Il s’en passe de belles sur les lieux de travail, savez –vous ? L’on dit aussi qu’un bon rire vaut un beefsteak, chouette pas besoin de souper !!! Imaginez !!! J’ai un charmant collègue qui passe chaque jour saluer chacun d’entre nous. C’est un joyeux luron qui ne perd pas une occasion pour discuter et raconter quelques blagues. Il est charmant. Un jour qu’il passait dans mon service, une collègue l’avait interpellé et il lui avait répondu qu’elle méritait une fessée !!! Ma collègue : -« Mais c’est pour les petites filles, j’ai passé l’âge ! » Mon collègue : -« La fessée c’est la punition des petites et la récompense des grandes » Moi (sans réfléchir) : -« Je suis bien d’accord avec toi » Lui : -« Tu m’as l’air bien au courant, toi ! » Oupsssssss démasquée, je suis devenue rouge comme une tomate, pour sûr. Cet après –midi, voilà ce même collègue qui passe faire sa tournée de salutations et emprunter quelques trombones par la même occasion. Je suis...

##### Il se dit souvent que la fin justifie les moyens. Mais l'expérience m'aura appris à ne plus provoquer Elodie inutilement. Tout avait commencé de façon banale lors d'un cours de karaté. Quelques petites remarques taquines sur cette obsession qu'ont certaines femmes de vouloir imiter les hommes dans tous les domaines et sur leurs inévitables limites physiques. Enfin bref, j'avais suggéré à Elodie qu'elle aurait bien du mal à vaincre un adversaire masculin, même s'il était néophyte en matière d'arts martiaux, comme moi. Je n'aurais pas dû insister, mais j'ignorais alors qu'elle prenait son sport tellement à coeur. Je ne fréquentais ces cours que pour l'occasion qu'ils m'offraient de regarder de jolis pieds nus féminins et, de temps à autre de savourer le spectacle excitant d'une femme terrassant un homme. J'avoue aussi qu'Elodie me plaisait. Ce qui avait commencé comme une simple taquinerie se transforma bientôt en défi et c'est ainsi qu'à mon corps (presque) défendant, je me...

Ce jour-là, Maîtresse était d'humeur taquine. J'étais assis à mon bureau, tâchant de travailler alors que mon esprit vagabondait, ici et là, pensant à Elle seule. C'était presque douloureux de La savoir si proche de moi, moins de deux kilomètres séparent ma maison du bureau. Je rêvais de quitter mon poste pour aller La rejoindre. Quelques minutes avant midi, mon téléphone sonna : ma secrétaire m'annonça qu'une Femme souhaitait me voir. Elle ne s'était pas présentée. Cela me rendait furieux d'être dérangé au milieu de ma rêverie. J'allais prendre du retard dans mon travail et, pire encore, je voulais profiter de la pause déjeuner pour écrire quelque chose à Maîtresse. Mais, je répondis : « D'accord, qu'elle entre. Vous pouvez aller déjeuner, nous verrons le reste plus tard ». Ma secrétaire répondit de manière affirmative. Je l'entendis partir, fermant la porte. Pour autant, personne ne rentrait dans mon bureau. Je me levai et criai : « Allez-y, entrez ! » Aucune réponse et personne ne...

Enfin, je retrouvais cette garce de Kellie Bruner. Cette chienne m'avait largué au bout de seulement quatre mois, juste parce que j'avais embrassé une autre fille. Nous n'étions encore même pas véritablement ensemble ! Cela me fit mal au-delà de tout ce qu'il est possible d'expliquer, et rien de ce que je lui dis ne la fit changer d'avis. J'avais été plutôt dominateur durant cette relation. Je faisais l'amour quand j'en avais envie. Et là, tout avait changé. C'est elle qui avait pris le contrôle, et je ne pouvais pas le supporter. Après avoir pleuré tout au long des deux derniers mois, je pris la décision de la mettre dans l'embarras, de lui faire payer tout le mal qu'elle m'avait fait. Elle ne m'intéressait plus. Elle ne suscitait plus aucune réaction en moi. Mais ce soir là, elle se montra à la soirée à laquelle j'étais moi-même invité. Elle était accompagnée d'un garçon et de sa meilleure amie, Monica White. Je souris intérieurement en pensant à ce que j'allais lui faire subir....

