Récits
Céline et le selfbondage
il y a 10 ans

Surprise dans son auto bondage par une femme

Dès que j'étais sortie du train, j'avais acheté le journal local afin d'étudier les offres d'emploi, je m'étais assise à une table du buffet de la gare et j'avais commandé un chocolat chaud pour couper la faim qui me tenaillait. Mon doigt avait suivi nerveusement les colonnes de la page des annonces. J'avais eu soudain peur de ne rien trouver car de moi dépendait l'avenir et le bien-être de ma mère. Ce n'était pas une grande ville, le choix était donc restreint. Après avoir écarté les emplois de serveuses de café ou de restaurant aux horaires trop vagues, il ne restait plus qu'une place de serveuse dans une pizzeria, une de vendeuse dans une boutique, deux de femmes d'ouvrage et une de madame pipi dans un grand magasin. Les autres places vacantes demandaient un niveau d'étude bien plus élevé que le mien. Je décidai donc de me renseigner d'abord sur l'emploi de vendeuse. Si mon appel était négatif, j'essayerai les places de femme d'ouvrage. Sinon, il ne me resterait plus que celui d...
J'insiste selfbondage
il y a 10 ans

Un auto bondage sur commande

#### Chacune impose un scénario à l'autre "J'insiste" était initialement une sorte de pari dont la perte obligeait à accomplir sans aucune condition un désir de l'autre ou, au contraire, dont le gain donnait droit à exiger une chose, même la plus irrationnelle, sans aucune explication. Ce jeu a vite cessé d'être un pari: maintenait nous pouvons gagner un "j'insiste" en nous rendant un service ou bien en subir un pour avoir été une mauvaise fille. Jusqu'à il y a peu, nous n'étions que deux à y jouer, Sandra et moi - vous comprenez bien que ce n'est pas la chose qu'on confie à n'importe qui.. Mais cela fait un moment que Claudia fait partie du club. Ne me demandez pas ce que j'ai fait, mais je lui devais un "j'insiste" depuis un bon moment, et voilà qu'un beau jour, ça m'est retombé dessus. J'ai reçu une petite lettre de Claudia, j'omets ici les préambules : "Bon ! Alors voilà ce que tu feras demain ou dès que l'occasion se présentera : Un jour que tes vieux seront absents...
Le cachot (ou vivre l'enferment)
il y a 10 ans

Histoire BDSM réelle

Le cachot (ou vivre l'enferment) Voici, une toute nouvelle expérience pour moi ! Jeudi 11 Septembre, j'arrivais en fin de matinée, chez ma Maîtresse, pour passer quelques jours sous son joug, malheureusement, son métier, je la laisse, pas toujours libre de son temps, déjà, ce jeudi, elle avait un rendez-vous en milieu d'après midi. Afin de ne pas me laisser libre le temps quelle y aille, elle me fit allonger sur le clic-clac du salon, fixa une chaîne à mon collier, quelle cadenassa à celui-ci, puis m'entrava les poignets quelle relia aussi à la chaîne et fit de même pour mes chevilles, et enfin termina par un masque de sommeil, pour m'occulter la vue. A son retour, elle me retrouva dans la même position, ma détacha, je lui dit c'est bien, pour une heure ou deux, mais demain, vous travaillez et vous devriez m’enchaîner et m'enfermer. Elle me prit au mot, mais n'ayant point de cachot dans son appartement, elle trouva la solution, le lendemain matin, elle me tira par la cha...
Le sadique de la maison abandonnée
il y a 10 ans

Une histoire érotique de selfbondage

#### Le BDSM la titille, la soumission la fait fantasmer, avec l'Auto bondage elle réalise un peu ses envies coquines. Au hasard de mes promenades dans les bois avec mon chien, je suis tombée sur une vielle maison abandonnée. Animée par la curiosité, lors de l’exploration de ces ruines, j’ai découvert au premier étage un vieux lit dépourvu de matelas, au milieu de pierres et morceaux de verre des fenêtres brisées par ceux qui ont pour loisir de détruire ce qui n’est pas à eux. ##### Ce lit a titillé mes fantasmes, le sommier en métal avec de gros croisillons carrés et les barreaux en fer en guise de boiseries offrait un espace de liberté à mon imagination BDSM. L’image d’une fille entravée jambes écartées, couchée sur cette sorte de gros grillage m’a traversé l'esprit. Outre être abusée elle garderait quelques heures gravées dans ses chairs les marques des croisillons l’ayant faite souffrir sous les ruades des sadiques. Lorsque je me suis étendue comme la victime de mon...
Le sadique de la maison abandonnée 2
il y a 10 ans

