Ma virginité Lettre adressée à Monsieur Fricotin A UTEUR : Lawrence Mon cher ami, Je dois vous le dire, depuis que vous êtes parti au combat je ne pense plus qu'à vous. Le sujet est fort délicat puisqu'il s'agit de ma virginité. Mais, voila je n'en peux plus. Vous vous en doutez sans doute même si je vous l'ai si souvent caché en repoussant vos avances, je vous désire. Vous êtes au fond des tranchées et moi, j'ose penser à un tout autre fond qui vous attend impatiemment, qui vous réclame à corps et à cris. N'est-ce pas pathétique quand on y pense ? Alors que vous vous débattez pour sauver votre vie - et celle de notre si belle nation - et moi je me débats avec des pensées qui se cognent dans mon esprit. Quelle incongruité. Oui je sais. Je sais tout cela. Mais il me faut bien vous l'avouer, je ne puis plus longtemps garder ce secret. Garder cette découverte uniquement pour moi est au-dessus de mes forces. Car, quand on y réfléchit deux minutes, quel égoïsme ce serait ! non, je ne pui...

##### Le soir était tombé. La nuit, promesse de plaisirs épicés, offrait déjà son tapis d’obscurité. Une première bougie sur une table basse en bois illumina soudainement la pièce. La lumière hypnotisait déjà par sa beauté et sa grâce naturelle. Une jumelle l’a rejoignit très vite bientôt suivie de trois autres. Une chaleur nouvelle se dégageait de ce pôle de lumière qui rompait les ténèbres envahissantes. Se faisaient face deux personnes à la lueur des chandelles. Lui, debout, parfaitement immobile, ne portait rien mis à part une de ces prisons qui le privait d’exprimer son désir. Devant ce tapis lumineux, il attendait son bon vouloir. Elle, debout en face de lui, le regardait avec gourmandise, le détaillant, imaginant mille tourments. Se saisissant d’une longue corde qu’elle gardait doublée en la pliant en deux, elle entreprit de faire, au dessus de son poignet, un tour, puis deux et enfin trois avant enfin de nouer les deux morceaux d’un nœud savant. Le poignet se retrouv...

Etendue nue, sur un matelas jeté à même le sol avec les poignets liés au-dessus de sa tête et les jambes maintenues écartées par des cordes attachées à des anneaux vissés dans le sol, Julie attend les clients. Hormis se désespérer et subir elle ne peut rien faire, plusieurs tours de gros scotch retiennent sa petite culotte enfoncée dans sa bouche. Ses yeux scrutent le plafond crasseux de la réserve d’un bar où sont entassées des caisses vides, pendant que les éclats de voix des hommes jouant sûrement aux cartes dans une salle proche d’elle, bercent ses pensées animées par la peur. A côté de sa tête, un inconnu est venu poser une boite de conserve vide et une assiette en carton avec des préservatif. Une burette en fer de garagiste est posée entre ses jambes. "Quel est son but ?" se demande Julie, affolée. Vont-il oser lubrifier mon sexe avec de l’huile pour moteur de voiture ? Lors d’un gang bang géré par Organisations84, Julie en proie à une crise de démence après plusieurs...

#### Quand on a un Maître aussi sadique que TSM on doit s’attendre à tout ! Il aurait suffit de deux doigts, Il aurait suffit d’un doigt ou même une phalange pour tirer sur ce petit bout de corde que je voyais à mes pieds mais que je ne pouvais atteindre pour me libérer. Pendant le repas mon Maître avait un regard et un sourire aux coins des lèvres qui en disaient long sur ses pensées. Loin d’imaginer ce qu’il m’attendait, tout en sachant que j’allais avoir une surprise, après le repas. Il me demanda d’aller préparer le transat au soleil pour sa sieste, je pris soins d’y mettre un petit matelas et la tête à l’ombre, pensant que j’allais faire une sieste à ses pieds sur le gazon bien installée à l’ombre. Il en était rien, juste le temps de finir mon café je le suivis près du transat, sur le gazon, une valise ouverte avec des cordes à l’intérieur je compris de suite. Le transat n’était pas pour Lui, non non !! Il était bien pour moi !!! Il commença un shibari en me faisant un ha...

