Récits
L’excitation n’a pas d’âge
il y a 7 ans

L’excitation n’a pas d’âge

L’excitation n’a pas d’âge Cette aventure avait débuté lors d’une réception, dont j’avais la charge sur son bon déroulement. Je me garderais bien de dévoiler le pourquoi de ce rassemblement. Tout de fois, il y avait pas mal de monde. La collation était à la hauteur de l‘événement. Buffet froid, avec pétillant à volonté. Les convives allaient et venaient autour des tables, se goinfrant à s‘en faire péter la ponce. La cérémonie battait son plein, avec une ambiance bon e n f a n t . Dans un coin, se trouver Lucette, une habituée dans ce genre de parade. Elle était en train de discuter avec mon collègue Bruno, assise sur une chaise capitonnée. Une coupe de champagne dans sa main droite une assiette de friandises en équilibre sur ses genoux gainés de bas clairs. Je l’avais bien repéré à son arrivée, elle et son visage à la peau burinée, très ridée, avec son regard de vieille vicieuse. Juchées sur des escarpins noirs à talons hauts qui renf o r ç a ient le galbe de ses jambes, et allongé...
Attaché, bâillonné, éclaté !
il y a 7 ans

Attaché, bâillonné, éclaté !

Attaché, bâillonné, éclaté ! Au bout de la jetée, derrière le phare, quand on prend la route qui ne mène qu’au fond des entrepôts, il y a un endroit que les marins connaissent bien. Mais il faut de la chance pour tomber sur quelqu’un. Déjà, il faut oser s’aventurer entre les docks pas éclairés. Moi, j’ai été marin, donc c’est un monde que j’aime bien. J’ai servi treize ans, je sais bien comment faire avec les gars, comment ils se laissent convaincre selon leur nationalité, et je vois tout de suite s’ils ont envie de se vider ou pas. J’habite donc à St-Nazaire et je connais la région de fond en comble. Les pédés de la ville, ceux qui vont à Nantes, ceux qui viennent se donner du bon temps à la plage de Ste-Marguerite, dans la roche creuse au-dessus du chemin côtier, je les connais. J’ai trente-sept ans et honnêtement je fais moins. Plus par chance que par entretien. Je suis toujours assez hâlé, pas très grand, mais taillé dans le roc. Je porte les cheveux assez longs, j’ai une gueule...
Piégée et soumise
il y a 7 ans

Ce soir, Michel, mon époux, et moi-même, décidons d’inviter des amis, et voisins, à la pendaison de la crémaillère. En gros, une dizaine de couples. Je sors de la baignoire, lorsque Michel, entre dans la salle de bains, pour se doucher à son tour. Il se précipite sur la serviette, pour m’essuyer le dos. -Que tu es belle, ma chérie. Tu ne veux pas qu’on fasse un petit câlin, avant l’arrivée des invités ? -Oh non, dis-je, maintenant que j’ai pris mon bain. -Mais juste de bouffer la chatte, mon amour…allez, je sais que tu aimes ça. -Elle va être toute mouillée après…ah salaud, tu connais mes points faibles. Je m’assieds sur le plan de travail du lavabo, écarte mes jambes. J’offre ma chatte, fraichement épilée, au doigt et à la langue de mon mari. J’ai un léger gémissement, quand il aspire mon clitoris. -Tu sais ce que j’aime, salaud…vas-y, manges moi… -Je vais te baiser, souffle mon mari. Malgré une folle envie, je refuse, nos invités ne vont pas tardés à arriver. Michel n’insist...
La servante en couche culottes en caoutchouc
il y a 7 ans

La jeune servante dévergondée

Klapp… Klapp… Klapp… Retentissaient les sabots des pattes du cheval sur les pavés durs et brûlants de la route, faisant tourbillonner de petits nuages de poussière. Denise s’appuyait en arrière et regardait, intéressée, le large dos du cocher taciturne assis devant elle. Alors elle ouvrit son sac à main, prit la lettre d’embauche de Madame Babouche et recommença à la lire minutieusement. Finalement elle toucha le bras du cocher et demanda : "Dites moi, Jacques, quel âge ont les e n f a n t s à Saint-Montagneux ?" "Brrr… ?" Jacques, le cocher noir de cheveux, tira sur les rênes et arrêta la voiture lentement il se retourna et regarda en fronçant les sourcils la jeune femme, élancée, sur le siège arrière. "Il ressemble à un pirate, pas mal…" pensa Denise un long moment après. "Des e n f a n t s ? Pourquoi parlez-vous d’e n f a n t s ? Il n’y a aucun e n f a n t à Saint-Montagneux. Là habitent le vieux Monsieur, Madame et Monsieur. Mademoiselle Lisette, mais qui est déjà a...
Bizutage par des gays à l'internat
il y a 7 ans

