Récits
Les quatre coins du triangle
il y a 3 ans

L’histoire érotique d’une rencontre BDSM particulière pour une femme soumise

Nous sommes en auto et nous nous dirigeons vers un lieu qui t’es inconnu. La voiture quitte soudain l’autoroute avant de franchir un viaduc qui la surplombe, tournant vers l’ouest. Nous cheminons durant quelques minutes, puis à un carrefour signalé par un arrêt, je tourne à gauche pour m’engager dans une rue en cul-de-sac. Je scrute les adresses, cherchant celle qui m’est connue. Une fois arrivés, je dépasse le bungalow, puis tourne dans l’aire de stationnement qui, étonnamment s’avère très vaste pour une simple résidence. Il ne s’y trouve actuellement qu’un seul véhicule, un 4X4 de couleur noire, pas trop récent. J’arrête le moteur et je jette un regard de ton côté, te trouvant un peu inquiète. Tout le long du trajet, je n’ai pas fait mention de notre destination, ni de ce qui allait s’y produire. J’ouvre la portière, la verrouille avant de la refermer, puis je fais le tour de la voiture pour ouvrir la tienne. Je ne dis rien, mais je te tends la main et tu descends à ton tour, sile...
Mon initiation
il y a 3 ans

Totalement dans mon nouveau corps de femme.

J'étais encore un jeune lycéen imberbe et immature, qui avait découvert le plaisir fétichiste des masturbations solitaires en enfouissant mon visage dans les lingeries soyeuses de ma mère. Nous vivions seuls depuis qu'elle s'était séparée de mon père, et j'étais amoureux d'elle... Elle dirigeait le département commercial d'une grande marque de cosmétiques, et elle était souvent en déplacements en France ou à l'étranger ; pourtant, j'attendais avec ferveur ses retours, me lovant conte elle à chaque retrouvaille, respirant son parfum suave et délicat, me frottant à ses tissus raffinés. Elle m'avait eu assez jeune, et lorsque nous sortions ensemble, j'étais fier, avec mes quinze ans, de m'accrocher au bras de cette femme superbe, sur laquelle je découvrais les regards des hommes, et même de certaines femmes... Elle était vraiment belle, avec de la classe et ce brin de sensualité qui la rendait si désirable. Je l'avais parfois espionnée lorsqu'elle prenait son bain, savourant la beau...
Parole de clitoris
il y a 3 ans

Les confessions érotiques d’une femme dominatrice qui gère et profite de la cage de chasteté de son mari pour son plus grand plaisir.

##### Initialement, je suis plutôt longue à venir. Mon mari soumis sous cage de chasteté aurait tendance à s’épuiser la langue. Hihi En fait ça, c’est son problème, fallait pas vouloir que je devienne sa Maîtresse !! En fait, Maîtresse je ne le suis pas vraiment, disons que j’ai seulement pris goût à son jeu de soumission érotique. Sa libération est, disons, plus ou moins liée au nombre d’orgasme qu’il est arrivé à me donner avec sa langue et ses mains. Quand il est libéré, la soirée lui appartient, la dite Maîtresse n’est plus, il a le droit de croquer sa femme comme avant. Une fois il a voulu jouer les master, mal lui en a pris. Hihi ! ! ! J’ai encaissé sans broncher les quelques claques qu’il a mise sur mes fesses pendant qu’il me prenait en levrette sauf que cela m’a coupé mon plaisir. Nos négociations conjugalo-dominatrix se sont durcies comme par hasard la semaine suivante !! La menace de le laisser sous cage de chasteté 15 jours planant au-dessus de sa tête s’il ne se f...
Je suis la chose de M. Christian
il y a 3 ans

Piégé par des photos

Oui, je suis la chose de Mr Christian, cela aurait pu se limiter à une sucette dans un WC public mais depuis ma vie à basculée. Je dois dire qu’appartenir vraiment à un homme, cela ne m’était jamais arrivé, bien sûr j’avais déjà eu des relations sexuelles, mais ce n’était que des rencontres rapides, de parking, ou de pissotière. Je suppose que vous devinez que j’étais un de ces homos qui ne s’assumaient pas vraiment, mais comme beaucoup je ne pouvais résister à l’appel du sexe. Voir à coté de moi une bite sortie dans un urinoir me troublait et je ne pouvais m’empêcher de la regarder, de tendre la main, de la caresser. Vous devinez, vous connaissez la suite, j’étais la Lope et c’est moi qui me mettait à genoux (souvent dans l’urine) et suçais le mec. C’était, fort heureusement, la douce époque qui ne connaissait pas le VIH et je pouvais sans crainte boire des litres de spermes ; son plaisir assouvit, l’homme se rhabillait et me laissait là, me jetait comme un vieux Kleenex. J’a...
Je suis la chose de M. Christian 2
il y a 3 ans

