Récits
Examen clinique d'un homme en couche
il y a 8 ans

Examen clinique

Je me rends avec mon petit bagage à la clinique des Tilleuls pour un examen urologique et intestinal. En effet, depuis quelques temps, il m'arrivait de ne plus bien contrôler mes sphincters et mes sous-vêtements s'en trouvaient tachés. Je m'annonce aux admissions et la demoiselle me demande d'attendre. - Valérie va venir vous conduire à votre chambre. Elle vous donnera les informations nécessaires et vous préparera pour l'examen de demain. Une infirmière en blouse et collants blancs s'approche de moi et demande d'une voix interrogative. - Monsieur Georges ? - Oui. - Veuillez me suivre, je vous mène à votre chambre. Avez-vous bien suivi les instructions que vous a données le médecin pour votre examen de demain ? - Oui, j'ai pris les pillules et bu la bouteille de liquide, je l'ai finie hier en fin d''après-midi. Arrivés devant la porte 112, elle l'ouvre et me fait entrer. Elle la referme aussitôt. Je pose mon sac sur une chaise. - Monsieur Georges, vous vous déshabillez et mett...
La première « vraie » fessée d’Adeline
il y a 8 ans

Confidences autour de la fessée

Par Yohan Adeline avait un petit frère, Christophe, d’un an environ de moins qu’elle, et une petite sœur, Grettelle beaucoup plus jeune. Moi, j’étais le copain de Christophe qui m’a rapporté cette anecdote et, si je n’en ai pas été témoin, d’autres m’ont convaincu qu’elle était bien réelle. Voilà donc comment Adeline pourrait se souvenir de sa première vraie fessée. Autant que je me souvienne, je n’avais reçu que quelques claques sur les fesses et autres sermons mais ensuite je ne fus plus aussi privilégiée… Nous étions tous les cinq en vacances dans un camping près d’Arcachon. Pré-ado, j’avais de plus en plus envie de liberté, et les premiers signes de ma puberté faisaient leur apparition. En tout cas, je me souviens d’avoir été particulièrement infecte depuis le départ de la maison. Je traînais avec quelques copains et copines qui avaient beaucoup plus de liberté que moi. Mardi matin, comme chaque jour, j’enfilai en râlant mon maillot une pièce car mon père n’avait...
Louise sous la coupe de son intraitable marraine
il y a 8 ans

La fessée sévère d'une autre époque

#### Ce récit, purement fictionnel de fessée, se déroule durant la « Belle Époque » en France, période que je trouvais particulièrement inspiratrice de par le romantisme historique et la charge poétique qui s’en dégage. Époque de transition par excellence, celle-ci incarne en effet un trouble et une effusion qui ont de quoi bouleverser et intriguer l’imaginaire de tout un chacun. Ma tâche était ici de retranscrire une infime partie de cette période, au travers de mon propre point de vue, d’une manière à la fois réaliste et romanesque. Sur ce, bonne lecture ! ##### Printemps 1904 Louise B… venait tout juste d’avoir quinze ans quand son père la confia aux mains de sa marraine, la comtesse de Bouvreuil. C’était une belle jeune fille, au regard espiègle et à la moue parfois boudeuse, pleine de charme et de malice. Ses cheveux étaient d’un blond lumineux, le plus souvent coiffés à l’anglaise, retombaient en longues torsades sur ses épaules menues. Le séjour auquel elle était de...
De plaisantes vacances
il y a 8 ans

ABDL + strapon + sexe + bi + pas vraiment consentant

Bonjour à vous, je vais vous raconter mes incroyables vacances. Tout d'abord, laissez moi me présenter : Paul, 30 ans, 1m80, assez athlétique et plaisant généralement bien aux filles mais tout de même célibataire. Récemment après une longue première année de travail, je peux enfin prendre mes premières vacances, 15 jours que j'ai décidé de passés seul, au calme dans un gîte. Je jette mon dévolu sur une chambre d'hôte dans une maison située au milieu de la forêt, le calme sera assuré. Comme prévu, j'arrive en début d'après midi dans le gite. Il est effectivement perdu dans le fin fond d'une forêt du sud ouest de la France. En voiture, le voisin le plus proche est à 10 minutes, et la ville à 30 minutes. Moi qui cherchais du calme, j'allais être servi ! Je sonne, une femme entre 45 et 50 ans vient m'accueillir : - Vous êtes Paul ? Bonjour, je m'appelle Christine et c'est moi qui gère la chambre d'hôte, venez, je vais vous montrer votre chambre. Je lui emboîte le pas pour me re...
Rêves et lutins
il y a 8 ans

