Récits
Je m'offre à mon compagnon
il y a 1 an

Ou comment il va m'amener à m'offrir encore plus...

Je me présente, je suis une jeune fille en couple qui se fait appeler Awena. Mon petit ami est de deux ans plus âgé que moi mais plus inexpérimenté que moi dans la sexualité quand je l'ai rencontré. Il faut dire que nous n'avions ni l'un ni l'autre fait beaucoup, mais contrairement à lui j'avais déjà embrassé, été caressée et avais perdu ma virginité avec un premier amant d'ailleurs pas très correct et dont je garde des mauvais souvenirs. Avec lui, j'avais découvert le bonheur d'un amour tendre et aussi un amant naturellement doué, qui m'avait fait ressentir beaucoup de plaisirs et m'avait appris le véritable plaisir à être près d'un homme qui aime sa femme et qui sait lui faire comprendre. Il a beau être timide, quand il s'ouvre il sait être très charmeur. J'avais aussi découvert petit à petit le plaisir qu'il y a à être frustrée, que je déteste sur le moment mais que j'aime après quand il m'empêche de me toucher pour faire grimper le désir ! Ah, ses mains douces caressant mon cor...
Vos instructions
il y a 1 an

Une petite histoire que j'ai déjà publiée sur "déviantart" en juin 2016

Nue sur le lit, je repense aux instructions de Johanne. Je commence par poser le gros banc, qui d'habitude se trouve au pied du lit, sur le lit. Je mouille déjà en pensant à la suite, c'est fou ça ! Pourquoi j'ai les mains qui tremblent ? D'abord les pinces sur les tétons. Outch et outch, la morsure irradie tout mon corps, c'est horrible cette morsure sans être excitée... La culotte en latex a un peu de mal à passer, mais en me tortillant bien, elle s'ajuste à merveille. Je n'ai pas mis de vaseline, j'ai eu envie de sentir la pénétration brutale des deux godes. J'aurai au moins du en mettre sur mon anus, mais je sais que ça passera. Deux cordes, une de chaque cotés des montant du lit, je laisse une boucle qui pend et fait un noeud bien serré. Deux cordes, une de chaque cotés du banc. J'y attache les bracelet de chevilles, ferme les cadenas et jette la clef et les godes s'enfonce un peu plus à chacun de mes mouvements. Le bâillon gonflable. 4 coups de pompe. "Humph, humph", déjà p...
Féminisation et mésaventures
il y a 1 an

Quand le plaisir d’être en femme vous conduit à jouer Outdoor bondage avec des menottes

Paul, aiment se féminiser, se vêtir comme ces femmes qu’il adore, qu’il vénère presque. Elles sont si belles, si fines, qu’il rêve d’en être une et pourquoi pas, d’être lesbienne. Hélas, la nature en a décidé autrement, il a un sexe masculin dans sa culotte. Sa timidité l’oblige à vivre secrètement ce besoin de vivre sa féminité, il a donc une garde-robe cachée dans une de ses armoires. Quand il se féminise, Paul s’impose une cage de chasteté, pour lui, sa quéquette devient un gros clito et il est hors de question qu’il l’agite manuellement. Le problème qu’il rencontre à cause de sa timidité, c’est de ne pouvoir sortir en femme dans la rue, ni même au grand air dans la forêt ou la nature. Lorsque le gîte fétichiste a ouvert ses portes, il a longuement réfléchi avant de les contacter pour avoir des informations, pour savoir si cela poserait problème qu’il soit en femme H24 pendant une semaine. Il lui a été répondu que cela ne poserait aucun problème, que le principal pour le gît...
Les lavements ne sont qu'un prétexte
il y a 1 an

J'ai une envie de vous décrire à quoi ressemble mon addiction pour les lavements et qu'ils ne sont en fait qu'un prétexte à d'autres pratiques toutes aussi particulières...

Bonjour à toutes et à tous, J'ai une envie de vous décrire à quoi ressemble mon addiction pour les lavements et qu'ils ne sont en fait qu'un prétexte à d'autres pratiques toutes aussi particulières... Comme vous avez surement pu le lire, j'ai publié deux courts récits sur mon initiation aux lavements. Voir les récits "Une initiation aux lavements qui se transforme en addiction". Depuis mes années collège, après cette fameuse découverte, je n'ai jamais vraiment pu m'arrêter. Pour vous dire. Après ma première session de lavements chez ma toubib. A peine rentré à la maison, je me suis précipité à la salle de bain et je m'y suis enfermé. Je me suis mis nu, de face devant un miroir qui va du sol au plafond. Je me suis retourné, penché en avant et écarté mes fesses de mes deux mains pour observer mon anus. Pour observer cet endroit qui venait de me troubler à un tel point que dans cette position, j'en ressentais une forte excitation. Soudainement, une idée m'a traversé l'esprit. J'ai...
Une initiation aux lavements qui se transforme en addiction (épisode 2)
il y a 1 an

Petit rappel rapide de l'épisode précédent. J'ai du aller consulter ma toubib pour un probleme de constipation passagère.

