Récits
Maison de correction par la régression
il y a 3 ans

Une fiction ABDL extrême

Cette histoire dépasse le cadre de l’ABDL conventionnel, vous êtes prévenus. Les entraves ne sont pas du tout BDSM mais médicales. Beth Taylor sentit euphorique, quand elle a dévalé la route du retour de la Géorgie dans son nouveau cabriolet. Elle était jolie, vive, 18 ans, qui venait de diplôme d'études secondaires. Le cabriolet a été son cadeau de graduation, et elle passait la dernière semaine de sa conduite de l'été chez elle à New York pour son Atlanta, où elle commence à suivre Georgia Tech. Ses parents n'étaient pas enchantés à l'idée de Beth conduise seule tout le chemin à Atlanta, mais Beth a dû sortir la voiture à l'école, et ne pas avoir d'amis qui se rendaient loin. Beth a convaincu ses parents que d'être une fille collège signifiait qu'elle devait faire confiance pour prendre soin d'elle. Ils ont accept avec réticence l'idée, mais fait promettre à Beth qu'elle s'en tiendrait aux principales autoroutes, qu’elle conduirait prudemment et dans les limites de vitesse, et...
Maison de correction par la régression 2
il y a 3 ans

La suite de cette histoire hard psychologiquement

Une heure plus tard, Beth a senti quelqu'un attacher quelque chose à l'extérieur de son bâillon, et peu de temps après des liquides ont commencé à affluer à travers lui. Elle n'avait pas d'autre choix que d'avaler le liquide comme il venait. Beth, trouva qu’il y en avait beaucoup, même si, en vérité, ce n'était pas énorme. Le liquide était un mélange de Pedialite (un électrolyte conçus pour ajouter du liquide à un e n f a n t déshydraté), un fort diurétique, un relaxant musculaire et un tranquillisant. Il a été conçu pour assurer qu'elle mouillerait souvent ses couches. Dans une demi-heure, sa vessie devint douloureuse. Elle savait qu'elle n'avait pas le choix en la matière, et a lutté pour se détendre et faire dans ses couches. Cela a été difficile au début, car cela faisait longtemps qu’elle ne s'était pas mouillée. Au bout d’un moment, un courant chaud de liquide pénétra ses couches. Elle serait nourrie avec un quart de ce mélange dans quelques heures, et il faut espérer que, après...
La bourgeoise recadrée et dominée par la bonne
il y a 3 ans

La nouvelle bonne de Madame aime les femmes

Marie Ange ressentait toujours une honte extrême après s’être masturbée. Aussitôt après avoir joui, au lieu de s’en trouver apaisée, un sentiment de culpabilité la rongeait. Elle se sentait sale, avilie. Le gode glissa hors de son vagin, libérant un flot de mouille très liquide qui souilla le drap entre ses cuisses. Elle essuya honteusement avec sa culotte les doigts qu’elle s’était enfilés dans l’anus et dont les ongles étaient tachés de marques brunes. Tout à coup, elle éprouvait un dégoût insurmontable, elle se détestait. Est-ce que les autres femmes se laissaient aller ainsi, quand elles étaient seules ? Bien sûr, aucune d’elles ne l’avouerait jamais… Les trois personnages masqués de son fantasme avaient disparu, la laissant seule avec ses remords et cette insatisfaction au fond du ventre. Elle se leva, encore tout engourdie. En rentrant dans la salle de bains, elle évita de se regarder dans le miroir. Cependant la douche lui fit du bien ; elle se frotta longuement au gant de cr...
La colonie aux abois
il y a 3 ans

Une jeune monitrice passe à la casserole...

J’ai toujours aimée m’occuper des e n f a n t s, les faire jouer, les voir rire, c’est sans doute pour cela que je m’occupe d’eux durant l’été dans une colonie. En plus, je suis encore jeune avec mes 21 ans et j’ai donc le pleine forme pour m’occuper d’eux. Donc comme tout les ans, je m’occupe d’une section, cette année, j’ai une tranche d’âge qui va de 15 à 17 ans. En plus j’ai de la chance, je suis en partenariat avec un beau jeune homme, alexandre. Il est brun avec de beaux yeux bleus et il est bien bâtis. Pendant une excursion d’une semaine à la campagne avec une dizaine de jeunes, j’en ai profité pour lui laisser un mot devant sa tente lui demandant de me rejoindre dans la mienne, une fois les gamins endormis. Je savais qu’il ne dirait pas non, car je l’avais surpris plus d’une fois regarder mes jambes et ma mini-jupe. En plus, j’ai des beaux seins bien ferme que j’aime mettre en valeur grâce à des haut moulant, et là, vu la température, je ne portais comme haut qu’un simp...
Femme d’officier
il y a 3 ans

