La punition acceptée BDSM

Catégories : Femmes soumises sexuelles
il y a 12 ans

Je suis mal et j'ai peur. Ils m'ont couchée sur le dos dans une petite pièce sombre sur une sorte de table équipée d'entraves. Mes fesses passent à travers un mur avec une barre m'interdisant toute fuite. D'un côté du mur, mon intimité et mes orifices ne peuvent pas être plus offerts, de l'autre mes jambes sont sanglées au mur, mon corps et mes bras sont entravés à une planche. Bouger m'est impossible, je ne pourrai que subir tous leurs caprices et toutes leurs envies.

Je le hais tout comme je m'en veux de lui avoir tenu tête, d'avoir refusé de me laisser prendre lors de la dernière soirée SM en lui faisant un scandale. Le champagne bu sans modération m'a fait disjoncter, la soirée a été gâchée, il était furieux et gêné de mon attitude. Si j'avais utilisé notre code, il ne m'aurait pas obligée mais au lieu de ça, je l'ai humilié devant ses invités. Ses propos ont été on ne peut plus clairs. Soit j'acceptais la punition de son choix, soit il ne voulait plus de moi comme soumise. J'aime mon homme, mon Maître d'Amour, il m'a tout appris en me faisant découvrir des plaisirs et des jouissances titanesques que je n'aurai jamais connues sans lui. Pour me faire pardonner j'étais prête à accepter le fouet jusqu'au s a n g mais il a refusé en m'expliquant les raisons de son refus. Pour lui, cela correspondrait à me battre au sens propre du terme et à de la brutalité dans notre couple car nous sortirions du cadre du jeu.

Je sais qu'il ne lèvera jamais la main sur moi mais je sais aussi qu'en tant que soumise, mon « caca nerveux » doit être sévèrement puni. Encré dans ses convictions sur le respect de la femme, il m'a laissée le choix et ne m'a obligée à rien. Cet après-midi sur le lit, il y avait mon collier de soumise et la tenue que je devais mettre si j'acceptais d'être punie. J'ai tellement peur de perdre mon homme en perdant mon Maître puis de ne plus pourvoir vivre ces moments si intenses où je me perds en jouissances impudiques dans ma soumission que j'ai acceptée. Quand je me suis présentée à lui avec la robe noire qui est un appel aux sévices et mon collier, il s'est levé et m'a embrassée tendrement avant de me dire : « je suis fier de toi ».

Sauf que moi, je ne suis pas fière de moi ni d'être intégralement nue, entravée comme je le suis avec mon intimité offerte derrière un mur. Régulièrement des mains caressent mes fesses, des doigts passent sur les lèvres de mon sexe ou entre mes fesses et je ne peux dire si c'est mon Maître, des hommes ou des femmes qui me touchent. Un doigt pénètre mon vagin et me fait frémir, ne pas voir, ne pas savoir me rend folle mais décuple aussi mes sensations. Le doigt s'occupe maintenant de mon cul, revient dans mon ventre puis va dans mes fesses, à sa façon de faire, je comprends qu'il cherche à lubrifier un peu mon anus. Le contact froid d'un objet posé sur mon « petit » m'inquiète, cela doit être le rosebud qu'il m'a offert mais je n'en suis pas sûre. En temps normal, le prendre ne m'est pas difficile, là il me fait un peu mal.

Plus rien, il ne se passe plus rien. J'attends, quoi je ne sais pas, mais plus personne ne me touche, ne me frôle. Une soumise vient me voir pour me faire boire une flûte de champagne.

  • Qu'est-ce qui se passe ? Que font-ils ? Que fait mon Maître ?

  • Chut, je n'ai pas le droit de te parler, ils viennent de finir l'apéro et passent à table mais je ne t'ai rien dit. Tu n'as pas froid ?

  • Non, ça va, je n'ai pas froid. Il y a beaucoup de monde ?

La soumise ne me répond pas mais me fait un « oui » de la tête. Je suis blême car cette soirée risque d'être vraiment chaude. La trouille me vrille l'estomac, mais je n'ai pas peur pour ma sécurité, mon Maître y veillera comme il veillera à me punir comme il se doit et comme je le mérite.

