Après avoir passé la soirée, ainsi exposée et inexistante, Ma Maîtresse décidera, suivant ses humeurs de prolonger tard dans le nuit, mon statut de mobilier de son plaisir ,sans oublier de resserrer vigoureusement la position en l'agrémentant de sangles nécessaires pour contraindre, coudes et genoux ,en resserrant énergiquement la sangle du baillon et du cache-yeux . Elle vérifiera l'état trempée de ma blouse au niveau de la poitrine provoqué par la bave abondante goûtant en filets gluants de mon bâillon. Elle ajoutera :Voilà, tu es bien comme ça, !!!!! Silencieuse, emblousée et attentionnée, J'aimerai tant n'avoir jamais à te libérer. Quand elle décide d'aller se reposer elle même pour la nuit, elle me détache du mur et me libère des menottes et des chevilles ..j'avoue mettre un certain moment pour me redresser. Je reste parfois de très longs moments ainsi recroquevillée. Je lui demande alors, si elle attend encore quelques services de ma part avant qu'elle ne dispose d...

Il frottait mes tétons. -Ils ne t’ont pas parlé de tes bouts ? Non ? Alors tu vas devoir passer à l’aspiration et aux aspire tétons surement s’ils décident de te transformer en femelle/mâle. Voilà bien autre chose ! Il y en a pour faire ça ? -Tu n’as jamais vu de fille avec de petits tétons et une cage sur le sexe ? Si, sur internet mais je ne veux pas être comme ça ! -Tu sais tu n’auras pas le choix. Arrête, je ne vais pas pouvoir me reposer. -Ok mais t’es prévenu. Il m’a fait une bise sur la joue et il est allé dans la chambre. J’ai arrêté l’eau après l’avoir fait passer dans le tube comme je pouvais et suis sorti me sécher. Je ne voulais pas dormir avec Serge, un garçon et me suis installé sur la terrasse du mieux que je pouvais, me couvrant d’une couverture. L’idée d’avoir des mamelons gonflés m’a empêché un moment de dormir mais j’ai sombré dans un sommeil lourd épuisé par tout ce qui se passait. Je n’ai pas eu le temps de réagir au réveil quand on m’a mis une cagoule sur...

Je viens de m'apercevoir que je n'ai pas fini de raconter l'histoire de proposition et contre proposition. Petit rappel de l'épisode précédent... mon ex épouse ayant besoin d'une aide financière temporaire pour obtenir la location de son nouveau logement a sollicité mon aide. J'ai cru que j'allais pouvoir en profiter pour qu'elle me donne une nouvelle fessée... Elle m'a fait la proposition suivante : si tu m'aides tu auras une bonne fessée mais ce n'est pas moi qui vais te la donner. J'ai voulu savoir qui c'était, elle m'a répondu tu acceptes où pas ? La suite maintenant... Après une nuit de réflexion mon envie étant plus forte que mon appréhension j'ai accepté le deal. Elle m'a dit : c'est mon nouveau compagnon qui va t'administrer la fessée que tu réclames... J'étais surpris, un peu gêné, et j'appréhendais beaucoup. Le jour j, c'était un 14 février, nous avons discuté toute la journée, mon ex épouse m'a demandé de lui montrer mes culottes féminines afin qu'il choisisse cel...

Comme il m'est devenu habituel, les soirées après avoir passé mes journées à servir ma maîtresse, je les passe dans l'ange du salon TV, a genoux, attachée au coin, mains menottées derrière le dos, cadenassées a la ceinture de taille et reliée courtement par un petite chaîne aux chevilles. Ma Maîtresse réuni l'une a l'autre et les cadenasse ,après avoir vérifié que j'ai correctement verrouillé le mousqueton qui scelle mon collier de cuir au piton du mur et que la position restera suffisamment inconfortable . Je resterai là 5 a 6 heures, pendant qu'elle se prélasse confortablement devant son programme, silencieux, baillonné et muet, bateau sur les yeux. Dans ma jolie blouse de nylon a manches longues complètement boutonnée jusqu'au col Claudine ( seules tenues qui me soient imposées en permanence) culotte plastique et couches à méditer sur ce qu'est denenue ma condition et le plaisir que cela lui apporte....