Soumise sexuelle malgré elle

Tout commença alors que mon mari officier dans l'armée de l'air venait d'être muté sur une nouvelle base. Je m'appelle Astrid, j'ai 33 ans, 3 e n f a n t s que mon mari m'a fait après être rentré de mission (certains appellent cela le repos du guerrier). Depuis ma plus tendre e n f a n c e , j'avais toujours rêvé d'être femme de militaire. Dans mon milieu BCBG, ça a toujours été le symbole de la réussite... Une semaine après notre arrivée, nous fûmes invités à une cérémonie de bienvenue chez le Colonel dirigeant la base. C'était pour mon mari une occasion de se présenter et pour moi un moyen de rencontrer les autres femmes d'officier avec qui je vivrai quelques années (de salon de thé, en salon de thé). J'avais mis une robe noire assez moulante qui mettait en évidence mes formes généreuses. Mes 3 grossesses n'ont pas laissé de traces, à part des hanches un peu plus larges, ce qui ne déplaît pas aux hommes. Dans ces soirées, c'est toujours très important de briller pour une femme....
Masturbation imposée
il y a 3 ans

Mis aux ordres par sa Reine, contraint de se mastuber !

Tu as - La queue en feu n’est ce pas ? - Oui Maitresse, ma bite brûle ! - À 11h 30 je pars. - je branle comme la pute que je suis . - Je sais oui qu’il t’a baisé !!!!!! - Oh oui tu es une petite Putsy, une petite Pute, - Qui aime se faire plaisir dans les chiottes - Pendant que sa Nana se fait BAISÉE. - Oh misère, ......lui il te baise, Moi je suis une Lopette. - T’es une SALOPE même ! - J’espère que tu en as pas mis à côté, - Sinon tu vas lécher !!!! - J’ai fait de mon mieux Maitresse - Hummmm, un bon café crème - Tu es Superbe. - Voilà Ma Dame, ma seconde vidange est faite. - Merci à toi de cette superbe démonstration. - bois ton café maintenant.
Aventure d'auto-esclavage
il y a 3 ans

Elle nous raconte son selfbondage et le plaisir qu’elle a pris

J'ai utilisé une grande chaise haute en bois que j'ai placée au milieu de ma chambre juste devant mon magnétoscope. À l'arrière, il y a aussi un mur avec l'étagère à environ 2 mètres du sol. J'ai scotché mon grand réveil à remontoir sur l'étagère avec les touches face au magnétoscope. Ce réveil a la clé et j'ai collé un petit morceau de carton sur cette clé. Je peux placer une clé sur le carton et lorsque l'alarme se déclenche, elle tourne et la clé tombe... J'allais être attachée à une chaise... J'ai attaché la clé à une longue ficelle et j'ai attaché cette ficelle à un point au-dessus de la chaise. Maintenant, quand l'alarme se déclenche... la clé va basculer vers les cheveux. J'ai également installé une autre sécurité.. (puisque je sais qu'un autre que moi allait être à la maison pour les quatre prochains jours) ... j'ai placé un grand pichet de vieille huile sur une autre étagère au-dessus du lit. J'ai attaché une longue ficelle à la poignée et à environ 40 centimètres de la po...
Petit mousse
il y a 3 ans

Féminisation surprise et dépucelage en règle d’un minet

J’avais dix-huit ans, issu d’une famille ‘bien’ mais dans laquelle j’avais du mal à m’intégrer. Je faisais ‘tache’ enfin pour mon père, qui me disait pas assez ‘viril’. Il faut dire, un mètre soixante cinq, quarante kilo tout mouillé, les cheveux longs, un corps androgyne… Je n’étais pas vraiment le fils qui devait faire la joie d’un père macho… Nous étions en vacances à Cannes, et un soir après encore une soirée agitée, (deux paires de claques…) je pris la porte et je m’enfuie, les larmes aux yeux. « Tu chiales comme une gonzesse ! » Prendre la porte, c’est bien beau, mais je fais quoi ? Je traîne un peu en ville, puis sur le port de plaisance et je m’endors dans une cabane de plage. Dont, je me fais expulser de bon matin. Une journée à traîner en me cachant et sans manger... Le soir venu, même scénario, mais la faim, me travaille et m’empêche de dormir. Alors je marche un peu, je dois faire peur, car personne ne me parle, personne ? Si un homme, grand, bien habillé qui me dema...
Besoin d'argent
il y a 3 ans

