Récits
Aventure d'auto-esclavage
il y a 3 ans

Elle nous raconte son selfbondage et le plaisir qu’elle a pris

J'ai utilisé une grande chaise haute en bois que j'ai placée au milieu de ma chambre juste devant mon magnétoscope. À l'arrière, il y a aussi un mur avec l'étagère à environ 2 mètres du sol. J'ai scotché mon grand réveil à remontoir sur l'étagère avec les touches face au magnétoscope. Ce réveil a la clé et j'ai collé un petit morceau de carton sur cette clé. Je peux placer une clé sur le carton et lorsque l'alarme se déclenche, elle tourne et la clé tombe... J'allais être attachée à une chaise... J'ai attaché la clé à une longue ficelle et j'ai attaché cette ficelle à un point au-dessus de la chaise. Maintenant, quand l'alarme se déclenche... la clé va basculer vers les cheveux. J'ai également installé une autre sécurité.. (puisque je sais qu'un autre que moi allait être à la maison pour les quatre prochains jours) ... j'ai placé un grand pichet de vieille huile sur une autre étagère au-dessus du lit. J'ai attaché une longue ficelle à la poignée et à environ 40 centimètres de la po...
Petit mousse
il y a 3 ans

Féminisation surprise et dépucelage en règle d’un minet

J’avais dix-huit ans, issu d’une famille ‘bien’ mais dans laquelle j’avais du mal à m’intégrer. Je faisais ‘tache’ enfin pour mon père, qui me disait pas assez ‘viril’. Il faut dire, un mètre soixante cinq, quarante kilo tout mouillé, les cheveux longs, un corps androgyne… Je n’étais pas vraiment le fils qui devait faire la joie d’un père macho… Nous étions en vacances à Cannes, et un soir après encore une soirée agitée, (deux paires de claques…) je pris la porte et je m’enfuie, les larmes aux yeux. « Tu chiales comme une gonzesse ! » Prendre la porte, c’est bien beau, mais je fais quoi ? Je traîne un peu en ville, puis sur le port de plaisance et je m’endors dans une cabane de plage. Dont, je me fais expulser de bon matin. Une journée à traîner en me cachant et sans manger... Le soir venu, même scénario, mais la faim, me travaille et m’empêche de dormir. Alors je marche un peu, je dois faire peur, car personne ne me parle, personne ? Si un homme, grand, bien habillé qui me dema...
Besoin d'argent
il y a 3 ans

Une séance BDSM filmée bien négociée

Bonjour, je m’appelle Jean, je suis en deuxième année de fac, j’ai un petit appart et mes parents jusqu’à présent m’aidaient financièrement. Cet été mon père a dû quitter son emploi et du coup, il ne peut plus m’aider. J’ai trouvé un petit boulot le soir: je nettoie une petite superette à côté de chez moi et je remplis les gondoles. Je finis en général vers minuit, et en rentrant je me remets à bosser mes cours, je ne me couche pas avant 2 ou 3 heures du mat. Je suis crevé et dans la journée j’ai du mal à me tenir éveillé. J’ai un copain de fac que je retrouve plusieurs fois par semaine soit chez lui soit chez moi. Quand nous sommes seuls, c’est la fête du sexe, on commence en général en douceur par des caresses et puis rapidement nous nous laissons emporter par la fièvre et nos ébats deviennent volcaniques et nous laissent épuisés et heureux. Ce soir Marc, mon copain, doit passer chez moi, je suis heureux de le retrouver mais complètement crevé; enfin quand il sera là, j’oubli...
Captives
il y a 3 ans

La passion du bondage entre filles

Isabelle et Ludivine marchaient sur un petit chemin lorsqu'elles aperçurent une maison un peu isolée. Elles s'en approchèrent et constatèrent que la porte était ouverte. Elles avaient toujours été curieuses par nature, aussi elles n'hésitèrent pas à entrer. La maison semblait vide. Elle était décorée avec goût mais sans luxe excessif. Tout à coup, une superbe jeune femme apparut. Elle avait la trentaine, elle était vêtue d'un chemisier blanc et d'une jupe noire en velours. Elle avait de longs cheveux blonds qui lui tombaient jusqu'aux reins, les yeux bleus et les lèvres légèrement sensuelles. Sa poitrine tendait le tissu de son chemisier à peine ouvert. Isabelle et Ludivine étaient tout aussi ravissantes. La première, vingt ans bien sonnés, portait un jean et un pull rose en mohair qui mettait en valeur ses formes généreuses. Brune aux yeux verts, cheveux légèrement ondulés, elle faisait tourner bien des têtes. La seconde venait d'avoir 18 ans. Elle aussi ne laissait personne...
Au dortoir entre filles
il y a 3 ans