J'ai travaillé avec Bob pendant près d'un an. Nous utilisions des équipements lourds, des excavations pour de nouvelles constructions, des routes, tout ce qui impliquait de déplacer beaucoup de terre. Bob était petit, peut-être 1,70 mètre et plutôt menu. Bob était néanmoins l'un des gars les plus appréciés : bruyant, sexiste, grossier et toujours à l'heure pour faire une blague ou une observation grossière. Bob aimait les filles et pouvait repérer quelque chose qui gigotait dans un pantalon de yoga à un kilomètre. Les petits travaux nécessitaient une équipe de deux hommes. Bob et moi étions souvent envoyés pour les gérer, et nous avons fini par travailler beaucoup ensemble. Cela signifiait passer la nuit dans différentes parties de l'État, jusqu'à ce que le travail soit approuvé par un inspecteur et le chef de projet. Bob et moi avons eu l'occasion de boire beaucoup de bière chaque soir lors de ces voyages, et c'est ce qui a finalement attiré des ennuis à Bob. Nous avions des cha...

Il s’est occupé à passer un genre de graisse autour de mes mamelons avant de mettre en route un appareil. Il a pris un des coupelles et l’a pressé sur un côté, faisant de même sur l’autre côté et j’ai senti la peau de mes, appelons ça mes seins, se tendre. L’air entre eux et la coupelle vidant l’espace. Je ne pourrais plus sortir après ! Je vais faire femelle. -Rassure toi l’effet ne dure pas mais pour nous tu ne dois être qu’une fille avec des couilles. Par contre quand je couperais l’aspiration je mettrais de petits embouts sur les bouts de tétons et là ça va faire un peu plus mal. Lécher une fille ne me gêne pas mais avec ce truc entre les cuisses je ne leur ferais pas mal ! -Mais elles ne sont pas là pour avoir mal avec toi. Nous oui. Toi tu seras juste là pour lécher et te faire mettre comme une lopette soumise. Je te montrerais tout à l’heure, tu baves déjà du tube en inox. Je monte chercher Gael qui vas te faire penser à autre chose pendant que les mamelons enflent un peu....

Il a glissé ma bite dans l’anneau, c’est passé facile avec le sperme qui avait coulé et il a bloqué le tube par une serrure adaptée et la clef. -Dans deux ou trois jours tu pourras te promener dehors, pas nu mais avec les fringues qu’on te donnera. -Vous vous êtes tous vidés ? Je vais le ramener au chalet. Le collier est muni d’une puce et il ne sortira pas loin nu sans que je le sache. Il a détaché la laisse. On rentre lopette. J’ai passé la main mais n’ai pu que toucher mes couilles et entre mes fesses je glissais dans leur jus, mon trou n’était pas refermé entièrement mais il me cuisait. Mon doigt pouvait passer facilement. Serge attendait à la porte. Alan m’avait laissé. -Tu as mal ? Devine ! Ces mecs sont des bêtes et ne pensent qu’à leur plaisir. -Viens je vais te laver. Sans t’embêter. Je me suis mis sous la douche, l’eau à température m’a décontracté, Serge passait l’éponge avec du savon et quand il est passé entre mes fesses j’ai serré les dents. -Oh mince...

J'étais nue, habillée simplement de ma cage et du collier relié à sa cheville par la laisse. Le nez dans ma gamelle, je finissais les restes qu'Elle avait bien voulu me donner. Je ne la connaissais que depuis quelques heures et j'étais déjà sa chienne, à ses pieds, à ma place. Après avoir vérifié que j'avais correctement fini mon repas, Madame a décidé de me punir pour une faute de langage commise dans nos échanges par mails. Cette erreur allait me valoir ma toute première punition. Elle a tiré sur ma laisse et j'ai marché, à quatre pattes, jusque dans la chambre. Elle s’est assise au bord du lit, a mis ma tête sur ses cuisses et, tout en me caressant le visage, Elle m’a calmement dit « Ne m’appelle plus jamais "Maîtresse". Pour toi, et jusqu’à nouvel ordre, je suis "Madame", juste "Madame". Et si tu me satisfais assez, si tu deviens une bonne chienne, alors peut-être qu’un jour, tu pourras m’appeler Maîtresse, mais ça sera quand Moi je l’aurai décidé. Pour faire rentrer cette le...

