Récits
La soumission de Sophie 08
il y a 3 ans

Soumission et esclavage entre femmes

[Le début de ce roman est ici](https://fessestivites.com/recit/177158) Avant même que les coups recommencent à brutaliser mes tétons, je sens une larme couler sur ma joue. Mon corps sait, inconsciemment, que les prochaines minutes vont être un cauchemar, mais mon esprit reste concentré sur les raisons pour lesquelles je l’accepte. Les coups commencent à tomber, j’essaie de me contenir, je pense y parvenir, malgré la souffrance. J’avais déjà oublié à quel point la douleur était intense. Je suis heureuse de ne pas avoir à compter les coups, juste rester silencieuse et immobile. J’essaie de penser à Ilaria, de prendre exemple sur elle qui, hier, lorsqu’elle était punie, restait immobile, silencieuse, acceptait complètement sa punition en montrant uniquement des larmes sans aucun bruit. Mon visage, de plus en plus mouillé par les larmes, se crispe, je force de plus en plus pour garder mes yeux fermés, cela devient de plus en plus difficile de rester immobile. Je n’ai aucune idée de...
Ile d'Hélène
il y a 3 ans

Histoire vraie de bondage et TV

J'aimerais vous parler d'une expérience très effrayante que j'ai eue. Peu de temps après que mon intérêt pour le bondage à la télévision soit devenu très fort, j'ai ressenti le besoin de photos de bondage en extérieur. Ma femme ne participe pas, donc tout mon esclavage est auto-appliqué. L'emplacement était le sud de l'Alabama au milieu des années 60. Vous ne vouliez pas vous faire prendre parce qu'il n'y avait pas de libéraux en Alabama à cette époque. Les plans étaient tous faits, c'était un jour de semaine, donc les e n f a n t s étaient tous à l'école et la saison de chasse était fermée. L'emplacement était une île fortement boisée sur une rivière sinueuse peu profonde entourée de bois afin que personne ne se promène dans la région. Tout était parfait et sûr. J'ai roulé aussi près que possible dans mon camping-car, puis je suis allé à l'arrière pour mettre mon soutien-gorge, mon serre taille, mon porte-jarretelles, mes bas et ma culotte, puis mes vêtements masculins par-dessus....
Souvenirs « brûlants » de vacances en France
il y a 3 ans

Les fessées d'une autre époque

Je suis l’aîné d’une famille vivant en Afrique dans les années 50 où nos parents (médecin et infirmière dans les colonies de l’époque) étaient très pris à l’hôpital. Pour aider notre mère, dès qu’elle fut à la retraite, sa sœur aînée, enseignante et célibataire, vint s’installer à la maison et c’est elle qui nous a vraiment élevés mes deux sœurs et moi. Elle était très sévère et filles et garçon étions soumis aux punitions corporelles avec la même rigueur. J’étais un garçon timide et plutôt rêveur et, seul parmi ces filles, ma tante disait souvent en plaisantant qu’elle avait trois fillettes à élever. Chaque été pour éviter la chaleur des tropiques, nous passions avec elle nos vacances d’été en Savoie où nos parents louaient un chalet. Et le martinet familial faisait lui aussi partie du voyage… À l’époque de ce récit, j’avais 14 ans et mes sœurs Hélène et Martine, respectivement 13 et 10 ans. Étant scout, j’avais fait la connaissance d’une troupe de scouts qui campaient...
Spectatrice involontaire mais ravie !
il y a 3 ans

Le plaisir de voir les autres prendre une fessée

Me croiriez-vous ? L’une des fessées les plus mémorables que je garde en mémoire est celle dont je fus… non pas la patiente douloureuse, mais la spectatrice ravie ! Quelle veine… pour une fois ! C’était en 1964 à la fin de l’école primaire lorsqu’il me fut donné de voir la terrible Miss Perth de la classe supérieure en train d’administrer une correction à une grande élève qui lui avait désobéi. Je m’étais mal conduite la veille en classe et la maîtresse m’avait punie de récréation pour le restant de la semaine. Au lieu de cela, je devais travailler en retenue dans la salle d’études. Sur le mur du fond de la salle d’études il y avait une sorte de petit vasistas qui permettait d’aérer une autre petite pièce qui tenait lieu de réserve. Comme j’étais en train d’apprendre une leçon, j’entendis la voix de Miss Perth dire : « J’ai été trop patiente avec vous, ma fille ! Vos insolences m’ont épuisée ! » Je ne connaissais que trop le ton haut perché de cette voix. Elle n’annonçai...
Erreur sur la personne
il y a 3 ans

