Récits
Scène de la vie d'un couple!
il y a 8 ans

Scène de la vie d'un couple, au sein duquel le « courant » passait bien... Voici de quelle manière cela se déroulait avec ma tendre Lola, gaffeuse professionnelle , s'arc boutant sur le principe du « je sais faire, fous-moi la paix » et rebelle au point de contredire les choses les simples, à partir du moment où elle venaient de moi. Quel jeu délicieux, quelle intelligence et quelle finesse il lui fallait pour tenir ce rôle, tout de même, qui était, d'ailleurs, dans sa nature ! Si je ne suis pas mort de rire à ses côtés, ce n'est pas parce que le destin n'avait pas que moi à s'occuper à ce moment-là. Fu-sion-nels, je vous dis. Bref. En général quand j'entends s'échapper de la cuisine un bruit digne d'une douzaine d'enclumes qu'on laisserait tomber du cinquième étage, immédiatement suivi de rugissements à faire pâlir le lion de Daktari, c'est qu'une bêtise vient d'être commise. Ou alors c'est de la perversion pure. Je passe sur les jurons et autre « noms de Dieuseries » bramés...
Au village
il y a 8 ans

La druidesse capturée et ramenée au village

Un magnifique texte sur la légende de Calypso à ne pas mettre entre toutes les mains. Auteur : inconnu, texte sauvé des groupes d'écriture détruis pas yahoo Une semaine était passée depuis ces événements et déjà Calypso n'y pensait plus que comme une aventure somme toute plaisante. Même sa terrible épreuve durant laquelle elle avait lutté contre ses liens, attachée au rocher, provoquait d'humides réactions dans son bas-ventre lorsqu'elle se remémorait ce souvenir. Elle était revenue plusieurs fois se coucher sur la pierre de son supplice pour s'y caresser sauvagement en repensant à ce pieu vivant qui lui avait défoncé la bouche. Peut-être, regrettait-elle, aurait-elle dû garder en vie le chasseur un peu plus longtemps, histoire d'en profiter pleinement? mais le lendemain déjà son corps n'était plus qu'un squelette dévoré des pieds à la poitrine tandis que la partie supérieure faisait la délectation de la gent ailée. Pour l'heure, elle était bien loin de cette aventure, occupée...
Au village 2
il y a 8 ans

La suite avec un combat

Et elle éclata d'un rire sadique qui fut rapidement étouffé comme le couvercle du "cercueil" était mis en place. Comme il était également clouté, Calypso se rendit compte qu'elle ne pouvait s'appuyer contre les parois sous peines de vives douleurs. Perchée en équilibre instable sur ces barres qui lui endolorissait la plante des pieds, ce n'était pas chose facile... La nuit promettait d'être longue... Mais elle n'avait pas encore tout vu: il y eut un bruit au-dessus de sa tête, comme celui de l'ouverture d'une petite trappe. Un rais de lumière tremblotante entra dans son cercueil et lui permit de voir ce qu'une main inconnue lui vidait sur le crâne: tout un grouillement ignoble de punaises hématophages qui rebondirent sur ses épaules et glissèrent sur sa poitrine avant de tomber au fond de la caisse. La trappe se referma la replongeant dans son obscurité. Calypso sentit la vermine assoiffée de son S a n g commencer à grimper sur ses pieds et à escalader ses mollets. Perchée sur sa ba...
Trop, c'est trop !
il y a 8 ans

Trop, c'est trop !

Trop, c'est trop ! Auteur : Patrick H. Je me tiens gauchement à l’entrée de la pièce, ne sachant pas si je dois attendre qu’on m’invite à entrer ou pas. Assez grande, brune, dans la quarantaine, cette infirmière m’intimide, je l’avoue. J’ai toujours eu une relation un peu « spéciale » avec le monde médical. En fait depuis que ma mère me traînait chez tous les toubibs dont on lui parlait, afin de voir comment « arranger » mon petit problème. * — Avance un peu, je vais pas te manger… Au fait, comment tu t’appelles ? * — Hernandez, dis-je, fermant la porte derrière moi. Patrick Hernandez. * — Comme le chanteur ? * — Ouais, c’est ça… Ma mère était fan, dans les années 80… L’infirmière se tourne, essayant de masquer son sourire. Je ne suis pas dupe, je vois bien que mon nom, ça la fait marrer. Pas grave, j’ai l’habitude. Depuis tout gosse, on s’est toujours foutu de moi. À cause de ça… et du reste. À force, ça me fait plus ni chaud, ni froid. Retrouvant son sérieux, elle reprend :...
Un week-end fessée
il y a 8 ans

