Vous faites face, à une porte. Elle est agrémentée d'un écriteau ou il y a d'écrit bébésoumis. En ouvrant la porte, Vous voyez devant vous, une chambre de pouponnette. Tout le mobilier est de grandeur adulte. Il y a des couches de placées sur l'étagère à votre gauche, ainsi que des petites robes, des socquettes et des culottes plastiques. Vous êtes étonnez par le réalisme d'avec le mobilier de bébé. Vous vous avancez un peu et remarquez tout les détails de la pièce. Vous remarquez, au fond de la chambre de bébé, une grande basinnette. L'odeur de la poudre qui se manifeste dans la chambre, vous remet dans la peau d'une Maman, votre 6ièmes sens maternel, vous fait avancé vers la couchette, et le coeur battant la chamade, vous y découvrez un bébé grandeur adulte, habillé d'un body rose avec nounours et d'une grosse couche qui se démarque bien à l'entrejambe...La suce tombée, Vous étirez votre bras et me l'a remettez dans la bouche. Vous remarquez aussi, que le bébé que vous voyez...

#### J’étais une femme fidèle, je ne suis pas une catin et pourtant.... Professeur des écoles, à 28 ans, j’étais connue et appréciée par les parents pour ma pédagogie et surtout ma fermeté. Il faut dire qu’en 1960, l’éducation nationale fonctionnait différemment, nous n’avions pas peur des élèves, au contraire, c’est eux qui nous craignaient. C’était une autre époque et si je mettais une gifle ou une fessée à un élève, il ne risquait pas d’aller se plaindre à ses parents. Un peu gitan d’origine, à 8 ans, José était déjà un petit terrible. Dans l’année, j’avais du le déculotter et fesser deux fois devant toute la classe. La dernière fois, il m’avait dit « je me vengerai », cela lui avait valu une gifle supplémentaire. Et puis les années ont passé, c’était tombé dans l’oubli, l’éducation nationale a évolué et s’est dégradée tout comme la société. QUINZE ANS PLUS TARD En sortant du métro, je me suis retrouvée nez à nez avec mon premier amour. L’amour de jeunesse qui lai...

##### Cocufiage interracial malgré elle avec de nouveaux voisins serviables La vie a toujours été aussi clémente que satisfaisante avec moi. J'étais une travailleuse acharnée lors de mes années collège, je ne rêvais qu'à m'élever dans la société. J'avais été élevée dans les stricts principes d'une famille catholique et je croyais dans des règles de vie que me dictait la morale chrétienne. Lorsque je fus assez vieille, je me portais volontaire pour des travaux charitables dont je faisais bénéficier la communauté dans laquelle je vivais. Les relations amoureuses étaient fortement prohibées par ma mère, aussi n'en eus-je aucune pour ne pas décevoir ma mère qui me servait de modèle. Ce n'est qu'au lycée que je rencontrais le prince charmant, mon futur mari, ce fut le coup de foudre réciproque. C'était un mauvais garçon qui avait bien tourné, je croyais que j'y étais pour quelque chose. Inutile de dire qu'assez rapidement je lui offris mon pucelage, j'appréciais de faire l'amour ré...

Je m’étais aperçu lors de nos échanges que la miss était joueuse, parfois impertinente, visiblement ce que l’on appelle brat dans l’anglicisme exacerbé du moment. Heureusement, ce n’était pas sa part la plus intéressante ni la plus développée de sa personnalité. Nos échanges furent d’abord courtois, parlant de tout et de rien, de généralités voire de banalités, puis de plus en plus axés BDSM. Il fallut se rendre à l’évidence : l’étape suivante devait être une rencontre afin de valider ce « match » épistolaire. Ce fut rapidement fait, et le match validé. Pour avoir beaucoup échangé avec la gente féminine, je savais pertinemment que l’étape de la rencontre suprême si j’ose dire, celle qui lance le jeu D/S, celle où commence à s’instaurer le rapport intime est difficile à franchir pour la plupart. La faute à ces messieurs peu attentionnés qui placent leur cerveau (s’ils en ont un) en dessous de leur ceinture et qui voient en ce milieu un open bar sexuel. Je savais donc qu’elle éprouvait...

