Récits
Expérience dure d’une soumise âgée de 22 ans
il y a 7 ans

Expérience BDSM mal vécue

J'avais 22 ans environ lors de ma première vraie soumission, et de ma première fessée. A cette époque j'étais soumise à mon époux et Maître (mais ce n'était qu'un jeu que nous pratiquions certains WE...) de la façon suivante toujours du vendredi soir au lundi matin. Il choisissait les vêtements que je portais, les préparaient pour la journée. Je possédais des robes ouvertes devant, des kilts, des jupes boutonnées, des chemisiers ouverts ou transparents, des soutiens-gorge, des bas et des porte-jarretelles, quelques culottes (pour aller chez le médecin, par exemple) et des chaussures avec 9 ou 10 cm de talon. Dans l'intimité, je le vouvoyais toujours et l'appelais Maître. Je portais souvent un collier de cuir avec un anneau, auquel parfois il attachait une laisse. Les autres devoirs étaient variées, et selon ses ordres Je le servais nue à table et restais debout près de lui les mains derrière la tête ; nue aussi pour faire le ménage, j'étais parfois au coin une ou plusieurs...
Remis au pas
il y a 7 ans

Remis au pas

Remis au pas Je suis un homme âgé de 45 ans et marié depuis dix ans avec une fort jolie femme du nom de Mathilde. J'ai toujours montré à son égard une jalousie qu'elle trouvait excessive. Devant mes questions et interrogatoires lorsqu'elle s'absentait, ou qu'elle parlait avec un autre homme, elle s'énervait et me traitait de bébé jaloux. Un jour elle m'avertit qu'elle me donnerait de vraies raisons d'être jaloux. Ces avertissements ne m'inquiétaient pas et je lui répondais que je casserais la figure du premier que je verrais lui toucher. Malgré de nombreuses disputes et bouderies, elle n'avait jamais réussi, jusqu'à ce mois de mars 2005, à modifier mes habitudes à cet égard. Chapitre 1 Au début de ce mois, après une dispute provoquée encore pour les mêmes raisons, elle finit par me faire promettre de me calmer définitivement. Le week-end suivant, nous avions prévu partir chez des amis habitant une charmante demeure à la Rochelle. Mathilde se chargea elle même des bagages. A...
Le plaisir caché
il y a 7 ans

Le plaisir caché

Le plaisir caché Linda venait de finir ses études de secrétariat. Cette belle jeune fille de 23 ans aux longs cheveux blonds était à présent à la recherche de son premier emploi. Cela ne fut pas si dur à trouver compte tenu du charme que dégageait la jeune fille. Elle fut en effet embauchée dans un cabinet médical en tant que secrétaire. Son travail était peu passionnant : gérer les rendez vous des patients, aider le médecin à classer ses différents dossiers, taper les feuilles d'ordonnances. Mais cela ne l'empêchait pas d'être toujours aussi souriante et aimable envers les patients qui rentrent dans la salle d'attente. Le problème c'est qu'elle restait la majeure partie de sa journée assise derrière son bureau de réception, à taper à l'ordinateur. Au bout de plusieurs semaines, elle en eu vite assez de rester immobile dans cette maudite salle d'attente, il fallait qu'elle bouge, elle ne pouvait plus rester en place. Hélas elle ne pouvait aller bien loin, et était donc obligée de pr...
Fécondation rituelle
il y a 7 ans

Histoire érotique hard

Fécondation rituelle L'histoire que je vais vous raconter est véridique. Elle débute dans les années 70, et ce que vous lirez ne reprend que quelques épisodes d'une relation tout à fait folle qui dura plus de 10 années. La raconter me permet de la revivre en pensée, avec il est vrai, pas mal de nostalgie. Etant marié, j'avais depuis plusieurs années, une liaison avec une collègue de travail, Cathy. C'était un petit bout de femme, 23 ans, au corps de gamine, 1,55m, mince, à peine plus de 40 kilos. Son corps était bien dessiné, une taille très fine, des hanches étroites, des seins un peu lourds, et une stature naturellement très cambrée, mettant sa croupe en valeur. Ses cheveux étaient coupés à la garçonne, ses yeux marrons, viraient au noir lorsqu'elle était fâchée, ou noir brillant lorsqu'elle était excitée. Une lueur étrange brillait alors dans son regard, et elle se suçait la lèvre inférieure, comme pour patienter de recevoir tous les plaisirs qu'elle attendait de son amant....
Dominer avec d’autres femmes dominantes
il y a 7 ans