J’étais victime de son chantage

Pour commencer, je dus terminer ma journée de travail en essayant de me faire tout petit, ma chemise cintrée avait du mal à cacher ma ‘poitrine’, ce n’était pas mieux avec mon blazer… je rasai les murs et je le rejoignis à l’heure dite dans le parking. Il me regarda venir, et me glisser dans la voiture en souriant. Il ne dit rien, mais me caressa les cheveux,, glissa sa main sous ma chemise qui éclatait sous la pression du soutien-gorge. Il m’attira et m’embrassa, en me caressant les cuisses. Je le laissais faire, j’étais troublé. - C’est bien, tu as gardé tes nouveaux dessous, cela semble te plaire ! Mr Christian prit ma main, la posa sur sa braguette, il bandait. - Tu sais ce que tu as à faire, sois gentille, tu n’as rien à gagner et surtout tout à perdre ! Soyons honnête, j’étais victime de son chantage, mais je ne pouvais résister à l’appel de sa bite. Il bandait bien, je libérais cette merveille, ce n’était pas trop pratique de faire cela en voiture, mais je t...
L'institut F
il y a 3 ans

L’histoire d’un institut dédié à la fessée et à la discipline domestique

Une petite vitrine sobre et opaque, intégrée dans le rez-de-chaussée d’un immeuble cossu, haussmannien, du XVIème arrondissement de Paris. Une vitrine comme tant d’autres et qui, pour tout dire, passe parfaitement inaperçue. Au-dessus de la porte, une enseigne banale, sans fioriture ni autre explication : « Institut F. ». Pas d’autre indication permettant d’imaginer ce qui peut se passer derrière ces murs et ces vitres opaques. Le passant non averti peut penser qu’il s’agit d’un nouvel institut de beauté, d’un salon de massage, d’un commerce somme toute assez banal, parfaitement à sa place dans ce quartier chic de la capitale. Et ce n’est pas le look ultra BCBFG des deux jeunes femmes qui chaque matin à 11H00 précises procèdent à l’ouverture de la porte de l’établissement qui risque de le détromper. Deux jeunes femmes sveltes et élégantes, l’une blonde et l’autre brune, trentenaires dynamiques et toutes les deux tout à fait attirantes. Marie et Caroline sont en effet les deux fonda...
Marche De Nuit
il y a 3 ans

Une histoire de selfbondage nocturne habillé en femme dans une forêt domaniale

Au dessus de chez moi il y a une grande forêt domaniale, avec une route forestière de plusieurs km sans passage la nuit. Je quitte mon domicile en début de nuit (23h) et je vais à l'extrémité de la route forestière. J'y dépose les clefs pour ouvrir ma voiture dans un endroit discret et identifiable (au pied d'une grosse pierre). Je repars vers l'autre extrémité de cette route. Je gare ma voiture en retrait. Je me mets en mini-jupe de cuir, collant clair et de belles bottes en cuir à hauts talons. Je me passe un collier, que je cadenasse et j'y fixe des menottes, qui pendent donc sous ma gorge. Je sors de la voiture en la fermant de l'intérieur, les clefs des cadenas et des menottes à l'intérieur. C'est fait, je vais faire plusieurs km pour aller chercher les clefs de la voiture et autant pour revenir. Je commence à marcher en mini et talons. Je suis m o r t de trouille en guettant les bruit des voitures qui pourraient arriver ou pire des cyclistes ou des marcheurs que l'on n'e...
Punition
il y a 3 ans

Féminisé par sa femme qui le trouvait macho

Elle était là, allongée à côté de moi, je passais ma main dans ses cheveux, perdu dans mes pensés. Il faut dire qu'il s'en est passé des choses aux cours des dernières 24 heures. La journée d'hier ne laissait rien présager de ce qui allait arriver en fin de journée. Je rentre du travail vers 18 heures, comme à mon habitude, et je retrouve ma copine assise au salon en tenue légère avec un sac en papier rudement bien rempli devant elle. Il faut que je vous décrive sa tenue, ça ne sera jamais aussi bandant que comme je l'ai vu, mais je vais tâcher d'y parvenir. Déjà, elle mesure 1m71 pour 58kg, des jambes interminable, un petit cul bien rond et bien ferme, de très long cheveux blonds qui lui arrivent jusqu'en bas du dos et de magnifiques yeux bleus! Son visage? Effectivement, j'ai omis de vous en parler, un visage typé slave, juste magnifique et ses seins, je ne vous ai pas parlé de ses seins, deux magnifiques petit seins bien ronds et fermes avec de jolis petits tétons qui en ferai...
Mon fist vaginal
il y a 3 ans

