, plusieurs coups de sonnette sans réponse, une porte s’ouvre enfin. Nous expliquons le but de notre passage à une dame, la quarantaine, vêtue d’une robe à fleurs bleue pâle et d’un tablier rose bonbon, le tout agrémenté d’une paire de chausso...
Soumise malgré moi
il y a 10 mois

Victime d'un accident de voiture, mon voisin infirmier, me prodigue des soins et profite de moi.

Je n'avais pas vu sa voiture, éblouie par le soleil couchant. Je n’avais pu éviter la collision ! Nous étions dans un triste état : le conducteur de la partie adverse, comme stipulé dans la déclaration d'accident, n’avait quasi rien. Moi ? Les bras et une cheville cassés plus quelques contusions ! Hospitalisée et plâtrée, il m’était difficilement possible de bouger. Je patientais et attendais de pouvoir rentrer chez moi pour retrouver mon mari et mes e n f a n t s. Julie… c’est mon prénom ! Je suis une femme brune au cheveux court, de taille moyenne, plutôt menue et dans la quarantaine. J’ai de petits seins sensibles qui plaisent énormément à mon mari, et un cul qui fait se retourner les hommes dans la rue. Ce matin, mon mari vient me chercher après 5 jours d’hospitalisation. Enfin, je rentre ! Je sors donc avec mon ordonnance pour les soins à domicile. Je suis heureuse de retrouver mon chez moi et ma famille. Mon mari a préparé une petite fête pour célébrer mon retour....
Veille du jour de l'an solo-play
il y a 10 mois

Je serai seul par choix ce soir. Cette dernière année n'a pas été aussi belle que prévu. J'ai terminé sur une note de déceptions. Je vais donc prendre du temps pour moi puisque je ne me décevra pas.

J'ai l'intention de sortir tous les jouet de mon coffre et et tous les vêtements de mon placard. Je vais me planifier un selfbondage avec vêtements féminin bien réfléchi et qui sait à quel point je serai horny sans aucun contrôle?? Bonne année tout le monde🫦👠👙👗🪢⛓️🔐
Une rencontre BDSM ABDL pour une soumise en herbe
il y a 10 mois

Une soirée qui change la vie avec un homme devinant ses fantasmes

La première fois que son regard avait croisé le sien, elle patientait à l'accueil attendant le bon vouloir de la réceptionniste. Tout en songeant à appeler un taxi, la jeune fille se demandait pour la dixième fois de la soirée comment avait elle put accepter l'invitation de son amie Sylvie : « un cocktail professionnel qui pourrait lui changerait les idées »; avait elle dit ! Un repas ennuyeux à mourir dans une auberge des plus reculée semblait beaucoup plus proche de la réalité. De plus, Laure était tributaire de son amie, c'est Sylvie qui avait la voiture et les clefs tandis que celle-ci se faisait ouvertement draguer par son chef de service, des bulles de champagne au fond des yeux. Depuis quelques instants, Laure sentait un regard insistant sur sa nuque. Elle fit le tour du lobby et en découvrit la cause : un homme d'une quarantaine d'années aux cheveux courts parsemés de mèches blanches, l'observait insolemment. N'osant soutenir son regard, Laure détourna la tête. A trave...
Attachement
il y a 10 mois

Ah, ces filles!

Tout était désert. Silencieux. Un couloir. Un autre. Des bruits de voix sur la droite. Qui venaient de derrière une porte. Il y a collé son oreille… - Vous cherchez quelque chose ? Il s’est brusquement redressé. Retourné. Une fille. À qui il a fait face. - Quelqu’un, oui. Madame Morin. Elle a ouvert la porte. - Ben, entre ! Des fois qu’elle soit là, madame Morin. Un vestiaire. Des sacs de sport. Quatre ou cinq filles. Qui ont levé les yeux sur lui. - Je l’ai trouvé, notre voyeur… - Hein ? Ah, mais non ! Pas du tout. Non. Je cherche madame Morin. Elles ont éclaté de rire. - Madame Morin ! Ben, voyons ! Il y a plus de deux ans qu’elle est plus ici, madame Morin. - Je croyais que… - Dis-nous plutôt… Le trou, dans la paroi des douches, là, à côté, c’est toi qui l’as fait où il y était déjà et tu te contentes d’en profiter ? - Le trou ? Quel trou ? - Fais bien l’innocent! Il y en a une qui s’est levée. - Bon, les filles, il mérite une bonne l...
L'initiation d’une lesbienne à la soumission
il y a 10 mois

La Maîtresse use d’un moyen peu commun d’un grande perversité

J’étais dans le train, proche de l’arrivée. Une fois de plus, les instructions de Béatrice avaient été claires, mais j’avais été surprise de ne pas avoir d’instructions vestimentaires pour le voyage. Il était simplement dit : " LN-27. Vous devez vous rendre ce week-end au lieu habituel pour une initiation. B. " J’avais trouvé une excuse, rassemblé quelques affaires, et j’étais partie. Soucieuse toutefois du plaisir de ma maîtresse, je portais un porte-jarretelles blanc et des bas noirs sous mon tailleur strict... Au cas où. Dominique me retrouva à la gare. Prévenant, il porta mes bagages, m’installa à l’arrière. Il me tendit l’habituel masque de cuir et les menottes : Béatrice gardait le goût du secret quant à ses résidences... Je m’aveuglais, m’entravais, et m’allongeais pour le voyage. Une petite heure plus tard, les pneus crissèrent dans une allée caillouteuse. Je fus sortie de la voiture, et guidée le long des marches. Mon masque fut ôté, mes mains libérées. Elle était...
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