Entre filles sous le même drap

Au dortoir, Christelle et Sophie avait l’habitude de se retrouver sous le même drap, la nuit. Quand, elles avaient l’impression que toutes les autres filles dormaient à poings fermés, elles partageaient la même couche, pour se chuchoter des secrets, des impressions sur les cours de leur journée passée, ou des ressentis sur telle ou une telle, voire des appréciations positives ou négatives sur les différents professeurs. C’était leur moyen d’affronter les dures lois de l’internat. Elles s’unissaient et mettaient tout en commun. Depuis le début, Christelle et Sophie étaient amies. En plus, il leur était facile de se rejoindre la nuit, puisque leurs lits étaient voisins. Elles les rejoignaient, chacune dans le sien, avant le réveil du dortoir. Mai, jusque là, rien ne s’était passé entre elles. Elles ne faisaient que se raconter leur journée à voix basse, et c’est vrai, s’endormir corps à corps, surtout pour se réchauffer et sans doute, sans le savoir, attirée l’une vers l’autre,...
Les copains d’abord
il y a 3 ans

Les copains d’abord et là, ce n’est pas du Brassens

David et ses 3 copains (Joël, Smaïn, et Phil) sont installés dans le salon de son studio. IL est 22 heures, les 4 jeunes hommes, âgés de 22 à 24 ans, ne comptent plus les bières qu’ils ont consommées depuis près de 2 heures. Ce soir, leur discussion porte sur Aurore, 21 ans, la copine de David, qu’il désire plaquer pour vivre autre chose de différent. Aurore vit dans le studio de David depuis presque 6 mois. Elle travaille dans la restauration de luxe comme serveuse. David jongle entre des petits jobs et des périodes de chômage, dans lesquelles il magouille avec des copains pour arrondir les fins de mois. Joël : -« A quelle heure elle arrive ta copine ? » David : -« Elle ne devrait pas tarder. De toute façon, je ne suis pas pressé de la voir. Elle me fait chier. Je m’emm e r d e avec elle, elle est coincée du cul. Cela ne m’étonne pas, elle est issue d’un milieu rangé, un peu bourge, curé et tout ce qui s’en suit … » Smaïn : -« Avant de la larguer, tu devrais nous en f...
L'amant mis au supplice
il y a 3 ans

L'histoire érotique d'une homme attaché sur une chaise

Cela faisait maintenant plus de deux heures que nous étions au restaurant, un souper délicieux, et surtout, une complicité magnifique. Deux heures à se parler de tout, de rien, de nous. Main dans la main, yeux dans les yeux. Toi me remettant délicatement une mèche de cheveux sur le côté afin de voir entièrement mes yeux. Moi te faisant discrètement du pied sous la table en te taquinant comme j'adore le faire. Nos jeux verbaux nous font tellement rire ! Le temps passe sans que l'on s'en rende compte, mais nos paroles se font plus chaudes, plus désirantes. Tu as envie de moi, je le lis dans tes yeux sans que tu me le dises, et je te réponds de la même façon, en te fixant si intensément que tu comprends de suite ce que j'attends de toi. - Rentrons, j'ai trop envie de toi. Tu n'as pas su me résister et tes mots fondent sur moi comme un glaçon au soleil. J'esquisse un sourire de contentement qui ne t'échappe pas, et simultanément, nous nous levons pour partir. Tu m'aides à enfile...
Lisa et son amant
il y a 3 ans

L'histoire érotique d'une rencontre coquine

Le temps allait tourner à l'orage, elle le sentait. Sans même prendre la peine de se lever de son bureau pour consulter le ciel qu'elle devinait sombre et menaçant, elle sentait que les éléments feraient sentir leur puissance ce soir. L'inquiétude, l'angoisse mêlé à la saveur acide de l'excitation, ce subtil mélange qui la rendait presque tremblante, vulnérable, comme une enfant qui s'apprête à commettre une bêtise en toute conscience, ce mélange subtil de sentiments pourtant antinomiques lui plaisait, son corps en témoignait à travers ses jambes qui ne la portait plus par nécessité que par réel enthousiasme.. C'est aujourd'hui qu'elle avait décidé de franchir le pas... Ils s'étaient rencontrés via un site de chat, d'abord sans arrières pensées autre que d'oublier l'espace de quelques heures la monotonie du quotidien. Puis vint ce petit picotement à chaque pensée pour l'autre, puis le désir, d'abord timide puis ensuite sauvage; Un désir animal, instinctif... « Internet sépare...
Une folle de fessée est venue chez moi !
il y a 3 ans

