Nous voici donc Dimanche, et Maitresse S à décidé que finalement elle ne voulait pas de moi dans la chambre, elle m'as donc descendu et j'ai passé ma nuit dans la cage pour chien. Le jour se leva, et j'attendais avec impatience que ma Maitresse vienne me libéré. Toujours en chasteté, mes chevilles liée, mes mains menotté dans le dos je ne savais pas faire grand choses comme mouvement, surtout coincé dans cette cage. Enfin Maitresse S se leva, elle avait le cheveux mouillé, je compris donc qu'elle avait pris sa douche avant de descendre, surtout qu'elle est descendue complètement nue, voir toutes les courbes de son corps la silhouette de magnifique seins, c'est à ce moment que je me rend compte que j'étais toujours en chasteté car mon érections poussa fort celle-ci. Dans un premier temps, Maitresse S ne s'occupa pas de moi, elle déjeuna sans se préoccuper de moi, toujours dans ma cage. Une fois finit, elle vient vers moi toujours aussi nue, et mon excitation repartait de plus belle...

Il y a quelques temps j'étais assis sur le canapé de notre salon d'où j'ai envoyé un SMs à Femme qui bossait dans son bureau situé dans une pièce voisine de notre maison. Je lui ai écrit : "Je suis TA putain" Puis j'ai attendu assis les yeux bandés, au bout d'un quart d'heure je l'ai entendu arriver... Elle s'est postée devant moi, à ouvert ma chemise et s'est déchainée sur moi... Elle m'écrasait la queue avec son genou tout en pinçant, suçant, mordant mes tétons... Parfois Elle m'embrassait en me mordant les lèvres ou la langue... Elle me griffait le ventre et le dos et repoussant toutes mes tentatives de la toucher... à plusieurs reprises Elle m'a présenté son pouce ou son majeur devant mes lèvres, et je me suis appliqué à les sucer comme si c'était une queue. Elle a fini par ouvrir les boutons de mon jean et a dit : "une culotte rouge, j'en étais sûre, sale pute..." et a commencé à serrer ma queue et mes couilles entre ses ongles... je lui disais qu'Elle pouvait faire ce qu'E...

John était assis dans sa voiture, les nerfs en émoi, mêlés d'excitation et d'appréhension. Son téléphone vibra de nouveau et il ne put s'empêcher de sourire au message enjoué de Rachelle, qui déclencha en lui un frisson familier. « J'ai hâte de te voir ce soir, mon pote. Souviens-toi de ce que tu es censé porter sous tes vêtements. Retrouve-moi à l'hôtel, chambre 110. » Elle a ensuite envoyé une photo incroyable d'elle sur un lit d'hôtel en lingerie rouge moulante. John est immédiatement devenu dur dans sa ceinture de chasteté. D'un souffle calme, John ajusta sa chemise, conscient de la délicate dentelle de la lingerie rose et de l'étreinte ferme du dispositif de chasteté caché sous son pantalon. Chaque mouvement lui rappelait sa soumission aux désirs de Rachelle, le désir de lui faire plaisir animant chacune de ses actions. En sortant de sa voiture, John entra dans le hall de l’hôtel, conscient des regards curieux qui le suivaient. Il s’approcha de la réception d’un pas assur...

Lucas attendait avec impatience le barbecue de ce soir-là, une impulsion d’excitation le parcourant alors qu’il choisissait sa chemise et son pantalon les plus élégants, s’assurant que chaque détail était parfait. Il prit son temps, lissant soigneusement le tissu avant de chercher son eau de Cologne, dont l’odeur subtilement enivrante flottait dans l’air. Il savait qu’il devait faire bonne impression ce soir-là – après tout, Klara serait là. Klara était bien plus qu'un simple coup de foudre ; elle était une vision de la perfection aux yeux de Lukas. Sa beauté allemande était indéniable : des cheveux blonds et doux qui tombaient en cascade dans son dos, des yeux qui brillaient de chaleur et un sourire qui pouvait illuminer une pièce. Mais ce n'était pas seulement son apparence qui le captivait. Klara était l'incarnation de la gentillesse, sa nature douce et son âme bienveillante se reflétaient dans la façon dont elle prenait soin de chaque créature vivante. En tant que vétérinaire...