Le témoignage érotique d’une femme ayant testé le fist véginal

Le témoignage érotique d’une femme ayant testé le fist véginal Je lisais des "pour" et des "contre" , des "ça doit faire mal" et "c'est barbare" et des "Mon Dieu ! Que c'est booon !!" Je ne peux pas vous dire pourquoi, mais j'étais sure et certaine qu'une main entière pouvait me pénétrer sans problème. Bon assez bavardé, je vous raconte. Des préliminaires chauds, très chauds, un cunni qui rend folle, des caresses torrides qui font qu'on a envie de plus toujours plus. Mon cher et tendre qui me fait monter presque au paroxysme pour me calmer un peu et me faire remonter encore et encore. Comment avec tout cela ne pas fondre littéralement et ne pas s'abandonner ? Déjà trempée par tant de caresses et léchouilles il m'explore d'un doigt puis rapidement deux. A l'intérieur de moi il masse mon vagin de ses doigts, me pénètre profondément et tout en sortant tourne à l'intérieur de moi. C'est tellement bon que je mouille plus encore et que je m'ouvre doucement. Il me parle, me détend, me sou...
Je suis soumis, c’était écrit
il y a 3 ans

Les confidences érotiques d’un homme nous expliquant pourquoi il est devenue le soumis de sa femme.

Je m'appelle Séverin: J'ai 42 ans, marié, 3 enfants. Je suis soumis depuis plus de 10 ans à ma Maîtresse qui est aussi ma femme (depuis 20 ans). Je ne suis pas un soumis permanent puisque nous travaillons tous les deux et que nos enfants sont encore jeunes. Nous devons faire attention et respecter nos enfants. Ma soumission est pourtant constante car je me rase le sexe chaque jour et je mets chaque matin un objet symbolisant ma soumission (anneau métallique, en cuir, chaîne à la taille, etc...). Je ne redeviens son esclave que le soir après leur coucher ou parfois le midi quand nous pouvons nous retrouver et encore quelques fois au cours de week-end en amoureux. Tout a commencé bien avant que je connaisse ma femme. A cette époque, pendant ma jeunesse, les mots de soumission, esclave, Maître, Dominant m'étaient inconnus. J'étais (et je suis toujours) un garçon timide n'osant pas parler aux filles et encore moins les draguer. J'avais un copain, de mon âge, avec qui je passais tout mon...
De plaisir en douleurs délicieuses
il y a 4 ans

Une sublime histoire érotique BDSM d’Art écrite par un artiste de la plume

Je cherchais un cadeau pour les 60 ans de ma mère au début janvier. Il me fallait quelque chose pour marquer le coup, pas une connerie à deux balles comme j’en avais l’habitude. J’avais pensé à un tableau, comme une estampe japonaise ou un fusain, seulement, trouver des originaux, c’est un peu comme chercher une aiguille dans une meule de foin ou alors, il faut s’appeler Crésus. Je me baladais dans un centre-ville en pleine effervescence, les fêtes de fin d’année étaient proches. Autant dire que si j’avais, ne serait-ce qu’essayé de me marcher sur mes pieds, cela aurait été mission impossible, les passants s’en chargeaient à ma place, une horreur. C’est dans une étroite ruelle que je me suis réfugié, le ras le bol de cette populace qui se bouge comme autant de vague sur une mer déchainée. C’est une enseigne qui se met à clignoter qui attire ma curiosité. Très vite, je me suis retrouvé devant la porte d’une galerie d’art, bien planquée dans cette ruelle. J’ai poussé la porte et là, j...
Mariage arrangé
il y a 4 ans

L’histoire érotique d’un mariage arrangé de la grande histoire de France vers 1530

Etre la fille du seigneur, me permettait de vivre sereinement dans notre château. Les gueux ne se risquaient pas à m’ennuyer quand, en toute insouciance, je jouais dehors. Au contraire, ils baissaient les yeux à mon passage pour ne pas avoir d’ennuis. Espiègle de nature, lorsqu’un gueux se retrouvait au pilori, je prenais plaisir à aller agrémenter son calvaire en lui jetant des légumes pourris. C’est avec l’un d’eux que j’ai découvert ce qu’il y a dans les culottes des garçons. Pour m’amuser, à ses dépends, j’ai eu l’idée de défaire ses frusques pour mettre ses fesses à l’air. Il m’avait suppliée, je pense que c’était plus par peur des représailles possibles de mon père que par pudeur. Pour avoir osé me contrarier, j’ai pris une branche et je l’ai fessé. Je trouvais cela amusant de voir son sexe se balancer quand je frappais ses cuisses ou ses reins. Et puis il m’est venue l’idée de le fesser avec la main comme ma mère l’avait fait avec moi, avant de mourir des fièvres. C’est le...
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