Le temps passe lentement, les minutes me semblent des heures, même si je sais que cela va être dur, j'aimerai que cela soit tout de suite mais ce que j'aime n'a pas d'importance ce soir. Deux soumises entrent soudain, un Maître les accompagne. Elles se penchent sur ma poitrine dont elles butinent mes tétons avec douceur. Leurs lèvres sont divines, le Maître fait claquer une cravache leurs fesses pour les « motiver », ses coups ne sont pas bien méchants.

  • Ca suffit, dehors ! Aboie le Maître bien trop tôt à mon goût.

Un coup de cravache s'abat soudain sur mes fesses. Je bondis dans mes entraves plus par surprise qu'autre chose car il était modéré. D'autres du même style suivent, cela commence à « piquer ». Quand il ou elle, s'arrête, les fourmillements embrasent lentement mon épiderme, cela me trouble. Un coup de cane m'arrache un cri et dessine un trait de feu sur ma fesse droite. La gauche ne tarde pas à recevoir le sien. Ma punition vient de commencer. Six coups, je ne reçois que six coups par fesse mais ils sont horriblement douloureux. Est-ce qu'ils se passent la cane, est-ce que cela va continuer ? C'est trop dur je ne me sens pas d'en prendre beaucoup d'autres comme ça, mais ici personne ne peut entendre mes cris, mes suppliques, quelle horreur. Quelqu'un tripote mes lèvres, soudain on y pose des pinces qui me font un peu mal. Ces pinces n'arrêtent pas de bouger, il me semble sentir de la ficelle. Oui c'est bien de la ficelle, j'ai peur qu'ils les lestent, j'ai horreur de ça.

Mes lèvres intimes sont étirées sur les côtés pour ouvrir mon sexe, ils les tirent tellement qu'il doit être possible de voir l'intérieur de mon ventre. On me retire le rosebud pour lubrifier mon anus. Oh mon dieu, je vais me faire sodomiser ou dilater et je ne saurai même pas par qui. Un contact charnel entre me fesses me fait bondir, le gland guidé par une main puissante mon anus un peu trop vite, même si j'ai la sodomie, la douceur du début m'est nécessaire pour que j'y prenne plaisir. Le mec est une brute, dès qu'il sent que je m'ouvre à lui, il s'enfonce en moi d'un seul coup comme s'il mettait un point d'honneur à me faire souffrir. Sans me laisser le temps de m'habituer à son sexe, il se met à me pilonner.

Les deux soumises de tout à l'heure sont arrivées, je ne les ai pas vues ni entendues venir, les yeux fermés j'essayais de gérer ma douleur. Elles sont bâillonnées, deux Maîtres les accompagnent. L'un d'eux se met à bricoler la table sous ma tête pendant qu'une soumise me pose une minerve. Ma tête descend d'un cran, la nuque brisée vers l'arrière je le vois poser une sangle sur mon front. Il la serre pour m'immobiliser la tête, ce n'est pas confortable mais doit avoir pour objectif de protéger mes cervicales et de me contraindre à garder la tête en bas. Les soumises jouent avec mes seins pendant qu'il affine ses réglages et que la brute me défonce l'anus plus qu'il ne me baise. Ils repartent comme ils sont venus et me laissent encore seule. Je ne sais plus si je préfère être seule pour m'aider en cas de soucis ou si je préfère qu'ils restent et me voient gémir ou crier.

Mon Maître arrive, sa présence me rassure aussitôt et me réchauffe le coeur. J'aimerai tant qu'il m'embrasse et m'accompagne dans la contrainte sexuelle collectif qu'il a du organiser pour moi mais il n'en fait rien. Malgré son regard dur, de la pointe de ses doigts il caresse mon visage avec tendresse. Le mec qui m'a bourrée comme un malade s'est arrêté un instant puis s'est retiré. Un autre se présente aussitôt contre mon intimité qui n'a plus rien d'intime et que je ne peux même pas voir. Ce n'est pas mon cul qu'il veut et pénètre presque aussi vite que le premier homme qui m'a prise. Pourquoi vont-ils si vite. Sa grosse verge me distant puis s'enfonce en moi profondément comme s'il voulait entrer tout en moi. Mon Maître me fait l'amour des yeux et des doigts pendant qu'un inconnu me baise. Je suis émue de son accompagnement psychologique pendant ma punition.