Le sadique de la maison abandonnée 2

Attachée quasi nue sur le sommier d’un lit dans une maison abandonnée perdue au milieu des bois par un temps de pluie, j’étais une proie, pire encore, j’étais comme une grenouille aplatie pattes écartées sur une table de vivisection face à un étudiant armé d’un scalpel. Si je n’avais plus de doute, c’était bien un homme, il ne semblait pas décidé à se jeter sur moi et à me baiser sans pitié. J’ai essayé de lui parler mais avec mon bâillon maintenu par la cagoule que j’avais eu la bonne idée de bien serrer, mes propos n’étaient vraiment pas clairs. L’homme s’est levé, je sentais autant que j’entendais qu’il faisait le tour du lit et essayait de comprendre ce que je faisais là toute seule et surtout comme ça. Quand il a touché la ficelle des clés de menottes j’ai cru que ma vie s’arrêterait dans cette maison abandonnée après des heures de souffrance avec un sadique. Je pense qu’il a compris à quoi pouvait servir la ficelle et le glaçon contenant les clés qu’il ne pouvait voir car il...
Education par un agent de sécurité
il y a 10 ans

Elle se fait piéger et ....

Une histoire érotique de M-educateur qui profite d'une jeune cliente. Je suis agent de sécurité dans un grand magasin. Un jour, une jeune fille y entre. Sophie, elle a 20 ans, blonde aux cheveux mi-longs, un corps magnifique et très bien formé. C'est une jeune fille comme toute les autres, heureuse de vivre, et surtout très amoureuse. Elle a décidé de faire une très grande surprise à son petit copain. C'est parents sont absent pour le week-end, et veut se mettre sur son 31, lui sortir le grand jeu pour passer une nuit de rêve. Mais hélas, comme touts les jeunes de son âge elle est fauchée. Elle se dirige vers le rayon lingerie, et y voit une parure magnifique, mais le prix lui fait tourner la tête. Tant pis, qu'à cela ne tienne, elle vole la parure, la met au fonde de son sac, regarde autour d'elle et se dirige vers la sortie. La peur au ventre, elle franchie la sortie sans encombre. Elle sourit et pense alors à la soirée qui l'attend. Dehors, sur le trottoir, au coin du magasin,...
Cybersexe à rebondissements cruels
il y a 10 ans

A vouloir jouer BDSM elle vit de drôles de choses

Connexion en cours... Nadia referma, ou plutôt claqua du talon, derrière elle la porte de son appartement ; le verrou se referma automatiquement. Elle enfila ses orteils droits derrière son espadrille gauche et libéra son talon ; une secousse projeta la chaussure dans un coin ; l'espadrille droite la rejoignit bientôt, tandis que, pieds nus, Nadia quittait le vestibule pour entrer dans sa chambre à coucher. Elle ouvrit son sac à main, en tira une petite boîte en carton coloré et la lança sur le lit où le reste de son contenu se vida. Toujours aussi nerveuse, la jeune fille se rendit à la cuisine, se versa un grand verre de jus de fruit qu'elle emporta au salon. Là, elle s'assit en tailleurs sur son canapé pour le siroter tout en déballant son dernier achat. De la main gauche, elle tira sur la liquette qui lui tenait lieu de T-shirt pour la sortir de son short blanc et la secoua pour faire entrer de l'air frais contre son torse en nage. De la boîte sans marque d'identification gli...
Entre les mains d’un proxénète
il y a 10 ans

Une histoire érotique HARD

Je m’appelle Sabine, j’ai bientôt 25 ans, cheveux châtain, je fais du 95 B, 54 kilos pour un mètre soixante et un visage qui ne laisse pas les garçons de marbre. Le sexe est une passion pour moi, j’aime baiser, les filles me traitent de salope mais je m’en tape, il me faut des hommes pour satisfaire mes envies. Quand je dis des hommes je suis sérieuse, une fois, il m’est arrivé de m’en faire trois dans la même journée. La pluralité me plait aussi mais c’est moins bien pour moi, ce n’est pas que je n’aime pas sucer, bien au contraire, mais dans en gang bang c’est quand même souvent ça qui prime trop pour moi, les bites je les préfère dans mon chaton. Les vieux, enfin je me comprends, les mecs de moins de cinquante ans me plaisent aussi, ils sont moins rapides et plus osés dans l’acte, dans leurs mots, dans leurs façons de faire. L’un d’eux m’a fait découvrir l’amour en étant attachée, ce jour là mon plaisir était si puissant que je demande maintenant à certains de mes amants d...
Entre les mains d’un proxénète 2
il y a 10 ans

