Une fessée délicieuse

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il y a 3 ans

J'ai eu il y a quelques années, une relation sentimentale et sensuelle, assez torride, je dois le dire, avec une femme splendide, et bien que nos liens se soient par la suite un peu distendus, nous avons conservé une amitié profonde, ainsi qu'une complicité qui nous fait partager régulièrement aussi bien nos problèmes respectifs que nos émotions les plus intimes.

Dernièrement, c'est tout naturellement à moi que cette amie est venue se confier, concernant un problème quelle rencontrait avec sa fille unique de 19 ans, quelle élève seule depuis toujours. Je connaissais sa fille Alexandra, puisque je lavais côtoyé longtemps à l'époque de notre aventure commune et j'en gardais le souvenir dune jeune fille gentille, jolie, très spontanée et vive.

Mon amie me fit part des difficultés quelle rencontrait pour gérer le comportement de l'a d o l e s c e n t e depuis un an maintenant. Celle-ci semblait avoir adopté envers sa mère , une attitude de constante rébellion, voire même de provocation, quelle ne s'expliquait pas, et ne savait pas comment aborder. Leurs discussions finissaient toujours par des cris et des claquements de portes, et mon amie, très contrariée dans son rôle d'éducatrice et de mère, me fit part de son désarroi, mais aussi de sa volonté de ne pas laisser sa fille s'enfermer et se morfondre dans ce rôle de révoltée permanente.

J'avais toujours eu de bons contacts avec Alexandra , et j'appréciai son côté mutin et libéré. Mais à l'époque où j'étais avec sa mère, sans jamais dépasser mon rôle , j'avais su à plusieurs reprises remettre son petit caractère à sa place et brider son désir un peu grand et prématuré d'autonomie. Alexandra avait toujours respecté de bonne grâce l'autorité que je lui imposai, aussi je trouvai normal que sa mère fasse appel à moi, pour l'aider. Je me fis expliquer le détail de ses incartades, et je constatai que le comportement de la petite Alexandra avait bien changé.

Sa mère me dit quelle sortait dorénavant quand elle voulait, sans tenir compte de son avis, et quelle prenait un plaisir non dissimulé à porter des tenues vestimentaires, non seulement très sexy, mais à la limite de la provocation et de la décence. Et surtout, elle n'admettait aucune remarque de sa mère, lui répondant ouvertement, en se montrant même parfois grossière. Sa mère me dit, quelle comprenait que sa fille arrivait à un âge, où elle ressentait le désir de prendre en main sa vie et de jouir de son autonomie ; son désir n'était pas d'empêcher cela, mais elle voulait que sa fille le fasse dans de bonnes conditions pour elle, pas dans une sorte de provocation permanente, de fuite en avant vers tout ce qui paraissait interdit ou hors norme.

Elle me dit que son attitude était visiblement liée à l'absence d'autorité paternelle, et qu'ayant tout essayé, elle pensait que seule une solution assez marquante et forte en rapport avec ce manque paternel, serait de nature à la faire changer d'attitude. Elle ajouta que connaissant sa fille, elle pensait qu'une bonne fessée lui ferait le plus grand bien ; mais que ce n'était pas son rôle de mère de faire cela elle même ; mais sachant quelle avait entière confiance en moi, et en mon expérience d'homme mûr, elle me demandait de bien vouloir faire cela pour elle.

Je fus sur le coup, un peu surpris, cette demande n'étant pas habituelle ; mais après avoir discuté longuement avec mon amie, et bien défini la nature de mon intervention autoritaire et ses limites, je lui dis que je voulais bien jouer ce rôle. Rendez vous fut pris, le samedi après midi suivant, dans la jolie maison quelles occupaient toutes les deux, en pleine campagne.