J'étais à présent à quatre pattes sur la table, prêt à recevoir cette fois ci une des canules qu'elle avait préparées. Ne vous inquiétez pas jeune homme, je vais être très douce. Elle était derrière moi. Cela ajoutait encore plus à ma confusion. J'ai senti son doigt, froid, lubrifié de gel se poser sur mon anus. J'ai frissonné. Le remarquant, elle m'a rassuré, cela va bien se passer jeune homme. Tout en me massant l'anus délicatement en faisant des cercles de plus en plus appuyés dessus, elle a posé son autre main sur le haut de mon dos en me disant. Laissez moi faire jeune homme, penchez vous plus en avant. Le buste sur la table. Ohlala, mais dans quelle position je me trouvais. Et plus la situation évoluée, plus la gêne et l'excitation augmentaient. J'ai senti son doigt s'enfoncer... J'ai émis un mmmmpf de surprise. Elle l'a doucement ressorti et m'a dit... Tout vas bien ? je ne vous ai pas fait mal ? Et comme un gros bêta je lui répond, non non, pas du tout. Et elle me fai...
Une initiation aux lavements qui se transforme en addiction
il y a 1 an

J'ai découvert les lavements par hasard

J'ai découvert les lavements par hasard suite à une petite constipation passagère apres les cours un samedi matin. Du coup, ma mere me dépose chez la toubib. Et verdict, j'aurais droit à une session lavement. La doctiresse invite donc ma mere à revenir dans 2 heures. La doctoresse demande à son infirmière de preparer un lavement et les ustensiles qui vont bien avec. J'étais perdu. Mais qu'est-ce qu'un lavement ? J'avais le ventre douloureux au possible. J'étais plié en deux de douleur. L'infirmière est revenue dans la cabinet avec le matériel et a préparé tout ça. Un grand bock suspendu , et un long tuyau fin qui s'en échappait. Ma toubib m'a invité à m'allonger sur la table en métal. C'était froid. Et elle m'a positionné en chien de fusil et me dit, détendez vous jeune homme. Cela ne sera pas douloureux. Je vais mettre un peu de lubrifiant sur le tuyau et votre anus pour que vous n'ayez aucune douleur. J'ai tressallis quand j'ai senti le gel froid que son doigt était sur mon an...
La honte
il y a 1 an

Ce peut être si délicieux, la honte!

Je ne sais jamais à l’avance quand ce sera. Il peut ne s’écouler que deux jours. Ou une semaine. Ou un mois. Ou davantage. C’est totalement imprévisible. Mais ça finit toujours par arriver. - Une petite fessée, ça te dirait ? Si ça me dit ! Et je me précipite. Je parcours au plus vite les cinq cents kilomètres qui me séparent d’elle. Le temps de m’installer et… - Viens ! On sort. On erre par les rues. Longtemps. On longe des cafés. Devant chacun d’eux un délicieux sentiment d’appréhension m’étreint. Qui grandit au fur et à mesure que se prolonge notre promenade. Qui se fait, peu à peu, grisante angoisse. Elle se décide d’un coup. - Ici ! On entre. On s’installe à une petite table à l’écart. Pas trop. Et on parle. De choses et d’autres. Tout en passant discrètement les autres consommateurs en revue. Elle hausse la voix. D’un coup. Sans que rien le laisse présager. - Je t’avais prévenue, Alice. Je t’avais pas prévenue ? Les conversations, autour de nous, s’...
Un curieux jeune homme
il y a 1 an

L'histoire d'une première rencontre entre une fesseuse et un jeune homme bien curieux...

Un bien curieux jeune homme Ce jeune homme me rend perplexe. Vautré dans le canapé, avec un brin d’insolence dans le regard, son attitude nonchalante bouleverse mes habitudes. En temps normal, le « gus » se serait déjà retrouvé en travers de mes genoux à regretter son comportement puéril. Mais, rendue curieuse par une telle outrecuidance, je ne réagis même pas. Je me demande jusqu'où il peut aller comme ça. Alors qu’il est censé recevoir une punition méritée en regard de la liste des offenses qu’il a lui-même notées, Monsieur joue les désinvoltes et fait comme chez lui. C’est la première fois que je le rencontre et tout porte à croire que ce rendez-vous est le premier d’une longue série. Nous continuons de faire connaissance, et, subrepticement, le garçon parvient à faire diversion. Nous parlons de tout et de rien et, sans que je m’en rende compte, une bonne demi heure s’écoule avant que je prenne conscience que la situation m’échappe. Le fourbe m'as branché sur mon travail…...
Vitrine
il y a 1 an

Du rêve à la réalité.