#### Les confidences érotique d'une keyholder amoureuse de son mari sous cage de chasteté. Quand il n’était pas sous cage de chasteté, j’étais beaucoup plus sage. Non pas que j’étais prude, mais j’avais moins d’envie de le toucher. Voir son visage de frustré, m’amuse et je fais tout pour le rendre dingue. La fellation par exemple. J’en ai fait à mon mari mais je n’y allais pas spontanément, cela arrivait pendant les préliminaires. Depuis qu’il est sous cage de chasteté, le soir je vais faire des bisous au petit oiseau confiné. Cela a pour effet que j’ai des caresses, des bisous, des mots doux et parfois même, il me fait un cunni sans que je ne demande rien. Aller se coucher quand on est en couple, c’est banal et sans pudeur. Après la douche, je mettais ma chemise de nuit et basta, direct sous la couette. Aujourd’hui, il m’arrive souvent de prendre des postures très impudiques, fesses nues tendues vers lui pour qu’il voit bien ce qui l’excite. Il ne s’aventure plus à me trait...

#### Fabienne fantasme sur la soumission depuis longtemps. Son problème est d’oser sauter le pas, son vernis social de patronne le lui interdit. Si cela se savait.... Le BDSM l’attire depuis quasiment toujours. Déjà étant jeune, elle rêvait de fessée, d’être mise au coin fesses à l’air devant ses copines. Elle a souvent rêver de jouer aux indiens avec les garçons et de se retrouver attachée au poteau, mais ça, elle n’a pas osé, avec les garçons on ne sait jamais. Cela fait quelques mois maintenant que ses nuits sont agitées. Elle rêve beaucoup, se réveille en sueur plusieurs fois avec une certaine moiteur entre ses magnifiques cuisses fuselée. Ces jeux coquins solitaires de substitution n’y sont pas étrangers. Il faut dire, que sa télévision n’a pas été allumée depuis bien longtemps, que ses livres sont abandonnés et prennent la poussière. C’est devenue comme une d r o g u e, une addiction à une autre forme de lecture sur écran. Fabienne a quasiment acheté tous les histo...

##### Une histoire érotique très coquine Je m’appelle Corinne, j’ai 32 ans et je suis infirmière. Je suis mariée depuis quinze ans avec le même homme. Je l’ai connu à 17 ans. Il en avait 32 et c’est lui qui m’a dépucelée. Il m’a fait un e n f a n t et on s’est mariés. Mais, pour ma part, pendant quinze ans, je n’ai pas su ce qu’était le plaisir. Avec mon mari, j’ai toujours eu droit à des petites baises bâclées, puis à ses ronflements en guise de conclusion. Je devenais dépressive, j’étais persuadée de ne pas plaire aux hommes, avec mon mètre cinquante-trois et ma poitrine encombrante qui me complexait depuis toujours. Sur les conseils de mes copines, je me suis relookée. J’ai changé de coiffure, je me suis maquillée, mes amies m’ont aidée à dégoter la tenue idéale : une petite robe courte moulante, décolletée, à porter sans soutien-gorge. Pour la première fois de ma vie, j’ai enfilé un string. La sensation de la soie frottant ma raie était délicieuse. Je suis rentrée à la mais...

##### Les confessions érotiques d'un gay initié d'une façon un peu rude Bonjour, R, 25ans. Je vais vous raconter comment ma petite vie s'est vue grandement chamboulée depuis quelque temps. Après des études en informatiques j'ai rapidement gravi les échelons au sein de l'immense entreprise S.. Il faut dire que mon père y est pour beaucoup. J'ai toujours pu réaliser tout ce que je désirais. Quand on fait parti de la haute société et qu'on est plein aux as tout est permis. Sans le faire exprès, j'ai fait beaucoup de peine a mes amis ou autre gens de mon entourage. Quand on voit comment ses parent traitent les gens qu'ils pensent inférieurs à eux, on en prend aussi la mauvaise habitude. Mais alors que je réussis ma vie professionnelle et amoureuse (je suis fiancé à une très belle femme, parfaite ! ) voilà que mon passé me rattrape. Je reçois un appel d'un homme qui a des choses à me dire. Je décide de le rencontrer. Arrivé au rendez-vous je tombe sur un ancien camarade de classe...