Mon amie avait annoncé ma venue à Alexandra et lui avait dit que je voulais m'entretenir avec elle ; pour faciliter notre entrevue, elle avait dit à Alexandra quelle partait pour l'après midi, nous laissant ainsi le champ libre pour discuter hors de sa présence. J'arrivai à leur maison vers les 15 heures, et effectivement je trouvai Alexandra seule et désoeuvrée. Elle était devenue une vraie belle jeune femme ; ses traits avaient encore la fraîcheur et la grâce de l'a d o l e s c e n c e, mais ses formes à la fois longilignes et pleines lui donnaient un charme sensuel et attirant auquel je ne m'attendais pas.

Un maquillage prononcé et coloré finissait de lui donner un air très femme fatale. Elle parut ravie de me revoir, et vint me faire la bise très franchement et d'un air enjoué. Je constatai comme me lavait dit sa mère, que sa tenue vestimentaire avait totalement changé ; plus de jean tee-shirt comme je lui connaissais il y a encore quelques mois, mais une tenue très aguicheuse, mini jupe en jean, une sorte de body rouge très moulant rouge, qui laissait clairement apparaître la forme de ses jolis seins que ne soutenait aucun soutien-gorge , des escarpins noirs à talons assez hauts , qui donnaient à ses jambes gainées de noir, une impression de longueur encore plus grande. Je dois dire que son apparence était loin de me laisser indifférent, mais je me rappelais le rôle pour lequel j'étais venu et je ne lui montrai pas que je la dévorais des yeux.

Je lui dis que j'étais content de la revoir ; que je constatai quelle avait bien changé, et quelle était devenue une très jolie jeune fille . Je lui expliquai que j'étais toujours très attaché à sa mère et je lui fis part des moments difficiles quelle vivait actuellement du fait de leurs relations à toutes les deux, et de la dégradation de leur compréhension mutuelle. Je vis Alexandra se renfrogner subitement, et tout d'un coup, son attitude amicale changer totalement.

Je n'eus plus en face de moi la jolie jeune fille minaudant, mais une vraie furie qui laissait échapper son agressivité sans retenue, ni discernement. Elle me dit quelle ne supportait plus sa mère et accusa celle-ci de tous les maux de la terre, et de toutes les intentions maléfiques à son égard. J'avais beau lui expliquer que sa mère ne voulait pas restreindre son désir d'autonomie, mais seulement la préserver de certaines excentricités ou dangers , Alexandra me dit quelle n'acceptait plus son autorité et devint même très négative dans ses jugements.

Notre conversation s'envenimait et je sentais effectivement qu'Alexandra s'était enfermée dans une attitude où non seulement elle refusait le dialogue, mais où pour se justifier , elle devait se montrer toujours plus provocatrice. Elle commença à s’en prendre à moi, et me dit que je n'avais rien à lui dire, allant même jusqu'à être vulgaire et grossière dans ses propos. Je me dis alors qu'il était temps d'appliquer ce que nous avions convenu comme étant la seule alternative. Je lui dis que sa toute récente majorité ne lui permettait pas de parler ainsi à des personnes qui ne lui voulaient que du bien, et que son attitude dépassait les bornes et méritait que quelqu'un lui fasse clairement sentir qu'elle se mettait en dehors de la réalité .

Alexandra tout en riant de mes paroles, s'était assise sur un canapé en cuir rigide juste en face de moi, et croisant assez haut ses jolies jambes, me dévoilait sans vergogne quelle portait des bas sous sa mini-jupe haut remontée. La vision de cette jeune fille arrogante et trop sûre d'elle dans son mépris, ne me fit pas hésiter longtemps. Je m'approchai d'elle, et je luis dis tout de go : Sais tu ce que tu mérites ? c'est une bonne fessée, il n'y a que cela qui puisse faire du bien à une petite chipie comme toi.

  • Ah oui ?, me dit elle un peu surprise, mais avec un rire un peu rauque ; et qui est ce qui me la donnerait ?

C'est moi, lui dis-je et pas plus tard que tout de suite . Joignant le geste à la parole, je m'assis tout à côté d'elle, et sans la laisser réagir, je la saisis par la taille et la basculais sur mes genoux, de façon à ce que son bassin repose sur mes cuisses, son torse à ma gauche sur le canapé, et ses jambes à ma droite, légèrement pliées et touchant à peine le sol.

