Récits
La revanche des filles 1 sur 6
il y a 2 ans

ABDL féminisation régression

Chapitre 1 Alex n’arrivait pas à s’adapter à la vie en pensionnat. Jusqu’il y a un an il vivait seule avec son père George et ils menaient leur petite vie à deux, bien protégé du reste du monde. Il était fort timide et avait très peu de confiance en soi. Sa mère les avait quittés peu après sa naissance et Georges mettait la timidité de son fils au dos de l’abandon maternelle. Il essayait de compenser au mieux en l’entourant de son affection et son amour. Georges était un type jovial, un peu rude, avec un grand cœur. Sa façon de montrer son amour était de traiter son fils comme un ami, l’emmenant aux jeux de foot, suivi des sorties avec les copains. Il ne comprenait pas que cela intimidait son fils qui devenait de plus en plus timide. George était un bon vivant, extroverti, qui aimait la bonne bouffe, les buveries avec les copains, mais surtout il aimait les femmes. Avant de connaître la mère d’Alex il avait déjà été marié et avait eu une fille avec sa première femme. Quand son...
Surprise, délices et peurs
il y a 2 ans

Féminisé par sa femme devenant TRES perverse

Les petits garçons se demandent ce qu'il peut bien y avoir dessous, les a d o l e s c e n t s la découvrent le cœur battant dans les catalogues de vente par correspondance, les jeunes filles attendent avec impatience d'avoir l'âge d'en porter et les femmes se ruinent pour elle.... Quand aux hommes, elle les fait fantasmer tout simplement. Vous l'avez compris, je parle de la lingerie ! Depuis quelques années, la société évolue, les mœurs se libèrent, les hommes osent la porter discrètement cachée. Oui, je suis un passionné de lingerie. J'aime la regarder dans les magasins, la toucher, l'offrir, la voir portée et fantasmer sur l'idée d'en porter. Le fantasme n'aurait pas de charme s'il n'y avait pas la tentation d'y succomber. Un samedi, ma tourterelle s'est absentées la journée, pour une sortie où j'ai refusé de l'accompagner parce que faire 300 kilomètres pour aller voir une chorale amateur massacrer du Mozart ne m'attirait pas du tout. Profitant de cette aubaine, je me sui...
Sévères déculottées devant un public féminin
il y a 2 ans

Fessée humiliation et discipline du jupon

J’ai grandi dans le Sud de la France, dans un territoire très rural à la fin des années 70. Même si les pratiques d’éducation avaient évolué, les punitions corporelles demeuraient encore bien présentes que ce soit dans les familles ou dans les écoles où le statut et le rôle des enseignants étaient encore très respectés. Comme beaucoup d’entre nous, j’ai connu une éducation stricte et les châtiments corporels ont accompagné mon e n f a n c e et ma jeunesse. Mes parents croyaient dans les vertus des fessées à la main et au martinet. Au quotidien c’est surtout ma mère qui me corrigeait. Elle estimait qu’une bonne dose de honte est le complément indispensable d’une correction. C’est ainsi que la plupart de mes fessées dûment déculottées eurent lieu en public (devant la famille, des amis, voire de simples connaissances du village), et plus particulièrement en présence d’un public féminin. Pour accroître mon humiliation ma mère m’habillait parfois en fille et autorisait d’autres femme...
Souvenir d’une double déculottée maternelle
il y a 2 ans

Fessées l’une après l’autre

Durant des vacances estivales, ma sœur Camélia et moi eûmes la mauvaise idée de désobéir à nos parents. Maman dut sévir et nous déculotta pour nous fesser l’une devant l’autre. Ces fessées eurent lieu un bon mois après celle que je reçus pour une bêtise avec des copains de mon quartier. Ma sœur et moi étions seules l’après-midi à la maison, nos parents travaillant au salon de coiffure et nos grandes sœurs parties en balade avec des copines. À 8 et 9 ans nous étions déjà grandes et suffisamment autonomes pour nous amuser à jouer à la poupée, à dessiner, à lire ou à nous raconter des histoires. Nous aimions aussi jouer aux jeux-vidéos. Or Maman était assez stricte sur le temps passé devant l’écran, mais une fois lancées, nous avions du mal à décrocher et les heures pouvaient filer. Aussi, nos parents nous avaient grondées à cause des abus et avaient décidé de confisquer les manettes durant leur absence. Comme nous nous retrouvions seules, nous en profitâmes pour tenter de récupé...
Manque d'inspiration
il y a 2 ans