La suite de l'histoire devient hard

Ils m’ont arrachée de la voiture plus qu’ils ne m’ont sortie avant de me mettre un sac sur la tête. L’un d’eux me serrait très fortement contre lui et tripotait ma poitrine comme un malade avant de soulever ma robe pour plonger sa main entre mes cuisses. Par réflexe je les ai serrées et j’ai crié. Ils m’ont transportée sur l’épaule de l’un d’eux jusqu’à la cave de Rachid. En un rien de temps je me suis retrouvée nue, avec aux poignets des menottes fermées sur les barres du lit. Mes jambes ont été attachées écartées avec des cordes, cette fois j’allais vraiment vivre mon fantasme avec un gros bémol, une trouille monstre me vrillait l’estomac. Rachid est intervenu et les a fait sortir, entendre sa voix m’a rassurée. « Petite pute, tu vas y passer » m’a-t-il dit en s’allongeant sur moi. Quand son sexe m’a obligée, je mouillais comme une salope d’après lui, moi j’étais heureuse de l’avoir en moi et qu’il s’occupe de moi. J’étais conquise même s’il a été nettement moins long que les f...
Au sexshop
il y a 10 ans

Entre homme dans la salle de projection

##### 3 septembre il fait beau et j'ai un peu de temps, envie de sexe et d'exhib... En voiture pour mon sexshop préféré qui a une salle de projection qui peut accueillir une bonne dizaine de personnes. Vêtu d'un tshirt léger et d'un jean de toile je règle ma place à la caisse et me rends aux toilettes où je me mets totalement nu et les vêtements soigneusement roulés sous mon bras je parcours tranquillement le couloir qui mène à la salle de projection. Je prends mon temps car je sais que je peux être vu du magasin malheureusement personne dans les rayons. Arrivé dans la salle je constate la présence de quatre personnes : dans le coin droit près de l'entrée un homme d'un certain âge, pantalon sur les genoux s'astique tranquillement, il me regarde entrer un peu étonné mais continue imperturbablement. Un peu plus loin au bout d'une des trois banquettes trois mâles sont bien occupés et ne font pas attention à mon entrée. L'un d'eux, le plus jeune est à genoux sur la banquette app...
Ma première passe
il y a 10 ans

J’ai toujours désirée avoir un look avéré de putain, apparaître en public et m’exhiber ainsi comme telle. Ainsi, je l’étais arpentant sur les chemins, trottoirs et artères du Bois, très courtement vêtue d’une mini robe en vinyle noir, jambes gainées de bas résille noirs ou de bas opaques rouges aux larges jarretières apparentes dégageant la blancheur des cuisses, très hautement perchée sur des hauts talons aiguille vernis, portant des gants longs noirs. Et pour se donner bonne contenance, avec un look non équivoque de salope soumise à tous les désirs des hommes, au cou serti d’un large tour de cuir clouté noir annelé, coiffée d’une longue perruque noire, fortement maquillée d’un mascara outrageant, de rougissements de paupières et du pourtour des yeux, lèvres d’un rouge provoquant ou foncé d’une noirceur gothique… La préparation de la pute que je devenais alors, était toujours un peu laborieuse car il fallait avec plus ou moins de bonheurs dans ma voiture, me métamorphoser de l état de...
1 Commencement
il y a 10 ans

Frappe-moi !

Elle était brune sa chevelure tombant sur les épaules. Au matin, la nuit l’ayant décoiffée, une sorte de crinière environnait son visage qui donnait aux gestes lents de l’engourdissement du réveil une touche animale. Lorsque elle avait quitté le lit, ses yeux noirs s’éveillaient à leur tour. Ils étaient capables, j’en avais fait l’expérience, de se révéler les alliés puissants de sa détermination et dans les extrêmes, de brûler à distance l’objet de sa colère. Rien dans les traits de son caractère entier ne laissaient supposer une nature soumise. Une part de S a n g  espagnol affirmait souvent sa présence, passionnée en amour, combative dans l’adversité. Nous étions amoureux et nous nous essayions, dans les jeux de l’amour sans chercher à restreindre les possibles que d’ailleurs nous n’imaginions pas. Je me souviens d’un après-midi d’automne chaud et lumineux comme le sud-ouest parfois en offre quand l’été semble vouloir rester encore un peu. Le petit animal sauvage que j’avais...
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