L’amour avec un inconnu

François faisait semblant de lire son magazine de sport tout en écoutant la conversation qui se déroulait à la table d'à côté. François avait 26 ans, il mesurait un bon mètre quatre vingt, avait les cheveux bruns, courts et de charmants yeux noisettes. Nathalie lui tournait le dos, apparemment, elle ne l'avait pas reconnu. François se retourna discrètement en faisant semblant de chercher un serveur. Aucun doute possible, c'était bien Nathalie. Il ne connaissait pas sa copine. Pour ne pas risquer de se faire repérer, il plongea le nez dans son journal en ouvrant grand ses oreilles. Il ne pouvais pas croire qu'il entendait Nathalie Morisset parler de sa vie sexuelle intime avec cette femme à la table juste à côté de la sienne. Cette Nathalie qu'il croisait si souvent au boulot et qui mettait ses sens en ébullition chaque fois qu'il la voyait. Nathalie était une très belle femme de 34 ans, mère de deux enfants. Elle était de taille moyenne, les cheveux bruns, un joli visage et avait...
Féminisé par sa propriétaire FIN
il y a 3 ans

Une nouvelle vie professionnelle

Féminisé par sa propriétaire 3 Une nouvelle vie professionnelle Le lendemain fut mon premier jour au magasin. Ce fut aussi le premier jour de ma nouvelle existence. Aussi loin que je me souvienne, c'est à dater de cette journée que je me mis à parler naturellement, et surtout à penser à moi, au féminin. Pour la circonstance, je portai une robe bleue avec une ceinture, des collants chair et des chaussures à talons à bride adaptées à la saison. Marchant dans la rue avec Catherine, nous tenant le bras comme deux filles, j'eus pour la première fois de ma vie cette impression curieuse de me sentir presque femme. Je sentais que ma poitrine faisait partie intégrante de mon corps, que mon entrejambes s'était subitement allégé ! Arrivé au magasin, ce fut le début de mon apprentissage, il me fallut tout apprendre : les différents articles (lingerie de jour, de nuit, lingerie classique, sexy, de maintien et même les tiroirs très fétichistes réservés au articles en cuir). Je dus apprendre...
Féminisé par sa propriétaire 2
il y a 3 ans

Un changement de vie s’opère

Au cours de la journée, je m'aperçus d'un changement de comportement chez Sophie, elle me demandait conseil sur les vêtements qu'elle essayait, me demandant parfois de l'aider, comme si nous étions très intimes. Je me pris au jeu et avouai y trouver du plaisir. Comme la fois précédente, nous finîmes dans le magasin de lingerie fine, cette fois Sophie hésita encore moins à me demander mon avis sur ses choix. Cela semblait naturel, il n'y avait aucune gêne entre nous. A un moment la vendeuse s'absenta nous laissant seuls dans le magasin. - Laurent ? - Oui ? - Si nous en profitions pour acheter vos propres articles ? - Mais .. - Allons, ne me dis pas que tu ne comprends pas, que cela ne te tente pas, me dit-elle en me tutoyant pour la première fois. J'ai bien vu le plaisir que tu avais à porter un article de femme, et surtout à le montrer pour que l'on te voit. Je suis sure que tu aimerais aller plus loin. Je ne dis rien, je savais au fond de moi qu'elle avait raison, que...
J’ai honte d’aimer le BDSM sexe
il y a 3 ans

C’est plus fort que moi, j'aime ces rencontres BDSM

##### Mon histoire a commencé très jeune. Au début sur des blogs où je lisais des histoires érotiques puis, après mes 18 ans, je suis inscrite sur des sites de rencontres BDSM. J’ai fait beaucoup d’erreurs, j’ai aussi pris des risques en allant chez des inconnus. Le plus dur a été qu’ils jouent avec mon coeur, me promettent de l’amour pour me baiser. Ils n’avaient pas besoin de me faire des promesses pour ça, sauf que moi j’y croyais. Aujourd’hui, je sais gérer mon coeur. Je ne cherche plus l’amour, je ne cherche pas un Maître attitré, à porter un collier. Je cherche mon plaisir. Ma recherche fait peur aux hommes, ils parlent beaucoup mais pissent moins loin que moi. Désolée pour l’expression vulgaire, mais c’est ainsi. J’en ai rencontré aussi qui étaient des fous, eux aussi je sais maintenant les déjouer, et surtout, sentir si ils sont dangereux. J’ai beaucoup de chance d’être encore en vie. Mais quelle est ma recherche ? Je suis une soumise sexuelle très maso. J’...
Féminisé par sa propriétaire
il y a 3 ans