Un peu de bondage donne l’inspiration

Au bas mot, ça faisait quarante-cinq minutes que j’attendais en écoutant leur flot ininterrompu de jacassements traverser le mur, à croire qu’elles étaient là toutes les deux dans la chambre, ou que moi j’étais avec elles dans le salon, attaché sur ma chaise comme un meuble décorant la pièce voire complètement invisible. Une belle auréole s’était formée sur mon t-shirt: Sandra avait choisi le bâillon-boule blanc, le plus gros qu’on ait, si bien qu’un filet de salive dégoulinait régulièrement de ma bouche et que j’étais bien incapable de le retenir malgré mes efforts. C’est ce que j’aimais le moins dans nos jeux et que j’essayais d’éviter lorsque c’est moi qui avait le dessus, cette déchéance physique - oui, je sais: le mot est fort - quand on ne contrôle plus son corps, typiquement quand on se met à baver partout ou... Je me rappelle d’un jour où elle m’avait enfilé une couche pour adulte avant de me ligoter et obligé à boire presque un litre d’eau. Et ressenti une telle humilia...
Réseaux sociaux et l’enfer de la prostitution et de la drogue
il y a 2 ans

A mi-chemin entre le policier, le thriller, l’érotisme et le hard, ce récit aux rebondissements multiples vous entraînera dans les bas-fonds de ce monde.

##### A mi-chemin entre le policier, le thriller, l’érotisme et le hard, ce récit aux rebondissements multiples vous entraînera dans les bas-fonds de ce monde. Outre le plaisir de lire ce type d’histoire, les parents devraient prendre le temps de s’enrichir de certaines informations qu’il contient. Leurs e n f a n t s pourraient (hélas) être un jour pris dans cette tourmente. Grisant, inquiétant, pédagogique, affolant ! ..................................... Avec ses yeux bleus à faire fondre les curées et les nonnes, à 18 ans, Alice est une très belle jeune fille. Un véritable cachou d’amour à mi-chemin entre Marilyn Monroe et l'actrice sud africaine Charlize Theron en modèle réduit. En effet, sans être maigre, malgré une poitrine un peu généreuse, sa taille fine donne l’impression qu’elle a 15 ou 16 ans. Insouciante, un peu fofolle parfois, cette boule d’énergie positive est toujours souriante, pleine de vitalité. Chaque jours que dieu fait, ses parents la badent...
Réseaux sociaux et l’enfer de la prostitution et de la drogue 2
il y a 2 ans

L'enfer continue

Le lendemain, Danny maintenant du côté de la Porte de la Chapelle et retrouve le dealer. Pour l’aider à parler, il déchire un billet de 500 euros en deux et lui en donne la moitié en lui indiquant que l’autre moitié lui sera donnée si il lui indique où il peut acheter de jeunes filles pour son patron. Le dealer finit par lui donner une piste, Danny lui répond qu’il va aller voir et, si la piste s’avère bonne, il repassera lui donner l’autre partie du billet. Le ton monte, deux guetteurs viennent prêter main forte au dealer. Il leur conseille alors de rester en dehors de ça, l’un d’eux sort un couteau et devient menaçant. Mauvaise idée ! Son bras armé est écarté en une seconde et utilisé pour le propulser face contre un mur. La rencontre brutale, lui fait pousser un cri. Le nez du second venu lui prêter main forte éclate sous un coup de pied porté, un second le propulse dans des conteneurs de poubelle. Très courageux, le dealer prend ses jambes à son cou, laissant ses acolytes en pe...
Hélène impuissante
il y a 2 ans

Sortie impossible d’un selfbondage

Il y a de nombreuses années, je suivais un cours de cinq semaines dans le sud de la Virginie. Parce que ce serait si long et que les chambres de motel me parvenaient dans quelques jours, j'ai loué une petite kitchenette dans un vieux motel sur l'ancienne autoroute 1. En plus d'être plus pratique et plus grand, cela offrait également de l'intimité; aucun de mes camarades de classe n'a voulu "aller là-bas". Ce dernier est probablement la vraie raison pour laquelle je suis resté là-bas. Ce n'était pas luxueux mais avec un service de femme de chambre tous les samedis matin, c'était propre et très intime. Un samedi soir, j'ai décidé de prendre moi-même quelques photos en bondage. L'appareil photo et le flash étaient placés sur un trépied et une ampoule à déclencheur prolongé de 6 mètres fixée à l'appareil photo et positionnée sur le sol où j'étais allongé. Ma tenue était toute blanche, un soutien-gorge 36D bien garni ; un serre-taille autour de ma taille la ramenant à 66 centimètres...
Idées farfelues
il y a 2 ans

Une petite prise de conscience que j’ai eue aujourd’hui, sur ce que je souhaiterai trouver en ce moment…