Je n’avais pas beaucoup de liberté de mouvement, la barre était longue de cinquante centimètres et la chaîne avait une petite longueur. Une fois Alan parti avec les autres manger, Serge s’est approché de moi. - Tu ne t’es jamais fait de lavement ? Une fois quand j’étais môme ma mère m’en a fait un, j’ai détesté garder le liquide dans mon ventre. - Je ne parle pas de ce genre mais pour te nettoyer l’intestin. Jamais ? Non. - Tu as compris ce qui t’attendait après leur repas je suis sûr.Je me doute mais je vais gueuler, je ne suis pas comme toi. Désolé pour toi. - Il n’y a pas de mal. Mais imagine qu’ils aient picolé et qu’il te fasse sucer après ! Il vaut mieux être propre dans le cul. Ils feraient ça ? - Oh que si ! Ils vont te rendre femelle tu verras. - Bon et comment je fais moi pour me faire un lavement ? - Je vais t’aider. Il a pris ans une armoire de toilette une poire assez grosse avec un petit embout. Il l’a remplie d’eau tiède avant de me demander d’...

-Voulez-vous de l’aide ? Passer l’éponge sur votre dos par exemple. Devant son insistance j’ai fini par accepter mais que le dos et d’attendre que je lui dise. Une fois les cheveux mouillés et le shampoing ajouté j’ai frotté, l’eau coulait délicieusement chaude. Je les ai rincés mais déjà Serge me caressait le dos avec son éponge, sans attendre. Depuis toujours, à part quelques aventures avec des nanas de rencontre, il était le premier à le faire et de façon si sensuelle. Bien sûr j’ai bandé mais quand il a voulu me toucher j’ai arrêté sa main. Non Serge tu es gentil mais pas là. Il m’a frictionné, frotté le dos avant de me tendre un peignoir ou plutôt une veste d’intérieur courte. Tu ne peux pas me passer mes fringues ? -Non, Alan a fermé les armoires à clé en partant. Tu veux dire que je suis forcé de rester nu ou avec cette veste. -C’est la règle ici oui. Vous verrez bien ce soir. Bah, tant que je reste ici mais pour sortir dans village, dur quand même. -Alan ne vo...

J’avais au printemps dernier programmé un voyage à l’étranger, au soleil pour tout dire quand quelques jours avant mon départ mon adjoint tomba malade. Ce voyage ne pouvant être décalé dans le temps il fut alors décidé que c’est une de mes collègues fraîchement recrutée qui pendant mon absence assurerait l’intérim à la tête de mon service. Je partis donc comme prévu pour une petite semaine de vacances bien méritées après lui avoir laissé toutes les consignes nécessaires. A mon retour, catastrophe nous étions sur le point de perdre un gros, très gros client. Sylvie pour se défendre avait prétendue n’avoir aucunes consignes à son sujet et ma position s’avérait très délicate.Fort heureusement, connaissant personnellement ce client je pu éviter qu’il ne claque la porte, voulant également éviter à Sylvie qui n’avait pas encore totalement faite ses preuves dans notre société d’être remerciée, je ne parlais pas des consignes laissées. Ce qui me valu une prime perdue et un salaire gelé....

Sur le bord du lit, des coussins empilés doivent être en nombre suffisant. Pour vérifier je m’assois dessus, tant que mes pieds touchent le tapis au sol cela n’ira pas. Encore trois autres que je récupère discrètement dans la deuxième chambre. Lény qui prépare un repas rapide ne doit pas savoir, enfin pas avant le dernier moment. Ce soir nous allons nous divertir, une partie de sexe version sport et exaltation. Et c’est moi qui ai gagné la main, le rôle de meneuse. Je dissimule les coussins dans le placard, laissant les deux seuls habituels du lit, et descends dans la cuisine. Face à mon compagnon je ne cache pas mon plaisir d’avoir prévu une nouveauté, il a forcément observé un sourire en coin allumant mon visage. Je m’installe à la table où le couvert est déjà prêt, Lény finit de cuisiner. Même si le leader du jour ne régit pas de tout durant nos abats, il propose les lignes principales, les jeux, quand cela débute et se termine. Il doit s’assurer de satisfaire les désirs des deux...