  • Tu m'as fait honte avec ton caca nerveux quand tu as refusé de te laisser prendre comme doit le faire une bonne soumise offerte à un invité. Pour la peine, tu vas être offerte à toute la boite, prend ton mal en patience ils sont nombreux. Je vais veiller à ta sécurité pour le reste, c'est eux qui décideront de ce qu'ils veulent faire de toi !

Sur ces mots affolants, il tourne les talons et me laisse seule avec ma honte et mes craintes. Deux hommes entrent aussitôt derrière lui, c'est à ma bouche qu'ils en veulent. La position inconfortable dans laquelle je suis entravée ne me permettra que de subir les sexes. Le mec sort sa verge, appuie mes lèvres puis se sert de ma bouche comme d'un vagin. Il m'étouffe quand il va trop loin mais s'en moque, je ne suis qu'une soumise offerte. Il éclate un moment plus tard sans même me demander si je « bois ». Sa semence s'écoule de ma bouche j'en avale un peu malgré moi. A peine s'est-il retiré que l'autre prend sa place. Il est gros et gras de partout. Par chance son sexe est court où il m'étoufferait. Dans mon ventre, les hommes se succèdent, par chance on me met du lubrifiant à chaque fois. Je ne sais plus si c'est le même homme qui a « glissé » ou si c'est un autre qui me prend. Trois hommes sont venus se servir de ma bouche, l'un deux ma couvert le visage de sperme. J'en ai plein les paupières, les ouvrir exposerait mes yeux, cet enfoiré m'a privé de la vue. Je le hais.

Mon cul devient la cible d'un des hommes. Lui sait y faire, il va doucement pour prendre possession de mes reins puis accélère progressivement ses mouvements. Je commence à apprécier, à me sentir partir, à perdre la tête. Une salope de premier ordre pose son sexe sur mon visage et m'ordonne de lécher le foutre de son mari. Pour que je « m'active de la langue » cette garce pince mes tétons comme une malade et les tords. L'envie de mordre ses lèvres me vient mais entravée comme je suis, ce serait trop dangereux. Cette salope castre le plaisir qui montait dans mes reins. Elle se retire soudain mais pour se tourner et me faire lécher son cul. Je n'en ai pas envie et rechigne mais ses pinces digitales me font plier. La langue tirée au maximum pour en finir au plus vite je fais ce qu'elle me demande. Furieuse alors que j'ai fait ce qu'elle voulait, elle se tourne à nouveau et revient au dessus de mon visage sauf que cette fois, elle ne se colle pas à moi. Avant même que je la supplie, elle se met à me pisser dessus, ça ruisselle de partout, mes cheveux vont être trempés et sentir l'urine. Elle s'assoie carrément sur ma figure et plante ses ongles dans mes tétons déjà bien meurtris. Quand j'ai crié ma douleur ma bouche s'est ouverte, de l'urine y est entrée, fait c....., c'est infect. Pour qu'elle parte au plus vite et surtout lâche mes seins, je la lèche avec conviction. C'est à ce moment que mon « étalon » monte en puissance dans mes reins et me fait ahaner de plaisir. La salope me parle mais je ne comprends pas ce qu'elle dit, je ne suis plus avec elle, je suis avec mon cul et les ondes chaudes se propageant en moi.

Lorsque mon « étalon » se retire, mon corps et mon anus sont pris de contractions. C'est dans un autre monde que je suis à nouveau sodomisée en jouissant à nouveau comme une folle pendant qu'il me « défonce ». A cet instant le sexe bandé que j'ai dans ma bouche devient sublime. A la limite de l'inconscience j'attends les suivants mais ils ne viennent pas. On retire la barre qui m'empêchait toute fuite, mon Maître arrive et nettoie mon visage avec des lingettes avant de me libérer. Quand il me prend dans ses bras et me conduit dans la salle, j'ai envie de pleurer de bonheur. Accrochée à son cou je découvre la boite de nuit et les gens qui nous regardent. J'ai honte mais en même temps je suis heureuse. Certains ont un regard amusé, d'autre moqueur. Mon maître me pose devant un homme que je reconnais aussitôt, c'est le mec à qui je me suis refusé quand j'ai craqué lors de la dernière soirée. D'un simple regard mon Maître me le désigne, m'agenouiller pour le sucer me semble être ce que l'on attend de moi.

  • Excuse-toi !

  • Oui maître !

TSM

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Un lit comme ça ne doit pas être mal
J'adore, merci
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