- Tu dors ? - Non… - C’est fou, les rêves, hein ? Parce que tu sais pas ce que je viens de rêver ? Mais tu vas pas te moquer de moi au moins ? - Mais non ! Vas-y ! Dis ! - J’étais au boulot. Je venais de finir la vitrine. Et elle m’engueulait la mère Bernier, mais elle m’engueulait ! « Parce que vous appelez ça du travail, Laëtitia ! N’importe quelle stagiaire de quinze ans aurait fait mieux que vous. Non, mais pourquoi je vous paye, hein ? Vous pouvez me dire pourquoi je vous paye ? » Elle était furieuse. Et puis d’abord puisque c’était comme ça, puisque j’y mettais autant de mauvaise volonté, elle allait me flanquer une fessée, dans la vitrine, devant tout le monde. Et moi, bizarrement, ça me paraissait pas si incongru que ça. Presque naturel. Comme s’il allait de soi que les patronnes fessent leurs vendeuses en public quand elles en sont mécontentes. Comme si ça arrivait tous les jours. « Déculottez-vous ! » Et j’obéissais. C’était normal. Complètement normal. Et elle me...
Le scénario du chien soumis au gîte fétichiste
il y a 1 an

Un long plan de selfbondage associé à un Espace game

Comme indiqué dans mon mini compte-rendu précédent, nous avons reçu un client génial qui s’assume et qui ose aller au bout de ses fantasmes, ses envies et expériences. [LIEN DU PREMIER PLAN](https://fessestivites.com/recit/201092) https://fessestivites.com/recit/201092 Ce dernier avait envie de tester le scénario du chien soumis qu’il avait lu dans le classeur des vraies bonnes mauvaises idées. Ce fou, encore plus taré que moi, a souhaité que je l’associe à un Espace game. Mais quand je dis qu’il est encore plus fou que moi, ce n’est pas pour rien. Si, si, cela existe ! ! ! Par principe et précaution pour la sécurité, lorsqu’un client me demande un scénario je lui pose des questions et essaye de m’assurer qu’il ne se blessera pas. Là, j’avais bien compris que cette personne géniale (je sais je me répète) aimait les longs scénarios de selfbondage et ou self servitude. En plus, en se sentant en sécurité, il profitait de son séjour pour pousser ses propres limites et essayer d...
La discipline au couvent
il y a 1 an

Les confidences secrètes d’un chapelin Extraits des mémoires du R. P. Chapelain de l’abbaye de Thétieu (1780–1788), copiés textuellement sur les souvenirs écrits de sa main, trouvés dans son secrétaire après sa m o r t .

I Deux tendres novices embéguinées depuis six mois, sœur Véronique et sœur Gudule, la première, une mignonne blonde de dix-neuf ans, la seconde, une belle brune de vingt ans, ont fait un accroc à leur robe d’innocence. On les a trouvées la nuit dernière, toutes nues dans la même couche, occupées à égrener, sous leurs doigts agiles, le chapelet de Cythère. Elles vont expier leur tendre péché, dans la tenue où elles l’ont commis ; elles doivent être fouettées jusqu’au s a n g , le châtiment ne devant prendre fin, que lorsque chaque fesse aura purgé la dette, par l’effusion de quelques larmes de s a n g . Pour que la correction dure plus longtemps, et que le souvenir en soit plus durable, sœur Sévère qui doit l’administrer, s’est munie, sur l’ordre de la mère abbesse, d’un martinet composé d’un manche de bois, auquel sont attachées douze lanières de cuir souples et minces, qui n’entament la peau qu’à la longue, quand elle est échauffée par une sévère fustigation. Les coupables,...
La fessée de Pétronille
il y a 1 an

Les désirs de Madame la baronne sont des ordres.

- Oui, effectivement, Madame la baronne ! La manche, oui. Oh, mais ce n’est rien. On va vous y faire une retouche sur le champ. Pétronille ! - Madame ? - Allez donc nous chercher du fil vert et une aiguille. Vous savez où ils se trouvent, n’est-ce pas ? - Oui, Madame. Tout de suite, Madame. 2- - Une fort avenante petite recrue que vous avez là, Madame Duplessis. D’où la tenez-vous donc ? - De monsieur le curé qui m’a demandé, par faveur, de la prendre à mon service. Et de lui assurer, cela va sans dire, la meilleure éducation qui soit. - Cela va sans dire. J’imagine la tâche fort ardue. - Non point tant, Madame la baronne. Elle est issue d’une excellente famille sur laquelle bien des malheurs se sont récemment abattus. - La pauvre petite ! Sans doute vous est-il néanmoins nécessaire de sévir à l’occasion ? - Elle s’avère d’une probité, d’une docilité et d’une vertu dont je n’ai qu’à me louer. - Quand on la voit si joliment tournée on en viendrait pres...
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