Et de fesses rouges

Par un si beau soleil, que pouvais faire Laure d'autre que de se promener... C'est ainsi qu'elle avait prise la décision de faire une sortie en foret. La foret et les bois, cadre de tant de légendes et d'histoires fantastiques. Laure y songeait tout en marchant, regardant les fleurs, apercevant quelques champignons et se laissant baignée par un rayon de soleil perçant les branches. Une sorte de magie régnait ici et les faibles bruits de la nature la ramenait a de pensées calmes et ouvertes. Après toute le stress accumulé au travail, cela état presque comme une libération de l'esprit. Laure déboucha sur une petite carrière, un puits de lumière naturelle semblait arroser de chaleur cet endroit. Un endroit calme, loin de tout et à qui elle décidé de se remettre pour faire une sieste... N'ayant pas encore eu de vacance cet été, elle décida d'en profiter pour faire un peu de bronzette. Elle retira son haut et le roula en boule pour s'en servir d'oreiller, puis se fut le tour des chaussur...
Aiguilles, épingles et pointes
il y a 8 ans

Ca pique et c'est bon

Quelques jours après avoir appris à me branler, j’ai découvert dans la table de nuit de mes parents une revue dans laquelle un couple faisait l’amour avec des aiguilles plantées dans les fesses. J’ai aussitôt enfoncé, par le chas, cinq ou six aiguilles dans la paille de la chaise de ma mère sur laquelle je m’asseyais pour me branler et me suis assis dessus. Ce ne fut pas de la douleur, mais une extrême excitation qui m’a fait juter immédiatement. J’ai continué pendant quelques semaines avec cette technique, en doublant le nombre d’aiguilles de manière à en avoir dans les deux fesses ; avec l’habitude je pouvais faire durer le plaisir. Ayant un jour oublié d’enlever une des épingles, ma mère s’assit dessus et n’apprécia pas ; elle demanda qui avait mis cette aiguille, je fis celui qui ne savait pas, elle n’insista pas.Ma mère était couturière ; j’ai trouvé dans sa boîte à ouvrage des épingles à tête ronde dont la pointe faisait 2 à 3 cm de longueur, je m’en suis planté quelques-...
J’ai du acheter mon martinet !
il y a 8 ans

Un défi-punition

Pour aller acheter un martinet au grand magasin, je devais y aller en mini short. C’était là mon défi-punition. Il y avait une famille au rayon, aussi j’attendais au rayon voisin en faisant semblant de m’intéresser à autre chose quand j’entendis la maman dire : « Tu vois, ça c’est un martinet. » Je jette un coup d’œil et je vois le jeune garçon caresser les lanières, totalement inconscient de ce à quoi pourrait servir cet objet. Enfin ils s’éloignent et je me précipite sur la gondole. Le manche est en bois tourné avec une dragonne en ficelle. Les lanières sont en simili cuir. Il s’agit là d’un petit ustensile d’allure inoffensive, mais il représente bien sa fonction et tout le respect qu’on lui doit… Je sens un regard sur moi lorsque je décroche le martinet, mais je n’ose plus me retourner comme si j’avais les œillères de la honte qui m’enveloppaient. Il faut dire que ma tenue vestimentaire est on ne peut plus parfaite pour une première approche et je m’imagine observé et j...
Compte anonymisé
une semaine de terrible épreuve (sca to)
il y a 8 ans

Ceci est le début d'un fantasme qui m'est venu ce matin, il n'a pas encore de suite et qui sait s'il en aura une ;) Voici: Je lui avais demandé plusieurs semaines auparavant de me dire quand il aurait une semaine complète sans obligation aucune. A ce moment là je lui avais indiqué également de se munir d'une chaîne de la longueur de sa cuisine, de 4 cadenas, de quoi couper la chaîne aux dimensions que je lui indiquerais, une bâche plastique de la taille de sa cuisine, 10 tétines à adapter sur des bouteilles d'un litre, 10 briques d'un litre de lait de soja, 5 boîtes d'épinards, 5 œufs et une grosse couche. Il lui faudrait trouver aussi le moyen pour que je puisse rentrer chez lui sans qu'il vienne ouvrir. Sa liste achetée, photos à l'appui, je lui ai donné pour ordre d'aller chez tati se chercher un jogging, haut et bas le plus basique possible et le plus chaud possible, un collant d'hiver, un collant basique, et deux grosses paires de chaussettes bien chaudes. Sur place à l'heure du...
Le paradis et l’enfer de Crystal
il y a 8 ans

