Certains soumis découvrent leur vrai nature lors des premiers émois de l'adolescence. Avec une mère stricte, j'ai été conditionné à être obéissant dès le plus jeune âge, logiquement auprès des filles. Mais comment est apparu mon envie de devenir un soumis, esclave officiel ? 20 ans. Une camarade d'étude, un brin caractérielle, agaçante quand elle rale sur tout, me donne la chair de poule, me provoque des battements de cœur intenses. Mais non je ne suis pas amoureux d'elle. J'ai envie de la servir, lui obéir. Mais comment lui dire ? Comment va-t-elle le prendre ? Je tatonne, je me dis que je vais lui rendre des services par ci par là discrètement, mais elle ne comprend pas. Puis un jour, alors qu'on travaillait ensemble à la bibliothèque sur un exposé, elle dit qu'elle doit rentrer, qu'elle aimerait faire son ménage dans sa chambre d'étudiante avant le weekend. C'est sorti tout seul : "Je peux te le faire si tu veux" Elle a cru à une blague, je n'ai pas surenchéri. Puis au fil de conversation sur l'antique MSN Messenger, elle finit par comprendre que je ne plaisante pas mais a du mal à me croire. Des mois passent, on vit toujours dans la même agglomération mais on ne fréquente plus les mêmes classes. J'en oublie presque cette histoire Un SMS. "Ça tient toujours ton histoire de services que tu veux me rendre" ? J'ai répondu oui. Ça commence doucement. Ja la conduis ici et là, je fais ses courses, Ses amies pensent que je suis amoureux d'elle. Elle commence à prendre l'habitude à avoir un valet à sa disposition, puis vient l'époque des expérimentations, pour voir où son mes limites. Un soir de semaine à 23h. "J'ai mangé avec des amies, tu viens débarrasser et faire la vaisselle ?" Des demandes comme celle-ci ont duré quelques mois. Parfois absurdes. Je crois qu'elle finissait par s'amuser de moi. Jamais elle n'est allé vers le BDSM. Elle n'était pas de cet univers, elle avait dans ses mains un pouvoir qu'elle ne maîtrisait pas. Les SMS se sont espacés, pour disparaître totalement. Elle a poursuivi ses études dans une autre région, on a fini par se perdre de vue.