Un étudiant tombe entre les mains d’une veuve coquine

Jeune étudiant en première année, je dus, comme de nombreux collègues chercher un logement en ville. Mes moyens ne me permettaient malheureusement pas de trouver un appartement à moi, je fus obligé de trouver une chambre chez l'habitant. Après avoir consulté la liste des propositions disponible au centre universitaire, je commençai à faire le tour des propriétaires. Je préférais orienter ma recherche vers les femmes seules, non pas pour en profiter, mais bien entendu pour m'assurer une plus grande autonomie, et surtout ne pas avoir à vivre à proximité d'un carcan familial externe. Il faut dire qu'à cette époque, on trouvait encore de nombreux logements de ce type. Des femmes seules préféraient avoir un locataire à proximité, ce qui leur apportait une certaine sécurité. Généralement ces femmes donnaient la préférence aux filles, j'étais quand même décidé à tenter ma chance. Je venais de quitter ma famille, et mes parents avaient consenti à m'aider pendant un an, charge pour moi d...
L’apprentissage par la fessée
il y a 3 ans

L’apprentie prend une fessée dans la serre

C’était l’effervescence matinale, dans la rue du Loup. Les hommes; partant travailler; se faisaient dépasser par des ribambelles de gamins en blouse qui couraient et hurlaient à qui mieux mieux. Les mamans accompagnaient les plus petits en les tenants par la main, et s’arrêtaient fréquemment pour discuter l’une avec l’autre. La boulangère, qui avait déjà vu passer l’essentiel de sa clientèle matinale, tenait son crachoir habituel, côte à côte avec l’épicière. La plupart des autres boutiques avaient encore le rideau baissé. C’était particulièrement le cas de celle qui se situait tout en bas sur la droite, et dont l’enseigne dorée annonçait : « Mme Belorgey, fleuriste ». La porte cochère de l’immeuble qui supportait le magasin était grande ouverte. La concierge, revêtue de son sempiternel tablier gris, en balayait l’entrée, s’arrêtant pour saluer chaque occupant par son nom. Lorsqu’un galopin passa devant elle, le cartable à la main, elle se fendit d’un large sourire. - Alors mon...
Nouveau rôle au sein du bahut
il y a 3 ans

Avant, elle n’était pas une fille facile....

« Jerry… non. Pas ça. » « Allez Cindy. » Elle secoua la tête, mais ne protesta pas plus quand je la guidai jusqu’à une chambre inoccupée de l’étage. Les bruits de la fête s’amenuisèrent lorsque la porte se referma. Cindy n’était vraiment pas ce genre de fille. C’était une vraie "fille à papa" : Toujours de bonnes notes à l’école, jamais à la maison après onze heures. Nous étions ensemble depuis près de deux mois maintenant, et je pensais que j’avais droit à un petit câlin. Je peux vous dire qu’elle aussi y pensait. Bon sang, nous étions tous les deux en terminale. Elle rechignait simplement pour me montrer qu’elle n’était pas une fille facile. Avant peu, nous nous embrassions, allongés l’un contre l’autre sur le lit. Je n’arrivais pas à croire ma chance ; Cindy était l’une des plus jolies poulettes du lycée. Avec ses cheveux châtains bouclés et ses yeux bleu clair, elle devait faire rêver tous les mecs du bahut. Presque aussitôt, je sentis une érection démentielle déformer...
Le vendeur de voitures coquin
il y a 3 ans

Sucer n’est pas tromper pour la petite jeune

Je n’avais pas beaucoup dormi cette nuit-là. J’avais remué de vieux souvenirs et d’anciennes mélancolies, j’avais ressassé des résolutions qu’il fallait que je prenne et je m’étais dit que je devais engager une femme d’ouvrage. Depuis que Céline m’a quitté, j’ai réappris à vivre seul, je goûte les femmes que je croise. Des roses, des jaunes, des noires, des briochées, des allumettes, parfum vanille, caramel ou fleur d’oranger. Mais je me lasse et m’exaspère vite. Je n’aime pas les plis qu’elles laissent dans mes draps en percale de coton après une nuit d’amour. Alors je tire rageusement sur les draps, tape sur les coussins, les jette au plafond pour qu’ils oublient nos étreintes. Je ne veux pas de trace, je me contenterai de quelques souvenirs, je traque les cheveux égarés sur le parquet, les jette par la fenêtre que je laisse ouverte toute la journée pour faire s’évanouir l’odeur de ces femmes dans la tiédeur de l’été. Je me dis que je devrais engager une femme d’ouvrage. Et si ell...
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