Récits
La petite pisseuse
il y a 1 an

La grande passion de Pauline

- S’il te plaît, papa, ça presse ! Mais il a fait la sourde oreille et a continué à engloutir des kilomètres et des kilomètres de Nationale, pied au plancher. - Je peux plus tenir ! Je vais me faire dessus. Il a levé les yeux au ciel, a soupiré, s’est garé à l’entrée d’un petit chemin creux qui allait se perdre dans les genêts. - Et grouille-toi ! Il y a encore de la route à faire. Je m’y suis engagée à la course dans ce chemin, me suis éloignée. J’ai rapidement vérifié que, d’en bas, on ne pouvait pas me voir, je me suis déculottée et je me suis soulagée avec un petit grognement de satisfaction. Pour avoir envie, j’avais envie, ça, on pouvait pas dire. Une véritable cataracte. Interminable. J’ai machinalement relevé la tête et, là, dans les fougères, tout près, deux têtes. Deux types, à plat ventre, un jeune et un vieux, me regardaient tranquillement pisser. J’ai poussé un cri. Je me suis précipitamment redressée. Je n’avais pas tout à fait fini. Les derniers filets son...
Mémoires d'une femme libre
il y a 1 an

En hommage à son Maître.

Au commencement J'ai toujours aimé utiliser les chaises à l'envers. Depuis la fin de mon e n f a n c e ces positions un peu cavalières me troublent délicieusement. Les jambes de part et d'autre de l'assise, les bras croisés sur le dossier, ma petite chatte se sent bien. Au début le simple contact sur le siège à travers mes vêtements me suffisait. Et j'ai vite appris à la frotter discrètement, en particulier sur les revêtements de cuir. Sur ces matières, j'ai compris très tôt que ce serait beaucoup mieux sans culotte. Et je l'ai fait le plus souvent possible, à l'abri de mes belles jupes de jeune fille, délicieusement troublée par la peur de l'interdit. Toutes les deux, nous nous sommes échauffées sûr toutes sortes de chaises, sur des poufs, sur le bord des banquettes, sur les accoudoirs des fauteuils ou des canapés... Aujourd'hui, comme moi, ma petite chatte est devenue grande. Bien écartée, elle adore toujours se frotter partout..., de préférence sur la peau des hommes... De...
Joyeux anniversaire ! Chapitre 3
il y a 1 an

Anniversaire de Régis : Suite et fin

Seul dans le salon, Régis était allongé par terre à se remettre des moments intenses qu'il venait de vivre. Pour son anniversaire, Solange l'avait gâté. Mais cet instant de répit ne dura pas. Au bout de 10mn, la porte donnant vers le couloir s'ouvrit et les 2 voix d'homme se firent entendre. - "Alors, remise ma petite salope ? fit la 1ère voix. - "Ça va être le grand jeu maintenant ma cochonne !" fit la grosse voix. - " Grosse salope de chienne, tu vas te mettre sur la table sur le dos, jambes écartées !" compléta la grosse voix en prenant Régis pour le guider. Régis attendait sagement sur la table. Les 2 hommes semblaient le regarder. La 1ère voix lâcha - "T'es pas mignonne comme ça ma salope, prête à te faire prendre ?". La grosse voix rajoutant : - "Regarde-moi cette grosse cochonne, elle demande que ça de se faire défoncer le cul et de bouffer de la bite ! Et bien tu vas être servie !". Régis compris à quoi il fallait s'attendre. Il sentit le gland chaud de la 1ère v...
fessé pour cause de chomage de Max Horber ( suite)
il y a 1 an

encore un petit extrait

- Allons ! allons ! cessez de vous montrer ridicule. Montrez moi plutôt votre derrière que l'on en finisse et vous pourrez partir. La malheureuse ne bougea toujours pas et l'infirmière renchérit. - Rechercheriez vous une fessée, Mademoiselle ? Y prendriez vous goût en mon cabinet ? - Je crois que c'est ça, Laissez moi m'occuper d'elle. Je prévoyais un peu son insolence et j'ai pris ce qu'il faut pour la mâter. fit la mère… Progressivement, sa mère cessa de la fustiger et lui demanda : - Mademoiselle a-t-elle été bien servie ? - Oh ! oui maman… - Mademoiselle sera-t-elle bien sage et se prêtera t'elle à ce que demande l'infirmière ? - Oui maman… oui… Oh ! mon derrière… - Et bien, tends le, ton derrière. Et écarte bien tes cuisses que ton sexe apparaisse. C'est pour ton bien et ta santé que l'infirmière va t'examiner. Pour examiner, elle examina et, en même temps, comme elle l'avait annoncé, lui reprit sa température, 37°5. Elle sonda et inventoria mêm...
A l'orphelinat
il y a 1 an

Des années difficiles...