Lisa est formatrice dans un centre de formation pour adulte. Manque de chance pour le centre, deux des trois personnes devant suivre cette formation ne se présentent pas. Afin de ne pas trop perdre d’argent, le directeur du centre décide de laisser tourner cette formation, quitte à être perdant, il tirera toujours quelques argents pour payer sa formatrice. Paul est donc seul avec Lisa, sa formation de commercial téléphonique initialement collective sera donc individuelle et personnalisée, le conseil général ne s’en plaindra pas bien au contraire, son bénéficiaire du RSA en bénéficiera. Paul est un dragueur adepte de la fessée. Inscrit sur le réseau social Fessestivites il recherche une fesseuse pouvant satisfaire ses fantasmes autour de la fessée puis de discipline domestique s’il parvenait à rencontrer une femme avec laquelle il trouverait affinités. Lors de cette formation avec la belle et charmante Lisa, il n’a de cesse que d’essayer de la séduire mais en vain, le cœur de...

Il avait des principes, et tenait à ce que la flagellation des jolies filles du harem qu’il soumettait à la t o r t u r e pour son plaisir se déroulât selon des étapes immuables, au milieu desquelles n’en prissent que plus de sel les quelques variations que pouvaient lui suggérer l’inspiration du moment où le charme particulier de la suppliciée. Il fallait que le châtiment fût très rigoureux, la douleur des femmes qu’il livrait au fouet tout à fait extrême, pour éviter toute complaisance facile de la part d’esclaves souvent fort attirées par ce lascif supplice, et toutes disposées, mi par plaisir, mi par calcul, à se laisser faire pour séduire leur maître. Il s’agissait aussi que tout le désir du b o u r r e a u pour le superbe corps féminin livré à sa cruauté se concentre entièrement sur la sévérité de la flagellation et ne jouisse que de l’intensité de la douleur infligée, sans se laisser distraire par la tentation de la possession sexuelle, ce que seule autorisait la plus t...

J'ai rencontré Maîtresse Sad sur le forum chasteté de Fessestivites. Nos discussions étaient sympas et le courant est passé tout de suite entre nous. Elle a rapidement désiré tester ma soumission en m'imposant une webcam pendant laquelle j'ai du prendre des poses et me poser des pinces à linge sur le corps. A la suite de quoi, elle m'a demandé mon numéro de téléphone en privé que je lui ai donné immédiatement, en précisant qu'elle pouvait me joindre à l'heure de sa convenance en dehors des heures de travail par souci de discrétion. ................. Maîtresse Sad m'a donné un rendez-vous sur un parking de supermarché à Lyon en me demandant des informations sur ma voiture puis en m'indiquant que je devais me garer à côté des bouteilles de gaz à la station service. J'étais aux anges et au rendez-vous fixé avec une heure d'avance. Elle m'a contacté par téléphone en me demandant de descendre du véhicule puis de me déplacer à pieds pour aller au fond du parking relativement vide à...

Toi, Charmé par mes mots, ma voix et ma volonté, Tu t’es confronté à mon esprit aiguisé. Découvrant que tu ne pourrais me résister, Tu t’es finalement laissé ensorceler. Sachant que tu ne saurais vivre autrement, Tu m’as fait don de cet inestimable moment, Cet instant où tu as choisi en chancelant De devenir mien, espérant mon assentiment. Attendrie et séduite, je t’ai accueilli, T’ai choisi afin de faire de toi mon soumis, Mon jouet, ma délicieuse confiserie. Ma promesse, tu n’auras plus aucun répit. Oui, sois en certain, c’est bien toi que je désire. De ton corps brûlant et vacillant, je veux jouir. Ton âme à nue, sans limites, je veux découvrir, Afin d’assouvir mes plus enflammés plaisirs. N’osant y croire, tu me demandes, pourquoi ? Cette incessante interrogation, pourquoi moi ? Je te réponds parce que je ne veux que toi, Toi, seul, peut déclencher en moi de tels émois. Tu n’as pas conscience du don que tu me fais. Avec ton absolu abandon, je renai...