Une histoire érotique hard

Les textes trop hard sont réservés aux membres abonnés pour protéger les éventuels m i n e u r s passant à travers les mailles du contrôle et du disclamer. Une nouvelle fois en chasse, Darius Thompson recherchait à nouveau une proie attrayante, une ravissante blanche épouse d'un petit cornard de blanc. - Oui ces connards de petits blancs sont fiers de leurs ravissantes femme et les exhibent bien souvent comme des trophées de chasse... Lorsque je leur renvoie elles souvent un peu ternies, hey, hey, hey! Ces ravissants trophées sont alors pleines de mon jus! Gloussait-il tout en surveillant les bureaux de l'aéroport. Bien que personne ne le pressa de venir si tôt, c'est par pur plaisir qu'il venait tôt pour surveiller les abords des bureaux. Darius adorait voyager pour son boulot, chaque aéroport s'avérait un petit paradis, un fabuleux terrain de chasse où il pouvait déployer se appétits lubriques. Il était loin de la norme habituelle des mâles qui suivaient occasionnellement...
IMPERTINENTE FESSEE
il y a 8 ans

Un autre poème sur un thème cher à mes yeux...et à mes mains ... sans oublier cher à vos formes, mesdames ! IMPERTINENTE FESSEE Aujourd’hui, tu as décidé D’offrir à mes caresses Ce doublon de globes liés Ce que l’on nomme tes fesses Ta jupe me cache pour l’heure Ce futur grand bonheur Lentement je la remonte Pour toi fière, sans honte Ta culotte de blanche dentelle Délicatement ajourée Me prouve que ces deux belles N’attendent qu’une juste fessée Mes mains envisagent, sages Ce tendre et inédit visage Ton sourire au travers du fin tissu Attire un massage sur ce cul nu Ma droite adroite te masse Main gauche, elle ne se lasse De réconforter par son emprise Ces fesses à sa disposition, mises Ainsi chauffés, ces deux hémisphères De pourpre, de grenat se colorent Et désireux d’une nouvelle atmosphère Réclament une plus forte chaleur encore.. Lors, ta seconde peau de tissu Va te quitter, je te l’enlève Oh, merveille, la fente d’Eve Apparaît plus bas et resplendit...
Récit à deux voix pour des fesses
il y a 8 ans

Récit à deux voix pour des fesses

Un vendredi soir à 19h30, c’est l’été et certains sont en vacances, mais moi je sors de mon travail. J’ai déposé ma voiture au garage ce matin, et donc j’utiliserai l’utilitaire de la société pour le week-end. C’est une camionnette Mercedes avec 2 sièges à l’avant, et une banquette 3 places derrière, suivit d’un grand espace de chargement. Les vitres arrières près de la banquette sont teintées et à l’arrière ce sont deux portes pleines sans vitrage, c’est voulu pour que lors qu’il soit chargé, on ne puisse en voir le contenu de l’extérieur. Je démarre donc le super diesel qui motorise cet utilitaire et pars à l’assaut de la montagne pour rentrer chez moi. Hé oui, je bosse en vallée et il me faut une bonne demi heure de route pour rentrer, et avec les touristes en vacances il me faut presque une heure parfois !! Bref je roule tranquille et pour le moment, pas de file de voitures escargots à l’horizon. Arrivé à un carrefour j’aperçois une auto-stoppeuse avec une grosse valise et un én...
Boules
il y a 8 ans

Ma voiture était équipée d’un attelage

Pendant vingt ou trente ans, ma voiture était équipée d’un attelage dont la boule servait, trois ou quatre fois chaque année, à accrocher une remorque et, au moins une fois par semaine, à me ramoner les entrailles, de temps en temps à travailler la chatte et le cul de Marie. Rien qu’à voir cette boule, j’avais le cul qui frétillait. Je ne pouvais tout de même pas m’y empaler dans la rue, cela n’aurait pas été légal, mais je le faisais souvent chez moi, dans la cour ou au garage, dans des parkings et souvent dans la nature : je m’arrêtais dans un endroit tranquille, de préférence dans un bois, ce qui, je ne sais pourquoi, m’excitait particulièrement, et, à poil chaque fois où j’en avais le temps, je m’empalais bien à fond, la raie des fesses venant buter sur la tige d’attelage et me branlais en frétillant bien du cul pour me faire passer des vibrations dans tout le corps, m’astiquant la bite jusqu’à faire couler le jus gluant dont je léchais chaque goutte. Sur la vidéo de Fessestivit...
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