Humiliation chasteté et cruelle fessée

##### Mon mari est moi sommes toujours très amoureux l'un de l'autre, et nous aimons vivre cette relation sous le signe de la domination féminine. Chaque jour il me dit qu'il est de plus en plus amoureux de moi et me remercie de l'autoriser à me servir. Il me remercie de lui permettre de révéler sa nature soumise, de l'actualiser et la développer. Chaque jour il soumet sa volonté à la mienne et met mes besoins et désirs avant les siens. Je l'aime aussi de plus en plus. Je me sens parfois égoïste mais ensuite je réalise que nous faisons ce qu'il désire, ce qui le rend heureux. Je suis bénie et je veux le rendre heureux. Notre mariage est fondé sur le respect mutuel et la compréhension. Nous voulons notre relation pérenne et heureuse. Comme pour toutes les relations, même quand la femme domine, il faut un effort des deux... J'ai appris à devenir le décideur dans notre relation. J'ai été éduquée pour être une femme soumise traditionnelle, mais dans les dernières années je suis de...
Cave surprise
il y a 7 ans

Cave surprise

Cave surprise Lorsque j'entrais dans cette cave, où Françoise m'avait donné rendez-vous, je ne me doutais pas de ce qui allait arriver. Une forte odeur de poussière et de chaleur se dégageait, et j'allais au fond comme elle me l'avait indiqué. Sur une porte, une enveloppe portait mon prénom. Je l'ouvrais et trouvais une clé et une feuille qui me donnait ses souhaits. Comme je pratiquais ces jeux sensuels avec Françoise, je savais que ses souhaits étaient des ordres ! Elle me demandait donc d'ouvrir la porte avec la clé, de me mettre nu et de me passer les menottes dans le dos. Ensuite je devais attendre. Je me déshabillais donc, mais avant de me menotter, je jetais un ?il dans le carton. Il contenait quelques chiffons, un martinet en cuir à lanières souples et fines, une cravache en nylon et quelques pinces à linge. Je connaissais bien l'usage de ces instruments et me mis à fantasmer sur l'heure que nous allions passer. Je me mis donc une pince à linge sur chaque téton, les menottes...
Je suis enfin devenue moi
il y a 7 ans

Être ou ne pas être, telle est la question. Être enfin soit même et vivre selon ses envies quitte à tout plaquer ou vivre frustré avec des éternelles regrets ? Je me suis longtemps posé cette question jusqu’au jour où j’ai eu la réponse. Comment ? Dans la vie, je n’ai pas à me plaindre. Gérant d’une boutique de prêt à porter depuis presque 10 ans, je suis marié à Nadège. Si nous sommes relativement complices, nos carrières ont largement pris le pas sur notre couple et la routine est omniprésente entre nous. Nadège est plus souvent en séminaires aux 4 coins de la France qu’à la maison à un point où j’ai plus l’impression d’avoir une colocataire qu’une femme. Sur le plan sexuel aussi, c’est la routine. Nadège ne connaît pas la fellation ou la sodomie et les rares rapports que nous avons c’est un banal missionnaire dans notre lit. Mais bon je l’aime. Malgré tout, elle est si coincée sexuellement qu’il est hors de question de lui parler de mes désirs voir fantasmes. Ça serait source de...
6 esclaves
il y a 7 ans

6 esclaves

6 esclaves Amanece entre dans la salle et ils sont là : les six esclaves mâles alignés, bien droits, mains croisées sur la tête, les jambes légèrement écartées. Ils ne bougent pas, tremblants dans l'attente de la punition qu'ils vont recevoir. "Branlez-vous !" ordonna-t-elle. Ils prennent leurs queues dans leurs mains et commencent à se branler. Elle marche autour d'eux, sa cravache en main, frappant de-ci-delà un cul, un dos, une bite, selon son bon plaisir. "Mettez-vous deux par deux face à face et branlez la queue de votre partenaire. Attention ! Celui qui jouit sera sévèrement puni. Celui qui résiste aura le droit de continuer l'exercice". Chacun essaye de faire juter l'autre... mais pour l'instant ils résistent tous. "On change ! Le partenaire de droite se met à genoux et suce l'autre. Quand je crierai 'Assez !', vous inverserez les rôles. Celui qui ne pourra pas se retenir aura droit à 20 coups de cane sur le cul, et des bons coups". Tous se mettent à suer de peur, mais to...
Une soumise un 15 août à Paris
il y a 7 ans

