Récits
Stewart, une fantaisie africaine
il y a 6 ans

Le piétinement de sa vie

#### L'histoire érotique d'une homme qui avait le fantasme d'être piétiné, sans être vu, par des centaines de pieds insouciants, d'être réduit à l'état de tapis crasseux, au sens propre. Un homme, pareil à un caméléon, l'a réalisé. Fiction ou réalité, voici ce dont on ne peut rêver sans qu'un long frisson nous parcoure l'échine... Stewart : une fantaisie africaine Stewart James possède plus d'argent, qu'il ne pourrait en dépenser dans toute une vie. Regardant à travers le hublot de son jet privé, il sourit, songeur, à l'idée de sa défunte mère, qui lui a légué toute sa fortune. Neuf mois auparavant, Stewart n'étatit encore qu'un représentant pour une chaîne de la côte est, vendant du savon, trop fier pour demander de l'argent à sa mère. Il n'était pas très sociable, donc peu efficace dans son job, aussi vivait-t-il dans l'attente du prochain chèque. Les femmes, dont il louait les services deux fois par mois dans le but de le piétiner, étaient généralement trop chères, trop gr...
Mes Deux Maîtresses
il y a 6 ans

Mes Deux Maîtresses

J'ai rencontré Karin en boite de nuit ou des amis m'avaient entraîné malgré ma timidité maladive, cette belle brune aux seins lourds m'avait beaucoup impressionné du haut de son mètre quatre vingt sa taille fine enserrée dans une robe moulante je ne pouvais soutenir son regard évidemment elle s'en aperçu et vint me proposer un verre que j'acceptais en tremblant. Devant ma timidité révélée elle pris les choses en main et me demanda de la suivre dans un salon ou je serais plus a l'aise, les jambes tremblantes j'acquiesçait de la tête aucun mot ne sortant de ma gorge. Karin se présenta a moi elle était anglaise habitait le nord de Londres avait 36 ans et était célibataire, elle visitait Paris avec une amie Jane et devait rentrer à Londres dans quinze jours. Le rideau du salon s'entrouvrit c'était Jane petite femme rousse, couverte (pour ce que j'en voyait par son décolleté vertigineux de taches de rousseur), d'environ cinquante ans un peu ronde au visage strict cheveux tires en arrière e...
Les Voies De La Déesse
il y a 6 ans

Les Voies De La Déesse

Les Voies De La Déesse Cette histoire prend place dans un monde médiéval imaginaire. Le Culte de la Déesse est en train de s'y répandre, par les armes ou la séduction. Cette religion prône la suprématie féminine absolue et rabaisse les hommes au rang d'esclave ou de serviteur. Nous suivrons le parcours dans la soumission d'un général vaincu, obligé, pour sauver son peuple et sa femme, à se soumettre à la volonté des Prêtresses de la Déesse. Les Voies de la Déesse Prologue Cela devait maintenant faire plus d'une heure que j'étais au pied d'Alia, Grande et Première Prêtresse de la Déesse. Elle traitait les affaires de son Empire, comme chaque jour dans la matinée et recevait Prêtresses et dignitaires ayant des affaires ou requêtes requérant son attention. Alia venait de terminer une entrevue avec la Chancelière-Prêtresse, une femme d'une grande beauté prénommée Sofia. Ou Maîtresse Sofia, pour les personnes de mon rang. Il s'agissait de trancher quelques questions budgétaires épineuse...
Rompre Le Silence
il y a 6 ans

Rompre Le Silence

Rompre Le Silence Te voilà bien docile, s a n g lée sur cette croix, un bandeau sur les yeux. Ce silence reposant, enfin, après tant de questions, d'objections, de babillages futiles que j'ai bien dû t'interdire. Tu aimes ça, mes lèvres sur la pointe de tes seins. Impossible de le cacher. . Bien sûr, ce ne sont pas ces têtons durcis qui font de toi une salope, c'est qu'ils durcissent alors même que tu devines ce que je vais te faire. Ton esprit peut donner le change mais ton corps te trahira toujours. Les pinces te font grimacer mais tu ne manques pas de volonté. A peine un gémissement. Pas besoin de te donner le moindre ordre, tu sais que mon plus grand plaisir quand tu souffres est de t'embrasser longuement, de recevoir ta langue, de sentir ton souffle qui s'épuise peu à peu. Tu n'as pas le choix, il faut que tu t'abandonnes. Mais puisque c'est toi qui, pour une bouffée d'air, a fini par rompre mon baiser, je te condamne à haute et douce voix, à cinq coups de cravache. Parfois, je...
Sous ceinture de chasteté au sérail
il y a 6 ans