Comment tout avait commencé : Entre Fabienne et Jean-François, ça n'avait pas été un coup de foudre dès le départ. Mais peu à peu, ils avaient fini par s'apprécier et avaient entamé une relation basée avant tout sur la tendresse et l'affection. Coté sexe, leur relation était convenable sans être exceptionnelle : JF était moyennement performant. Sa bite était honorablement dans la moyenne mais il avait parfois du mal à bander vraiment dur, Fabienne n'avait jamais d'orgasme ainsi. Par contre, Elle ne se lassait pas de se faire lécher et JF manifestement adorait ça. Un jour, JF vit sur un forum Internet un dialogue sur le thème des cages de chasteté pour hommes. Il ne savait pas que cela existait et entreprit des recherches. Ce qu'il lut l'excita à un tel point qu'il décida d'en parler à Fabienne. Au départ peu enthousiaste, Elle se dit « pourquoi pas ». Le jour ou la cb3000 arriva, Fabienne changea d'avis complètement : L'idée d'avoir ce pouvoir sur son « homme » la troublait...

Ce soir la, quand Jean François rentra, il trouva Fabienne habillée très sexy. Depuis quelques mois, Elle contrôlait sa sexualité en l'enfermant dans une cage de chasteté dont l'efficacité était redoutable car elle lui interdisait totalement l'accès a son propre sexe et donc de se masturber. Fabienne avait exigé que Jean François porte cette cage depuis qu il lui avait avoué se masturber en pensant à Laurence, son ex Femme, avec qui il avait eu des relations sexuelles plus que libérées, celle-ci ayant eu plusieurs amants, y compris en sa présence. Fabienne avait très mal pris cet aveu, et avait réagit aussitôt en mettant Jean François en cage après une mémorable correction au martinet qui lui laissa des marques pendant plusieurs jours. Depuis ce jour, Fabienne avait pris l'habitude de maintenir JF en cage pour des durées plus ou moins longues, et avait constaté qu'étant en cage, il devenait au bout d'un moment beaucoup plus amoureux, prévenant et galant avec Elle, ce qui l...

##### Quand JF rentra de son travail, il trouva Fabienne en train de s'apprêter à retrouver son amant. Elle avait choisi de se faire provocante dans sa tenue : mini ultra courte qui quand elle était assise laissait deviner la dentelle de ses bas, et surtout un cache c?ur dentelle semi transparent qui ne cachait vraiment que peu de choses. Une fois maquillée, Fabienne l'embrassa et lui souhaita une bonne soirée avec un sourire narquois. Elle le devinait jaloux et frustré et cela l'amusait. « Bonne soirée mon chéri. Tu penseras à moi ce soir ? » Puis Elle parti à son rendez vous. Pour JF, la soirée fut horrible. Il imaginait Fabienne faisant l'amour avec un autre homme et cela le désespérait et l'excitait à la fois. Il ne put dormir Fabienne rentra tard dans la nuit. Elle fut surprise de le trouver éveillé et l'embrassa. « Ca va mon amour ? Tu ne dors pas ?» « Comment veux tu que je dorme alors que je sais ce que tu fais ! » « Chut mon chéri. Je suis épuisée. Laisse moi...

Il ne fallait pas lui faire connaître la cage de chasteté 4 Fabienne allait chez son amant aussi souvent qu'elle le désirait mais exigeait en même temps une disponibilité totale de la bouche et de la langue de Jean-François. En général, Elle rentrait épuisée de chez son amant et s'endormait aussitôt dans les bras de Jean-François, mais parfois exigeait de lui un dernier câlin et qu'il lui lèche la chatte encore humide de sperme. Puis Elle s'endormait, satisfaite et heureuse de cette relation qui lui convenait si bien : Son Mari pour la tendresse, la sensualité et l'amour , et Son Amant pour la baise pure ! Avec JF, Elle était le Femme dominatrice raffinée, cruelle et exigeante. Avec son amant, Elle n'était plus qu'une salope, soumise, docile et offerte. Par contre, Fabienne se posait une question : Devait elle permettre à JF de jouir en Elle ? Elle même n'y tenait pas vraiment. En fait si Elle y pensait, c'était uniquement pour lui faire plaisir à lui, un peu comme une récompense. S...