Je suis passif. Je suis « kinky« . Je suis soumis, ou plutôt j’aime être contraint de me soumettre. J’aime être humilié, sexuellement. J’aime être attaché, bâillonné red préférence avec un slip bien cartonné de mon partenaire) avoir les yeux bandés, les couilles attachées, étirées, avec un gros plug ou gode en place, dans mon cul, et une couche humide par dessus. J’aime être « gentiment » t o r t u ré (couilles, fouet, cire, electro-stim, fuck-machine…). Mais voilà: trouver un Domi qui partage tout ça, qui comprenne où je veux aller où où je veux qu’on me f o r c e à aller, ce n’est pas simple. Alors j’ai eu cette idée, pendant que je me mettais un plug electro dans le cul, une électrode sur la queue à l’intérieur de ma cage de chasteté, ma couche humide d’hier par dessus, le slip laissé par mon dernier partenaire dans la gueule, maintenu par de l’adhésif bien serré, que je m’attachais cuisses bien écartées sur mon lit et allumait mon boîtier electro, pour la soirée… Pourquoi...
Ce soir
il y a 2 ans

Pour être tranquille, attacher son mari ? Pas sûr

Ce soir, il est prévu que nous passions la soirée ensemble. Je suis allé à ton appartement, un grand studio dont tu m’as donné une clé. J’y suis depuis 19 h, après avoir fini ma journée au bureau. Tu n’étais pas là quand je suis rentré, sans doute retardée à l’IA. Mais j’espère secrètement que tu es en retard parce que tu m’as préparé une surprise … Mon imagination me fait croire qu’il s’agit de quelque chose de croustillant, pour assaisonner un jeu que nous allons jouer toi et moi tout à l’heure … En attendant, je m’allonge sur ton lit et allume le poste de télé tout en parcourant la presse du jour. Le temps et les minutes s’écoulent … Toujours pas de Sandrine … 19 h 30 … 20 h …. Rien … ! Pas d’appel sur mon portable …. Petit à petit, je sens l’agacement me monter à la tête, car je n’ai aucune patience lorsqu’il s’agit de mon plaisir. Je commence à ronchonner après toi, t’accusant précisément de me négliger ce soir, alors qu’il était prévu que nous passions du temps ensemble …...
Aile cassée, première partie.
il y a 2 ans

Pour lire il faudra avoir l'esprit ouvert, c'est beaucoup du fantastique. Je voulais faire une histoire complète, mais j'ai pas le temps d'écrire la suite, elle viendra plus tard, enfin, si le début vous plait. L'histoire d'un amour en sens unique.

Sur une nuit épaisse couverte de fumée. Une ville en feu, semble créer une lumière apocalyptique. Une grande désolation règne, une guerre entre des créatures, à tous détruis. Des ombres volantes, telles que de grands nuages noirs, tournoyant aux dessus de la ville en feu, comme des indiens sur leur totem dansent. Des apparences de démons se dessinent peu à peu, rigolant de leur œuvre. La porte de l'enfer serait-elle ouvert ? Aux pieds d'un brasier, où la chaleur semblent suffocante, une personne blessée avec un sabre de feu à la mains, se tient. Visage ensanglanté, regardant le ciel d'un air indifférent, mais concentré. De son œil droit fermée, coulant le sang, indiquait l’œil toucher, par la violence de ces combats. Dans ce chaos on devine qu'il a livré une bataille difficile, et perdu d'avance. Cependant, il reste debout malgré ses blessures graves, qui par sa tenue, lui donne l'apparence d'être inexistant, comme insensible à la douleur. Regardant s'éloigner la horde de démons qu...
Mes trois amantes
il y a 2 ans

Une petite histoire érotique de jeux saphiques

Jusqu'à il y a peu j'étais quelqu'un d'assez conformiste. J'étais sans doute un peu prude surtout quand je me comparais à certaines de mes amies. L'idée d'une partie à quatre avec des femmes me trottait dans la tête depuis longtemps mais je n'osais pas. Pourtant mes trois meilleures amies étaient ouvertement bisexuelles. Et elles étaient sacrément bien foutues par dessus le marché. Mais c'est parfois au moment où l'on s'y attend le moins que surviennent les meilleures surprises. L'imprévu dans ces situations apporte toujours du piment. Fautes de temps, je trouvais toujours un prétexte pour repousser cette expérience. Quand ce n'était pas mon fils qui était malade, c'était mon mari Stéphane qui était à la maison et qui avait invité ses collègues de travail à venir voir un match de football à la maison. Cela devenait d'un gênant. Le hasard faisant pour une fois bien les choses, mon fils était en vacance chez ma belle-mère et mon mari était en voyage d'affaires. Enfin seule, je déc...
Publicité en cours de chargement