Récits
La Vénus à la Fourrure
il y a 5 ans

Par Leopold Ritter von Sacher-Masoch « Dieu l’a puni et l’a livré aux mains d’une femme. »

Le livre est coupé en plusieurs parties pour en faciliter la lecture. J’étais en aimable société. Assise auprès d’une massive cheminée renaissance, Vénus me faisait vis-à-vis. Cette Vénus n’était pourtant pas une femme du demi-monde, de celles qui, comme Cléopâtre, ont, sous ce nom, fait la guerre au sexe ennemi : c’était bien la déesse d’amour en personne. Étendue dans un fauteuil, elle attisait un feu pétillant, dont les lueurs rosaient son pâle visage, et, de temps à autre, ses pieds mignons lorsqu’elle les en approchait. En dépit de son regard de statue, elle possédait une tête admirable, mais c’est tout ce que je vis d’elle. Son divin corps de marbre était enveloppé d’une immense pelisse de fourrure, dans laquelle elle s’était enroulée comme une chatte frileuse. « Je ne comprends pas, Madame, m’écriai-je ; il ne fait vraiment plus froid : depuis déjà deux semaines, nous avons un printemps délicieux. Vous êtes nerveuse, évidemment. - Merci de votre printemps »,...
La Vénus à la Fourrure 2
il y a 5 ans

Pose le pied sur ton esclave,

- En amour, il n’y a pas de juxtaposition, répliquai-je avec une solennelle sincérité, donc dès que j’ai l’option de commander ou d’être sous le joug, il me paraît très irritant d’être l’esclave d’une belle femme. Mais où trouverai-je la femme, qui, sans exercer son influence à l’aide de mesquines querelles, s’entend à dominer absolument, mais tranquillement et tout en gardant conscience d’elle-même ? - Cependant… cependant, cela ne serait pas difficile. - Vous croyez ? - Moi… par exemple - elle rit et se redressa en arrière - , j’ai les dispositions d’une despote… je possède aussi la pelisse indispensable ; mais, cette nuit, vous avez bien sincèrement eu peur de moi ? - En toute sincérité. - Et maintenant ? - Maintenant… maintenant, j’ai très sincèrement peur de vous. » * * * Nous sommes jour après jour ensemble, Vénus et moi ; complètement ensemble, nous déjeunons dans mon bosquet et prenons le thé dans son petit salon, et j’ai l’occasion de déploye...
La Vénus à la Fourrure 3
il y a 5 ans

Le contrat d'esclave

Je croyais connaître et comprendre cette femme à fond, mais je vois maintenant que je puis recommencer mon étude de plus belle. Avec quelle répugnance n’accueillit-elle pas dernièrement mes chimères et avec quel zèle n’en poursuit-elle pas aujourd’hui l’exécution ? Elle possède un contrat, aux termes duquel je me suis engagé, par parole d’honneur et par serment, à être son esclave aussi longtemps qu’elle le voudra. Son bras autour de mon cou, elle me lit à haute voix ce document inouï, incroyable ; après chaque phrase un baiser constitue le point. « Mais le contrat ne stipule de devoirs que pour moi, lui dis-je, taquin. - Naturellement, répondit-elle avec grand sérieux, tu entends être mon amoureux, je suis aussi liée à tous les devoirs et à tous les égards envers toi. « Tu dois encore regarder mes faveurs comme une grâce, tu n’as pas d’autre droit et tu ne dois non plus tirer de ce papier aucun avantage. Ma puissance sur toi doit être sans bornes. Songe que tu n’es dès...
L’italien
il y a 5 ans

Les confidences érotiques d’un étudiant gay

J'étais désormais en Terminale. J'ai rencontré rapidement en début d'année Valère, un Italiens blond d'1m83 environ, musclé sec, peau bronzée et très sympa. Les plans que j'eu avec lui durèrent jusqu'à la fin de mon année scolaire, et encore aujourd'hui quand nous nous voyons seuls, j'ai le droit à mon biberon quotidien. Tout à commencé un soir. Nous discutions en sms de choses et d'autre, et comme toujours avec moi, la conversation dévie vite sur le sexe. Il paraissait très ouvert et m'avoua rapidement avoir envie d'essayer le même sexe. Je lui avouais de mon coté avec déjà eu des expériences, et être un peu en manque. La conversation n'alla pas plus loin. Les jours défilèrent, et la question du sexe entre nous revint régulièrement sur le tapis dans les sms. J'hésitais beaucoup à faire des choses avec lui, je l'appréciai beaucoup et mes expériences précédentes m'avaient prouvé que le sexe change tout. Un samedi soir, je l'invitai chez moi et il me demanda si je pouvais le sucer....
La Vénus à la Fourrure 4
il y a 5 ans