Une séance BDSM filmée bien négociée

Bonjour, je m’appelle Jean, je suis en deuxième année de fac, j’ai un petit appart et mes parents jusqu’à présent m’aidaient financièrement. Cet été mon père a dû quitter son emploi et du coup, il ne peut plus m’aider. J’ai trouvé un petit boulot le soir: je nettoie une petite superette à côté de chez moi et je remplis les gondoles. Je finis en général vers minuit, et en rentrant je me remets à bosser mes cours, je ne me couche pas avant 2 ou 3 heures du mat. Je suis crevé et dans la journée j’ai du mal à me tenir éveillé. J’ai un copain de fac que je retrouve plusieurs fois par semaine soit chez lui soit chez moi. Quand nous sommes seuls, c’est la fête du sexe, on commence en général en douceur par des caresses et puis rapidement nous nous laissons emporter par la fièvre et nos ébats deviennent volcaniques et nous laissent épuisés et heureux. Ce soir Marc, mon copain, doit passer chez moi, je suis heureux de le retrouver mais complètement crevé; enfin quand il sera là, j’oubli...
Captives
il y a 3 ans

La passion du bondage entre filles

Isabelle et Ludivine marchaient sur un petit chemin lorsqu'elles aperçurent une maison un peu isolée. Elles s'en approchèrent et constatèrent que la porte était ouverte. Elles avaient toujours été curieuses par nature, aussi elles n'hésitèrent pas à entrer. La maison semblait vide. Elle était décorée avec goût mais sans luxe excessif. Tout à coup, une superbe jeune femme apparut. Elle avait la trentaine, elle était vêtue d'un chemisier blanc et d'une jupe noire en velours. Elle avait de longs cheveux blonds qui lui tombaient jusqu'aux reins, les yeux bleus et les lèvres légèrement sensuelles. Sa poitrine tendait le tissu de son chemisier à peine ouvert. Isabelle et Ludivine étaient tout aussi ravissantes. La première, vingt ans bien sonnés, portait un jean et un pull rose en mohair qui mettait en valeur ses formes généreuses. Brune aux yeux verts, cheveux légèrement ondulés, elle faisait tourner bien des têtes. La seconde venait d'avoir 18 ans. Elle aussi ne laissait personne...
Au dortoir entre filles
il y a 3 ans

Entre filles sous le même drap

Au dortoir, Christelle et Sophie avait l’habitude de se retrouver sous le même drap, la nuit. Quand, elles avaient l’impression que toutes les autres filles dormaient à poings fermés, elles partageaient la même couche, pour se chuchoter des secrets, des impressions sur les cours de leur journée passée, ou des ressentis sur telle ou une telle, voire des appréciations positives ou négatives sur les différents professeurs. C’était leur moyen d’affronter les dures lois de l’internat. Elles s’unissaient et mettaient tout en commun. Depuis le début, Christelle et Sophie étaient amies. En plus, il leur était facile de se rejoindre la nuit, puisque leurs lits étaient voisins. Elles les rejoignaient, chacune dans le sien, avant le réveil du dortoir. Mai, jusque là, rien ne s’était passé entre elles. Elles ne faisaient que se raconter leur journée à voix basse, et c’est vrai, s’endormir corps à corps, surtout pour se réchauffer et sans doute, sans le savoir, attirée l’une vers l’autre,...
Les copains d’abord
il y a 3 ans

Les copains d’abord et là, ce n’est pas du Brassens

David et ses 3 copains (Joël, Smaïn, et Phil) sont installés dans le salon de son studio. IL est 22 heures, les 4 jeunes hommes, âgés de 22 à 24 ans, ne comptent plus les bières qu’ils ont consommées depuis près de 2 heures. Ce soir, leur discussion porte sur Aurore, 21 ans, la copine de David, qu’il désire plaquer pour vivre autre chose de différent. Aurore vit dans le studio de David depuis presque 6 mois. Elle travaille dans la restauration de luxe comme serveuse. David jongle entre des petits jobs et des périodes de chômage, dans lesquelles il magouille avec des copains pour arrondir les fins de mois. Joël : -« A quelle heure elle arrive ta copine ? » David : -« Elle ne devrait pas tarder. De toute façon, je ne suis pas pressé de la voir. Elle me fait chier. Je m’emm e r d e avec elle, elle est coincée du cul. Cela ne m’étonne pas, elle est issue d’un milieu rangé, un peu bourge, curé et tout ce qui s’en suit … » Smaïn : -« Avant de la larguer, tu devrais nous en f...
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