Ça ne va pas ? Cria t elle, en essayant de se débattre et de se relever. Mais j'avais anticipé son mouvement, et très vite, je ramenais ses deux bras dans son dos, attrapant de ma main gauche, ses deux poignets, et lui appuyant simultanément assez fortement dans le dos pour l'empêcher de bouger. Arrête, tu me fais mal, c'est ridicule me dit elle . Tu n'aurais pas dû me parler de cette façon lui répondis-je ; il faut que tu comprennes que tout n'est pas permis, et que tu ne peux pas régir le monde à ta façon ; tu as besoin des autres pour vivre ta vie, et tu dois les respecter, comme eux le font aussi. Tu as besoin que l'on te remette les idées en place, ; cela ira beaucoup mieux après.

Alexandra gigotait sur mes genoux, mais avait compris que ma f o r c e physique et ma poigne ne lui permettraient pas de s'échapper de cette position. Je sentais son jeune corps qui maintenant pesait sur moi et la douceur de la peau de ses poignets dans ma main, ne me faisait pas oublier ce que j’avais à faire. Je sentais aussi son parfum, et la vision de cette jeune femme couchée en travers de mes genoux , dans une tenue si sexy rajoutait à l'excitation de la situation que nous vivions. De ma main droite, je retroussais le peu de mini jupe qui recouvrait encore les fesses d'Alexandra. Je dévoilai ainsi , au dessus des ses bas autofixants noirs aux bordures de dentelles, un charmant postérieur rebondi et parfait, que cachait à grand peine, une culotte noire tout en dentelle ajourée, qui venait mourir en petits volants sur ses deux globes blancs.

Admirant se spectacle, j'hésitais quelques secondes sur la conduite à tenir, mais je me décidai vite pour appliquer une vraie fessée déculottée. Je commençai donc de la main droite à tirer sur les côtés de la culotte, pour la faire descendre ; voyant qu'Alexandra, ne faisait rien pour me faciliter la tâche, j'appuyai un peu plus fermement sur ses poignets et lui dis : Aide moi ,sinon, je vais te faire mal elle cessa de résister, et je pus sans difficulté, faire glisser le tissu de part et d'autre de son cul et faire apparaître en pleine lumière , ses deux magnifiques formes dont je ne pouvais détacher les yeux. Je descendis sa culotte à mi-cuisses, la laissant ainsi repliée et visible à mes yeux, ce qui accentuait encore la vision sensuelle et humiliante que j'avais de sa position soumise.

Je posais en silence ma main, sur son postérieur blanc, et pus ainsi apprécier la fermeté mais aussi la douceur de sa chair jusqu'alors cachée. Alexandra eut un petit sursaut en sentant ma main, mais ne disait plus un mot. . Je l'entendis une dernière fois me dire : Tu ne vas pas faire ça ? mais c'était plus un ton d'acceptation maintenant que de rébellion., car nous savions tous les deux , que la suite était programmée et allait arriver. Ma main s'éleva de sa peau, et je commençais par lui administrer une série de petites tapes régulières, pas très fortes, mais qui retentissaient de manière claquante sur chacune de ses fesses.

Alexandra poussait un petit gémissement à chacune des claques quelle recevait ; mais je pense que c'était davantage l'appréhension et le contact de ma main qui provoquaient cette réaction que la douleur. Bien que peu appuyée, ma fessée provoquait une rougeur apparente sur chaque globe, et elle devait ressentir une impression de chaleur qui irradiait ses fesses, car elle se tortillait de plus en plus sur mes jambes à chacun des claquements. De temps en temps, je stoppai mon mouvement, j'appréciai du regard le résultat de mon action, puis je posai à nouveau ma main sur le cul brûlant, avant de reprendre le rythme de ma fessée de manière un peu plus marquée et appuyée.