Une soumise un 15 août à Paris

Une soumise un 15 août à Paris Résumé de cette histoire que j'ai adorée et qui m'a..... : Delphine et Paul se retrouve pour le WE. Elle va faire ses premiers pas dans la soumission, bondage, exhibitions et humiliation n’auront plus de secret pour elle. ....................... Ce week-end du 15 août à Paris s'annonçait mal. Paris était vide, tous les copains partis en vacances. Je n'avais rien de prévu pour occuper ces trois longues journées (je suis dans une boite de pub et je ne travaille pas le lundi). Tout à coup, le téléphone a sonné, me faisant sursauter. Etonnée, j'ai décroché. Quel plaisir d'entendre la voix chaude de Paul. Paul est un ancien copain de fac, perdu de vue depuis deux ou trois ans. Aux dernières nouvelles, il travaillait au Gabon. Je dois avouer qu'il m'a toujours beaucoup troublée. - Salut, Delphine, c'est Paul. - Paul! Quelle bonne surprise! - Je suis à Paris pour le week-end. Ca te dirait qu'on dîne ensemble? - Oh oui, bien sûr. Je n'ai rien de prévu pou...
Ecartelé sur le lit par ma belle épouse
il y a 7 ans

Ecartelé sur le lit par ma belle épouse

Ecartelé sur le lit par ma belle épouse Mariés depuis quatre ans, ma femme et moi exerçons tous deux une profession libérale, avec des horaires irréguliers nous laissant quelques belles après-midi pour profiter de la petite villa que nous louons en pleine campagne. Plutôt tendres et romantiques, il nous arrive quelquefois de céder à nos envies partagées et réciproques de « faire de l'autre sa chose ». Depuis longtemps que je revenais à la charge avec de nouvelles idées, ma femme a décidé dernièrement de passer à l'acte. Elle m'a prévenu qu'elle allait me faire vraiment sentir à quel point je lui appartiens, comme je le lui affirme souvent. Elle avait d'ailleurs un petit sourire étrange et inhabituel, un éclat dans le regard. Nous étions un mercredi après-midi, il fallait qu'elle retourne travailler dans une heure alors elle m'a demandé presque sèchement de me déshabiller. Pendant ce temps, elle était en train de sortir du tiroir de notre commode les quelques « ustensiles » qu'il nous...
Un esclave bien domestiqué
il y a 7 ans

De la domination de haut niveau

Il était bientôt dix heures du matin et dans l'une des chambres à coucher de cette coquette villa avec piscine bâtie dans la campagne provençale, Marine, 31 ans, experte en commerce international, cheveux châtains mi-longs et de superbes yeux bleus, se réveillait doucement. Elle porta son pied nu de sous le drap et l'abaissant nonchalamment, elle ne rencontra que le sol de tomettes ; ce contact lui fit froncer les sourcils ; où était Pieps? Revenant peu à peu de son profond sommeil, ses idées se remirent en place ; elle était en vacances, dans une location accueillante qu'elle partageait avec ses trois amies, Rose, Elise et Jeanne. Et c'était au tour de Pieps d'être l'esclave de pieds "public" aujourd'hui. Cela signifiait qu'elle l'aurait fort peu à sa disposition durant la journée et bien que la perspective de la venue en fin d'après-midi d'un sympathique jeune homme la veille sur un court de tennis lui fasse entrevoir une soirée fort agréable, l'indisponibilité immédiate de son es...
UN BAL BIZARRE
il y a 7 ans

Le corset n'était même pas lacé que j'avais déjà perdu cinq centimètres de tour de taille.

C'était une journée très chaude en Italie dans les environs de Pise. L'absence de vent et de nuage, l'air lourd, dense à peine respirable. La terrasse face à la plage, était éblouissante et brûlante. L'intérieure de la pièce ouverte par de larges arcades, était protégée du soleil par de grandes tentures de toile blanche. Elle ne portait que la culotte de son bikini, couchée en travers d'un divan, loin du soleil, accablée de chaleur. La camériste de madame entrât, suivie de deux femmes de chambre un peu fortes, la sueur perlait sur leurs fronts. Tenue stricte, robe légère très courte, mais noire avec tablier blanc et coiffe. Chignon fait de deux nattes enroulées, serrées sur le haut du crâne. C'est madame qui exigeait cette tenue, quelque soit la chaleur du moment. Ont se serait cru reculer de cinquante ans. - Bonjour mademoiselle. Madame a choisi votre robe pour la réception de ce soir, Sophie tournât à peine la tête. Il faisait vraiment trop chaud pour bouger, et puis il n'ét...
Publicité en cours de chargement