Bizutage par des gays à l'internat

Bizutage par des gays à l'internat J'étais en terminale, interne dans un nouveau lycée. Le premier soir, je découvre la chambre que l'on m'a assignée. Frédéric est arrivé avant moi et a commencé à déballer ses affaires. Très brun avec un regard noir perçant, des traits fins et des cheveux mi-longs, Fred, finement musclé, est de ma taille. Nous nous présentons. Fred me dit qu'il est aussi nouveau dans ce bahut. Immédiatement, je ressens un bon feeling avec mon roommate. Après avoir rangé nos affaires, Fred me propose de prendre ma douche en premier dans la salle de bain que nous partageons. Je me dépoile et je sens son regard perçant qui m'observe. Après ma douche, je me sèche, mets un caleçon et entre dans la chambre. "La place est libre !" Fred se désappe devant moi et j'en profite pour bien mater son petit cul. Le 4e soir, alors que nous avions pris nos douches et que nous étions tous les deux couchés, vêtus simplement d'un caleçon, quatre mecs débarquent dans la chambre, allument l...
La servante en couche culottes en caoutchouc 2
il y a 7 ans

Dévergondage puissance 10 !

Elle posa sa valise sur la table et ouvrit les serrures. Contente Lisette l’aida à la déballer. Denise retira une courte robe noire, des bas noirs, un petit bonnet et un tablier, et elle commença à se déshabiller. Lisette l’observait avec un regard émerveillé. "Oh, Denise !" cria-t-elle enthousiasmée, "comme tu es jolie, que tu as une mignonne culotte." Denise encore vêtue de son slip en soie rose bien ajustée, se tourna coquette. Lisette s’approcha d’elle et caressa du bout des doigts le tissu brillant. "Merveilleusement lisse, n’est ce pas ?" demanda Denise. Lisette hocha la tête. "Excitant de douceur, où l’as tu eu ?" Denise pinça les lèvres. "A ce sujet, on n’en parle pas en femme, mais tout à fait confidentiellement, ma dernière patronne avait cinquante ans et Monsieur seulement trente-huit et il était fichtrement bien. Ho, oui !" "Oui et pourquoi es tu partie de là ?" "Pffft ! Madame a trouvé tous les jolis dessous que Monsieur m’avait offert." "Et t...
Je rêvais de découvrir l'orgasme lesbien
il y a 7 ans

Je rêvais de découvrir l'orgasme lesbien

Je rêvais de découvrir l'orgasme lesbien Il est 18h, et nous sommes le 04 mai 2008. Je suis seule à la maison, mon ami est en vacances pour quelques jours. je suis confortablement installée sur mon fauteuil de bureau, je sens mes seins gonflés et tout durs. j'ai la chance d'avoir une généreuse poitrine et j'aime caresser tranquillement mes tétons. Ils pointent, c'est agréable. Je glisse mes mains sous mon tee-shirt et dégrafe mon soutien-gorge. Comme c'est agréable de ressentir pleinement ma si belle poitrine, quel délice de se découvrir ... Je ressens une petite décharge dans le fond de ma culotte et je joue habilement avec mes tétons. Ils sont de plus en plus durs et j'apprécie de pouvoir faire jouer mes longs ongles sur cette partie de mon corps. J'attr a p e un de mes seins et attire vers ma petite langue son téton en imaginant la présence d'une magnifique femme nue à côté de moi. Nos bouches sont attirées l'une vers l'autre et nos deux langues se mélangent. Elle passe ses mai...
Le cadeau
il y a 7 ans

Le cadeau

Je suis l'esclave de ma femme. Je suis son soumis, je suis son objet. Je suis sa pute, je suis sa chienne. Son chien, son marchepied, sa poubelle, son ordure. Je suis tout ce que vous pouvez imaginer d'humiliant et d'humilier pour elle ! Je m'appelle Peter Ruiter. Ma femme me domine en tout : en âge : j'ai la vingtaine et elle a la trentaine ; en taille : elle est plus grande que moi ; en poids : elle pèse plus que moi ; en patrimoine économique : elle gagne plus que moi ; en sexualité : j'ai connu quelque femme, elle a connu une ribambelle d'hommes ! Ma femme me domine en tout et ça me fait bander. Physiquement je suis roux aux cheveux courts, petit de taille et de corps, j'ai un visage poupin qui me fait ressembler à une fillette. Ma femme, ma Maitresse, est parfois brune, parfois blonde, parfois rousse, ça dépend, en ce moment elle est une brune aux longs cheveux noirs. Personnellement je la préfère avec les cheveux noirs je trouve que ça lui donne du sévère. Je suis étudiant, j...
Ma première soumission
il y a 7 ans