Il se livre à elle comme jouet dans son aveugle démence,

Je pris la plume. « Laisse-moi signer d’abord, dit Wanda ; ta main tremble, craindrais-tu pour ton bonheur ? » Elle prit le contrat et la plume. Je levai les yeux en lutte avec moi-même, quand mes regards tombèrent sur de nombreuses peintures des écoles italienne et hollandaise, dont le caractère fantaisiste se rapprochait de celui du sujet bizarre du couvre-pied qui prenait pour moi un cachet tout à fait inquiétant : Dalila, une femme plantureuse à la chevelure d’un rouge de feu, était couchée, à moitié couverte d’un manteau de fourrure brune, sur un sofa rouge et se penchait en riant vers Samson, que les Philistins avaient jeté à terre et ligoté. Dans sa coquetterie railleuse, son sourire est empreint d’une cruauté vraiment infernale ; ses yeux, mi-clos, rencontrent ceux de Samson, qui lancent un dernier regard rempli d’un amour plein de démence, car bientôt un des ennemis s’agenouille sur sa poitrine, prêt à enfoncer dans ses yeux le fer brûlant. « Ainsi, s’écria Wanda,...
Piégée en plein selfbondage elle découvre les plaisirs saphiques
il y a 5 ans

Une histoire érotique de selfbondage qui change la vie d’une femme

Dès que j’étais sortie du train, j’avais acheté le journal local afin d’étudier les offres d’emploi, je m’étais assise à une table du buffet de la gare et j’avais commandé un chocolat chaud pour couper la faim qui me tenaillait. Mon doigt avait suivi nerveusement les colonnes de la page des annonces. J’avais eu soudain peur de ne rien trouver car de moi dépendait l’avenir et le bien-être de ma mère. Ce n’était pas une grande ville, le choix était donc restreint. Après avoir écarté les emplois de serveuses de café ou de restaurant aux horaires trop vagues, il ne restait plus qu’une place de serveuse dans une pizzeria, une de vendeuse dans une boutique, deux de femmes d’ouvrage et une de madame pipi dans un grand magasin. Les autres places vacantes demandaient un niveau d’étude bien plus élevé que le mien. Je décidai donc de me renseigner d’abord sur l’emploi de vendeuse. Si mon appel était négatif, j’essayerais les places de femme d’ouvrage. Sinon, il ne me resterait plus qu...
Déchéance Psychologique volontaire d’une soumise
il y a 5 ans

Les confessions érotiques d’une soumise trop heureuse de s’abandonner totalement

Les confessions érotiques d’une soumise trop heureuse de s’abandonner totalement Depuis quelques temps, je correspondais sur MSN à la recherche d’une femme qui saurait me plier à sa volonté, me mater, qui me demanderait de lui obéir et qui me conduirait sur la voie de la soumission. Je pensais avoir trouvé ce que je cherchais, son pseudo, psy13, conversait avec moi depuis deux semaines, et je me laissais aller à lui raconter ma vie, mes aspirations, mes fantasmes de soumissions… Je m’aperçois aujourd’hui que lors de ces échanges par claviers interposés, elle ne s ‘était jamais dévoilée, et je ne savais pas grand chose d’elle. Je savais qu’elle approchait de la quarantaine, était sportive, mesurait 1,71m et pesait 58 kgs. Elle se disait bien faite, aimant le classique, et semblait une femme très cultivée dont la position sociale devait être protégée. Elle m’avait réclamé plusieurs photos, pour me juger, je pense que mon physique devait lui convenir, et c’est pourquoi un j...
Déchéance Psychologique volontaire d’une soumise SUITE
il y a 5 ans

Elle s'abandonne vraiment .....

SUITE N°2 A quatre pattes, sentant la douceur de la laine des tapis tissés mains, aux graphismes compliqués, je commençais à avancer vers ce lieu désigné où je devais commencer à jouer mon rôle. Je n’avais pas dépassé le premier tapis que Madame m’arrêta en se plaçant devant moi. Je ne vis que deux escarpins de cuir noir, et des mollets bien faits dans un premier temps. Je relevais doucement la tête, eu juste le temps d’apercevoir l’ourlet de sa jupe, un coup sec de sa baguette me fit aussitôt plonger le regard vers le sol. Elle me lâcha cette phrase qui devait rester dans ma mémoire : « En ma présence, tu garderas les yeux baissés, si tu portais un regard sur moi, tu serais punie pour impudence. » Je répondis : « Oui, Madame… », elle s’écarta et je continuais ma progression, les lattes de bois de chêne étaient dures et me faisaient mal aux genoux. Aussi, c’est avec bonheur que je retrouvais un épais tapis de couleur rouge et vert qui me parut d’une douceur infinie et me pe...
Contrainte maximum (BDSM ABDL sexe)
il y a 5 ans

Du BDSM et de l’ABDL poussé à l’extrême avec de la bisexualité et des choses Hot Hot. Si vous avez l’âme sensible, ne lisez pas cette histoire.