Pour en parler, rendez-vous sur le forum fessée

Vendredi soir, 20 heures, [aéroport de Montpellier](https://www.montpellier.aeroport.fr/) Ca y est, il arrive enfin ! Deux semaines que je l’attends impatiemment … c’était long sans lui ! Les retrouvailles promettent d’être mouvementées, d’autant plus que je n’ai pas arrêté de le provoquer ... (eh oui, bêtises et provocations, c’est mon dada !) Va-t-il vraiment concrétiser tout ce qu’il m’a promis par téléphone ? Je le vois, on s’étreint, heureux de se retrouver ... Lui : « Tu es belle. Sympa ta petite robe ... » Moi : « Tu n’es pas mal non plus avec ta belle chemise à fleurs ! » (j’adore !) On file : nous avons de la visite ce soir, des amis doivent arriver à 21 heures. J’aime quand les week-end commencent aussi bien, avec les personnes que j’aime autour de moi, et je suis aux anges ! On arrive à la maison, et je saute au cou de mes amis, qui viennent d'arriver ... La soirée est des plus sympathique ... on se couche à 4h30 du matin ! Avant que nous allions nous coucher,...
Nan !!
il y a 8 ans

Une jolie histoire de fessée avec une chipie

##### C'est un vieux récit de mon ancien petit ami avec qui j'avoue que la relation sentimentale était pas terrible mais par contre le rapport fessée et bdsm était génial. "Nan !" Pfff... Lolaaaaaa ! J'en viendrai à bout, même si je dois ensuite me retirer en maison de repos pour deux mois !! "Nan..." je ne connais que trop bien ce mot, proféré environ 300 fois par jour par ma chipie de Lola, c'est à dire, en gros, chaque fois qu'elle fait une bêtise ou me répond insolemment, et que je lui demande de venir s'allonger sur mes genoux. Enfin, quand je dis "demande", il s'agit bien évidemment d'un espoir sans lendemain , car je sais pertinemment que le "phénomène" va se faire prier, se mettre à pigner, tourner en rond, fuir, m'implorer avec des yeux de cocker, pour, finalement, se faire inévitablement coincer, et recevoir ce qu'elle mérite : une bonne et belle fessée, administrée en cadence. "Nan !" Je me disais, aussi... ça faisait longtemps. L'atmosphère était trop c...
Surprise et mésaventure jouissive Selfbondage
il y a 8 ans

Surprise edans son self bondage par son amie lesbienne, Laurie va vivre des choses....

Lorsqu'une hétéro soumise est hébergée chez une lesbienne invétérée, les tentatives de séductions sont assez fréquentes mais Laurie n'est pas attirée par les femmes. Ce qu'elle aime c'est le bondage, le sexe viril et d'avoir un Maître qui lui fasse des choses que la morale réprouve. Ses fantasmes portent sur l'abatage sexuel, être l'espace d'une nuit de folie à la disposition de mâles en rut. Son Maître bien trop jaloux n'a jamais voulu lui offrir la réalisation de ce fantasme, il a préféré jouer les justiciers de la route, une idée débile qui l'a conduit en prison pour avoir envoyé dans un pylône EdF un jeune conducteur lui ayant fait une queue de poisson. Quel C.. Ne pouvant pas honorer seule le loyer de leur villa, Laurie a du déménager, elle est hébergée depuis quelques mois chez son amie Clara qui voyait en plus du geste amical la possibilité de câliner avec elle. Entre filles on se parle aussi de sexe, même si l'on ne partage pas la même sexualité et les mêmes pratiques. De...
Partouze bi très cochonne
il y a 8 ans

Partouze bi très cochonne

Bonjour. Je m’appelle Mathilda j’ai 26 ans, je mesure 1,65 m, je pèse 60 kg, je suis brune à la peau claire, mes mensurations sont 95-70-85 et je porte des lunettes à monture épaisse. Lors d’une sortie en boîte avec des amies nous avons fait la connaissance de deux garçons. Nous avons dansé, discuté et échangé adresses et téléphones. Un soir l’un d’eux, Fernand, m’a appelée et demandé si je voulais boire un coup en fin d’après-midi avec lui. Je lui ai répondu que oui. Il m’a donné rendez-vous dans un café du quartier Latin. Nous avons parlé de tout et de rien puis au bout d’une demi-heure il m’a proposé de faire un tour chez lui. La stratégie du dernier verre, je connais bien, mais Fernand, malgré la différence d’âge (il en avouait 39 mais devait en avoir plus) était fort attirant et j’acceptai l’offre sans problème. Son appartement est décoré avec goût, il me dit travailler dans le show-biz, il y en a qui ont de la chance ! Il met de la musique classique, tamise les lumières, on boi...
La découverte de moi-même avec un Maître
il y a 8 ans