Sous ceinture de chasteté au sérail

Les ombres dansaient au gré des flammes brûlant dans le foyer, l’odeur du bois sec en feu répandant sa plaisante odeur dans la librairie personnelle de l’homme, assis à son bureau d’acajou massif. La lumière offerte par un soleil mourant n’était pas suffisante pour écrire, et la lueur du feu n’était pas assez forte. Un humain normal aurait requis la lumière d’une chandelle ou d’une lampe, mais Arkann pouvait aisément s’en passer. Il écrivait dans son manuscrit, comme il le faisait tous les soirs depuis son plus jeune âge, décrivant une journée sans histoire, sans lustre, sans succès ou désastre. Il en était à sa septième page, n’omettant aucun détail, car son expérience lui dictait qu’un rien en apparence signifiant pouvait parfois devenir la clef lui permettant de résoudre des mystères. Il prenait grand soin de sa calligraphie, écrivant en un code que lui seul pouvait décrypter, dans une langue depuis longtemps disparue. Le code changeait chaque année, et il n’utilisait jamais la mê...
Pause déjeuné
il y a 6 ans

Pause déjeuné

Pause déjeuné Ton téléphone vibre. Tu sursautes. C'est un SMS : "je t'appelle dans 5 minutes, sois dispo !". Aie, tu n'avais pas prévu que je t'appelles aujourd'hui. L’excitation se mêle à une certaine peur. Tu sais que je peux te demander n'importe quoi... Tu t'arranges pour être seule et tranquille. Ton téléphone sonne, tu décroches sans hésiter. - Bonjour toi, en forme ? - Oui, ça va, et toi. - Parfait. T'es habillé comment ? - (Petite voix) Jean, Tee-shirt, chaussures plates. - Aie. Ça va te coûter cher ! J'imagine que dessous c'est à l'avenant ? - Oui... - Et tu as mon rosebud ? - Oui dans mon sac. - Tu rigoles, tu crois que je te l'ai offert pour que tu l'enfouisses au fond de ton sac ? - ... - Alors écoutes moi : tu vas aller chercher ton rosebud, tu vas aller aux WC, tu te le mets, t'en profites pour enlever ta culotte et ton sous-tif. A midi je passe te prendre. - Oui - A tout à l'heure. Une fois raccrocher, tu retournes à ton bureau, tu prends ton sac, d...
Secrétaire particulière
il y a 6 ans

Secrétaire particulière

Secrétaire particulière Amélia entra dans le bureau de son supérieur. Elle déambulait élégamment du haut de ses talons aiguilles, sa jupe de tailleur remontait discrètement à chacun de ses pas. Amélia adorait bien paraître, elle était généralement sexy et détonnait avec les gens du bureau. Son tailleur noir s‚agençait bien avec la classe qu’exigeait son poste, mais son chemisier rose fuchsia témoignait bien de son originalité et de son refus de cadrer dans les règles. En entrant dans le bureau d’Alexandre, ses talons aiguilles claquaient sévèrement sur la céramique. Elle regardait d’un air dédaigneux la pièce ostentatoire ment décorée avec les fauteuils en cuir et le bureau massif foncé derrière lequel trônait son supérieur hiérarchique. Amélia lui trouvait quelque charme certes, mais son comportement hautain et arrogant le lui rendait insupportable. ˜ Voici le rapport et les règlements pour l’exportation au Royaume-Uni que vous m’avez demandés. — J’espère que ce rapport ne contien...
Ordalie
il y a 6 ans

Histoire érotique hard

Petite précision de vocabulaire issu de Wikipedia : L'ordalie consiste à faire passer à l'accusé une épreuve physique décidant de son sort. L'accusé était revêtu d'habits religieux pour se soumettre au « jugement de Dieu », l'épreuve se déroulant sous le regard de la divinité tutélaire de la justice, qui va sauver l'innocent et empêcher l'injustice. Le duel judiciaire est une ordalie bilatérale. Les épreuves y opposaient les personnes aux prétentions contradictoires. Les deux parties s'opposaient dans un duel à m o r t . Le vainqueur de l'épreuve prouvait par ce jugement divin le bien-fondé de sa prétention. Ce combat m o r t el, allant toujours à son terme, était courant pour les affaires de crimes. Le choix des armes se faisant selon la classe sociale, seuls les nobles pouvaient se battre à l'épée ou la lance. Se généralisant au XIe siècle, ce duel se poursuivra sous la dynastie capétienne , les institutions religieuses voulant l'interdire mais finalement le tolérant car la divini...
Marcher la nuit attaché dans la forêt
il y a 6 ans