Histoire vraie de martinet BDSM et de paddle pour la fessée

##### Les mots « folle de fessée » sont évidemment de l’humour pour décrire une femme adorable maso des fesses. Pour ne pas la nommer, je dirai simplement que Saku est vraiment une nana au top ! Ultra ouverte d’esprit, très joueuse, super sympa mais aussi, une véritable chipie maso des fesses. NE RIGOLEZ PAS en lisant la suite ! Au départ elle ne devait venir que pour une rencontre amicale autour du spanking. Mais, des fois que chez moi il n’y aurait pas ce qu’il faut pour la fesser (? ? ?) cette coquine est aussi venue avec ses dernières créations, à savoir, des martinets ! Après les paddles Saku qui sont déjà en vente sur ABCplaisir, l’idée était donc que je puisse voir (et tester) ses dernières créations. Ce sont des martinets pour de vrais adeptes de la fessée, fabriqués avec des lanières faites d’un caoutchouc assez souple et ULTRA résistant. Il y avait plusieurs modèles, des courts, des longs ET quelques modèles avec des lanières de 3 mm d’épaisseur. Autant dir...
Découverte de la fessée et de la soumission
il y a 3 ans

Les propriétaires sont très particuliers

A la recherche d'un logement, j'avais repéré chez un libraire une petite annonce peu engageante, mais dont le prix et la situation me convenaient. On proposait deux pièces pour une personne seule, sans animaux, discrète, propre et non fumeur. Toutes ces conditions n'étaient pas pour me séduire. Hélas, je n'avais pas le choix. J'ai donc été me présenter pour visiter l'appartement. Je fus reçu par les propriétaires, un homme et sa sœur, qui se présentèrent par leurs prénoms : Roger et Marguerite. Ils m'invitèrent à boire un café dans la cuisine qui faisait office de salon, pour, avait dit Roger d'une voix grave, bavarder un peu. En fait de bavardage, je fus d'abord détaillé des pieds à la tête. L'âge des propriétaire était difficile à évaluer. Roger éclaira indirectement ma lanterne en déclarant qu'il était en préretraite ce qui m'étonna. Il devait sa bonne conservation apparente à une qualité de peau assez remarquable. Il semblait avoir l'épiderme d'une femme de quarante ans sur des...
Découverte de la fessée et de la soumission 2
il y a 3 ans

Le pensionnaire mûrit...

Frère et soeur se chamaillèrent sur la posture dans laquelle la petite biche allait recevoir la délivrance. Marguerite le voulait agenouillé sur le sol devant le lit, bien cambré, face à Roger. Roger préférait quelque chose de plus sobre. Pour tester la volonté du petit, il le voulait simplement debout, légèrement penché, les mains bien à plat sur le lit avec interdiction de les ôter sous peine de doubler la punition.. Marguerite insista, ...toi et ta satanée sobriété..... Elle eut gain de cause. Résigné, le jeune homme n'intervenait plus dans la conversation. J'entendis Marguerite dire à Roger : Tiens-le bien, puis un sifflement accompagné d'un claquement sec et un cri de douleur. Le jeune homme protesta. Je l'entendis rouspéter : vous êtes folle ! Ca fait terriblement mal !. Marguerite dit : Mais non, la première fois ça surprend un peu, laisse toi aller à tes sensations... Elle frappa une nouvelle fois puis s'énerva : Mais tiens-le mieux ! Les sifflements, les claquements e...
Deux bourgeoises s'encanaillent
il y a 3 ans

Dépouillées et défoncées, elles adorent

La comtesse Eugénie du Plessis Verneuil du Bois d’Arviers s’ennuyait fermement au bal des débutantes à l’hôtel Crillon. Les valses avec de jeunes aristos boutonneux ne l’avaient jamais passionnée. Elle préférait en effet d’autres passe-temps plus insolites pour une personne de sa condition. Les jeunes freluquets insipides qui fréquentaient ces soirées l'insupportaient. À 22 ans, elle était la beauté incarnée. Blonde avec de grands yeux bleus, de superbes seins qui tendaient le bustier de sa robe du soir, un cou interminable mis en valeur par une rivière de diamants. Ses cheveux étaient relevés en un savant chignon qui laissait voir ses oreilles exquises auxquelles pendaient des boucles d’oreille en rubis. Son amie, la baronne Diane de Montpensier, était une splendide brune aux yeux verts qui aimait à l’accompagner dans ses virées. Elle éprouvait également le même sentiment d’ennui et voulait s’arracher à ces mondanités pesantes pendant lesquelles elles étaient sensées trouver un...
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