RAPPEL ce texte est hard, si vous avez l’âme sensible, ne lisez pas cette histoire. Une cage de chasteté pour commencer, évidement, mais avec des pointes pour que chaque érection soit sanctionnée. A cela, se rajoute un ballstretcher pour bien étirer les testicules. Mais ce n’est pas tout, en ajoutant une sonde urinaire, il ne lui est plus possible d’avoir l’agréable sensation de relâcher sa vessie. Reconnaissons-le, uriner est parfois très agréable lorsque l’on a une grosse envie. Ce plaisir là, il ne l’a plus. Son anus n’a évidement pas été oublié, un énorme plug tunnel anti fuite dilate son fondement tout en lui retirant, encore une fois, le petit plaisir matinal qu’est celui d’aller se soulager. A présent, il ne sent plus rien physiquement quand il se relâche puisqu’il est ouvert en permanence. Une énorme couche s’est donc imposée pour collecter l’ensemble de ses besoins. Il a donc totalement perdu le contrôle de ses fonctions les primaires les plus intimes. Pourquoi s’arr...
Culottes tyroliennes et discipline
il y a 5 ans

Les confidences de Jean-Yves autour de la fessée et des shorts

##### Chez moi, il n’y avait pas de martinet, ni de déculottée, mais une discipline certaine entraînant très souvent des claquées sur les cuisses, ou des gifles pour aller plus vite. Les gifles, c’était pour les fautes les moins graves, nécessitant une remise dans l’axe immédiate. Cela n’altérait ni l’ambiance du moment ni même la bonne humeur. On recevait une seule gifle sur la figure, plus ou moins forte, on savait pourquoi, et c’était tout, on n’en parlait plus. Ces gifles tombaient sans préavis à la maison ou ailleurs, où que l’on soit. Cela faisait mal à la joue sur le coup, résonnait dans les oreilles mais passait assez vite. Petits, on avait souvent pleuré, mais assez vite en grandissant, on a encaissé sans broncher ni surtout chercher à se faire remarquer davantage. Le terme de « cuissées » n’était pas utilisé ni même connu, et pourtant c’est ce qui se pratiquait systématiquement chez nous pour les cas plus sérieux nécessitant une certaine gradation dans le châtiment...
Les confessions érotiques d'une fille en vacances dans une ferme isolée
il y a 5 ans

Les confessions érotiques d'une fille en vacances dans une ferme isolée

Les confessions érotiques d'une fille en vacances dans une ferme isolée Mon amie a une ferme isolée en pleine brousse du midi, dans les Corbières. En plein été il y fait chaud. Aussi notre tenue est légère. Le seul qui pourrait être gêné de nous voir presque nues serait le régisseur. Heureusement qu'en Août les travaux, chez elle au moins, cessent. Nous restons à peu près nues. Ça nous permet de nous mal tenir : quand elle m'embrasse sur la bouche, qu'elle me caresses quand je passe volontairement tout près d'elle. Une petite pièce d'eau juste à coté nous permet de nous baigner. C'est là où je préfère qu'elle m'aime. Nues nous nous caressons comme des chattes. Elle commence toujours par m'embrasser, recommencer, puis ensuite s'occuper en détail de mon corps consentant. J'aime quand nos seins se caressent lentement, comme j'aime sentir son ventre contre moi. Cette dernière nuit nous nous sommes longuement aimées, comme rarement. Contrairement à ce que pense les gens, le « vulgus pec...
Le chien soumis de monsieur
il y a 5 ans

Un bon soumis qui sait profiter des rencontres

Ce soir j’ai rendez-vous chez lui. Sa femme l’a quitté depuis plusieurs mois déjà et, pour reprendre ses mots, il a « bien besoin de se vider les couilles ». C’est une des choses qu’il m’a avouées lors de nos conversations sur un site internet. Voici d’ailleurs de brefs extraits tirés de nos échanges, question de donner une idée des rapports virtuels que nous avons entretenus avant la rencontre de ce soir : 1ère discussion : LUI : Alors, comme ça, tu cherches quelqu’un de directif et dominant ? MOI : Oui et ce serait d’ailleurs ma première fois avec un homme. J’espère rencontrer un mâle viril qui saurait prendre les devants pour me soumettre à son plaisir. LUI : Tu ne serais pas déçu avec moi, tu peux me croire. J’ai une belle bite qui cherche une bouche et un cul à défoncer toute la nuit. MOI : Si ce n’est pas indiscret, elle ressemble à quoi ta belle bite ? LUI : Un beau 9 pouces (23 cm), bien épaisse et bien dure. Après plusieurs autres conversations sur le même...
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