Quand mes parents sont décédés, juste avant la guerre, j’avais à peine deux ans et je n’ai évidemment pas le moindre souvenir d’eux. Ni des années qui ont suivi. Tout y est flou. Il me revient parfois des images… Une cour. La façade d’un immeuble. Des soldats, peut-être allemands. Un grand pré. Sans que je puisse vraiment faire le lien entre elles. Mon histoire m’échappe. Mes premiers vrais souvenirs datent de l’année de mes dix ans. Je suis reclus dans un orphelinat, au nord de Lyon. Tout y est gris. Les locaux. Les journées. Les surveillants. Les repas. Heureusement, je vais à l’école. Ce sont mes meilleurs moments. Et de loin. Regagner le centre, chaque soir, est un véritable crève-cœur. Les dimanches, eux, s’éternisent. Les vacances aussi. Quand j’ai quatorze ans, on m’envoie en apprentissage. Chez un boulanger. J’y resterai six mois : il s’avérera que je suis allergique à la farine. S’enchaîneront alors cinq ou six patrons. Dans toutes sortes de domaines. Je serai initié au...
Joyeux anniversaire ! Chapitre 2
il y a 1 an

Régis "goutte" à son cadeau d'anniversaire organisé par Solange.

Régis était à genoux sur le tapis au milieu du salon les yeux bandés. Il était tout abasourdi par ce qu'il venait de vivre. Tout d'un coup, il entendit enfin la seconde voix. " A mon tour, grosse salope ! Tu vas passer à la casserole, sale pute !". Sa voix était plus grave et plus agressive que la première. Une main prit brutalement la mâchoire de Régis et l'ouvrit pour y enfourner son sexe. Régis sentit qu'il était gros et dur, bien chaud, le gland proéminent. Il était plus gros que les godes de Solange. Il devait bien faire entre 4,5 et 5cm de diamètre. Régis se mit à le sucer avec application, craignant cette voix peu amicale. Il attarda sa langue sur la tige afin d'en jauger la longueur. Elle était un peu moins longue que celle de la première voix mais d'une longueur tout de même respectable. Régis la suça avec la même dextérité que sa première fellation. "Mais c'est qu'elle suce bien la cochonne ! Vas-y continu ma chienne !" fit la grosse voix en prenant la tête de Régis et l'...
fessee pour cause de chomage
il y a 1 an

le titre veut tout dire ; ici c est la première version de 1960 notre héroïne ,sans travail accepte un emploi chez une infirmière . bien sur le livre n est pas écrit par moi la suite si ca vous plait

La soubrette ne répondit point et gagna l'office. Je sentis le regard de Gwladys se poser sur mes fesses, - avant de lire mon courrier, je me propose de vous soumettre à un autre test que vous devez connaître, venez vous allonger sur mes genoux. Je n'osais pas discuter et inquiète je me disposais comme elle me le recommandait ; je l'entendis ouvrir un tiroir et la crainte d'une nouvelle fessée me dissuada de tourner la tête. Un léger tintement de verre m'alerta, un thermomètre ! Gwladys se préparait à me prendre la température et ma position par elle-même me laissait deviner où. - noooon madame, je vous en supplie, je ne suis plus une petite fille, je n'ai plus reçu le thermomètre là depuis mes douze ans ! - mais si Sandrine, vous venez bien de recevoir la fessée et je vous assure que votre petit orifice s'ouvrira à la pénétration du thermomètre ; c'est fréquent ici, alors tenez vous Lorsque je sentis qu'elle écartait mes deux globes et que son doigt mouillé se posait su...
ma femme a pu faire caca
il y a 1 an

histoire trouvée sur un site " médical" dont je ne suis pas l auteur

. Il y a 3 jours nous sommes allés chez ses parents et j'en ai profité pour récupérer une boite de suppositoires qui se trouvait dans une boite à pharmacie fixée au mur dans les toilettes. Je suppose que ses parents sont en permanence constipés : j'avais remarqué qu'il avaient des dizaines de boites de suppo à la glycérine dans cette pharmacie. Une fois rentrée à la maison, je dis a ma femme : "au fait es tu allée au toilettes ?". Elle me réponds " non, toujours pas". Je l'informe donc du fait que j'ai récupéré une boite chez ses parents. Elle n'a pas l'ai plus surprise que ça car elle a du voir elle aussi qu'ils en ont un stock conséquent. Mais elle me dit qu'elle préfère attendre demain au cas ou elle irait aux toilettes ce soir. Le lendemain matin après le ptit dèj je lui demande ce qu'il en est et elle me confirme n'avoir toujours pas été aux toilettes ni la veille, ni le matin. Elle me dit " ok, je vais mettre un des suppositoires que tu as ramenés". Etant excitée à l'idée d...
Joyeux anniversaire ! Chapitre 1
il y a 1 an

Solange organise une surprise pour l'anniversaire de Régis, son soumis.