C’est l’esprit embrumé que j’écris ces lignes que je n’arrête pas de supprimer. Alors que tout était clair quelques secondes plus tôt, je me perds dans un flot. Flot de pensée parasite et, j’hésite, ou je peine à me souvenir. Mon esprit s’emballe, et me replonge dans mes démons. Ceux que je fuis quand nous dormons et qui réapparaissent le matin et me font front. Alors que je retombais sur ma première annonce, j’observe celle, qui, malgré elle en est devenue l’actrice principale. L’ironique ces premières lignes écrites, j’en souris. Cette reine, cette impératrice de mes peurs qui sommeil dans son cœur. Je relis alors la fin de mon annonce, pas par nostalgie, mais en réponse. Réponse à cet esprit parfois trop perfectionniste, refusant de s’abandonner, de profiter, cet esprit rationaliste qui analyse sans cesse. Il cherche. Quoi ? Me direz-vous, et je vous répondrais que c’est tout l’intérêt de ces entrées. Je crois qu’il est temps, temps de hausser le niveau de jeu. De perdre réellement...

La journée a été assez rythmée avec de petites disputes entre ma plus grande fille et mon fils mais s’est finalement bien passée. J’ai appris à mes dépends qu’un orage peut faire son apparition en quelques secondes et gravement influencer nos petites soirées BDSM. Je reste très attentif au comportement de mes enfants pour ne pas laisser une petite chamaillerie prendre de l’ampleur. Nous profitons de nos derniers jours de vacances en famille, l’ambiance est plutôt sereine. Depuis quelques jours, je suis très occupé car Maîtresse m’a demandé d’apprendre à cuisiner. Elle souhaite manger des bagels et terminer le repas par son dessert favori, des Mochis. Depuis que l’on joue avec la chasteté, je suis devenu beaucoup plus serviable et je m’occupe déjà du repas du midi. Là il s’agit pour moi de dépasser mes limites car sa demande est beaucoup plus pointue. J'ai trouvé plusieurs recettes. Les bagels ont l’air dans mes cordes donc je ne m’en inquiète pas trop et je me concentre alors sur le...

La venue de S S est une travestie très crédible qui postulait pour faire Sissy et ménage. Elle était convoquée pour son entretien d' embauche à 12h15 et est arrivée à l' heure. Son CV atteste de sa passion puisqu' elle a servi depuis 2001 chez plusieurs Maîtresses professionnelles à la fois comme bonne ménagère et également comme servante sexuelle fessée, fouettée sodomisée etc. Pour cela elle s' est formée, comme elle l' écrit sur le tas, mais aussi en consultant des sites de tâches ménagères et des tutos pour les services sexuels Son PROJET PROFESSIONNEL : Devenir une soubrette parfaite, docile soumise et très salope, prête à tout pour les service de son propriétaire ; Comme nous l' avions convenu, elle s' est changée dans une première pièce et s' est présentée à l' entretien en tenue de soubrette, tablier court sur une toute petite robe noire, maquillée et rouge à lèvres, bas résille noirs et chaussure talons hauts. Une jolie Sissy. J' ai vérifié qu' elle ét...

C’est arrivé il y a quelques années… c’est Emi une complice de longue date qui avait tout organisé (manigancé ?)… Elle m’avait demandé de trouver un mec « comme moi » (soumis, ayant des envies bisexuelles et aimant se travestir…). Je suis donc parti « à la chasse » sur différents sites. Après différentes prises de contacts infructueuses, je suis tombé sur Peggy un mec « comme moi » qui cependant disant être plus « polyvalent » que « soumis »… je lui ai exposé la situation : j’ai une amie (Emi) qui souhaite m’organiser un RDV avec un mec… il avait vu mon annonce et mes photos et semblait donc OK… je l’ai donc présenté via email à Emi et à partir de là je n’ai plus eu de contact avec lui… Quelques jours plus tard, Emi m’a donné l’adresse d’un hôtel Porte d’Orléans, je devais m’y rendre un jour donné à 14h00… le jour dit durant le trajet entre chez moi et l’hôtel j’ai eu Emi au téléphone qui m’a donné le n° de la chambre et quelques info supplémentaires… Je devais avoir confiance et ob...