Alexandra savait quelle ne pouvait s'opposer à la correction que j’avais décidé de lui imposer, et elle était maintenant abandonnée et soumise à ce traitement. Elle avait fermé les yeux, et son visage ne trahissait pas d'expression particulière , hormis le rouge que je constatai sur ses joues et son front , et les petits cris qui accompagnaient mes tapes. Son buste était totalement appuyé sur le canapé puisque je tenais toujours ses mains, et dans cette position son body moulant et hyper décolleté, laissait voir ses seins écrasés , qui ballottaient à chacune de mes tapes. Cette vision de la jeune femme soumise, et appétissante à la fois, ne manquait pas de me troubler, et je sentais sous son corps, les vibrations de mon sexe, sensible à tous les mouvements quelle faisait sur moi. Dans cette position, son bassin était plaqué sur le mien, et quand j'appuyais sur son dos, je sentais son ventre et son pubis, en contact permanent avec mon érection prononcée.

Je sentais aussi distinctement maintenant qu'Alexandra avait accepté de subir sans résistance son châtiment, et loin de me montrer cruel, mes tapes quoique appuyées, ne revêtaient aucun caractère v i o l e n t ni sadique. Je m'appliquai même à concentrer mes tapes sur les endroits que je sentais les plus charnus de son anatomie et les plus aptes à percevoir sans réelle douleur, la punition cuisante. La scène qui se déroulait sous mes yeux et mes mains , était dune délicieuse sensualité et aux réactions d'Alexandra, je me doutais que le côté humiliant et extraordinaire de la situation était aussi partagé. A un moment donné, je me décidai même à lui lâcher les mains, sans quelle ne fasse mine d'en profiter, et ainsi, je pus de ma main gauche légèrement lui écarter les jambes et les fesses, de façon à avoir une vue encore plus fantasmatique de son joli fessier.

Je discernais ainsi avec précision toute sa raie culière séparant ses deux boules de chair, avec au centre son petit trou délicieux .Puis en continuant, j'apercevais le renflement de ses lèvres charnues, gonflées et dénudées de tout poil. Ma main gauche venait alternativement se poser sur chacune des fesses, l'écartant doucement, et ma main droite s'abattait sur l'autre fesse, provoquant chez Alexandra , une petite contraction de toute cette région intime qui me faisait penser que le plaisir et la douleur se mélangeaient. Parfois, j'arrêtais ma fessée, et pour sentir l'intensité provoquée, ma main se faisait simplement caressante, pour apprécier la chaleur de la peau, puis elle glissait juste entre les fesses, dans ce sillon si doux, pour descendre jusqu'aux lèvres intimes, que je trouvai légèrement ouvertes, décollées et toutes humides de désir.

Pour terminer cette correction qui n'en était plus vraiment une, je finis par quelques tapes plus prononcées, afin d'exacerber encore plus ma jeune soumise ; celle-ci poussa quelques cris, et après un tel traitement , je lui demandai si enfin elle avait compris et demanderait pardon à sa mère.

Alexandra me promit qu’elle le ferait, et j'arrêtai ma fessée lui disant de se relaxer maintenant. Machinalement, je continuai à lui caresser les fesses et mes doigts s'égaraient quelque peu dans l'apaisement que je lui prodiguai maintenant. Ma main gauche avait totalement séparé ses deux globes, et mon index massait son oeillet tout humide de sa transpiration. Les doigts de ma main droite avaient glissé bien plus en avant, et coulissaient sans aucune peine, entre ses lèvres d'amour. Je n'eus à pétrir sa chair tendre et excitée que quelques secondes, pour entendre sa respiration s'affoler, sentir son corps se cambrer sous mes doigts, et entendre sa longue plainte de jouissance et de plaisir. Puis je sentis son corps repu par l'orgasme se retourner légèrement, et venir se serrer dans mes bras, et sa bouche me dire, quelle avait compris ma punition, et qu’elle me remerciait.

Andy 1331

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