Premiers émois Les yeux mi-clos, les sens en éveil, j’écoute, J’écoute les sourdes vibrations de son être, Tremblante, je ne veux rien laisser paraître, Ni me laisser être la proie du moindre doute. Prisonnier de ma volonté, il frissonne, Je peux le sentir au contact de ma main, Qui l’explore et s’égare entre ses reins, Jusqu’à lire dans ses yeux qu’il s’abandonne. J’entends l’appel des frémissements de son corps, Et y réponds par des caresses des plus osées, Ainsi l’exploration de son intimité, Et la découverte de ses nombreux trésors. Un claquement sec et une rougeur qui sévit, Sont les doux signaux d’un nouveau jeu épicé, Cinglante caresse et délicate fessée, Capitulation devant de nouvelles envies. Taquine tel l’enfant avec son jouet, Je malmène et pince le bout de ses seins, M’amusant de l’écouter supplier en vain, De le laisser jouir du plaisir d’être possédé. Deux éclaireurs, mes doigts s’agitent lentement En lui, provoquant ses fiévreuses lamen...

- Putain tu fais chier j'en ai marre que tu joues avec mes culottes ! C'est par cette phrase colérique d'un romantisme de haut niveau et d'une grande politesse que Sandrine interpelle son mari sur une problématique pour elle importante. Habitué aux colères de son épouse rencontrée sur Fessestivites et qui fut sa Maîtresse pendant un temps, Paul baisse la tête et attend que cela passe en se demandant s'il est prudent de répondre. - Que tu sois fétichiste des petites culottes je m'en tamponne le coquillard, chacun ses trips et ses délires mais que tu utilises les miennes en cachette pour te branler en t'imaginant qu'une Maîtresse te l'impose me fait chier grave. Tu le comprends ça ? Tu mets le bazar dans mes tiroirs et ce qui me met en rage, c'est qu'en plus tu oses les remettre à leur place à ta façon après les avoir portées et dégueulassées ! Paul, la tête basse prend son mal en patience car sent bien que cette crise risque de durer au moins une heure mais il est loin du...

Ivresse -Abandonné à mes douces mains qui te pressent, -Suscitant ton ferme désir avec adresse, - Je me transforme en véritable diablesse, - Te griffant le torse nu telle une tigresse. - Afin d’assouvir mes désirs de chasseresse, - Je joue à exciter ta verge qui se dresse - Et glisse, avec fougue, un doigt entre tes fesses, - Rendant humides tes yeux emplis d’allégresse. - Entrouvrant mes cuisses avec délicatesse, - Je m’approche de ta bouche qui n’a de cesse - De m’implorer afin de goûter à l’ivresse - De boire à la source de toutes mes promesses. - Je te saisis les cheveux avec rudesse. - Dégageant ton cou et ton collier, je m’empresse - De t’enchainer vivement à moi par ta laisse, - Afin de me délecter d’être ta Maitresse. - Apposant mes lèvres sur ta bouche avec souplesse, - Je t’incite de mes reins à plus de hardiesse, - Gémissant sous les mouvements de tes caresses, - Jouissant de ta langue et de ses prouesses. - Bois… Bois le délicieux nectar de...

Voilà un récit que j'ai écris il y à quelques temps, nouvelle ici, c'est avec plaisir que je le partage avec vous, en espérant qu'il fera vagabonder votre imagination... ************** Ce matin là, elle était allongée sur le lit, se prélassant à côté de lui. Il pianotait sur son ordinateur, épluchant les nouvelles du jours. C'était son deuxième jour de vacances, et elle se morfondais dans une douce paresse. Dans son petit jean moulant, elle gigotait sur la couette en flanelle, sans trouver la position idéale pour rêvasser; elle avait envie qu'il s'occupe d'elle encore, et encore... Et pourtant c'est déjà ce qu'il avait fait la veille, une bonne partie de la nuit, et lorsqu'ils s'étaient levés de bon matin. Sa petite effrontée avait eu en effet tellement de bêtises à se faire pardonner, qu'il avait été nécessaire d'y revenir à plusieurs fois. " - Je m'ennuie, lança t'elle avec dédain. - Tu n'as qu'à finir d'apprendre ton texte de théâtre. - Oh non c'est chiant...