#### Des amis libertins m’ont surprise pendant mon selfbondage et j'ai eu la honte de ma vie Mes amis sont des coquins et ne s’en cachent pas. Je sais qu’ils font du libertinage et un peu de BDSM. Ils sont également naturistes, mais quand ils viennent chez moi ou que je vais chez eux, ils me respectent et ne se promènent pas nus. Je vais chez eux à la montagne presque tous les hivers pour faire du ski. Cela me permet d’économiser une location et d’avoir une très agréable compagnie le soir. Très souvent, l’été, c’est moi qui les héberge. Habitant à 10 minutes du Cap D’Agde, pour eux c’est un pied à terre bien pratique et économique. Indépendamment de l’argent économisé, nous nous adorons et les retrouvailles sont toujours de très agréable moments ! Ils avaient décidé d’aller pique-niquer sur la plage de la baie des cochons, autant dire que je savais qu’ils allaient s’amuser.... Pour s’éviter les bouchons, Léna a préparé le repas et leur glacière de bonne heure. Luc, comme à son h...

##### Les confessions érotiques d’une femme coquine délaissée par son mari et qui le remplace par des sextoys et va découvrir un autre monde Je me réveille tôt, mais pas assez pour que mon mari soit encore à mes côtés. Sans grande surprise, en étendant la main, je tâte une empreinte encore marquée dans le matelas. Tous les jours il part tôt et rentre tard. Il y a eu un moment où il revenait manger, mais ce moment appartient au passé. Oh, je n’ai pas à m’inquiéter, je le sais parfaitement. Il ne me trompe pas. Ou plutôt si, il me trompe avec son métier. Il est pédiatre, l’un des plus réputés de la ville et du département. Il travaille six jours par semaine, le septième est consacré au repos. Enfin théoriquement, parce qu’il lui arrive de plus en plus souvent de prendre des appels et de partir en urgence. Dimanche dernier, la journée commençait bien. 8 heures du matin. On se réveille tous les deux. Un peu de calme. Une belle journée de printemps. Une légère brise qui pénètre par la...

##### La discipline domestique a du charme et la fessée est la cerise sur le gâteau Alors que le train entrait en gare, elle sentit une délicieuse excitation l'envahir. Elle avait tant attendu cet instant! Cela faisait près d'un mois que leurs obligations les avaient tenus éloignés l'un de l'autre. Ils se téléphonaient tous les jours, s'écrivaient des dizaines de textos, s'échangeaient leurs émotions à travers quelques instantanés plus ou moins fidèles à la réalité. Mais elle avait besoin de sentir la chaleur de son corps, la saveur de sa bouche, la douceur de sa main, la chaleur de son regard. Dans quelques instants, ils seraient à nouveau ensemble! Il avait promis de venir la chercher à la gare et il tenait toujours ses promesses. Debout sur le marchepied, elle scrutait attentivement le quai en attendant que le train s'immobilise complètement. Elle l'aperçut à quelques dizaines de mètres et lui fit signe de la main. Il la vit, se précipita et la prit dans ses bras avant même...

#### Son fantasme était d’être en position de faiblesse devant une femme dominatrice, plusieurs aurait été encore mieux. Bien évidement, ce fantasme se réaliserait dans un lieu clos, secret, caché loin de son travail, sa famille et ses amis. Cette ou ces femmes l’humilieraient et s’amuseraient de sa position de faiblesse. Elles prendraient plaisir à jouer avec sa verge et ses fesses, juste comme ça, pour le ridiculiser. Elles pourraient aussi l’obliger à se masturber devant elle. Et pour imager ses envies et ses fantasmes, il copie des photos trouvées sur le net et fait des montages. Si sur le fond ses fantasmes ne sont pas mieux ou moins bien que ce des autres, il y a un ENORME problème. Sa patronne ! Sa patronne est une coquine, un peu dominatrice à ses heures, et comme lui, elle est inscrite sur Fessestivites. En surfant dans les galeries d’images, elle croit voir sa soeur. - Oh la coquine, elle m’a cachée ça ! Se dit Angèle en cliquant pour agrandir l’image. ET LA...