Rencontres BDSM

#### Les confidences érotiques d'une femme qui a découvert les plaisirs du BDSM et de la soumission La première chose que mon Maître m'a apprise, c'est à être femme. Je sais que cela peut surprendre, ces choses devraient se découvrir par soi-même, au fil de l'apprentissage des choses et des rencontres que l'on fait lorsque l'on débute dans la vie. Je me crois jolie, attirante même si comme beaucoup de femmes j'avais honte de mon corps, chose qui n'est plus grâce à lui. J'ai perdu ma virginité un peu avant mes 19 ans et j'ai eu des rapports sexuels sans vraiment y prendre plaisir. C'était bien bon mais sans plus. Dans ma tête j'avais des fantasmes BDSM, les livres et internet ont alimenté ma libido, mais je me croyais décalée, anormale. J'étais à deux doigts de tout laisser tomber quand j'ai rencontré mon Maître sur Fessestivites, celui qui a su me guider dans la soumission, me faire accepter mon corps, mes envies, mes fantasmes et surtout m'apprendre à être une femme dans un l...
Compte anonymisé
travesti dominatrice impitoyable
il y a 8 ans

Mais où était donc passée souricette, cette blonde d'origine polonaise au gros popotin? Elle s'était cachée, elle avait peur! J'adore générer la peur, chez les esclaves. C'est ce qu'ils recherchent et cela leur procure la jouissance. Je rentrais du boulot. J'avais envie de passer une jupe et de manier le fouet. Souricette s'était cachée, les jambes tremblantes, la chatte trempée. -Ou es tu ma petite souris? où es tu? C'est un jeu. D'abord la chercher dans la maison. Elle adore les endroits sombres et frais. Cela stimule ses désirs. Je l'ai trouvée dans un placard, lovée dans un réduit minuscule, toute nue, tremblante. Elle avait déjà joui plusieurs fois. Elle pouvait faire cela rien qu'en croisant les jambes. Je l'ai prise par les cheveux. Elle était blanche de peur. C'est le sommet de la domination, faire peur juste par la présence, sans rien faire d'autre, sentir l'esclave se liquéfier dans le plaisir. Bon souricette a eu droit au martinet. Admirer son popotin bien rouge. C'est...
Un coup de fil très excitant
il y a 8 ans

Du libertinage au BDSM après l'amour au téléphone

#### Confidences érotiques réelles Il y a un moment de ça j'avais une relation avec un homme avec des idées farfelues, les surprises et idées coquines saugrenues ne manquaient pas. Au début de notre rencontre, il ne m'a pas cachée qu'il était libertin, je ne connaissais pas ce monde tout en connaissant le sens de ce mot. Bien que le libertinage ne m'intéressait pas, je me suis surprise à le suivre dans ses délires. C'était un homme assez charmant et très respectueux, qui a su m'en parler sans me brusquer. Nous avons fait pas mal de rencontres où au début j'avais des réticences, par la suite vu qu'il n'y avait aucun danger et qu'il était assez protecteur, je me suis prêtée au jeu. Un soir j'ai voulu le surprendre agréablement. Je lui ai demandé de courtiser une de ses amies pour lui faire l'amour. L'idée était qu'il me téléphoner sans qu'elle le sache pour que j'écoute leurs ébats. Il était très étonné de ma demande, étant joueur il en était ravi, sauf que, il m'a...
Soumise d'une Dame
il y a 8 ans

Soumise d'une Dame

Elle me donna rendez-vous à vingt heures derrière la gare du Nord. Je ne connaissais pas ce lieu. J’ignorais qu’il y avait des prostituées qui attendent le client en voiture. Moi, j’étais seule. Légèrement et court vêtue. Et j’attendais en regardant si Ana se décidait à arriver. En fait, elle m’a observée un petit moment avant de se montrer visiblement très contente de sa plaisanterie. " Tu fais très pute avec tes chaussures " rajouta-t-elle avant de m’embrasser du coin des lèvres. Et le pire… c’est qu’elle a osé rire lorsque je lui ai dit que j’avais mal aux pieds ! Durant le dîner, elle m’a demandé si j’avais été troublée par ma tenue. " Un peu mais pas tant que ça " : je lui ai rappelé que j’étais habituée à jouer avec le feu. " Oui mais moi, ce qui m’excite c’est de te mettre en danger en dehors du bureau " me glissa-t-elle à l’oreille. Je l’ai rassurée en lui disant que j’avais vraiment adoré être surprise ainsi par son choix de vêtement. C’est vrai. Je le pense. Et je suis heur...
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