Ma première soumission

Ma première soumission Je roulais à toute allure dans la nuit noire, j’étais en retard je le savais. Pourtant j’étais partie de chez moi à la bonne heure mais il ne m’avait pas prévenu qu’il y avait des travaux sur la route pour aller chez lui. Les arbres défilaient et je me remémorais nos conversations sur ce site de rencontre. Un homme charmant de 10 ans de plus que moi. Au fil des discussions, nos conversations ont déviés sur le sexe, je le sentais sûr de lui, ce qui m’excitait beaucoup. A force de me poser des questions je finissais par lui avouer que j’avais des fantasmes de soumises depuis longtemps mais que je n’avais eu que des hommes qui n’étaient pas vraiment dominants. Bien sûr j’avais déjà eu le droit à quelques petites claques sur les fesses, un de mes ex m’avait vaguement essayé de me sodomisé une ou deux fois mais ça n’était jamais allé plus loin. Dans la suite de notre conversation il me répondit qu’il était lui-même dominant pratiquant et que si je voulais nous pourri...
Ma rencontre avec un Monsieur
il y a 7 ans

Ma rencontre avec un Monsieur

Ma rencontre avec un Monsieur J’avais dix-huit ans et je venais d’emménager sur Paris. Après des années à vivre dans un petit village isolé, je découvrais la capitale et la vie nocturne qui allait avec. Malheureusement, peu habituée, je ne savais pas encore comment en profiter. Sur les conseils d’un ami de longue date, je m’inscrivais sur un site de rencontre mais sans grand succès. Les hommes avec qui je parlais étaient soit bien trop directs et m’effrayaient, soit pathétiquement maladroits dans leurs techniques d’approche. Je continuais cependant de correspondre avec certain d’entre eux. Il y en avait un avec qui je parlais plus souvent que les autres. Nos conversations étaient assez anodines et, vivant dans le nord, il n’était présent à Paris que de temps en temps. Plus les semaines passaient, plus il devenait curieux, séducteur, voir un peu coquin. Nous nous sommes accordés sur une rencontre juste après les fêtes de noël. Je rentrais donc en famille pour le réveillons, mais tous...
Humiliations Chéries
il y a 7 ans

Humiliations Chéries

Humiliations Chéries Ce texte est extrait d'un ouvrage publié vers 1930 dans la collection "Orties Blanches" Monsieur, Je ne suis qu’une simple femme de chambre, mais ça n’empêche pas que j’ai lu vos livres. Du reste, je ne les ai pas achetés, mais je les ai trouvés dans les affaires de ma patronne et ça m’a bien divertie. Il y a surtout dans Clotilde et quelques autres des histoires de lavements qui m’ont bien plu, parce que c’est des histoires que je connais bien ; seulement, avant, je croyais qu’il n’y avait que chez Madame qu’on pouvait voir des choses comme ça, mais je vois bien maintenant que ça se passe ailleurs aussi. Quand je suis rentrée chez Madame, il y a trois mois, je ne me doutais pas du tout de ce qui allait arriver, surtout que c’est une dame très bien (...) Alors, il y avait juste une semaine que j’étais au service de Madame, un matin Madame m’appelle. Je vais la trouver et elle tenait dans ses mains un irrigateur. "Venez avec moi, Justine, c’est aujourd’hui le jou...
Il m’a fait faire la pute
il y a 7 ans

Il m’a fait faire la pute

Il m’a fait faire la pute Voilà quelques semaines que je connais Julien. Nous nous sommes rencontrés dans un sauna, plus précisément dans les vestiaires d’un sauna, en nous rhabillant. Je n’avais pas spécialement flashé sur lui initialement dans les vapeurs des cabines, mais quand je l’ai vu enfiler son pantalon en cuir, je n’ai pu retenir un coup d’œil appuyé sur lui. Physiquement, il ressemble à ce que je qualifierais à quelqu’un de « normal », genre 1m75 pour 60-65kg, la trentaine, blanc. De ce point de vue nous avons à peu près la même silhouette. Par contre il portait superbement bien son fut cuir. J’avoue ne pas en porter moi-même, peut-être par appréhension. Il n’empêche qu’un mec en cuir me fait toujours de l’effet. Quoi qu’il en soit, Julien avait remarqué mon regard appuyé sur son fut cuir dans le vestiaire du sauna. Il s’est approché de moi et a engagé la discussion. Nous avons plaisanté sur deux-trois sujets, puis il a embrayé sur son côté cuir. Lui comme moi avions fait...
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