Marcher la nuit attaché dans la forêt

Au dessus de chez moi il y a une grande forêt domaniale, avec une route forestière de plusieurs km sans passage la nuit. Je quitte mon domicile en début de nuit (23h) et je vais à l'extrémité de la route forestière. J'y dépose les clefs pour ouvrir ma voiture dans un endroit discret et identifiable (au pied d'une grosse pierre). Je repars vers l'autre extrémité de cette route. Je gare ma voiture en retrait. Je me mets en mini-jupe de cuir, collant clair et de belles bottes en cuir à hauts talons. Je me passe un collier, que je cadenasse et j'y fixe des menottes, qui pendent donc sous ma gorge. Je sors de la voiture en la fermant de l'intérieur, les clefs des cadenas et des menottes à l'intérieur. C'est fait, je vais faire plusieurs km pour aller chercher les clefs de la voiture et autant pour revenir. Je commence à marcher en mini et talons. Je suis m o r t de trouille en guettant les bruit des voitures qui pourraient arriver ou pire des cyclistes ou des marcheurs que l'on n'ente...
Au cinéma ce soir
il y a 6 ans

Au cinéma ce soir

Mon maître m’emmenait au cinéma. Comme toujours, c’est lui qui avait choisi ma tenue, et je l’avais enfilée. Une jupe moulante rouge qui m’arrivait à mi-cuisses, en coton assez lourd, avec bas à couture et porte-jarretelles. Un soutien-gorge ouvert sous un chemisier rouge assez léger, mais pas transparent, et une des chaussures à talon assez hautes. Plus mon collier, et un Rosebud décoré d’une pierre rouge. Mon maître sait que me faire marcher avec ça, surtout en talons, est un bon moyen de m’exciter. Donc, de me faire pointer les seins. De son côté, il emporta un sac messager. Je savais d’expérience qu’il pouvait avoir tout et n’importe quoi dedans. Et aussi que cela me vaudrait des surprises. Une fois au cinéma, il acheta nos tickets et choisit les places. Je ne saurais plus vous dire de quel film il s’agissait, un polar je crois. Les bandes-annonces passèrent, puis les pubs, puis le film commença. J’étais un peu trop électrisée pour me concentrer, nous étions venus à pied – vingt...
Rosebud et moto avec des bisexuels
il y a 6 ans

Rosebud et moto avec des bisexuels

Nous sommes vendredi et avec Laure nous rentrons à l’appartement après avoir fait les soldes, chacune les bras chargées de nos achats nous sommes heureuses. Laure s’est achetée un ensemble veste et pantalon qui lui va à ravir qu’elle à complétée d’une petite robe assortie, en plus elle a dénichée deux corsages magnifiques et une paire d’escarpins à hauts talons, pour ma part j’ai trouvée deux mini-jupes et une jupe mi longue fendue, une paire de bottines et un top à dos nu. Nous sommes épuisées et décidons de nous détendre dans un bon bain. Une heure plus tard nous sommes installées nues au salon devant un verre de pur malt en écoutant de la musique douce. Après avoir bues un deuxième verre, Laure me dit : - Que dirais-tu d’une petite sortie ce soir. Je ne vois pas d’objections si nous ne rentrons pas trop tard, lui dis-je. - Tu sais bien que nous savons quand nous sortons mais jamais quand nous rentrons, me dit Laure. - C’est vrai, dis-je, comment vois-tu la soirée. Nous nous...
Talons féminins masculins
il y a 6 ans

Talons féminins masculins

Clic, clac, clic, clac… la rue est quasi déserte en cette matinée de printemps et il me semble qu'on entend qu'eux. Je suis rue de l'Université à Paris, présentement chaussé de souliers rouges et noirs à talons hauts et je me dirige vers la musée d'Orsay. La rue longe l'arrière de l'Assemblée nationale et je vais devoir passer devant les sentinelles de la Garde républicaine de faction à l'entrée du bâtiment. Je songe à changer de trottoir mais je me dis que ce serait une reculade et que ce mouvement illogique attirerait peut-être même l'attention. Clic, clac, clic, clac… j'avance le regard droit devant moi, isolé dans ma bulle de soumission. Le garde ne peut pas ne pas remarquer cet homme habillé normalement mais dont la démarche est particulière et résonne sur le trottoir. Je suis cet homme et j'obéis à ma Maîtresse Niva qui m'a prescrit une virée parisienne en talons hauts. Retour en arrière. Je me revois à Montréal trois mois plus tôt. Avec ma Maîtresse qui conduit, nous roulons p...
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