En juin de l'année dernière, nous étions en déplacement en province et je dormais à à l'hôtel... parfois seul(e), parfois avec ma Femme qui avait des choses à faire de son côté... Toutes les nuits je dormais en nuisette, que je devais laisser accrochée en évidence dans la salle de bain à la vue des Femmes de chambre... Lorsque ma Femme n'était pas là, en rentrant le soir je mettais des bas et mes cuissardes, puis je posais les pinces avec les poids sur mes tétons pour la soirée et je devais regarder des films SM en me masturbant sans éjaculer... Lorsque ma Femme était là, en sa présence j'étais sois complètement nu ou en nuisette... le soir, Elle me mettait mon collier, je devais lui longuement masser les pieds... le matin nous allions prendre le petit déj ensemble, j'avais toujours la queue attachée... là nous croisions et parlions avec des gens que nous connaissons... puis je remontais toujours avant Elle... quand 20 ou 30 minutes plus tard Elle rentrait dans la chambre Elle me...

En septembre 2021, Ma Femme avait finalement (re)pris les choses en main et recommencé à me Dominer au quotidien... Oh Elle ne me Dominait pas comme dans les magazines, on ne vit pas dans un film porno H24, Elle n'est pas bardée de cuir ou de latex en permanence, Elle ne porte pas de talon aiguille... Non, Elle me Dominait "pour de vrai", toujours avec bienveillance, dans la vraie vie... ici pas question de "séances" au coup par coup... non, mon "appartenance" (terme plus adéquat que "soumission") se conjuguait naturellement à notre vie de tous les jours... Tout a (re)commencé le jour où, à l'issue d'un déjeuner, Elle s'est levée pour venir dans mon dos pour me dire "j'ai des projets pour nous... désormais, puisque je sais que c'est ça que tu attends tu es MA pute, c'est MOI qui décide..." Depuis Elle n'était pas revenue en arrière, et nous avancions ensemble dans cette relation qui a sans doute sauvé notre couple... Elle n'était pas tyrannique ou injuste, par contre Elle est TRE...

Quelques amis m'aident à mettre ma belle poupée dans sa boîte de transport. Du latex noir brillant de la capuche pleine avec un bâillon à pompe respiratoire comme seule chose visible, le haut col en acier poli qui maintient si fermement la tête, la peau en latex noir brillant qui ne se brise que par l'effet de traction du corset en cuir et les bottines noires qui ornent les pieds. Nous la déposons soigneusement dans le rembourrage en caoutchouc mousse et attachons les sangles pour qu'elle ne roule pas pendant le transport. Vissons le couvercle et ce n'est qu'une longue boîte en bois étroite, complètement innocente avec un contenu qui me plaît. Très. Avec un sourire, je mets les prises télécommandées et mets le vibromasseur sur un programme bas et doux pour que je sache que la poupée fonctionne mais pas plus. Près mais loin. Les écouteurs de la poupée crépitent sous la peau en caoutchouc. - Cela prend probablement deux heures, esclave, putain, alors... Mets-toi à l'aise. Ce qu'...

C’est elle qui choisit. Toujours. Depuis l’hôtel où nous sommes en vacances. Depuis la fenêtre de notre chambre, là-haut, qui donne sur la plage. Elle braque les jumelles sur la rangée de parasols et cherche. Droite. Gauche. Encore. Gauche. Droite. Finit par rendre son verdict. - Le grand brun. Troisième transat en partant du bout. Tu vois ? Je vois, oui. Elle me confie les jumelles et elle descend. Maillot de bain deux pièces affriolant. Elle ondule des fesses jusqu’aux transats. S’installe dans celui qui se trouve à la gauche du type qu’elle a choisi. Il lui jette un bref regard de côté. Elle l’ignore superbement. D’autres regards. Elle le laisse faire. Elle le laisse en profiter. Un bon moment. Et puis, elle se lève. Elle va vers la mer. Lentement. Très lentement. Il la suit des yeux. Il la boit des yeux. Elle s’aventure dans l’eau. Du bout du pied. Un peu plus loin. Un peu plus loin encore. 2- À moi de jouer. À mon tour, je descends. Je viens occuper l’autre transat, à...