Il ne fallait pas lui faire connaître la cage de chasteté 5 Le samedi suivant, JF tira a nouveau le jeton noir, ce qui signifiait une semaine de chasteté supplémentaire. Fabienne s'amusa à l'attacher par les poignets sur le lit, lui enleva la cage et commença à le branler, l'amenant plusieurs fois au bord de l'orgasme, sans jamais le laisser y accéder. Quand Elle le voyait trop excité, elle s'interrompait et lui infligeait quelques minutes de t o r t u r e s en lui étirant et écrasant les couilles afin de le calmer ; puis Elle reprenait ses caresses afin de le frustrer encore plus. Pour finir, Elle le remettait en cage en lui faisant de nombreux bisous et câlins, afin de lui faire sentir combien Elle l'aimait et pour le remercier d'être aussi obéissant. JF un jour lui demanda comment ça se passerait si il tirait le jeton vert qui lui donnerait le droit de la prendre. Elle sourit et lui répondit que ce serait selon certaines conditions qu'Elle imposerait. « Quelles conditions ? » de...

Fabienne avait désormais 3 amants Elle venait de se marier avec Jean-François qu'elle aimait mais qui ne lui apportait que peu de satisfaction sur le plan sexuel Bien que correctement (mais moyennement) doté par la nature, il était peu endurant et avait souvent du mal a bander vraiment dur, ce qui frustrait Fabienne Elle se moquait souvent de lui à ce sujet Pour le punir de si mal bander, Elle lui imposait de porter 24h sur 24 une cage de chasteté en métal qui lui interdisait de se masturber et de prendre du plaisir sans son autorisation. Elle lui imposait de longues périodes de chasteté. Par contre elle même ne se privait aucunement d'aventures sexuelles avec d'autres hommes et adorait l'humilier en l'appelant son « petit cocu impuissant ». C'était Fabienne qui décidait quand et ou Jean-François avait le doit de jouir, ce qu'elle lui accordait de temps a autre en le masturbant avec de l huil Souvent, pour s'amuser, Fabienne le masturbait mais sans le laisser jouir, puis le ré-enferm...

Donna Donna n'était pas à proprement parler une beauté. Un visage quelconque, des petits seins, et pas un corps de rêve. Un peu enveloppée, sans être grosse. "Bien charpentée" pourrait être l'expression politiquement correcte. Elle ne portait pas de bijoux, ne mettait ni maquillage, ni vernis, ni parfum. Elle était toujours en jeans, avec un simple pull, mais elle semblait porter une grande variété de chaussures, et elle avait de tout petits pieds. C'était une petite dure et elle se battait régulièrement avec d'autres filles, combats dont elle sortait généralement victorieuse. Je pensais qu'elle était lesbienne, mais elle avait plutôt la réputation d'être une vraie salope. D'ailleurs, elle ne pouvait pas être lesbienne puisqu'elle était sortie pendant un mois avec mon meilleur ami. Je ne sus pas grand' chose de sa relation avec Bill, mais j'appris que c'est elle qui avait rompu et que Bill en avait été très affecté. Etant un ami loyal, je vouais donc une haine cordiale à Donna. Une...

UTILISÉ COMME VIDE COUILLES À L’INTERNAT Ça c’est passer lorsque j’étais à l’internat j’avais 18 ans à l’époque. Au réfectoire un soir je fais la connaissance de 2 mecs de 3eme année, un brun plutôt costaud et un blond de taille moyenne. On sympathise en bavardant un peu et à la fin du diner ils m’invitent à venir faire un poker dans leur chambre. Ne sachant pas trop y jouer mais les trouvant plutôt cool je ne refuse pas. - T’as qu’à venir après 22h, après le passage du surveillant dans les couloirs… - Ok… En attendant l’heure je me douche et révise un peu mes cours. A 22h30 je frappe à leur porte. - Vas-y entre… Bien que se soit une chambre avec leur propre lit, ils l’ont aménagé comme un petit salon, possédant chacun un fauteuil pour regarder la télé avec entre les 2 une petite table ronde. Le blond se redresse et me tends la main en me disant. - Cool… sert m’en 5… S’en me méfier je lui sers une poigné de main. Me la tenant fermement, sans lâcher pri...