Régis et Solange ont la trentaine. Ils forment un beau couple. Ils sont tous les deux blonds aux yeux bleus avec un teint mat, un corps effilé mais sportif. Au lit, Régis est soumis et Solange sa maîtresse. Chacun s'épanouit dans son rôle. Ils adorent tous les deux les grandes chaussettes. Avec le temps, les pratiques s'enhardissent. Régis finit par porter une cage de chasteté en permanence. Solange le sodomise régulièrement. Chez eux, ils portent en permanence de grandes chaussettes ou jambières s’arrêtant au niveau du genou et un short court. Un jour, Solange demande à Régis s'il ne serait pas contre de se faire prendre par un homme, lui expliquant que cela l'exciterait beaucoup, autant que deux femmes ensemble puissent exciter Régis. Régis, surpris par la question, hésite à répondre. Mais dans le cadre de leur relation domination soumission, il avait appris à ne rien cacher de ses sentiments les plus intimes. - Si le phallus m'attire, l'homme qu'il y a au bout, beaucoup moins ! J...
La secrétaire du directeur de Saint-Patrick
il y a 1 an

A Saint-Patrick on ne plaisante ni avec la discipline ni avec le travail.

J’ai été, près de dix ans durant, la secrétaire du directeur de Saint-Patrick. Saint-Patrick était une institution religieuse mixte qui accueillait des élèves ayant échoué à leurs examens de fin d’études. Leurs parents, rêvant pour eux d’une brillante carrière, tenaient néanmoins à ce qu’ils les obtiennent et étaient prêts, pour cela, à y mettre le prix. Un prix élevé. Aussi s’estimaient-ils en droit d’exiger des résultats. Il y en avait. Grâce à une discipline de fer. On ne laissait strictement rien passer. À qui que ce soit. Tant sur le plan du comportement que sur celui du travail. Les châtiments corporels étaient monnaie courante. Du moins en ce qui concernait les garçons. Les filles, elles, y échappaient. On leur donnait, quand elles les avaient méritées, d’autres punitions, telles que mises en retenue, privation de week-end, travaux domestiques ou devoirs supplémentaires. En ce qui concernait les garçons, c’était le directeur qui officiait. En ma présence. Je faisais en que...
Alpha et Oméga Partie 2, chapitre 3
il y a 1 an

La suite des aventures de Cassandra et sa petite bande

Une semaine plus tard, je recevais un coup de téléphone de Liz, me suppliant de venir avec eux au club, le samedi. Comme d’habitude, je me suis laissé convaincre… Sauf, que je ne faisais que jouer les accompagnatrices. En aucun cas, je ne participerai au show. Je portais donc une petite robe rouge dos nu, cintrée à la taille et des escarpins noirs. Mes mèches de devant étaient retenues par une pince et le reste de ma chevelure était libre. J’étais sagement assise à une table, pendant que Liz et Fitg, étaient partis se préparer pour leur représentation. Enfin sagement... Mes yeux suivaient avec un intérêt certain, l’homme en train de libérer son modèle des cordes, sur la scène. Pourquoi cet intérêt me direz-vous ? Parce qu’il ne s’agit de nul autre que de Luc. Surpris ?? Alors imaginez-moi, quand je l’ai vu monter sur scène sous le pseudonyme de Maître Attila ! Je suis tellement plongée dans ma contemplation, que je ne sens pas la personne arriver à ma table. Je la vois uniquement,...
La vilaine petite camarade (2)
il y a 1 an

Quand le souvenir de la fessée reçue devient envahissante...

Quand ça m’était arrivé, quand je l’avais reçue, cette fessée dans les vestiaires du stade, je m’étais efforcée de ne voir personne, tant j’avais honte. Ça avait été un bloc compact de visages indifférenciés, face à moi, quand je m’étais relevée. Tout juste en avais-je identifié deux ou trois devant lesquels j’avais très vite baissé les yeux en rougissant. Mais maintenant que je m’y étais accoutumée à cette honte, que je prenais infiniment de plaisir à la câliner voluptueusement, la donne avait changé. J’aurais voulu la nourrir de tous ces visages, ma mortification. Savoir à qui ils appartenaient, comment ils avaient réagi, ce qu’ils avaient pensé. Savoir tout sur eux. Absolument tout. Quand je croisais un garçon dans la cour, quand je parlais avec lui, quand mes yeux s’attardaient, en classe, sur la nuque de l’un ou l’autre d’entre eux, je ne pouvais pas m’empêcher de me poser la question. Et celui-là ? Est-ce qu’il avait été là ? Est-ce qu’il avait vu ? Et celui-là ? Et celui-l...
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